Vous est-il déjà arrivé de vous réveiller un matin, au coté d'une créature de rêve? Une créature dont vous murmurez le prénom à l'oreille pour la réveiller, pour qui vous allez chercher des cafés chauds avant de reprendre votre chemin? Moi, oui. Mais ça n'est malheureusement pas ce qui est arrivé ce matin. J'ai rencontré cette fille dans un bar pendant une nuit un peu arrosé, on a bu, on a rigolé et on est rentré chez elle. On a fait une "partie de belote" puis on s'est endormi. Je connais le prénom de cette fille, Grace, mais elle ne s'est pas réveillé au doux son de ma voix, plutôt au son de son téléphone portatif. " Quoi? Il est quelle heure? Oh purée, je suis en retard. Merde. J'arrive." J'ai entendu la conversation, à moitié ensommeillé, ressassant l'alcool de la veille. " C'était sympa, fait comme chez toi, mais pas trop longtemps. Tu peux partir en laissant la porte ouverte, ma coloc est là. Bye." Et elle est partie, me laissant dans ses draps.
J'ai ouvert les yeux une heure plus tard, toujours dans ses draps. Le sommeil m'avait de nouveau emporté sans que je m'en rende compte. Bravo Northman, encore une sieste passée dans les draps d'une autre, si Maman Northman te voyait. Grace était partie depuis un bout de temps selon l'horloge de mon téléphone, heureusement elle ne saurait jamais que j'ai passé un peu plus de temps que prévu dans son lit, non pas pour son odeur mais plutôt pour la confortabilité de la chose. Bref, il était temps pour moi de mettre les voiles. Je suis sorti du lit, repensant à la soirée d'hier. Putain, je crois qu'il y avait quelques uns de mes étudiantes dans le bar. Ca va encore jaser. Faites que ça ne remonte pas jusqu'aux oreilles de mon directeur, sinon je serai dans la merde. J'ai retrouvé mon pantalon, caché sous un tas de fringues, certainement celle de Grâce, par contre ma chemise restait introuvable. Peut être que j'ai foutu le bordel dans sa chambre pour la trouver, peut être pas... Mais ça n'est qu'ensuite que je me suis rappelé l'avoir enlevé dans le salon. Elle a dû resté sur le canapé ou à un autre endroit critique ou notre soirée tous les deux à commencer.
Torse nu, je sors de la chambre, regardant à droite et à gauche pour éviter d'être surpris. Personne. Je me faufile jusqu'au salon mais sur le passage, j'entends une voix. Putain, c'est vrai la coloc de Grace, elle m'avait prévenue. Fait chier. Évitons qu'elle me voit pour que je puisse partir en douce. Je passe un œil dans l’entrebâillement de la porte. Une fille. De dos. Et... Oh putain en sous vêtement en train de faire la cuisine. Putain, mais j'ai décidé d’enchaîner les merdes aujourd'hui ou quoi? Oh bordel de merde, elle est bien foutu en plus. Fait chier fait chier fait chier. J'attends 2 secondes, histoire de reprendre mes esprits avant de m'aventurer vers le salon quand elle se retourne pour prendre quelque chose. Oh putain de sa mère. Bordel. Merde. Tous les gros mots horribles et infâmes que vous pouvez imaginez. Sous mon regard émerveillé, se trouve quelqu'un que je n'ai pas vu depuis... Au moins 4 ans si ça n'est plus. Alice. Alice... Je ne sais plus son nom de famille, mais Alice. Alice, ou la superbe amie avec qui j'ai couché pendant des mois au Pérou. Cette Alice là. Cette magnifique Alice là d'ailleurs. Des images érotiques me reviennent à l'esprit évidement, le pervers que je suis. Oh bon dieu, Alice. Quel hasard foireux. Un nouveau choix n'impose à moi. Lui dire bonjour ou me casser sans jamais rien lui dire. Ah non ça serait vraiment trop con. D'un pas feutré, moi et ma gueule de bois, on s'est approché jusqu'à arriver à la cuisine sans qu'elle ne nous voit. Et comme un con, un con flippant en plus, j'ai lâché un : " Salut Alice."
J'ai ouvert les yeux une heure plus tard, toujours dans ses draps. Le sommeil m'avait de nouveau emporté sans que je m'en rende compte. Bravo Northman, encore une sieste passée dans les draps d'une autre, si Maman Northman te voyait. Grace était partie depuis un bout de temps selon l'horloge de mon téléphone, heureusement elle ne saurait jamais que j'ai passé un peu plus de temps que prévu dans son lit, non pas pour son odeur mais plutôt pour la confortabilité de la chose. Bref, il était temps pour moi de mettre les voiles. Je suis sorti du lit, repensant à la soirée d'hier. Putain, je crois qu'il y avait quelques uns de mes étudiantes dans le bar. Ca va encore jaser. Faites que ça ne remonte pas jusqu'aux oreilles de mon directeur, sinon je serai dans la merde. J'ai retrouvé mon pantalon, caché sous un tas de fringues, certainement celle de Grâce, par contre ma chemise restait introuvable. Peut être que j'ai foutu le bordel dans sa chambre pour la trouver, peut être pas... Mais ça n'est qu'ensuite que je me suis rappelé l'avoir enlevé dans le salon. Elle a dû resté sur le canapé ou à un autre endroit critique ou notre soirée tous les deux à commencer.
Torse nu, je sors de la chambre, regardant à droite et à gauche pour éviter d'être surpris. Personne. Je me faufile jusqu'au salon mais sur le passage, j'entends une voix. Putain, c'est vrai la coloc de Grace, elle m'avait prévenue. Fait chier. Évitons qu'elle me voit pour que je puisse partir en douce. Je passe un œil dans l’entrebâillement de la porte. Une fille. De dos. Et... Oh putain en sous vêtement en train de faire la cuisine. Putain, mais j'ai décidé d’enchaîner les merdes aujourd'hui ou quoi? Oh bordel de merde, elle est bien foutu en plus. Fait chier fait chier fait chier. J'attends 2 secondes, histoire de reprendre mes esprits avant de m'aventurer vers le salon quand elle se retourne pour prendre quelque chose. Oh putain de sa mère. Bordel. Merde. Tous les gros mots horribles et infâmes que vous pouvez imaginez. Sous mon regard émerveillé, se trouve quelqu'un que je n'ai pas vu depuis... Au moins 4 ans si ça n'est plus. Alice. Alice... Je ne sais plus son nom de famille, mais Alice. Alice, ou la superbe amie avec qui j'ai couché pendant des mois au Pérou. Cette Alice là. Cette magnifique Alice là d'ailleurs. Des images érotiques me reviennent à l'esprit évidement, le pervers que je suis. Oh bon dieu, Alice. Quel hasard foireux. Un nouveau choix n'impose à moi. Lui dire bonjour ou me casser sans jamais rien lui dire. Ah non ça serait vraiment trop con. D'un pas feutré, moi et ma gueule de bois, on s'est approché jusqu'à arriver à la cuisine sans qu'elle ne nous voit. Et comme un con, un con flippant en plus, j'ai lâché un : " Salut Alice."