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    Mon regard rencontre celui de l’infirmière de l’fac et accessoirement ancienne infirmière qui a pris soin de moi quand j’étais à l’hosto y a des années. Mes mains vont couvrir mon sexe. Ouais, tu rêves pas, j’suis bien à poil devant une de mes collègues. Tu t’demandes sûrement comment c’est arrivé, bah laisse-moi commencer par le début de cette belle histoire. J’faisais encore mes belles expériences, un peu trop bizarres cette fois pour que ça ait un résultat concluant donc tout m’explose à la gueule…enfin plus ou moins, mes vêtements son tâchés quoi, la cuisine aussi. Donc, je nettoie comme le gros boulet que j’suis, je récure bien comme il faut, les casseroles, c’est dingue ce que j’suis devenu doué pour ça, la vaisselle. Dire qu’avec je trainais les pieds quand m’man m’demandait d’aller la faire, elle serait tellement fière de son fils aujourd’hui. Bref, donc je nettoie et blabla, puis, faut bien que j’me change parce que bon, j’suis dégueulasse, totalement. Ouais, même mes beaux cheveux, ce qui signifie une douche d’urgence parce que pas question que j’rentre chez moi avec une mixture dans les cheveux, mixture qui ressemble d’ailleurs à du sperme, j’vois d’ici les regards des gens qui vont me mater en mode gros yeux, ou rires discrets ou commentaires railleurs, ‘fin t’vois le genre. On est pas dans Mary à tout prix et j’suis pas Ben Stiller entrain de m’branler dans la salle de bain d’la meuf qui m’plait alors que l’voisin me mate le cul…aussi beau soit-il. Bref, on s’en fout. Donc, j’vais prendre une douche, genre normal, me décrasser un peu, ma douche de la semaine. Roh, ca va j’déconne Sid, pas l’peine de te la jouer super choqué là, on m'suce pas assez souvent la teub pour que j’doive la nettoyer régulièrement. Ca vaaaaa, je plaisante, roh, p’tain t’es psychorigide. Toujours est-il que j’vais me laver, normal puis, le boulet que j’suis se rend compte qu’il a oublié ses habits de rechange –ouais, j’ai toujours la bonne idée d’en prendre…jsuis que moitié de gros boulet alors ?- à la cuisine, j’y retourne donc, ma serviette sur les reins. De toute à cette heure-ci y a plus grand monde. Puis arrivé dans mon atelier, j’vois mon skate qui m’fait littéralement du gringue en mode ‘j’sais que t’as toujours eu envie d'me prendre dans la fac’, comment j’dois résister à ça tu m’expliques ?! Et puis merde, j’vais bientôt crever, alors j’ai l’droit ! Ouais, jvais utiliser cette excuse autant que nécessaire. Bref, j’prends mon skate, je l’monte et me voilà à filer dans les couloirs en mode fusée. Ma serviette tombe, j’m’en fous, j’suis seul au monde (dans la fac)…enfin jusqu’à ce que Sofia se présente et que surpris, je tombe sur le cul, les jambes écartées. Une vision de choix sur mes parties, mais bon, j’me lève quand même avec rapidité, mon cul qui me fait horriblement souffrir –c’est sûr, jamais de sodomie pour moi- et mes mains sur Jaja le Tout-Puissant. « T’as vu ? » que je demande comme l’con que j’suis.

    Re: SOAHL ϟ C'est l'histoire d'une saucisse, de petits pois et d'un string léopard invisible.

    Ven 20 Déc 2013 - 23:59
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    Reed Gallagher
    Reed Gallagher
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    Messages : 1841
    Date d'inscription : 25/07/2013
    Identité HRP : Eugénie
    Disponibilité RP : Indisponible
    Avatar (+ crédits) : Jamie Dornan
    Nationalité/origines : Américain. Originaire d'Irlande.
    Orientation & situation : (a) Razowski (s) Solosand
    Métier/occupation : Rédacteur en chef du Los Angeles Times depuis fin 2014.
    Études & fraternité/sororité : Diplômé en journalisme et en sciences politiques à l'UCLA.
    Résidence : Maison à Santa Monica.
    Neuf heures du soir passées, et je suis toujours à l'université. Vous allez vous demander ce que je fais encore là à une heure pareille, surtout que je ne travaille ni dans l'administration, ni en tant que professeur. Qu'est-ce qu'une infirmière peut bien faire dans l'université une fois la nuit tombée, hein ? Et bien il se trouve que j'ai été appelée assez tardivement par l'une des étudiantes Gamma Psi que je connais bien pour une camarade faisant partie de sa chambrée. Je ne vous ferai pas part des détails car entre nous les états d'âme féminins ne sont pas toujours les récits les plus passionnants à raconter, quoi que cette étudiante a de quoi être angoissée vu les symptômes qu'elle présente. Je suis prête à parier qu'elle est enceinte et bien sûr comme les études comptent avant tout pour elle et visiblement pour sa famille tirée à quatre épingles, l'idée a de quoi effrayer. Bref, passons. Je suis finalement sortie de la chambre après avoir adressé quelques mots à la fille que je connaissais d'avant ce rendez-vous discret, et me dirige finalement vers les escaliers, puis dans le couloir du rez-de-chaussée, direction le hall. J'entends soudain un bruit qui devient de plus en plus fort, comme s'il se rapprochait de moi. Et dans le mille, alors que je me retrouve dans un tournant, je croise tout à coup quelqu'un sur un skate, qui tombe d'ailleurs presque à la renverse en me voyant, sans doute surpris car j'étais plus discrète que lui. Ai-je précisé qu'il est... totalement nu ? Après m'être immobilisée, prête à me fondre en excuse alors que je n'y suis pour rien en soi - les réflexes vous savez - je constate donc avec des yeux écarquillés qu'il ne porte rien sur soi, strictement rien. Autrement dit, mes yeux voient ce qu'ils n'auraient pas dû voir mais qu'ils ne peuvent cependant pas louper parce que... enfin vous me comprenez, quoi... Aussitôt, je me retourne en m'exclamant, amenant finalement la main à ma bouche pour pouffer de rire. Vous m'excuserez, mais la situation est quand même sacrément hilarante. Le plus drôle dans l'histoire, c'est sa question. Si j'ai vu ? Hahaha. J'attends qu'il se relève et replace sa serviette pour me retourner vers lui. « Et comment que j'ai vu. » Répondis-je en croisant finalement son regard bleu vert. J'essaye de ne pas rire davantage, mais c'est assez difficile. « Je peux te demander où tu vas comme ça ou c'est quelque chose de trop... personnel ? » Enfin, ça le sera sans doute moins que son entrejambe, alors au point où il en est... non ? Je me permets finalement de le dévisager, parce que quand même, il me dit quelque chose. Mes sourcils se froncent, tandis que ma tête se penche légèrement. « On s'est déjà vus ? Je connais ton visage, mais d'où... » En temps normal je l'aurais déjà salué pour repartir dans ma direction, mais cette fois-ci, il y a un détail qui m'intrigue et je m'y accroche, malgré le fait qu'il soit toujours en serviette de bain dans ce couloir. Situation tout à fait normale.
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    Les hommes forts sont ainsi. Au zénith de l'amour, ils réfléchissent encore, ils calculent et leur décision est sans appel. Pancol
    Booooon. Et maintenant quoi ? Bah c’est la question…j’fais quoi maintenant. On a beau dire, mais c’est pas facile de faire la conversation à quelqu’un qui vient d’nous découvrir à faire du skate à poil dans les couloirs de la fac. Y a mieux comme rencontre, non ? En plus la nuit…remarque, si ça avait été en journée, ça aurait été plus problématique et on m’aurait sûrement coffré pour exhibitionnisme…pourtant, c’est rien de tout ça. C’est quoi tu te demandes ? Bah moi aussi…un p’tit garçon dans un corps de grand qui a seulement voulu réaliser un de ses rêves les plus chers….faire du skate à poil dans son université…n’est-ce pas l’rôle de la vie, réaliser ses rêves avant de plus en être capables ? Ouais précisément ! « Bon, puisque t’as vu, faut payer maintenant, car ce genre de spectacle n’est pas donné gratuitement, t’sais » Ouais, j’sais, je m’enlise dans mes conneries, mais vaut mieux ça que d’aller se cacher en mode embarrassé, même si j’le suis un peu…m’enfin, y a pas de raison, j’ai certes pas le plus grand pénis qui s’fait sur le marché, mais j’suis pas un asiat non plus, et puis, mes anciennes partenaires s’en sont jamais plaints. « Où je vais….mhhh…en voilà une question pas du tout banale…si j’te dis que j’suis Skateman et que j’allais sauver le monde, ça te satisferas comme réponse ? » Que j’demande avec un sourire amusé aux lèvres, en essayant de prendre la pause des super z’héros, vas essayer en tentant de cacher tes parties, j’suis pas une nana moi, j’peux pas faire deux choses en même temps. « Oh, tu ne te souviens pas d’moi ?! » que je m’offusque faussement, en prenant un air surpris qui finit par s’adoucir « Bon, c’est vrai que cette nuit là, t’étais plus qu’éméchée… » Je laisse planer un sembler de mystère, genre ce que j’vais dire par la suite sera de l’ordre d’la confession « …et beaucoup plus entreprenante j’dois dire… » J’sais, j’sais, c’est cruel ce genre de blagues, j’en ai bien conscience mais c’est trop tentant aussi « On peut remettre ça si ça t’dit, j’suis en tenue de circonstances, comme tu peux l’voir » J’sais aussi que les blagues les plus courtes sont les meilleures mais reconnais quand même que c’est drôle quoi. Regarde sa tête, elle s’attendait pas à ça mais alors pas du tout. Se retenir de rire pour ça fonctionne…trop tard, j’rigole déjà. Heureusement j’ai pas tenté de devenir une star hollywoodienne moi. « Je plaisante, no stress » que j’parviens à dire entre deux éclats de rire, ne pouvant même pas m’cacher car ça serait laissé le Tout-Puissant à l’air libre. « J’suis Jamahl, Jamahl Lewis et Sidney, nous nous sommes rencontrés à l’hosto y a des années » Bon c’est pas que mais je commence à avoir froid moi là « Par contre, j’vais aller m’habiller quand même, rendez-vous à la cafet  » Je remonte sur mon skate et c’est repartit.

    Re: SOAHL ϟ C'est l'histoire d'une saucisse, de petits pois et d'un string léopard invisible.

    Ven 10 Jan 2014 - 23:46
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    Reed Gallagher
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    Il a une tête à faire son malin et ça ne trompe pas, ses paroles me confirment vite qu'il n'est pas de ceux qui s'offusquent à peine découverts en tenue d'Adam suite qui plus est à une sacrée gamelle. Rajoutons à cela le fait qu'il soit plutôt bien membré le saligaud, c'est vrai que ça lui donne un bon argument à ne pas tomber dans le malaise. « Payer quelque chose que je n'ai pas désiré ? T'as un drôle de sens du commerce toi... Le spectacle était peut-être pas mal, mais ça ne vaut pas que je me déplume. » Que je lui dis avec un mince sourire en coin, une lueur d'espièglerie dans le regard. Des étudiants ou même du personnel de l'université pourraient débarquaient, ça ne semble même pas le déranger. Non, il est cool, relax. Sacré numéro ce skateur nudiste ! Naturellement je lui demande où il compte se rendre, après tout cette question est légitime, je suis du personnel et lui, on dirait plutôt qu'il est étudiant, non ? Alors sait-on jamais, mon rôle est peut-être de le sermonner pour son attitude complètement désinvolte. Quoi qu'il en soit, il part dans un délire ; j'avais oublié que le skate et les pétards ça faisait un. Je me contente de l'observer en train de mimer un superhéros, d'ailleurs si ça continue il faudra vraiment que je lui paie quelque chose pour le spectacle, c'est ça ? Je rigole ouvertement en levant les yeux en l'air avant de lui faire part de mon sentiment de déjà-vu, mais que n'ai-je pas dit là... Il semblerait en effet qu'on se soit déjà vus, mais ce que mystère qu'il laisse planer n'est pas du tout à mon goût. C'est même carrément frustrant, chose étrange parce que je ne suis pas le genre de femme à avoir des aventures, même si... Bon, ça a dû arriver, peut-être une fois, ou deux... Quoi que, je connaissais toujours un minimum la personne. Et puis, je me souviendrais des têtes. Oui, il déconne, je l'ai cerné dès le début après tout ce gros malin. Quand il me confirme plaisanter, j'ai envie de le maudire, parce que si j'y avais un tant soit peu cru, j'aurais été ridicule. Ça l'amuse en plus, ce bougre ! « Cela aurait pu marcher, mais je ne suis pas ce genre de femmes. » Je hausse l'épaule comme pour accentuer mes paroles et monsieur se décide enfin à me donner son identité. Jamahl Lewis, et Sidney. Mais oui bien sûr, Sidney ! D'autres auraient été encore plus dans le brouillard mais moi ça me cause aussitôt. Je ne l'avais pas vu beaucoup, quelques rares fois même mais je me souviens d'une personnalité attachante. Tout me revient en réalité. Sidney ou la maladie personnifiée. Un sourire vient remplacer ma surprise, peut-être parce que je suis heureuse de le voir en si bonne forme malgré ça, malgré tout. « Et bien, tu te souviens de moi après tout ce temps ? Pour le coup j'aurais presque préféré qu'on se rencontre dans une boite de nuit, l'hôpital c'est pas l'endroit le plus sympathique de la ville. » Ca pour ne pas l'être... Je lui adresse un petit clin d'oeil, suite à quoi monsieur Lewis me donne rendez-vous à la cafétéria et file sans un mot de plus, ni un regard. Sur le coup, il me prend vraiment l'envie de lui faire un vent pour que ça lui serve de leçon de ne pas m'avoir demandé mon avis. Je pourrais très bien avoir quelqu'un qui m'attende chez moi, non ? Il aurait eu l'air très con à la cafétéria ! Et puis, pourquoi là-bas en plus ? S'il veut flirter, il y a mieux, non ? Je secoue légèrement ma tête en pestant contre moi-même avant de me remettre à marcher direction... le lieu de rendez-vous.

    Bien sûr la cafét' est vide. Tous les jeunes dans leurs dortoirs, le personnel rentré chez lui excepté quelques rares personnes de l'administration, en tout cas personne à qui l'envie leur prendrait d'aller faire un tour là. A pas hésitants, je marche le long d'une rangée de tables sur lesquelles des pichets d'eau trainent encore. En attendant que monsieur se trouve une tenue dieu sait où, je m'assieds sur le bout d'une table et zieute l'endroit. Une minute passe, puis une deuxième... Bon, je n'aime définitivement pas attendre sans savoir si j'ai raison d'attendre ou pas, alors je me lève et vais faire un tour dans la cuisine. Pourquoi ? Je vous en pose des questions ? En digne personnel de la santé j'inspecte brièvement la propreté des lieux, avant de tomber sur un poste de radio. Mes yeux fixent l'engin avec un air perplexe un instant avant de finalement apprécier l'opportunité. J'allume le poste et une musique entrainante vient rompre le silence des lieux. Je ne me gêne d'ailleurs pas pour augmenter un peu le son, et commencer à danser, lentement... enfin, plus ou moins.
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