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    SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.

    Jeu 31 Oct 2013 - 13:12
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    SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole. «Salut mon coeur, ça te dit d'aller s'faire genre un pique-nique ce midi au parc? On se dit... 13h, et on se rejoint vers le grand arbre là, enfin comme d'habitude quoi? Comme ça fait longtemps qu'on s'est pas vu tous les deux. Bref, je te préviens, t'emmène ton sandwich, ton coca, ta piña colada, enfin n'importe quoi, mais compte pas sur moi pour t'acheter quoi que ce soit ok? Tu te payes tout tout seul, comme un grand (a). Bisous, à cemidi, tu sais que je t'aime au fond hein?» Un sourire narquois se dessinait sur mes lèvres teintées d'un rose pâle. C'est vrai que depuis la rentrée, je n'ai pas vraiment "parlé" à Sparrow, entre les cours, les devoirs, et puis le fait qu'il habite sur le campus n'arrange en rien les choses. On se croisait parfois dans les couloirs, en se limitant à une simple bise, et un "à ce soir!" qui se révélait être le soir même erroné, enfin bref. J'ai du mal à y croire moi-même, mais il me manquait un peu, ce Sparrow.

    Mon portable vibrait, avec de plus en plus de puissance au fil des secondes qui passaient, et je finis enfin par me réveiller. Je me frottais frénétiquement les yeux d'un geste peu charmant, puis je posais mon regard sur l'écran se révélant être un peu trop lumineux pour mes paupières fragiles de mon téléphone, avant qu'un cri d'horreur s'échappa de ma bouche. «Dites moi qu'on a changé d'heure. Dites moi qu'on est 12h06 et pas 13h06.» Le visage pâle, les mains tremblantes, je fourrais mon portable avec une rapidité étonnante dans mon sac, ainsi que mon porte-monnaie et mes clés, et je me hâtais vers la porte. «ALICE, GRACE, CLARY, J'ME CASSE J'AI RENDEZ-VOUS AVEC UN POTE.» Je ne fis pas attention aux multitudes de "Ok!" et "Amuses-toi bien!", et je crus même entendre un «Essaie de pas l'violer.» mais mon ouïe me jouait sûrement des tours dans ce moment de tension. Il me fallait au moins dix minutes de sprint pour atteindre le parc, et je n'avais pas encore mon permis. «PUTAIN SPARROW VA ME TUER J'EN SUIS SÛRE!» m'écriais-je en plein milieu de la rue, tous les yeux rivés sur moi après cette charmante parole. Pitié faites qu'il vienne juste d'arriver. Mais ce souhait fut vite réprimé par ma conscience. Ponctuel comme il est, Sparrow est peut-être même arrivé dix minutes en avance. «Je crois que je vais me retenir de l'appeler Maximus quand je le verrais. Sinon, ça va vraiiiment chauffer pour mes fesses.»

    Arrivé devant le portail du parc, je ne stoppais pas ma course pour autant. Je m'efforçais à plisser les yeux le plus possible vers ma montre pour lire l'heure mais impossible. En tout cas, d'après ce que j'ai pu entrapercevoir, la grande aiguille était située entre vingt et trente. Une fois arrivée au point de rendez-vous, c'est-à-dire au grand arbre, je criais un puissant -et surtout très stupide- «DESOLÉE SPARROW.» alors que je ne voyais même pas le jeune brun parmi tous les adolescents et les personnages âgées se promenant dans le parc. Détournant mon regard vers mes mains, je me remis à parler dans le vide - ou peut-être pas -. «Et si t'as une piña colada en trop, j'suis pas contre non plus hein, mon meilleur ami d'amour que j'aime fort.» Je ne voulais pas regarder devant moi. Parce que si je regardais devant moi, j'allais sûrement appercevoir Sparrow. Et si Sparrow se trouvait réellement devant moi, et qu'il remarquait lui aussi que j'avais oublié mon déjeuner...

    R.I.P, Faithful Aleyssia Rosebud.

    Re: SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.

    Ven 1 Nov 2013 - 3:11
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    SPARLEYSSIA ◮ si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.
    «Salut mon coeur, ça te dit d'aller s'faire genre un pique-nique ce midi au parc? On se dit... 13h, et on se rejoint vers le grand arbre là, enfin comme d'habitude quoi? Comme ça fait longtemps qu'on s'est pas vu tous les deux. Bref, je te préviens, t'emmène ton sandwich, ton coca, ta piña colada, enfin n'importe quoi, mais compte pas sur moi pour t'acheter quoi que ce soit ok? Tu te payes tout tout seul, comme un grand (a). Bisous, à ce midi, tu sais que je t'aime au fond hein?»  J'avais su à la seconde où elle m'avait envoyé ce SMS qu'elle serait en retard. Un pressentiment curieux qui s'était installé en même temps que mon petit sourire en coin. Cependant, je lui avais tout de même confirmé ma présence, elle n'était plus à un retard près. Cette fille était l'une des rares qui savait me faire rire juste en se prostrant devant moi, et je devais avoué que même un esprit aussi anti-affectif que le mien avait du mal à se passer d'elle. Aleyssia était ma meilleure amie, je ne doutais plus de cette information depuis longtemps, vu l'affection un peu envahissante que je lui portais. Je n'avais pas énormément d'amis, mais savais être parfaitement fidèle au peu que j'avais. Ainsi espérais-je tout de même que mon pressentiment serait faux, que je n'ai pas à attendre trois heures pour qu'elle arrive. Mais bon, elle avait sans doute dû penser que ma patience serait à toute épreuve, parce qu'a treize heures, elle n'était pas là.

    Évidement j'étais arrivé avec mes éternelles dix minutes d'avance, et m'étais adossé à l'arbre, posant mon sac près de moi. Doutant réellement du fait qu'elle serait pile à l'heure, j'avais attrapé mon carnet et avait commencé à écrire un peu, seulement ce que je voyais. Ça avait suffit à m'occuper le temps d'un quart d'heure, avant de constater qu'elle n'était toujours pas là. Je soupirais, rangeant mon carnet et pinçant les lèvres. Heureusement que j'avais un appétit d'oiseau, à la différence des autres mecs, parce que là pour le coup je me serais vraiment énervé. Je dû avouer que je commençais à perdre patience en voyant la grande aiguille de l'horloge frôler les 13h20, sans signe de la superbe blonde qui me servais de meilleure amie. Nouveau soupir, nouveau petit grognement.

    «DESOLÉE SPARROW.» Je levais les yeux vers elle, soulagé qu'elle soit enfin arrivé. Je savais qu'elle viendrait forcément, j'espérais juste que ce ne serait pas une heure après. Je jetais un œil à la grande horloge : bon, vingt minutes de retard... C'était pas mal, elle n'avait pas battu son record pour une fois. Je me redressais. «Et si t'as une piña colada en trop, j'suis pas contre non plus hein, mon meilleur ami d'amour que j'aime fort.»  Et en plus, évidement, elle avait oublié son pique-nique... Ca ne m'étonnait absolument pas tout ça. Je croisais les bras, la forçant à croiser mon regard désapprobateur. « C'est dingue tu sais, mais j'étais sûr que tu serais en retard. Je te connais tellement bien. » Je soupirais. « T'es vraiment pas possible, Aleyssia, j'dois vraiment beaucoup t'aimer pour continuer à te supporter. » Je lui adressais un petit sourire en coin. Au fond je ne lui en voulais pas vraiment, j'étais beaucoup trop gentil avec elle. J'y pouvais rien, je l'adorais cette fille ! « ...Et non, crève, tu vas encore tout bouffer ce que j'ai amené. » ...Ben ouais quand même, j'étais gentil mais pas moins taquin, et puis fallait pas croire que je me laissais marcher sur les pieds hein. « Tu brouteras l'herbe, tans pis. » Je tirais la langue, soupirant, puis embrassant avec tendresse sa joue. « Salut, sinon quand même ! »
    ©flawless

    Re: SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.

    Ven 1 Nov 2013 - 15:33
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    SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole. Je regardais toujours fixement mes pieds, la main portée à mon coeur pour reprendre ma respiration. Certes je suis une fille plutôt sportive, mais n'exagérons pas les choses, dix minutes de sprint intensif pour une fille comme moi, c'était disons, très fatigant. Je sentis alors un regard lourd se poser sur mes épaules, ainsi qu'une ombre se tenir devant moi. C'était lui. «C'est dingue tu sais, mais j'étais sûr que tu serais en retard. Je te connais tellement bien.» Je levais ma tête vers le beau brun, m'efforçant d'esquisser le plus adorable des sourires sur mes lèvres, comme pour essayer de l'attendrir un maximum. Il soupira, puis reprit la parole. «T'es vraiment pas possible, Aleyssia, j'dois vraiment beaucoup t'aimer pour continuer à te supporter.» Je fronçais bien profond les sourcils, toujours mon sourire pendu aux lèvres. «Oui tu m'aimes, tu m'adores comme ta propre vie, alors tu me pardonnes tout parce que je suis adorable.» répliquais-je, une pointe d'ironie dans ma voie à moitié cassée par mes dix minutes de course, ce qui rendit mes dernières paroles quelque peu ridicules. «...Et non, crève, tu vas encore tout bouffer ce que j'ai amené.» Un gloussement plus nerveux qu'autre chose ne put s'empêcher de s'échapper de mes lèvres. Je reposais mon regard sur ma main vide, une pointe de culpabilité nouée dans ma gorge. C'est vrai que j'avais littéralement engueulé Sparrow pour qu'il s'achète son propre déjeuner presque sous peine de mort. Mais j'ai jamais bouffé TOUT son déjeuner. Il fallait pas exagérer. Peut-être un petit trois quart un jour, mais j'avais une bonne raison en tout cas. «Tu brouteras l'herbe, tant pis.» Je soupirais à mon tour, poussant gentiment l'épaule de cet amour de garçon qui me sert de meilleur ami. Croyez-moi ou pas, quand on le connaît pa coeur, Sparrow n'est plus du tout le petit écrivain sage associable. Si je devais le décrire, j'utiliserais plutôt les mots "petite garce énervante, mais très attachante malgré tout". «Eh. T'insinues quoi là? Que j'ressemble à une vache dans une prairie enchantée ou quoi? T'es méchant, tu sais pas tout ce que j'ai enduré pour arriver ici le plus tôt possible, alors un peu de respect je vous prie monsieur Whitman.» Je faillis éclater de rire. J'aimais bien exagérer ce que je disais, enfin voyons la réalité en face, j'ai seulement courru comme une dératée pendant dix minutes, en criant avec une extrême gentillesse aux personnes assez stupides pour rester sur mon chemin de "se décaler". «Et je crois que j'ai une bouteille d'eau et une barre chocolatée dans mon sac comme j'avais cours de danse hier. Alors tu peux aller te brosser si tu veux me voir brouter l'herbe!» lui dis-je en cherchant dans mon sac les dénommées bouteille d'eau et barre chocolatée, tout en riant. Sur ces derniers mots, Sparrow tira la langue comme un gosse de cinq ans -enfin, au fond il en est un mais il ne voudra jamais l'assumer, je le sais-, en m'embrassant avec tendresse sur la joue, ce qui me fit légèrement rougir comme à mon habitude. Je paraissais très extravertie et fataliste comme fille, mais dès qu'il s'agit de mec ou autre chose de ce genre, je deviens très timide, meilleur ami ou pas. «Salut, sinon quand même !» J'imitais le beau brun, tirant la langue à mon tour d'un air moqueur. «Ah bah enfin, on apprend la politesse. Salut mon coeur!» m'exclamais-je, accentuant bien mes trois derniers mots comme si de rien n'était, en posant à mon tour mes lèvres sur la joue de Sparrow. Je plongeais mon regard brun dans le sien avant de me baisser pour attraper mon sac, que j'avais précédemment laissé tomber pour chercher le peu de nourriture que j'avais sur moi. «Tu viens? On va s'asseoir.» Je me dirigeais donc vers le sac de Sparrow qui était adossé contre l'arbre, et j'apperçus son carnet, assez mal rangé dans celui-ci. Je pointais le livre du doigt, en clignant d'un geste exagérément rapide des paupières, comme ces actrices recevant un oscar, faisant mine d'être très très très surprise et très très très émue à la fois. «T'as décidé d'écrire dans ton livre que j'étais tellement magnifique que tu me pardonnerais même le fait que j'ai oublié mon petit pique-nique?» Je me posais alors sur l'herbe, en soupirant de soulagement, posant mon sac à côté de celui de Sparrow. Je lui souris pour la énième fois, mais cette fois sans sentiment de culpabilité, ou de boule dans le ventre, en posant ma tête sur son épaule. «Alors? Quoi de neuf depuis tout ce temps? T'as un truc intéressant à raconter à Mamie Rosie?»

    Re: SPARLEYSSIA × si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.

    Mar 12 Nov 2013 - 22:08
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    SPARLEYSSIA ◮ si tu sautes, je saute, si tu tombes je rigole.
    13h. Elle m'avait bien dit 13h. C'est même elle qui avait voulu qu'on se donne rendez-vous à cette heure, pas moi. Je savais très bien qu'elle arriverait en regard, même chiante, Aleyssia restait Aleyssia. La probabilité pour qu'elle soit à l'heure relevait du 0%, c'était simplement impossible. C'était bien son genre ça, dire aux gens d'être à l'heure et elle arriver avec vingt minutes de regard... Ma meilleure amie était une vraie catastrophe, mais c'est fou ce que je l'aimais. «Oui tu m'aimes, tu m'adores comme ta propre vie, alors tu me pardonnes tout parce que je suis adorable.» Répliqua-t-elle, l'air boudeuse alors que je levais les yeux au ciel. « Ça va les chevilles sinon ? » En même temps, elle n'avait pas tout à fait tord. Là alors, elle m'avoua qu'elle n'avait pas pensé à prendre son pique nique, et je ne pu retenir un léger soupire, m'autorisant une petit moquerie, alors qu'elle gloussait nerveusement. Je plaisantais, évidement, mais je ne pouvais m'empêcher d'être un peu sarcastique vu la pique qu'elle m'avait lancé sur le message, au cas où j'oublierai mon déjeuner. Elle me poussa un peu l'épaule, prenant d'abord un air boudeur. Elle était vraiment trop mignonne. Je lui tirai la langue. «Eh. T'insinues quoi là? Que j'ressemble à une vache dans une prairie enchantée ou quoi? T'es méchant, tu sais pas tout ce que j'ai enduré pour arriver ici le plus tôt possible, alors un peu de respect je vous prie monsieur Whitman.» Je poussais un petit grondement en l'écoutant, la défiant du regard et croisant les bras, tirant un peu plus ma langue rose. « Si t'avais pas traînassé au lit, aussi ! » Je voyais bien qu'elle avait envie de rire, j'étais l'un des rares qui savaient repéré juste à un petit rictus sur son visage le fait qu'elle se retenait de rire. Je la connaissais trop bien pour ne pas savoir cela. «Et je crois que j'ai une bouteille d'eau et une barre chocolatée dans mon sac comme j'avais cours de danse hier. Alors tu peux aller te brosser si tu veux me voir brouter l'herbe!» Je l'imaginais assez bien à quatre patte sur le sol avec une touffe d'herbe dans la bouche... Cela aurait été très drôle. « C'est bon, c'est bon ! Tu sais très bien que je déconnais, je vais t'en passer de la bouffe. ». Ainsi je me posais vers elle pour déposer un léger baiser sur sa joue en guise de salut. Comme toutes les filles, elle sentait parfaitement bon et avait cet odeur que les garçons ne pourraient jamais avoir. Les femmes en général étaient fascinantes, je ne manquais jamais de les détailler dans mes écrits. Bien qu'attiré par les hommes, les femmes réussissait à occuper mon attention. Je me posais malgré mon orientation sexuelle des questions très basiques : quel est le goût de leurs lèvres ? Pourquoi sont-elles si différentes ? Comment cela se fait-il qu'elles sentent si bon ? «Ah bah enfin, on apprend la politesse. Salut mon coeur!» Je la serrais un peu dans mes bras, pour lui montrer comme elle m'avait manqué. « Mais je suis très poli, voyons ! » Répliquais-je en prenant un air vexé. Elle me proposa d'aller s'asseoir et j'hochais la tête, la conduisant jusque mon sac. Arrivé devant, je me laissais glisser contre l'arbre, ramenant mes genoux contre moi, observant la belle blonde qui ne tarda pas à me poser une question. «T'as décidé d'écrire dans ton livre que j'étais tellement magnifique que tu me pardonnerais même le fait que j'ai oublié mon petit pique-nique?»   Évidement, elle savait très bien que j'écrivais un livre. Elle savait presque tout de moi, même ma liaison avec Nolan, dont j'avais cependant très honte. Je n'étais pas idiot, je savais bien qu'il se fouttait de ma gueule celui là... Mais je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer, c'était plus fort que moi.  « Ouais exactement, je vais écrire ça. J'ajouterai que t'es une folle dingue célibataire, si y'a des beaux mecs qui lisent mon bouquin, on sait jamais. » répondis-je en riant un peu. «Alors? Quoi de neuf depuis tout ce temps? T'as un truc intéressant à raconter à Mamie Rosie?»  Elle posa sa tête sur mon épaule, et un sourire m'échappa, je la laissais faire, ayant l'habitude. Je pris une mine réfléchie. « Hum... Pas grand chose. Je me suis encore endormi en cours ce matin. On étudiait encore et toujours un truc que je connaissais déjà... C'est décourageant. » Je soupirais. « Et toi mamie ? »
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