J’avais dévalisée les boutiques hier à la recherche d’accessoires et d’articles pour meubler mon loft dans le style art pop et baroque à la fois. C’est tout moi ça. Coloré,chic et vibrant. Heureusement, j’avais presque trouvé tout ce que je voulais en ville et ce que je ne pouvais apporter je l’avais fait livré. Je commençais à bien me repérer maintenant. Heureusement pour moi j’avais mon gis sur mon portable, car si j’avais eu à demander mon chemin à quelqu’un , je me serais sûrement jeté devant une voiture. En parlant de mort…Tous dans des couleurs plus éclatés les uns que les autres , j’étais sûre de provoquer une crise cardiaque aux visiteurs qui rentreraient chez moi.En tout cas, je sais que j’ai déjà attiré l’attention de voisins curieux avec mes objets décor flamboyants et mon son quotidien qui s’échappait par la fenêtre. Étrangement personne ne s’était plaint du bruit…De toute façon , je les aurai ignoré. Celui qui m’empêchera de danser ou d’écouter de la musique n’est pas né….
D’ailleurs , malgré qu’il était passé vingt-deux heures , mon système de son tout frais tout neuf fonctionnait encore à plein régime alors que j’ écoutais le dernier hit de l’heure tout en assemblant mon lit. Simple tâche. Depuis une bonne demi-heure toutefois , je me suis perdu à savoir comment assembler les pièces et savoir quelle vis allait où. Finalement , j’y étais presque, mais mon estomac gronda pour une ième fois depuis la dernière heure. Je sentais d’ailleurs quelques crampes,mais les ayant ignoré plutôt, elle étaient revenues à la charge cette fois plus puissante.
Bon, je n’ai plus le choix maintenant… fis-je à contre coeur. je n’aurais bien voulu terminer d’assembler son lit avant, mais mon estomac avait dit son dernier mot. Je me levai du plancher où j’étais assise en indien,lissant son leggings noir au passage et alla chercher mon sac à main sur ma commode. Je ne pris pas la peine de me changer ensuite ,décidant que j’allais juste prendre un repas tranquille, et que je n’avais pas besoin de se pouponner. Par contre , j’enfilai quand même un soutif, pour éviter de causer une émeute avec ma camisole blanche. J’enfilai finalement mes baskets qui trainaient pas loin et quittais le loft.
Je roulais dans ma vieille SUV, un peu perdu dans Westwood, hésitante. J’avais une faim de loup , mais je ne savais pas vers quel resto aller. Fallais dire aussi que j’étais un peu étourdie. Je songeai alors au Mc D’s. Évidemment! J’accélérai alors et me dirigeai dans le Eastside qui m’était plus ou moins familier. Je n’y étais venu que deux fois, mais lorsque je vis le grand M jaune, je retrouvai un peu de forces.
J’utilisai ce qui me restais de forces pour me rendre de la voiture jusque dans le resto. Bien sûr, malgré l’heure tardive,il y avait toujours pas mal de monde. L’énergie qui me restais s’envola et c’est découragée que j’allais me camper derrière un bonhomme bedonnant dans la cinquantaine et chauve par dessus le marché pour donner ma commande.À ce moment j’avais des envies de suicide.
J’ai la dalle, la file fait trente pieds de long et en plus je suis aveuglé par cet Appolon ...fis-je à voix haute pour moi-même.
D’ailleurs , malgré qu’il était passé vingt-deux heures , mon système de son tout frais tout neuf fonctionnait encore à plein régime alors que j’ écoutais le dernier hit de l’heure tout en assemblant mon lit. Simple tâche. Depuis une bonne demi-heure toutefois , je me suis perdu à savoir comment assembler les pièces et savoir quelle vis allait où. Finalement , j’y étais presque, mais mon estomac gronda pour une ième fois depuis la dernière heure. Je sentais d’ailleurs quelques crampes,mais les ayant ignoré plutôt, elle étaient revenues à la charge cette fois plus puissante.
Bon, je n’ai plus le choix maintenant… fis-je à contre coeur. je n’aurais bien voulu terminer d’assembler son lit avant, mais mon estomac avait dit son dernier mot. Je me levai du plancher où j’étais assise en indien,lissant son leggings noir au passage et alla chercher mon sac à main sur ma commode. Je ne pris pas la peine de me changer ensuite ,décidant que j’allais juste prendre un repas tranquille, et que je n’avais pas besoin de se pouponner. Par contre , j’enfilai quand même un soutif, pour éviter de causer une émeute avec ma camisole blanche. J’enfilai finalement mes baskets qui trainaient pas loin et quittais le loft.
Je roulais dans ma vieille SUV, un peu perdu dans Westwood, hésitante. J’avais une faim de loup , mais je ne savais pas vers quel resto aller. Fallais dire aussi que j’étais un peu étourdie. Je songeai alors au Mc D’s. Évidemment! J’accélérai alors et me dirigeai dans le Eastside qui m’était plus ou moins familier. Je n’y étais venu que deux fois, mais lorsque je vis le grand M jaune, je retrouvai un peu de forces.
J’utilisai ce qui me restais de forces pour me rendre de la voiture jusque dans le resto. Bien sûr, malgré l’heure tardive,il y avait toujours pas mal de monde. L’énergie qui me restais s’envola et c’est découragée que j’allais me camper derrière un bonhomme bedonnant dans la cinquantaine et chauve par dessus le marché pour donner ma commande.À ce moment j’avais des envies de suicide.
J’ai la dalle, la file fait trente pieds de long et en plus je suis aveuglé par cet Appolon ...fis-je à voix haute pour moi-même.
Spoiler :
Un peu mou comme réponse, ça fait un bail pour moi