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    We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Sam 1 Juin 2013 - 18:51
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    We're ten thousand miles apart

    Ce que j’aimais par-dessus tout dans cette vie que j’avais découvert l’été dernier c’est que toutes mes journées n’étaient pas minutieusement programmées. Avant de réussir ma tentative d’évasion de la ville sectaire où j’étais né et dans laquelle j’avais grandi, dominé par des parents complètement timbrés à l’image de l’autorité du village qui ne jurait que par la bible, refusait toute intrusion des nouvelles technologies et de ce qui n’était pas jugé comme étant saint, je m’étais souvent fait battre parce que je ne respectais pas les heures pour aller à l’église prier, pour mes paroles qui étaient parfois jugées complètement scandaleuses alors qu’elles étaient loin de l’être à Los Angeles par exemple. Mon passé me permettait d’avoir un regard vraiment spécial sur ce que chacun jugeait comme habituel ici, voilà presque un an que je m’étais installé après avoir retrouvé la trace des membres de ma famille qui n’avaient pas été embobinés dans toute cette merde sectaire, ils avaient été d’une grande aide mais j’avais choisi d’enfin m’offrir une chose qui avait inspiré mes rêves les plus fous, l’indépendance. Avec l’argent qu’ils me donnaient, sans que je n’ai besoin de le leur demander chaque mois et de ce que je parvenais à gagner en enchainant les petits jobs le week-end ou en semaine comme ça allait être régulièrement le cas maintenant que mes partiels étaient terminés et que j’étais officiellement en vacances, j’étais parvenu à m’offrir une chambre sur le campus et à présent j’étais un résident chez les Phi mes soucis de ce côté-là étaient donc réglés. Revenons-en à nos moutons, en une année je m’étais vraiment bien acclimaté à cette société que j’avais découverte sur le tas, aujourd’hui il y avait vraiment un tas de choses sur lesquelles il était impossible de voir la différence par rapport à quelqu’un qui aurait grandi depuis la naissance comme les autres, je m’étais habitué et j’utilisais très activement les nouvelles technologies, je commençais à prendre goût à faire la fête, non, j’étais définitivement devenu un américain comme les autres et j’adorais cette sensation. Être comme les autres, voilà quelque chose que je n’avais jamais eu l’occasion d’être jusque-là malgré le fait que je n’ai jamais pu souhaiter autre chose. La seule chose qui me faisait encore me sentir différent des autres consistait essentiellement au fait que j’étais une véritable merde en matière de séduction, je ne savais pas vraiment comment faire même si Lexie était d’une aide précieuse en me mettant le pied à l’étrier comme elle le faisait en me donnant des conseils régulièrement, en un an je n’avais jamais réellement eu envie de draguer quelqu’un, c’était pourtant une chose que j’avais eu le loisir de voir de mes propres yeux en boite de nuit par exemple, les filles et les garçons s’y trouvaient comme des animaux en chaleurs et un seul regard suffisait pour que certains finissent la soirée aux toilettes.

    Je supposais que c’était de la même manière que comptait finir la soirée d’hier Bibbo, je ne le connaissais pas énormément, je connaissais son prénom pour l’avoir déjà croisé sur le campus une fois ou deux mais nous n’avions jamais vraiment échangé tous les deux. Pourtant hier soir, complètement ivre il m’avait appelé, je ne lui avais jamais donné mon numéro mais il semblait l’avoir trouvé tout de même, il m’avait demandé de le rejoindre pour faire l’amour une nouvelle fois. Après un flottement de quelques minutes il s’était rendu compte de son erreur et m’avait carrément raccroché au nez, pas une chose agréable en soi mais je pouvais comprendre l’étendue de sa gêne lorsqu’il avait compris qu’il était au téléphone et demandait des faveurs sexuelles à la mauvaise personne. Je m’étais recouché comme si de rien n’était et rien n’aurait dû me rappeler cet appel mais il semblerait que le destin en avait décidé autrement. Après avoir couru pendant une bonne trentaine de minutes comme je m’étais habitué à le faire une fois par semaine afin de rester en forme en plus de la musculation que je pratiquais plusieurs heures par semaine également je m’étais aventuré dans les douches du campus pour me rafraichir, complètement nu je pensais être seul dans les vestiaires, je m’étais mis le doigt dans l’œil. Je m’étais perdu dans mes pensées pendant bien trop longtemps, ce n’est qu’en faisant glisser le gel douche qui était tombé au sol et qui m’avait obligé à me retourner que j’avais compris que quelqu’un d’autre était là. A poil face à Bibbo avec ma bouteille de gel douche je manquais de faire une crise cardiaque, il m’avait surpris le con ! « Oh mon dieu, tu m’as fait peur ! » Je plaçais instinctivement les mains contre mon intimité n’étant pas trop pour l’exhibition. « Tu attends quelque chose ? » Demandais-je en constatant qu’il ne bougeait pas d’un poil.


    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Sam 1 Juin 2013 - 23:47
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    Yannick B. Hobbs
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    Nationalité/origines : Américano-Suisse.
    Avertissements contenu : Mort/décès (Tsunami), drogues, alcool, divorce, bataille pour la garde parentale, infidélité, relation toxique, grossesse.
    Orientation & situation : Marié avec October S. Tyler, qu'il trompe à droite et à gauche (et même au milieu), notamment avec Bailey G. Prescott.
    Métier/occupation : (Toujours) assistant au rédacteur en chef du L.A. Times (Reed Gallagher)
    Études & fraternité/sororité : Diplômes: Bachelor en journalisme (majeure), bachelor en histoire (mineure). Ancien Delta Thêta.
    Résidence : Cohabitation avec sa femme, October.
    Quinze heures trente sonnait un réveil des plus brutaux. Gueule de bois, cheveux décoiffés et crampes abdominales étaient caractéristiques de mon état le lendemain d'une cuite, et à en juger par le fait que j'étais toujours habillé dans les mêmes fringues que la veille, j'étais rentré seul. Tant mieux, parce que les courbatures qui recouvraient l'intégralité de mon corps ne me donnait vraiment pas envie de faire du sport. Mais alors, pas du tout. Je me lève, doucement et avec difficulté, me dirigeant vers le frigo que je trouve, surprenamment, vide. Ou pas, en fait. Quoi qu'il en soit, je n'ai donc rien à me foutre sous la dent. Génial. Heureusement qu'en période d'exams, on avait pas cours, le matin, sinon, je les aurais raté. En tous les cas, je m'étais bien amusé, hier, au moins ... Hormis pour ma petite humiliation nocturne. Je n'en savais pas plus sur ce dénommé "Bailey", mais je serais bien ravi de ne jamais avoir à le rencontrer. Non, parce que je pense qu'il n'y avait que moi d'assez con pour dire à un autre mec que je me languissais de lui sans même savoir à qui je parlais. Je revêts un tee-shirt propre, un short blanc, j'attrape mon porte-feuille, mon iPhone et mes clefs, et me voilà filé à travers la porte, en direction de l'Université. Avec un peu de chance, j'aurais assez de temps devant moi pour arriver à l'heure à mon exam cet aprém ... Et fort heureusement, c'est le cas.f L'exam se termine et je pense avoir assez bien réalisé ce que l'on attendait de moi ; maintenant, j'ai envie de nager un peu. J'file vers la piscine, le gardien est sympa et ne me refusera pas quelques longueurs tant que je lui présente mon beau sourire colgate, que je reste silencieux et que je ne fasse pas - trop - de conneries. Je me permets donc de me prélasser dans l'eau chlorée de ce bassin, une fois le cap du gardien franchi. J'y étais resté une bonne demi-heure, et me voilà prêt à me doucher. Ça tombait bien, je ne m'étais pas douché en vingt quatre heures, et je détestais ça. Je me dirige donc vers les douches du stade ; il y a généralement moins de monde, là bas ... Et puis, à cette heure, en plus, ça doit être totalement désert. Non, c'est cool, parce que l'air de rien, ça me foutait mal à l'aise, quand même, lorsque les autres mecs observaient avec curiosité mon anatomie que certains caractériseraient comme étant impressionantes. C'était pas de ma faute si ça avait pas poussé dans leurs pantalons à eux, écoutez.

    J'm'approche du coin réservé aux "chutes d'eau", comme on appelerait ça, et je fredonne un peu l'air d'une chanson qui passait souvent, à la radio, en ce moment ... "Beautiful", de Miguel et Carey, je crois que c'était. C'était pas trop mon genre de chanson, en plus. Malheureusement, c'était le genre de chanson à nous rester coincé dans la tête. C'est alors que j'entends le doux clapotis des douches ... Ah putain de merde, j'étais pas seul, en plus. Je parie que c'était l'un des profs de sport, en plus, et pas le jeune canon, là, le gros vieux. Je m'y dirige quand même malgré tout, parce que bon, j'aimerais bien me laver quand même, et la vue que j'y vois ne me dérange pas tant que M. Moore en train de se frotter les aisselles avec son savon antique. Non, il s'agissait là d'une paire de fesses bien fermes et musclées surmontées pas une tignasse brune de cheveux courts qui semblaient légèrement ondulés, comme s'ils bouclaient avec la longueur. Je m'approche, parce que bon, y'a pas non plus tant de douches que ça, et c'est alors que j'entends un bruit sourd et que le type se penche et se retourne pour ramasser un ... Gel douche, visiblement. Il relève alors sa tête, et elle se retrouve au même niveau que mon bassin, un court moment. Bon, s'il allait se mettre à me fixer, lui aussi, on était pas sorti de l'auberge, non plus, hein. Il se redressa alors subitement, voilant son corps de ses mains, visiblement gêné.

    - Oh, ça va. On en a tous une, hein. Et tu peux m'appeler Bibbo, tu sais ? lachâis-je alors, désinvolte. Je ne bouge pas non plus, et il me demande donc si j'attendais quelque chose.
    Non, pas vraiment, non. Et toi ? lui demandais-je avant d'allumer la douche d'à côté et de commencer à laisser l'eau m'engouffrer. N'empêche, il semblait un peu prude, ce type ... Un peu comme ce Bailey, je pense. Enfin, je dis ça, mais je ne connais ni l'un, ni l'autre. Ce serait dommage, il a un corps d'Appolon, il ferait mieux de s'en servir. Enfin, après, je dis ça, je dis rien, hein. C'est alors que je me rappelle que je n'ai pas de gel douche.

    - Eh, tu veux pas m'en prêter, un peu ? que je lui demande. S'il te plaît.
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Dim 2 Juin 2013 - 1:39
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    We're ten thousand miles apart

    Quand je m’étais rendu compte qu’il était tout à fait possible pour moi d’envisager un moyen de fuir cette ville dans laquelle j’étais enfermé contre ma volonté sous prétexte que mes parents étaient des adhérents de cette maudite secte qui me faisait vivre un enfer j’avais également pensé à ce que je ferais une fois définitivement libéré de cette emprise malsaine. Pendant un moment je m’étais dit que je pourrais faire carrière dans le domaine du sport, j’étais très sportif après tout, c’était la seule activité qui était autorisée dans cette ville, à condition qu’aucuns objets ne soient utilisés, je ne connaissais de toute manière pas les bancs de musculation et les machines de ce genre à l’époque, j’avais eu le loisir de découvrir tout ça sur le tard l’année dernière lorsque j’étais arrivé comme un cheveu sur la soupe en me demandant ce qu’était une télécommande, un téléphone ou encore un ordinateur. Aujourd’hui il me paraissait impensable de vivre sans ces outils essentiels pour chacune des personnes que je connaissais et pourtant j’étais passé par là, dans l’ignorance il était vraiment simple de se passer de tout ça sans avoir l’impression d’agoniser et d’être privé d’une partie de soi. Ainsi j’avais toujours été relativement sportif et mon corps en témoignait mais j’avais fortement gagné en masse musculaire depuis mon arrivée à UCLA, je m’étais entrainé dans la salle d’athlétisme à raison de plusieurs heures par semaine et je m’étais finalement également adapté à toutes les machines présentes, comprenant chacune des spécificités et chacun des effets sur le corps suivant ce qui était utilisé. Au final, aujourd’hui je me sentais vraiment incapable de passer plus de deux ou trois jours sans pratiquer la moindre activité sportive, je n’y peux rien, c’est comme ça que je vivais, mon hygiène de vie était faite ainsi et je ne pense pas que c’était négatif, au contraire, ainsi je pouvais tout de même avoir une alimentation classique, pas besoin de me priver de certains plats ou même de la junkfood, j’évacuais les toxines très rapidement et le gras restait très peu de temps sur mon corps. La demi-heure de course que je venais de faire n’était que le dernier point de mon entrainement du jour, auparavant je m’étais échauffé à l’aide d’une cinquantaine d’abdominaux et d’une série de cinquante pompes également histoire d’être bien en forme. La journée était du coup passée à une vitesse folle, il était déjà l’heure pour certains étudiants d’aller manger, personnellement je mangeais toujours un peu plus tard, c’était une habitude que j’avais prise avec le temps et maintenant j’étais en quelque sorte réglé. Après avoir couru je m’étais senti obligé de passer par la case douche, parce qu’avec autant de sport j’avais tout de même pas mal transpiré et je ne supportais pas d’avoir l’impression de sentir mauvais, par chance il n’y avait personne à cet instant et ça me convenait plutôt bien. Je m’étais déshabillé tranquillement, pensant être le seul à profiter des vestiaires à une heure pareille, ça avait été le cas pendant vingt bonnes minutes, temps que j’avais mis à prendre mon gel, complètement me déshabiller, faire chauffer l’eau et prendre ma douche.

    Seulement, lorsque ma bouteille de gel douche m’avait échappée des mains je m’étais retrouvé face à Bibbo, nez à nez avec son pénis qui, admettons le me semblait plutôt large, de quoi faire plaisir à l’homme qu’il avait essayé de joindre cette nuit en sortant d’une soirée à en entendre le ton de sa voix défaite à cause de l’alcool. Quoi qu’il en soit je m’étais redressé, très gêné en dissimulant au mieux mon corps, je n’étais pas habitué à ce que quelqu’un puisse me voir dans une tenue aussi légère, personne n’avait jamais eu cette occasion même. « Oh, ça va. On en a tous une, hein. Et tu peux m'appeler Bibbo, tu sais ? » Son air hautain me faisait plus sourire qu’il n’était censé me contrarier mais j’étais incapable de sourire parce que malgré tout, être nu devant lui m’intimidait énormément, pas que je sois mal foutu par rapport à lui, pas du tout bien au contraire mais parce que je ne savais pas vraiment s’il savait que j’étais celui à qui il avait parlé quelques heures auparavant. « Je sais… Je me souviens de ton prénom tu sais ! » Disais-je d’une manière peut-être involontairement sèche. « Non, pas vraiment, non. Et toi ? » Je n’attendais rien non, j’avais juste le corps encore couvert de mousse, sur le dos particulièrement. « Non non, je termine de prendre ma douche et je pars ! » C’est bien involontairement que mon regard venait dévier sur son corps musclé et vraiment, il fallait l’admettre très sexy. Je n’avais jamais ressenti ça auparavant, cette sortie d’euphorie, étais-ce ça l’excitation ? En tout cas je sentais mon corps tout chamboulé et c’est pour ça que je détournais très rapidement le regard pour ne pas être trahi physiquement, il m’arrivait très rarement d’avoir des érections pour la simple et bonne raison que je n’avais jamais de pensées sensuelles mais je savais très bien comment ça fonctionnait cependant. « Eh, tu veux pas m'en prêter, un peu ? » Je tourne la tête, me cantonnant à la regarder uniquement dans les yeux, je retire le gel douche de mon intimité me retrouvant nu et affiché devant lui, je le lui tendais timidement. « Euh… Oui, bien-sûr tiens ! » Je me retournais, arrêtant l’eau de la douche, je ne sentais pas la mousse qui était encore plus ou moins présente dans mon dos au niveau de mes omoplates. « Bon bah… Je vais y aller… Evites de m’appeler cette nuit ! » Disais-je ni vu ni connu au cas où il aurait oublié.


    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Ven 7 Juin 2013 - 15:22
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    Yannick B. Hobbs
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    Il me faisait rire, n'empêche, ce mec, à se cacher, comme ça. J'allais pas le bouffer non plus, et c'était pas comme si j'en avais pas un, de pénis, moi aussi. D'ailleurs, c'est ce que je me mis à lui dire, comme pour tenter de le calmer, un peu ; non, parce qu'il en fallait plus qu'un autre mec nu pour me faire de l'effet, hein. Piquer ma curiosité, oui, au moins, mais après, il en fallait plus, bien plus, pour me mettre d'humeur enjouée. Il me répond alors, me disant qu'il se souvient de mon prénom, et un instant, je me demande s'il avait compris que je m'étais comparé à Dieu, ou non. C'était pas important, ça, de toutes manières. Je me demandai également d'où il connaissait mon prénom, même si je supposais que celui-ci avait dû être le centre de pas mal de ragots, ces derniers temps, dont une bonne moitié était vraisemblablement vraie ... Donc cela ne m'étonnait pas tant que cela, en fin de compte.

    - En attendant, ton nom, je ne le connais toujours pas, moi. remarquais-je alors, curieux. Je n'allais pas pouvoir le taquiner s'il avait un nom pourri, quoi. Le mec me répond, alors, me disant qu'il comptait terminer sa douche et qu'ensuite, il partirait. Bah ... Tant mieux pour lui, hein. Moi je m'occuperais de la mienne, de mon côté, s'il n'y voyait pas d'objections. Néanmoins, je remarquai après avoir oublié d'emmener du savon avec moi, comme un abruti. J'oubliais qu'ici, c'était du self-service, aussi. Il a un joli visage, ce mec, quand même ... Avec un peu d'alcool dans le sang, je crois que je lui aurais littéralement fait du rentre dedans. Je sens alors son regard croiser mon corps, et cela me donne un léger rictus. Il tourne alors des yeux tandis que les miens roulent vers le plafond avant de redescendre. Il lui manquait à une case, ce type, à voir comment il jouait les prudes, n'empêche. On était juste deux mecs, nus, dans une douche universitaire - je crois qu'il ne pouvait pas y avoir plus banal, comme situation, n'empêche. Lorsqu'il me tend son gel douche, il m'a l'air tout timide, en plus ... Poli, mais timide. Bon.

    - Je ne vais pas te bouffer, tu sais ? lui dis-je doucement en souriant, prenant la bouteille et faisant mine de ne pas avoir remarqué son corps complètement dénudé sous mes yeux. Je n'allais pas le mettre davantage mal à l'aise qu'il ne l'était déjà, ce pauvre type. C'est alors qu'il se décida à partir, et que je le regarde, avant de dire, avec une voix un peu surprise :

    - Euh ... Et ton gel douche ? Et t'as encore du savon, sur le dos ... Là, je crois. Ma main frôle son dos, comme pour lui illustrer de quelle partie je parle, mais y'avait tellement de savon partout que j'aurais pu le toucher n'importe où, je crois. C'est alors que je me remémore ses derniers mots et que j'hausse légèrement d'un sourcil.

    - Comment ça, t'appeler ? Non, parce qu'il fallait qu'il m'explique, là, ce type, je ne lui avais jamais parlé de ma vie ... Même si sa voix me disais vaguement un truc, en fait ...
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Dim 9 Juin 2013 - 18:22
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    We're ten thousand miles apart

    En plein milieu des douches publiques, face à un homme très musclé et appréciable visuellement parlant, je n’étais pas vraiment à l’aise. Je dirais même que j’étais très gêné parce qu’il ne m’était jamais arrivé, d’aussi loin que je puisse me souvenir, d’être nu aux côtés d’un garçon un peu plus vieux que moi et qui en plus de cela dégageait un charisme vraiment plaisant. Sentir ses yeux insistants sur mon corps nu ne m’aidait en rien à me calmer. Si Bibbo était habitué à voir des gens à poil ce n’était pas mon cas, il était le premier homme que je voyais complètement dénudé devant moi et je peux vous dire que si je n’avais pas détourné les yeux très rapidement pour me centrer sur un autre sujet moins… Excitant j’aurais pu avoir une érection qui m’aurait définitivement enterré socialement. Le jeune puceau que j’étais n’avait encore jamais eu l’occasion de goûter au moindre échange intime, que ce soit des caresses, des regards qui en disaient long et bien d’autres moyens de faire monter la température, je n’avais jamais même embrassé une personne alors imaginez bien qu’être confronté à un homme qui m’avait fait du rentre-dedans sans même savoir que j’étais au téléphone et que je n’étais pas l’homme qu’il contactait ne me laissait pas de marbre. J’avais choisi de ne pas m’étendre sur sa petite boutade concernant le fait d’être un dieu, je ne voulais pas paraitre impoli en venant casser son délire, je manquais cruellement de tact et je risquais donc de briser son égo surdéveloppé de mâle dominant. Je lui faisais donc remarquer d’un ton très neutre que je connaissais déjà son prénom, il avait probablement oublié ce qu’il s’était passé cette nuit mais ce n’était pas mon cas, chacun des mots qu’il avait employé était encore encré dans mon cerveau, il me faudrait quelques jours supplémentaires pour pouvoir oublier ce qu’il avait voulu me faire en pensant que j’étais son ami… Ce n’était pas comme si j’étais habitué à ce que l’on me fasse des avances après tout.

    « En attendant, ton nom, je ne le connais toujours pas, moi. » Je n’osais pas le regarder dans les yeux, de peur de dévier sur son corps qui, décidément m’attirait vraiment énormément. Moi qui étais d’ordinaire très prude et pas vraiment du genre à avoir envie de me perdre dans une quelconque phase de voyeurisme je dois admettre que ce qu’il dégageait ne me laissait, étonnamment, pas insensible. Il était comme un aimant qui m’attirait sans que je puisse défier les lois physiques en y résistant. « Je ne suis pas certain que connaitre mon nom puisse avoir le moindre intérêt pour toi ! » Pas que je sois une groupie qui le suivait sur twitter et écoutait tout ce qui était dit à son sujet à l’université, quelques heures en arrières je me fichais encore de lui, j’en savais suffisamment pour savoir que nous n’étions pas vraiment semblables et qu’il ne m’était d’aucune utilité de perdre mon temps pour tenter de l’approcher. Peut-être que de juger aussi simplement les gens finirait par me faire défaut, mais c’est comme ça que tout le monde avait décidé d’opérer lorsque j’étais arrivé sur le campus alors pourquoi faire plus qu’eux ? Mes yeux finissaient quand même par dévier sur l’engin de Bibbo lorsqu’il me demandait si je pouvais lui prêter mon gel douche, je me mordillais la lèvre nerveusement déviant bien vite le regard espérant ne pas être remarqué par le beau brun qui se trouvait face à moi, le petit rictus qu’il avait au même moment me faisait comprendre que mon objectif n’était pas atteint, j’étais repéré et de loin. Encore plus gêné je lui tendais donc uniquement la bouteille de gel douche évitant de croiser son regard qui aurait pu être moqueur. « Je ne vais pas te bouffer, tu sais ? » Je souriais nerveusement, répondant bêtement. « J’espère bien, je suis trop jeune pour finir en steak haché ! » Parfois j’aurais mieux fait de me taire, pas que ce que je venais de répondre était dénué de sens mais il n’y avait plus vraiment d’intérêt à le faire aussi stupidement.


    A présent que ma douche me semblait être achevée je m’étais emparé de la première serviette qui m’était tombée sous la main en signalant que j’y allais maintenant, je ne tenais pas à être trop longtemps en la compagnie du beau Bibbo, enfin, je ne tenais surtout pas à être nu devant lui encore un temps, je ne m’y faisais pas, ça me paraissait juste très étrange. Je lui avais par la même occasion signalé que j’espérais ne pas recevoir de coup de téléphone cette nuit, pas que je sois dérangé hein… Si, je l’étais complètement et mon sommeil également. « Euh ... Et ton gel douche ? Et t'as encore du savon, sur le dos ... Là, je crois. » Il approchait et glissait ses doigts contre mon dos avec une douceur qui me faisait frissonner, je n’étais pas habitué à ce que l’on me touche non plus et ce fut pour ainsi dire une explosion de sensations vraiment dérangeantes. Je baissais la tête, me sentant stupide et n’étant plus capable de contenir ce jaillissement de mon sang dans mes veines. Mon pénis se redressait et au fur et à mesure que je sentais cette excitation plaisante et totalement inappropriée au moment je comprenais que j’allais vraiment me ridiculiser. Fermant les yeux, m’imaginant des choses vraiment peu appétissantes afin de faire redescendre la pression je refusais de me retourner pour qu’il puisse apercevoir l’étendue de ce que ce simple geste avait fait sur moi, une bombe atomique frappant une ville à titre de comparaison. « Merci de le signaler je… Je vais me rincer à nouveau alors ! Et gardes le gel douche ! » Disais-je mal à l’aise, pourquoi est-ce que je n’arrivais pas à me calmer ? Le sentir proche de moi, à quelques centimètres de mon dos me faisait perdre tous mes moyens. C’était la première fois que tout cela m’arrivait. « Comment ça, t'appeler ? » Je relevais la tête. « C’est… Euh… Et bien c’est moi que tu as appelé cette nuit ! »




    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Mer 12 Juin 2013 - 18:46
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    Il était un peu sur la défensive, ce garçon, ou c'était juste moi ? Non, parce que sa phrase, j'étais pas sûr de l'avoir comprise, en fait. Comme quoi cela ne m'avancerait à rien de connaître son nom ... Oui, enfin, s'il le voulait, hein. J'hausse des épaules, désinvolte. J'vais pas le forcer à me raconter sa vie, non plus, ce n'était pas mon genre.

    - Fais comme bon te semble, écoute.

    Après tout, c'était pas comme si connaître son prénom, ça allait me révolutionner ma vie. Au contraire, même. Ou pas, en fait. Il ne fallait pas non plus être trop cruel, avec les pauvres enfants inoffensifs de son genre. Il me faisait rire, l'air de rien. Il avait l'air de m'apprécier, physiquement, à en croire le regard avide qu'il m'avait balancé, il n'y a pas si longtemps que cela ... Mais prudent comme une prude aigrie, quoi. Comme si je lui effrayais. Comme il voulait, hein. Je voulais bien jouer le grand méchant loup s'il n'y avait que cela pour lui faire plaisir. Il me tend son gel douche, me parle de steak-haché, et je ricane légèrement. C'était mignon, comme allusion, vraiment. Il devrait devenir écrivain, j'étais persuadé qu'il pourrait en trouver d'autres, des belles comme ça, de métaphores. Il se met alors à partir, et me demande de ne pas l'appeler, ce soir. Aucun soucis de ce côté là, mon commandant. Ce n'était pas comme si j'avais son numéro de téléphone, après tout. Je hausse d'un sourcil, cependant, lorsqu'il me dit de garder son gel douche. C'était sympa de sa part, en tous les cas. Il met alors sa douche en route, et l'eau se met à couler. Je vois les gouttelettes s'écraser contre son joli dos, qui me semble, en l'occurrence, bien lisse. Tiens, ça me donnait bien envie de le caresser, ce dos ... Et mon pied s'avance donc, instinctivement. Mais je me bloque sur place, lorsque Bailey me dit que c'était lui que j'avais appelé, hier - oui, parce que pour le coup, je me rappelais bien de lui, là, maintenant qu'il avait rajouté ce détail. Et visiblement, lui aussi se rappelait de moi. Eh beh merde. J'étais franchement con, tout compte fait. Ma main se pose alors sur son épaule, de manière sympathisante, comme pour m'excuser, et, pour la première fois, sobre, je me retrouve à prononcer son prénom.

    - Bailey ... Non, parce que j'en avais dit, des conneries, hier.
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    Mer 12 Juin 2013 - 19:23
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    Je n’étais pas un garçon habitué à juger les autres aussi facilement que je le faisais avec Bibbo, lorsque j’avais les cartes en mains pour me faire ma propre idée sur une personne je pouvais encore l’accepter et me regarder dans la glace sans avoir l’impression d’être stupide mais, dans notre cas je ne connaissais pas énormément de choses sur le jeune homme à part son prénom, quelques éléments de sa vie puisqu’il était populaire sur le campus et qu’un certain nombre de personnes connaissaient énormément d’anecdotes le concernant que ce soit des anecdotes récentes ou remontant dans le passé, je savais aussi qu’il avait de magnifiques yeux et des fesses très attirantes, bombées et lisses, n’attendant qu’une personne pour venir les caresser et les dévorer. L’idée n’était pas déplaisante, au contraire mais je n’aimais pas avoir de telles pensées, ça ne m’était jamais arrivé jusqu’à maintenant même si j’avais déjà ressenti l’envie d’embrasser quelqu’un sur la bouche, chose que je n’avais jamais faite non plus quand on y pense. J’étais donc très mal à l’aise, sur la défensive et me servant du jugement préalable que j’avais établi sur lui pour répondre à ses questions. A quoi bon me présenter à lui s’il ne se souvenait plus de moi le lendemain ? Il répondait septique. « Fais comme bon te semble, écoute. » De fil en aiguille j’avais accepté de lui donner mon gel douche puisqu’il avait oublié le sien puis, de plus en plus tenté par des pulsions qui m’étaient inconnues je m’étais éloigné de lui en prétextant que puisque ma douche était terminée je pouvais mettre les voiles. Je ne m’étais pas préparé physiquement, comme psychologiquement, à ce qu’il me rattrape en m’avertissant sur la mousse qui était encore présente sur mon dos, il avait suffi que ses doigts habiles viennent effleurer cette partie de mon corps pour que je perde le contrôle sur mon anatomie. Sentant cette érection gênante à son sommet je tentais du mieux que je pouvais de donner le change pour ne pas qu’il se pose des questions et ne vienne me rejoindre pour constater avec surprise et moquerie qu’il venait de me faire bander comme un taureau. Au fur et à mesure que le temps passait je lui avouais qu’il m’avait appelé la nuit dernière et non pas un autre garçon qu’il tentait de joindre, sentant par la même occasion mon pénis perdre en largeur et dureté, il n’était plus dressé lorsque Bibbo vint poser sa main contre mon épaule, je tournais la tête, quelque peu désorienté vers cette main très masculine qu’il venait de déposer contre mon corps. « Bailey ... » Je me retournais, tentant de paraitre le plus confiant possible même si mon regard trahissait ô combien j’étais perturbé d’être pris à partie par des pensées qui n’étaient pas habituelles pour moi. « Oui ? » Demandais-je, le plus naturellement possible.

    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Mer 12 Juin 2013 - 19:35
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    Métier/occupation : (Toujours) assistant au rédacteur en chef du L.A. Times (Reed Gallagher)
    Études & fraternité/sororité : Diplômes: Bachelor en journalisme (majeure), bachelor en histoire (mineure). Ancien Delta Thêta.
    Résidence : Cohabitation avec sa femme, October.
    Il se retourne alors, et je plonge mon regard, dans le sien. Dans ses belles mirettes très expressives. Oui, il avait de beaux yeux, ce garçon, quand même. Néanmoins, il semblait ... Un peu tourmenté. J'avais un peu mal à la tête, de mon côté, pour une raison qui m'échappait. Le garçon en face de moi me demande alors, par un simple "Oui ?" ce que j'ai à lui dire, et je me demande bien, moi aussi, ce que je peux lui dire. C'est alors que le mot que je prononce le plus rarement se porte à mes lèvres, et plutôt que de le retenir et de l'interdire de sortir, je le laisse s'échapper, presque avec violence.

    - Désolé.

    Ses lèvres ... Ses lèvres m'invitent. Elles m'attirent, comme un astre. Comme deux planètes se tournant autour, avant que le poids d'une d'entre-elles ne lâche et la propulse vers l'autre. Je m'avance encore, et je me demande ce que je fais, là. Je me sens con, tout à coup, à me rapprocher de ce type que je ne connaissais pas du tout, dans ces douches très peu intimes ... Quoi que. Cela ne me ressemblait pas si peu que cela, tout compte fait. On parlait bien de Yannick plans à cinq, Yannick qui le faisait même sur les capots de voiture ... Yannick Hobbs, l'un des plus grands séducteurs de tout le campus d'UCLA, qui se plaisait dans sa beauté et dans son charme. Mes paupières battent, mes yeux se refermant et s'ouvrant au rythme de mes pas. Je me retrouve en face de lui, et hormis le clapotis de l'eau, on ne peut rien entendre. Ce clapotis est assourdissant, même, et je lui lance un regard ... Il devait être mélancolique, ce regard, je crois. Comme si mon coeur s'était réellement ouvert, et avait hurlé au travers de mes iris. Je lui caresse la joue, puis vient le baiser. Mes lèvres ... Elles se collent doucement contre les siennes, et je mets un peu de force, dans mes ébats, pour le forcer à reculer ... Sachant pertinemment qu'il y avait un mur, derrière lui. Je crois que c'est la première fois que j'embrasse un type que je ne connais pas en étant tout nu. Je me demande pourquoi, d'ailleurs, parce que ce n'était pas si désagréable que cela, tout compte fait. Il se retrouve donc plaqué contre le mur, et je m'avance toujours, doucement, comme pour l'écraser entre nos deux poids. Je me demande, pour le coup, si je m'excusais du coup de fil, auparavant, ou du futur baiser. En tous les cas, ce n'était sincère dans aucun des deux cas.
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Mer 12 Juin 2013 - 19:53
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    Cette proximité m’effrayait autant qu’elle ne m’excitait et je peux vous dire que j’étais sur le point de m’immoler de l’intérieur tellement la chaleur montait. Peut-être que le jeune homme ne ressentait pas ce que j’éprouvais avec autant d’intensité, pour lui qui faisait régulièrement parler de lui et jaser avec ses nombreuses conquêtes dans des situations toujours plus délicates les unes que les autres ça ne devait pas être grand-chose d’être proche physiquement d’un autre garçon et d’être, en plus de cela, nu devant lui. Bibbo pouvait peut-être même y trouver un certain effet quotidien, une habitude qui ne le surprenait plus et ne lui hérissait plus les poils sur les bras. Dans mon cas, nous étions loin du quotidien, c’était même la première fois et même si, avouons-le, ce n’était pas désagréable, je paniquais. Je ne savais pas comment m’y prendre pour échapper à cette situation qui me faisait envie, comme pour un bon gros menu au McDonald’s il y avait un moment d’hésitation, si j’y goûtais je risquais d’avoir des effets négatifs, d’être pris, dans notre cas, pour un con par exemple. Voulait-il simplement se jouer de moi, le mec innocent qui n’avait jamais fait l’amour ou même embrassé quelqu’un. Il me regardait, je ne savais pas comment analyser son regard azur hypnotisant. « Désolé. » De quoi était-il désolé ? Je me posais la question mais je n’avais pas le temps d’y apporter une réponse qu’il avançait, il savait très bien où il se rendait ce qui n’était pas mon cas. Je reculais dans un premier temps, stressé par cette distance de plus en plus minime entre nous deux et qui me donnait envie d’aller me cacher à l’autre bout du pays. Je ne savais plus comment réagir, mon cœur battait excessivement fort dans ma poitrine. Au bord de l’implosion, le beau brun venait me délivrer en prenant possession de mes lèvres et à cet instant une explosion de bonheur me gagnait, des feux d’artifices telle une chanson de Katy Perry, voilà ce que je ressentais. D’un coup brutal je me retrouvais bloqué contre le mur, mes mains venaient naturellement rejoindre la chute de reins de Bibbo alors que je reculais la tête pour pouvoir le regarder avec tendresse, surprise et bonheur. Mes yeux brillaient de mille feux comme un enfant qui aurait découvert le père Noël. « Je… Je n’avais jamais embrassé personne avant toi ! » Je me mordillais la lèvre décidant de sauter le pas définitivement, je reprenais possession de ses lèvres, glissant entre ses lèvres ma langue timidement. Je perdais le contrôle de mes pensées, mon premier baiser entrainait inévitablement un retour, tel un boomerang, d'une érection que j'avais peiné à contrôler quelques minutes auparavant. 

    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Mer 12 Juin 2013 - 20:12
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Mer 12 Juin 2013 - 20:32
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Jeu 13 Juin 2013 - 7:03
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Jeu 13 Juin 2013 - 11:34
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Jeu 13 Juin 2013 - 13:21
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    Re: We're ten thousand miles apart ▲ BIBBO [muy caliente]

    Jeu 13 Juin 2013 - 14:00
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