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    Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Lun 11 Nov 2013 - 3:00
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    Depuis ma jeune enfance, un de mes traits se révélaient depuis toujours : la combativité. J'avais le don de me battre et pas seulement asséner des coups. Dans ce mot, il y a aussi la persévérance et je comptais bien avoir ce que je voulais. Il ne me fallut pas très longtemps pour rassembler mes esprits et prendre la direction de l'Université en aillant un objectif personnel : Avoir cette fille. Son corps, je veux le posséder, je veux être en elle et la soumettre à mes désirs.
    Ce serait mentir de dire que je sais sur quel pied dansé avec elle. Je n'ai pas répondu à sa question, elle ne sait pas si je suis marié ou non. Et le pire dans tout ça, j'ai l'impression qu'elle s'en fiche. Je n'en sais rien. Au pire, je ne le suis pas donc je n'ai pas de soucis à me faire. Simplement, je n'aime pas le fait qu'elle sache trop de choses sur moi. J'ai parlé à très peu de personne que j'avais un fils. Rares sont les collègues qui le savent.
    Je ne me précipite pas à la première heure dans l'infirmerie. Ce serait avoué que j'ai une faiblesse pour elle, un désir incontrôlé. Je ne dois pas me montrer accessible bien que j'ai émis le souhait de la revoir. Le mystère, je dois le préserver. Je refuse de me dévoiler à nu, mentalement, à cette diablesse. Cependant, quand midi sonna dans l'université, je ne pouvais pas m'empêcher d'imaginer les fesses de Sofia nue alors qu'elle travaillait dans son bureau. Adossé à l'entrée de l'infirmerie, je la regarde avec un sourire des plus malicieux.
    Son corps était digne d'un rêve … très pornographique pour ma part. Je m'imaginais glisser ma main dans sa chevelure pour y serrer ses cheveux pendant que je marquais ses cuisses de bleus à mesure que je la tenais. Cette idée me rendait fou, je l'imaginais trop et j'en ressentais l'effet en mon bas ventre. Je tentais de me concentrer pour rester inaperçu de ce côté là. Mais le reste du corps ne pouvait pas se cacher longtemps.
    Par l'intermédiaire d'un miroir, mon regard croisa le sien. Un sourire que l'on pourrait qualifier de démoniaque se dessinait sur mes lèvres alors que je m'avançais de quelques pas pour faire sa rencontre. La situation était plutôt amusante, ce qui avait don de faire estomper ce désir quelques instants. « Je crois que j'ai oublié de dire que j'étais un très mauvais joueur quand il s'agit de jouer. » Je ne quitte pas son regard. Elle est d'une beauté saisissante et la seule chose qui m'empêchait de lui sauter dessus c'était la possibilité d'un procès pour viol ou harcèlement sexuel.
    « Vous n'avez toujours pas envie de me voir, Sofia ? » questionnais-je innocemment alors que je m'approchais d'elle pour glisser le côté de mon doigt le long de sa machoire. Elle sentait si bon, j'avais envie de sentir encore plus intensément ce parfum mais je ne pouvais pas. Pas encore.

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Lun 11 Nov 2013 - 13:11
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    Reed Gallagher
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    Un début de semaine bien rempli. Les visites médicales s'enchainèrent les unes à la suite des autres. Des maux de têtes banals, une perte d'équilibre en cours accompagnée de nausées qui ne m'indiqua rien de bien prometteur si ce n'est peut-être une grossesse - pauvre fille qui ne devait pas avoir plus de vingt ans -, plusieurs visites effectuées aussi dans le but d'obtenir un certificat médical, certaines pour le sport, d'autres pour des stages... J'ai même reçu une étudiante souhaitant juste parler d'un problème familial, cela me faisant réaliser une fois de plus que ce cabinet d'infirmerie pouvait être bien utile à certains, sans qu'on ne puisse s'en douter parfois. Quand ladite jeune fille, étudiante en sciences humaines, décida finalement de partir, je l'accompagnai jusqu'à la porte. « N'hésitez pas à revenir si vous en avez besoin. Surtout si la situation s'aggrave. » Que dire d'autre à une jeune femme dont le petit-ami accro à la drogue devient de plus en plus violent ? Si ma situation n'a jamais été à ce point similaire à la sienne, j'ai aussi été la victime du cercle vicieux que peut être la violence d'un homme possessif. Si la drogue se rajoutait en plus au tableau, je craignais alors vraiment pour cette Anna, chétive et fragile, mais aussi très amoureuse. Je ne saurais dire pourquoi nous en sommes venues à nous voir de temps en temps pour ça. Tout avait commencé lors de sa visite médicale en début d'année. Je lui avais demandé si tout allait bien dans sa vie, si elle ne consommait rien de dangereux, toutes les questions habituelles en somme. Sa réponse ne l'avait pas concernée elle directement mais plutôt son petit-ami. Tout avait commencé de là. « Merci Madame... Au revoir. » Elle partit ; je la regardai de dos jusqu'à ce qu'elle disparaisse au coin du couloir. Midi passé. Je songeai à aller prendre ma pause, mais avant ça, je fis un peu de rangement sur mon bureau. Jusqu'à ce que je sente une présence.

    Mon regard s'était relevé sur un miroir et c'est là que je croisai le sien. Edward n'avait pas attendu longtemps avant de me retrouver... Je ne pus m'empêcher de penser qu'il avait triché et c'est donc un très léger sourire qui se dressa sur mes lèvres, tandis qu'il s'approchait. Comme je l'avais deviné, sa présence me perturba énormément, plus que je ne l'aurais voulu. C'était bien beau de faire la fille forte au téléphone... mais là, je faiblissais à vue d’œil. Il allait falloir que je me reprenne. Malheureusement son regard me transperça. Je me fis force et me redressai quand il arriva à un mètre à peine de moi. Sa main sous mon menton me paralysa alors autant qu'elle réveilla tous mes sens, violemment. Là, j'étais secouée. Je ne fis rien pour m'écarter, arborant même un air de défi. « Est-ce que j'ai le choix, Monsieur Stanson ? » Mes yeux le scrutèrent fièrement avant de se rabaisser sur ses lèvres, vaguement. Il avait perdu, c'était tout, et j'avais envie de le lui crier. Au lieu de ça, je m'écartai finalement en soutenant son regard un bref instant, avec l'idée d'aller récupérer ma veste en toile de lin sur le dossier de ma chaise. En toute subtilité, je reboutonnai le haut de mon chemisier blanc, tandis que mon regard croisait le sien. « Je suis flattée que vous ayez pensé à moi pour votre pause déjeuner, en tout cas. » Mince sourire en coin avant de me retourner pour fermer la fenêtre.


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    Les hommes forts sont ainsi. Au zénith de l'amour, ils réfléchissent encore, ils calculent et leur décision est sans appel. Pancol

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Lun 11 Nov 2013 - 15:13
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    Depuis que je l'ai croisé, je m'imagine déjà dans des situations sensuelles avec elle. Non pas que je ne pense tout le temps à ça mais la sexualité est un moteur de la vie et en ce moment, mon carburant se prénommait : Sofia. Grâce à ces rayures sur ma voiture, j'avais l'occasion de la connaître plus, j'avais une raison de venir la voir sans être un parfait inconnu qui a envie de la prendre entre deux cours. Et qui m'en jugerait négativement de mes envies ?
    Il n'y a qu'à l'observer à cet instant présent. Cette jupe moulante qu'elle portait, elle suggérait des formes généreuses, un fessier digne à caresser et d'une petite culotte à déchirer. Je me posais des questions sur la couleur, la matière. Et ce chemisier, j'ai envie d'arracher chaque bouton pour dévoiler sa poitrine. Cette fille est un véritable fantasme vivant. Elle est vraie, authentique et je me montrais persévérant pour l'avoir.
    Sa peau est tellement douce. J'ai envie de me pencher et de lui voler un langoureux baiser présageant d'une suite sensuelle sur l'un des lits de l'infirmerie. Elle me rend complètement dingue. Jamais aucune femme ne m'a donné autant à réfléchir, à être autant sur mes gardes pour ne pas gâcher une occasion de l'avoir au moins une fois.
    Mes dents raclent lentement ma lèvre lorsqu'elle me répondit. « L'envie n'est pas un choix, Miss Dmitrieva. Mais un sentiment ressenti à un moment donné... » Je me perds dans la contemplation. Qu'elle agisse ou je l'embrasserais. Elle agit. Mon cœur se brise lorsqu'elle s'éloigne de moi. Mon désir devient encore plus fort. Elle est si belle, si gracieuse dans sa façon d'être.
    Elle m'extirpait un petit sourire. Oui, j'ai pensé à elle. Oui, je pense TROP à Sofia Dmitrieva. Mon cerveau n'est plus cohérent quand elle se faufile dans mon esprit. Les lois je les oublie même, je m'approche d'elle lorsqu'elle est près de cette fenêtre. Je suis à seulement quelques centimètres de son corps. Mon souffle frappe sa nuque alors que mes yeux viennent à descendre sur sa poitrine.
    « Ce serait mal de nier l'inverse, Mademoiselle Dmitrieva. » Mes lèvres frôlent son oreille et ma main se pose juste à côté de la sienne. Cette tension sexuelle se faisait encore plus intense. « Et j'ose espérer que ce soit la même chose pour vous. Dans le cas contraire, je pense m'atteler à faire en sorte que vous ne m'oublierez pas. » Je ne cache plus mes intentions envers elle. Je la veux. Je veux être sur elle, en elle, avec elle. Et pour cela, je prend les choses en main.
    Ma bouche se pose élégamment dans son cou. Je l'embrasse avec beaucoup de sensualité, ni trop vulgaire mais sans être doux. Je voulais qu'elle ait l'impression que je la dévore. Et je voulais aussi qu'elle sache l'effet qu'elle me faisait. Une main se déposait sur sa hanche, soulevant son chemisier pour caresser sa peau avec le pouce alors que l'autre venait doucement se poser sur la main de la russe pour entremêler nos doigts. Je remontais même mes lèvres près de son oreille. Dieu que j'étais fou d'elle.
    Je me sentais excité, heureux de la toucher. Je dévorais sa peau, je plaquais finalement mon torse contre son dos en la maintenant avec ma main sur sa hanche.

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Mar 12 Nov 2013 - 18:41
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    Reed Gallagher
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    Sa remarque me laissa matière à réflexion. Sans doute avait-il raison mais je n'aurais su dire si je devais parler d'un choix ou plutôt d'une envie. A l'évidence, nous avons toujours plus ou moins le choix. Mais là, c'était une situation particulière. Je sentais que cet homme avait une emprise sur moi qu'il prenait déjà plaisir à contrôler. Oui, il était un homme adorateur de la domination. Cela se voyait comme le nez au milieu de la figure et il ne m'avait pas fallu longtemps pour le comprendre, quand bien même cette impression avait été atténuée au téléphone. Est-ce que j'aimais ça ? Je n'aurais su le dire pour le moment. Tout ce que je savais, c'est que je me plaisais à répondre, d'une manière ou d'une autre, à ses piques incessantes. Il me suffisait d'un regard à travers ses prunelles pour deviner qu'il avait envie de faire Dieu sait quoi, mais certainement pas des choses sages. Et quoi que j'en dise, ça me stimulait bien plus que je ne l'aurais voulu. Au lieu de répondre à ses mots qui me dérangeaient, je m'étais éloignée pour aller fermer la fenêtre et attraper ma veste. Là, je l'entendis s'approcher de moi. Une sensation de douce fièvre s'empara de moi, réalisant que s'il le voulait, il pourrait sans doute faire ce qu'il voulait de moi. Non pas car je me laisserais faire, mais parce que sa carrure le lui permettait. Était-ce réellement son genre, de coincer une femme dans un coin de pièce, de cette façon ? Une peur minime m'envahit, une peur qui m'excitait aussi. C'était indéfinissable, je ne pouvais que le vivre. Là, je sentis son souffle sur ma peau. Ma main s'agrippa au dossier de la chaise, tandis que mes paupières s'abaissaient légèrement sur le côté. Encore des paroles qui me prouvèrent sa tendance souveraine. Que voulait-il que je nie, au juste ? Qu'il me faisait de l'effet ? Quand sa main frôla la mienne, je dirigeai mon regard vers elles deux, comme si cela allait l'arrêter dans sa course folle du contrôle. Il se remit déjà à parler. Un fin sourire se dressa sur mes lèvres bien sûr, en l'écoutant. Quelle assurance... « Vous ne me connaissez pas. Comment pouvez-vous être si sûr de vous... ? » Demandai-je spontanément, sans quitter sa main du regard. Peut-être que je me trompais, mais je sentais que toutes ses remarques étaient à l'origine des pensées charnelles. Mais pas n'importe lesquelles. Peut-être que j'avais raison de le craindre un peu, finalement. Sans que je ne m'y attende, ses lèvres que j'avais déjà observées très discrètement se posèrent dans mon cou, m'arrachant un frisson aussi glacial que brûlant. C'était un doux contact, plus doux que ce que ses paroles laissaient sous-entendre. Lorsque son autre main vint se glisser sous mon chemisier au niveau de ma hanche, je déglutis silencieusement, me demandant pour la première fois réellement si je devais fuir ou rester. Renier l'excitation que je ressentais tout au fond de moi pour cet inconnu fort désirable ou me laisser aller à la découverte de ce qu'il semblait promettre. Je ne me décidai pas ; c'était une torture intérieure que j'essayais de ne pas laisser paraître. Sa caresse subtile me dérangea autant qu'elle m'attisa, et sa main sur la mienne n'arrangea en rien ce violent contraste qui m'envahissait. Alors que j'avais enfin décidé de fuir pour pouvoir affronter son visage, Edward m'attira un peu plus contre lui, et je pus sentir son corps entier contre le mien. Ses lèvres dévorèrent toujours avec grande sensualité la peau de mon cou ; plus j'attendais, plus j'allais m'en sortir avec difficulté. J'aurais voulu m'échapper, le laisser en plan dans ce bureau qui était mien, mais mon corps était en totale contradiction avec mes pensées, si bien que ma tête bascula très légèrement en arrière. Les paupières closes, la lèvre inférieure pincée, j'appréciais cette emprise qu'il avait sur moi, sans doute parce qu'il me plaisait au fond. Parce que depuis la première fois où je l'avais croisé dans un couloir de cette université, je l'avais trouvé diaboliquement attirant. Était-ce trop tard ? …

    Non. J'aurais certainement pu remercier le ciel, ou plutôt un courant d'air pour avoir fait claquer une porte non loin de nous. Cette même porte eut un effet brusque sur moi qui parvins alors à me détacher du professeur. Aussitôt je me retournai et croisai du regard ses yeux clairs, trop clairs étrangement. « Vous faites ça avec toutes les femmes qui vous plaisent, monsieur Stanson ? » Je réussis à sourire faiblement, avant de baisser mon regard furtivement sur ses lèvres. « Laissez-moi vous redemander si vous êtes marié ? » Là, j'arborai un petit air malicieux en retrouvant ses deux prunelles. Je voulais absolument avoir la réponse à cette question, mais je n'étais pas sûre qu'il accepte de me la donner. Comme si un jeu s'était mis en route sans même qu'on ne le veuille.


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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Mar 12 Nov 2013 - 23:30
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    Je jubilais intérieurement quand je dégustais ce que je venais voler. Sa peau avait un délicieux goût sucré auquel je ne comptais pas m'arrêter de lécher. Surtout qu'elle semblait emprunt à se laisser faire. J'avais envie de remonter mes mains pour toucher encore plus de sa peau mais je me suis retenu et je savais que j'allais le regretter amèrement de ne pas avoir tenter tout de suite. Trop gentlemen pour le coup.
    La porte claqua et mes espoirs s'envolèrent à cause de ce courant d'air. Elle s'écarte de moi et j'ai comme l'impression au fond de moi d'avoir perdu quelque chose, et dans ce cas, plutôt quelqu'un. C'était pire qu'une torture, je la veux. Je ne me souviens pas avoir autant voulu d'une femme, généralement, je faisais tout pour qu'elle vienne à moi. Mais là …
    Je cache mon désarroi derrière un petit sourire sournois en réponse à sa question. Toutes les femmes ? Non, seulement toi. Tu es différente. Mais jamais je ne lui dirais ça. Je n'ai pas envie de lui montrer ma faiblesse, je n'ai pas envie qu'elle me tienne par l'organe génital en sachant cela. « Pas toutes. Si cela peut calmer vos craintes. » Pour ne pas dire que je me donnais autant de peine que pour elle. Il faut dire que j'ai la chance de pouvoir réussir à plaire aux femmes assez rapidement. Rares sont les femmes aussi farouches qu'elle.
    Je crois que j'aurais aimé qu'elle continue à poser des questions sur ma technique d'approche que sur le fait si je suis marié ou non. Seulement, tellement ça m'irrite qu'elle s'intéresse à ma vie privée que je décide de ne pas répondre à sa question. « marié ou non, je vous veux. » affirmais-je alors que je me rapproche d'elle pour poser mes mains sur ses joues et sceller mes lèvres aux siennes. Ce serait malheureux de se poser des questions. Je la veux, je lui donnerai raison de me vouloir, et c'est tout. C'est simple et j'allais lui démontrer simplement : mes mains descendent le long de son corps, passant rapidement sur sa poitrine, dieu que je comptais m'y attarder un peu plus tard pour finalement les poser dans le creux de ses reins pour plaquer son bassin contre le mien.
    « Ne vous préoccupez pas de nos vies. Profitez. » ajoutais-je pour tenter d'effacer toutes ses questions. Je me contentais cependant de l'embrasser langoureusement, passant ma langue entre le barrage de ses lèvres pour découvrir de nouvelles sensations. Celles-ci se trouvaient être excitantes et je ne demandais qu'une chose : pouvoir assouvir mon désir.  

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Jeu 14 Nov 2013 - 0:07
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    Reed Gallagher
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    Pas toutes ? Pensait-il vraiment que ça allait me convenir comme réponse ? Loin de là, mais je devais bien faire avec. Je n'avais pas le choix. Et peut-être qu'au fond, ce n'était pas plus mal. Pourquoi accordais-je autant d'importance aux autres dans un moment comme celui-là, où seule moi comptait pour ses yeux, pour ses envies ? Je ne lui avais rien promis encore ; je pouvais me délecter de ses sous-entendus, de ses gestes, de ses regards tous plus gourmands les uns que les autres. Ce serait mentir de dire que je n'aimais pas ça et pourtant, j'avais un ressenti étrange. Je n'aurais pu poser des mots là-dessus. « Je n'ai aucune crainte... Je m'informe juste. » Répondis-je presque sèchement, et non sans une pointe d'insolence. Je ne lui appartenais pas. J'étais encore maître de moi-même, de mes envies, de mes pensées. Il ne me contrôlait pas. C'est en tout cas ce que je me persuadais à penser. Quand je lui demandai s'il était marié, je vis bien que ça l'agaça. Décidément cet aspect le contrariait fortement. Allez savoir pourquoi... Je fronçai les sourcils et ouvris mes lèvres quand il s'avança ou plutôt se précipita vers moi, contre moi. A nouveau, la chaleur de son corps m'envahit, tandis que ses lèvres se posaient sur les miennes. Bouleversant... Électrisant.. Exaltant. Je me sentis transportée ailleurs, quelque part où il n'y avait plus la notion du temps, de l'espace. J'étais victime de son charme, de son audace. De sa force aussi, car j'étais bloquée entre le mur et lui. Sa main se fraya un chemin sur ma poitrine, provoquant en moi une bouffée de chaleur incontrôlable. Là, il me demanda de profiter, sans penser à nos vies. Oh Seigneur, c'était bien les paroles d'un homme marié ça... Me faisait-il marcher ? C'était fou, l'interdit rendait le tout bien plus excitant encore, je ne pouvais le nier. Mes deux mains se posèrent sur sa chemise que j'agrippai doucement, lorsque que nos lèvres à nouveau s'unirent pour un baiser plus passionné. Contestant d'abord l'approche de sa langue sans doute par esprit joueur, je finis tout de même par capituler et répondre à ce baiser avec ma part de fougue que je m'étais interdite jusqu'alors. Où tout cela aurait-il pu nous mener ? Je ne pouvais plus récuser cette envie naissante en moi, celle de le vouloir aussi. J'aimais déjà sa poigne, son culot, son dédain, sa passion... Mais... Il y avait un mais. « C'est vraiment ce que vous croyez ? » Dis-je finalement en le poussant un peu, mes yeux fusillant les siens. « Que vous allez m'avoir dans ce cabinet pour ensuite pouvoir aller raconter à vos collègues que vous vous êtes tapé la nouvelle infirmière ? » Là, je le poussais encore plus pour qu'il finisse lui aussi par être plaqué au mur. Oui, et ci ce n'était que ça ? Tout un stratagème ou défi entre collègues ? A l'hôpital où je travaillais avant, les médecins étaient fans et cela me rappelait un souvenir amer. Face à lui, je replaçai mon chemisier correctement dans ma jupe, les joues sans doute légèrement rosies -plutôt mourir que d'y reconnaître de l'émotion - avant d'attraper ma veste et de l'enfiler. Les yeux perdus sur mon bureau et les trois dossiers parfaitement rangés, tout autant que les stylos, et calepins. Tout était ordonnés et me rappelait que j'étais sérieuse, trop sérieuse. Que pouvait-on me rapprocher... ? Et pourquoi pensais-je à tout ça, d'un seul coup ? Peut-être que j'avais juste envie qu'il m'embrasse encore plus ? Qu'il me retire ce chemisier, qu'il me relève cette jupe pour assouvir ces désirs qui étaient aussi miens... ? Bon sang... Cet homme me rendait folle et je dus fermer mes yeux un instant pour me remettre de ces quelques pensées osées. Prenant une bonne inspiration, je me retournai et lui adressai un regard intense, profond. « Laissez-moi en apprendre plus sur vous. » Demandai-je en l'ordonnant même. Je n'accepterais qu'une réponse positive.



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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Jeu 14 Nov 2013 - 23:29
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    J’ai envie d’elle depuis que je l’ai vu, depuis que j’ai vu que sous ses vêtements, c’était une bien belle femme. Et on ne peut pas dire que je manquais de franchise avec elle, je lui démontre que je la veux et je serais têtu. Mes lèvres sont le témoignage de mon ardent désir d’être en elle, je lui offre un baiser des plus passionnés, ma langue caresse la sienne avec ardeur. Et pourtant, je me sens déçu lorsqu’elle me repousse à nouveau alors qu’elle répondait à mon baiser.
    Je suis surpris de ce qu’elle me sort. Mon front se froisse alors que je la regarde s’éloigner de moi. Apparemment, Sofia pensait que j’allais parler à mes amis – professeurs – que je m’étais tapé la belle infirmière mais j’ai passé l’âge de ce genre de chose. J’avais l’impression de faire face à une adolescente qui se plaignait auprès du garçon qui voulait la dépuceler. Je me sens un peu perturbé par ce qu’elle venait de dire. Elle se rhabille comme pour partir.
    Et moi alors ? Elle a répondu à mon baiser, elle n’était pas du tout contre ce que nous faisions. Je gardais l’espoir de lui faire l’amour, ou de la baiser. Ça dépendra de son tempérament avec moi. J’attendais un peu plus de sa part, un effort, quelque chose, après tout, si elle répondait, c’est qu’elle le désire aussi. Seulement, elle est tellement contradictoire. Et là, je m’attendais à une phrase bien cinglante et je tombe sur … du romantisme !
    Se connaitre, quelque chose que je ne voulais pas du tout faire. Moins j’en savais sur les femmes avec qui je couchais, mieux je me portais. Je dévie mon regard dehors, au-delà de la fenêtre. Je n’en ai pas envie, je n’ai pas envie de me dévoiler, elle savait bien assez de choses sur moi. Et moi je ne savais pas grand-chose d’elle. C’était inégal dans un sens. Mais je compte la prendre au mot. Je m’approche d’elle, glissant mes doigts sur ses épaules pour retirer son blouson.
    « Je ne sais pas quels sont tous les préjugés que vous pouvez avoir envers moi. Je ne comprends pas vraiment pourquoi vous vous prenez la tête à vouloir me connaitre, ça ne sert à rien. Je vous propose seulement d’assouvir un désir qui prend jusqu’aux entrailles. » Ma main remonte jusqu’à sa mâchoire pour en caresser du bout des doigts. « Mais Soit… je vais vous faire connaitre… qui je suis, avec une femme. Prenez le risque de croire en vos préjugés, sachez que je suis un homme assez mature pour ne pas salir ce que vous êtes. » Pour ne pas sous-entendre, je suis pas con au point de raconter à tout le monde. Et puis, je sais que si je leur disais, ils n’iraient pas le raconter à tout le monde.
    Alors je décide de prendre les choses en main. Je l’attire jusqu’au bureau où je m’y assois à moitié. Je ne sais même plus par quoi commencer mais quand j’aperçois la naissance de sa poitrine, je glisse mes doigts au-dessus du premier bouton et j’étends mes bras pour ouvrir le tissu. Enfin, je vois ce que j’ai envie de goûter. Sa peau semble si douce, si sucré mais je me retiens. Je retire mon haut pour être torse nu, à son égal. « C’est très joli… hum… » Dis-je en laissant échapper un léger rire. Pas pour se moquer mais pour la détendre, qu’elle se laisse aller.
    Mes mains viennent descendre sous sa jupe pour agripper ses fesses. Dieu merci, elles sont encore plus douces, encore plus ferme que je ne l’avais imaginé. J’étais excité rien qu’à la toucher, à l’avoir embrassé, à jouer avec la ficelle de son string. Mon corps se tendait de partout, elle me rend encore plus fou que je ne l’aurais cru. Et surtout, encore plus gourmand. Je prends les devants, avec plaisir même, je glissais mes lèvres sur sa poitrine et capturait sa chaire avec tendresse. Je commence par ses caresses, je veux qu’elle me désire autant que je la désire, je veux qu’elle sente l’effet qu’elle me fait. Aucune femme ne m'avait rendu ainsi à ce jour. J’ai l’impression d’être un drogué qui reçoit sa dose : une dose d’une qualité sans pareil.
     

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Dim 17 Nov 2013 - 15:52
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    Métier/occupation : Rédacteur en chef du Los Angeles Times depuis fin 2014.
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    Résidence : Maison à Santa Monica.
    Il semblait surpris de ma réaction et de ma peur. Je ne connaissais rien de lui, pourquoi était-il si étonné ? Cet homme que j'avais rencontré il y avait à peine quelques jours essayait de me corrompre et il ne comprenait pas mes doutes ? J'estime qu'elle était pourtant légitime. Sa tentative d'approche plutôt insistante pouvait très bien être la mise en œuvre d'un pari, d'un jeu, ou quelque chose dans le genre, non ? Alors après m'être écartée, je lui proposai qu'on apprenne à se connaître, sans doute pour voir comment il allait réagir, si ça l'embêterait ou non. Car quel mal y avait-il à vouloir en savoir plus sur lui ? Et là, sa réponse me glaça presque ; ce n'est pas à ça que je m'attendais. Ses paroles me confirmaient juste qu'il n'était qu'un homme. Un homme avec une envie qui lui tenaille le ventre, rien de plus. Lorsque sa main remonta jusqu'à ma mâchoire, je lui adressai un regard dur, presque insolent, avant d'écarter mon visage comme une enfant effrontée l'aurait fait. Là, il me dit qu'il allait me montrer qui il était vraiment avec une femme, que je n'avais aucune raison de croire en mes préjugés. Mais alors, pourquoi ne continuait-il pas à parler ? Pourquoi était-ce ses mains qui prenaient déjà le relai ? Mon coeur s'emballa à nouveau quand il ouvrit ma chemise ; j'étais troublée par ce qu'il m'inspirait. J'avais peur de lui, mais il m'attirait, j'avais envie de l'embrasser, qu'il me fasse goûter à l'interdit, à l'adrénaline. Quand il enleva son T-shirt, la température de mon corps grimpa crescendo. Mon regard se perdit sur sa peau, sur les courbes de son torse que je ne me gênai pas pour observer. J'aurais eu envie de disparaitre pour ne pas reproduire ce schéma qui m'avait poussé à démissionner de mon ancien travail. J'avais aussi envie qu'il m'arrache mes vêtements, qu'il me fasse gémir. C'était incontrôlable et violent ; je m'en voulais. Je n'entendis presque pas ce qu'il me dit. De quoi qui était joli ? Ce n'était pas le mot que j'avais à l'esprit à vrai dire...

    C'est comme si tout l'engrenage se déroulait sans plus s'arrêter, sans plus me laisser le temps de me raisonner. Entre sa présence, son regard, ses gestes, j'étais perdue. Ma cause était perdue. La virilité de cet homme me transportait, à tel point que plus les secondes défilaient, plus je devais redoubler d'effort pour ne pas me laisser aller comme une femme facile, comme une femme qui ne connait rien de l'art de la séduction. Et pourtant, j'étais de ces femmes qui aimaient se faire désirer. Avec lui c'était différent. Je ne faisais rien qui puisse l'exciter mais le résultat était le même, voire pis encore. C'était on ne peut plus troublant.

    Il m'attira à lui. Mes mains se posèrent sur ses cuisses, cela ne le dérangerait sans doute pas, vu où les siennes étaient en train de s'aventurer. Dieu que c'était un supplice. Sa bouche sur ma poitrine encore recouverte de mon sous-vêtement que je haïssais presque pour le coup, tellement j'avais envie qu'il atteigne les points sensibles. J'en voulais plus, c'était indéniable. Ma tête bascula légèrement arrière sous le désir ressenti. Je n'avais rien de la femme forte avec lui, j'étais plus sensible et soumise que jamais... et j'aimais ça. Quand mes yeux vinrent à nouveau croiser les siens, je ne cherchai pas à leur donner une expression haineuse. Non, c'était différent, sûrement lié à cette envie naissance qui creusait mon bas-ventre. Mon regard descendit plus bas, sur ses lèvres, sur ses épaules et sur sa poitrine musclée à la perfection. « Si vous êtes si mature Monsieur, vous ne chercherez pas à m'avoir dans ce bureau, n'est-ce pas? » Mes doigts vinrent effleurer la ligne creusée au milieu de son torse, menant directement jusqu'à son ventre et... A nouveau je remontai mon regard vers le sien, le plus sérieusement possible. Là, je me reculai jusqu'à ce que mon dos se plaque contre la fenêtre, sans quitter son regard. « En considérant cela... » Qu'il ne profiterait pas de moi, je voulais bien sûr dire. Cela dit et par pure torture à moins que ce ne soit un jeu, je laissai glisser ma chemise le long d'une de mes épaules. « Je vous donne cinq minutes et pas une de plus pour me donner envie de vous revoir. » Les dés étaient lancés. J'espérais qu'il saurait trouver le juste milieu pour ne pas m'en faire voir de toutes les couleur dès ce jour. Ce à quoi mon corps répondait « au diable madame la Raison » évidemment.


    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Lun 18 Nov 2013 - 23:52
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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Jeu 21 Nov 2013 - 23:36
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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Ven 22 Nov 2013 - 22:19
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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Sam 30 Nov 2013 - 0:01
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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Lun 2 Déc 2013 - 22:36
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    Je n’ai jamais ressenti autant de plaisirs à faire plaisir à une femme. C’est délicieux exquis, je ne me lasse pas la moindre du monde de la toucher de cette façon. J’adore comment elle réagit, comment son corps se contracte face à mes assauts de passion. Je me sentais grisé par cette femme, je ne pouvais pas m’arrêter maintenant que c’était une douce union physique qui allait nous relier. Qu’elle allait me libérer de ma frustration quant à son corps si merveilleux. Je réponds à son baiser quand elle me le demande, qu’elle vient chercher mes lèvres pour un baiser inoubliable pendant que je m’attelais à ce plaisir sensationnel.
    Et contre toute attente, sa voix résonna dans la pièce. Je l’écoutais en continuant de m’amuser avec son corps. Mes yeux se mettent à se concentrer plus sur son visage que ce que je ne faisais. J’allais même lui répondre que oui mais elle m’écarte d’elle. Comme si elle me résistait juste pour un certain temps. « Vous n’êtes pas sérieuse ? » dis-je tout en la regardant se remettre de ses jeux sensuels. C’est tout ? Elle allait se contenter d’une simple gâterie ? Que pour elle, qui plus est. Je me laisse asseoir sur la table d’auscultation, la fixant sans gêne alors qu’elle me tendait ma chemise. Rien ? Comment peut-on dire que ce n’était rien ?
    « Vous plaisantez. » Ajoutais-je en tentant de rigoler. C’est une mauvaise blague, elle va se retourner et sauter dans mes bras pour que nous fassions l’amour pendant des heures. Je pousse un long soupir. Elle est encore à ça, mon statut. Que je sois marié ou non, elle sera à moi. Et même si je connais la vérité, je n’ai pas envie de lui dire. Je veux qu’elle soit excitée par la possibilité d’être une maitresse, d’être dans un délit affectif. Je remets rapidement ma chemise sur mes épaules sans pour autant la fermer et je me rapproche d’elle. « Ne croyez pas avoir la main sur notre relation. »
    Mon regard se durcit rapidement, je me rapproche d’elle jusqu’à la faire reculer jusqu’aux placards d de l’infirmerie. Mes hanches se plaquent contre les siennes pour l’empêcher de partir alors que mes mains se posaient sur ses poignets. « Marié ou non, avec ou sans enfants, je vous ferais l’amour, Sofia. Je veux vous faire l’amour. Même si je dois me montrer têtue, violent, surprenant… tout ce que vous voulez, je le ferais. Vous êtes à moi… pour l’instant. » Je pose mes lèvres avec violence sur les siennes, fracassant d’un coup de langue brutal la frontière de ses lèvres pour lui montrer ce qu’elle venait de créer en moi. Un homme frustré, désireux de se défouler avec elle, de lâcher prise tout en continuant à garder le contrôle.

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Mer 4 Déc 2013 - 18:32
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    Bien sûr que j'étais sérieuse. Il s'en serait vite rendu compte si je plaisantais à ce propos, mais ce n'est pas vraiment mon genre. Là, je vis dans son regard qu'il m'en voulait, qu'il s'en voulait peut-être même de ne rien avoir eu alors que j'avais eu ma part du gâteau. Le pire c'est que je me délectais dans ce regard d'homme désabusé. Ne savait-il pas à quoi s'attendre, après tout ? Il ne pouvait s'en vouloir qu'à lui-même en réalité. Alors je m'armai d'un beau sourire doté d'un brin de malice pour lui répondre. « Je vous avais prévenu... Cinq minutes et pas une de plus. » Oh oui, je lui donnais du fil à retordre. Il y a à peine quelques secondes il avait encore envie de moi. Désormais, il avait peut-être envie de m'étriper... C'était peut-être du sadisme, en partie. Mais je voulais surtout lui donner un aperçu de ce que j'étais. Non pas une femme qui prend sans donner, mais qui ne se laisse contrôler par personne, et surtout pas par lui, quand bien même il avait un effet fou sur moi. En réalité, j'avais voulu me prouver à moi-même que je n'étais pas faible et facile. Je crois que c'était mission réussie, Edward semblait vert. C'était le prix à payer ; il n'allait pas me posséder en quelques entretiens à peine. Après avoir renfilé sa chemise, le professeur réduisit à nouveau la distance entre nous. Je ne pensais pas qu'il ré-attaquerait aussi vite. Avec une once d'insolence sur le visage, je le fixai s'approcher. Ce qu'il dit me fit sourire. A nouveau, il voulait contrôler la situation. C'est à croire que notre relation serait une douce bataille en quête de pouvoir... N'ayant pas vraiment le choix, je reculai jusqu'à être contrée par le placard et il attrapa mes poignets. Ça, j'avais horreur de ça. Mon ex-fiancé Landon m'attrapait toujours de cette façon quand il voulait obtenir la plus grande attention de me part, et ça avait le don de me rendre encore plus virulente. Edward employa les grands mots, me signalant qu'il me ferait l'amour coûte que coûte, quel que soit son statut. Le pensait-il vraiment, tout ça ? Ou le faisait-il pour m'affaiblir, sachant sûrement que les femmes fondent plus facilement en entendant ces mots ? J'étais énervée contre lui, contre les hommes et cela dut se voir dans mes yeux. Je tentai de m'extirper de son emprise mais ce fut peine perdue, il me tenait fermement. « Vous pensez vraiment ce que vous dites ? Que vous me ferez l'amour ? ... Je n'emploie jamais ces mots à la légère. Savez-vous ce que ça veut dire, vraiment ? Tout ce qui vous intéresse c'est mon corps, mon charme ou que sais-je. Vous ne me connaissez pas, Edward. » Déviant mon regard tueur plus bas sur son torse, je tentai de me calmer, d'inspirer un bon coup. Cet homme était une énigme humaine et je ne savais même pas si je voulais la résoudre. Tout ce que je savais, c'est que j'étais bien malgré moi irrésistiblement attirée par lui, par son odeur, et tout ce qui se dégageait de lui. Mais je ne pouvais me laisser affaiblir comme une adolescente. Non, c'était fini cette époque-là, je devais m'affirmer. Alors je relevai sèchement mes bras pour me libérer et le pousser en arrière, me dégageant par la même occasion. « Je ne suis pas à vous et je ne le serai jamais, même s'il devait y avoir... quelque chose. » ... entre nous. Mais je n'arrivai pas à le dire. Il était temps que je rejoigne mes collègues à la cafétéria, alors je pris mon sac et me dirigeai vers la porte où je me retournai pour le regarder. « Vous venez ? Je dois fermer le cabinet. »


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    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

    Mer 4 Déc 2013 - 23:18
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    Cette femme était la pire de toutes. Elle me gonflait à savoir si j’étais, à se prendre la tête pour des détails insignifiants alors que nos désirs sont présents et ont besoin d’être assouvis. Je me sens dingue et le pire dans tout ça, je n’ai pas envie de lâcher le morceau. Je désire cette femme et je la veux même si sa personnalité m’exaspère. Je ne supporte pas qu’une femme puisse dominer la situation, du moins, ce qu’elle pense. Je ne suis pas un violeur, je ne vais pas la forcer à faire ce qu’elle ne veut pas mais le souci est là : elle a envie, je le sais et je l’ai très bien senti quand j’étais en train de lui offrir du plaisir mais elle continue à mentir.
    Je la toise alors qu’elle est habillée et qu’elle continue à m’exaspérer. Elle a de la chance qu’il y a des lois dans ce pays qui empêche les femmes d’être violer sinon elle aurait déjà perdu l’usage de ses jambes tellement je l’honorerais. Je ferme les yeux pour me contenir et ne pas exploser. Elle s’est écartée de moi il y a plusieurs minutes et je ne redemande qu’à revenir pour la faire prisonnière. Notre relation est bien trop fraîche pour qu’elle finisse par être dompter. Je mettrais du temps mais je le mettrais ! « Je ne demande qu’à vous connaitre, Sofia. Et ce qui m’intéresse chez vous, c’est tout. Même si vous êtes une véritable chieuse… »
    Au moins je l’ai dit et je ne compte pas revenir sur mes mots. L’infirmière décide d’emboiter le pas pour sortir du cabinet tout en me faisant comprendre qu’elle n’était pas mon objet, qu’elle ne m’appartenait pas. Je ne disais rien car je savais que bientôt, ce serait le cas, elle ne le sait pas encore mais je suis têtu et quand je veux quelque chose, je le prends. Je lui jetais un regard noir tout en enfilant ma chemise. « Vous ne savez pas ce que vous faites. Vous vous prenez bien trop la tête. » Je m’approche d’elle et réduit l’espace entre nos corps en venant lui voler un chaste baiser sur ses lèvres.
    Une fois sorti de ce cabinet, je ne suis pas l’homme qui tente de la séduire dans le but de lui faire l’amour sauvagement. Je prends mes distances, je suis au moins deux mètres et j’enfonce en moi tous les sentiments que j’ai pu faire ressurgir pour lui montrer mon envie de passion charnelle. « On se reverra Sofia, et chaque fois ce sera la même chose. Je suis têtu et un jour, vous m’appartiendrez. » Je pousse un soupir avant d’enfiler ma veste. Je suis totalement habillé, pas un pli ne trahit mon acte envers l’infirmière. Je daigne un dernier regard vers elle avant de m’en aller. De toute façon, je ne pouvais pas la kidnapper, elle est encore trop sauvage.

    Re: Tu veux jouer au docteur ? - Sofia & Edward

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