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    BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Ven 31 Jan 2014 - 18:55
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    Avertissements contenu : Antisémitisme, chirurgie plastique, commérage, harcèlement moral, méchanceté gratuite (cruauté).
    Orientation & situation : Moi, moi, moi, mwah ! <3 (Amoureuse d'elle-même)
    Métier/occupation : Actrice
    Études & fraternité/sororité : A obtenu son diplôme de photographie grâce à l'argent de papa.
    Résidence : Beverly Hills
    - Alors, dis-moi, Marc, et sois honnête avec moi ! Est-ce que les geeks sont plus sexys que d'habitude, ce soir, ou est-ce que j'ai bu un peu trop de Bloody Mary ?

    Je lui souris, levant mon verre triomphalement en sa direction, comme pour lui porter un toast, avant de le rapporter à mes lèvres, de fermer mes yeux, et d'aspirer une gorgée de mon cocktail. Histoire de me donner des forces, vous savez. Il faut dire que cette soirée n'est pas aussi intéressante que Bradley me l'avait fait croire. "Viens avec moi !" m'avait-il dit. "Ce sera amusant !" m'avait-il dit. "Il y aura de l'alcool !" m'avait-il dit. Tu parles. Je m'attendais à un festival de geeks déguisés dans des tenues toutes plus ridicules les unes que les autres, à des princes de l'espace en strings léopards et à un vieil auteur dérangé au look frôlant celui d'Albert Einstein - le seul, l'unique, papa Stein', mon plus gros fantasme défunt - et je m'étais retrouvée ... Face à ça. Veste noire, ennuyante, Dolce & Gabbana. 2012. Pas 2014. Pas 2013. 2012. Cet homme est sur la voie de devenir une star internationale et il se permet de porter des vieux vêtements. C'est ... Déplorable. Mon coeur se resserre déjà et je sens le coin de mes yeux picoter par tant de manque de style. Lors des entretiens, on s'habillait toujours bien ! Son agent ne le lui avait pas appris, à celui-ci ? Oh, et puis ses chaussures ... Cela coûte donc si cher, de nos jours, le fait de se faire cirer les chaussures dans la rue ? Non, vraiment, je ne comprends pas pourquoi Bradley a envie de parler à cet homme. Il est mignon, certes, mais justement : ce n'est même pas un geek. Comment peut-il vendre des livres visant cette clientèle s'il n'en fait pas partie ? Il m'a l'air platement ordinaire, et d'une façon blasante. Mais je me perds dans mes pensées. Souriant à nouveau, car c'est ce que je fais de mieux quand je m'ennuie, j'ajoute finalement un :

    - Oh, Marc, au fait ... Tu ne veux pas aller me rechercher un verre au bar ? Je demanderais bien au serveur de le faire mais je crois qu'il a essayé de glisser une substance louche dedans la dernière fois.

    Histoire de bien pouvoir me débarrasser de lui, au moins l'espace d'un instant.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Sam 8 Fév 2014 - 18:19
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    It's up to you, New York, New York ♪ J’ai laissé la veste du pigiste aux vestiaires, l’ayant troqué pour quelque chose de plus prestigieux, plus impressionnant, plus orgueilleux, plus moi en réalité. Ouais, ce soir je joue les journalistes hors pair. Et à New-York en plus de cela, je sens que ça va le faire, que je vais m’en sortir, que ça va être tellement grandiose que personne jamais n’oubliera cet écrivain grâce à moi. Ouais, enfin je me raconte de braves conneries là, parce que si je voulais vraiment bosser ce weekend, je n’aurai pas demandé à Sapphire de venir avec moi. A sa façon de siroter son verre, à ses sourires surjoués, ouais, je comprends que je suis fichu d’avance, mais je m’en fiche, j’aime tellement la voir se foutre ouvertement de la gueule des gens que je ne réalise pas vraiment que je fous surement mon avenir en l’air ici. Heureusement que mes patrons sont sympas, réellement sympas, parce que sinon, sérieux, ça ferait bien longtemps que je n’aurai plus de boulot. Et l’idée de vivre aux crochets d’Anna, bizarrement, cela ne me plait pas tant que cela. Sapphire lui raconte des conneries et mine de rien elle retient son prénom plus rapidement que ce que je le fais moi. Elle est maligne, parfois. A cette pensée je souris quand elle accuse son Bloody Mary. L’idée qu’elle ait regardé les mecs qui se trouvent ici me dérange un peu, mais je n’en dis rien, de toute façon, je ne suis personne pour me prononcer sur le sujet, juste un ami quoi. Enfin, à part durant ces deux ou trois nuits … Et bordel, j’ai horreur de me prendre la tête sur le sujet, je crois bien que j’ai assez donné avec le dossier Collins, vous voyez. Elle envoie finalement Marc lui cherche un verre et je ne m’étonne même pas de voir le jeune écrivain que je dois interviewer s’exécuter. Je croise le regard de Sapphire et tout sourire je lui dis « T’aurais pu trouver une meilleure excuse pour te retrouver en tête à tête avec moi. » Je ris un peu, et bois une gorgée de mon verre de whisky, alcool qui commence d’ailleurs à faire son effet sur mon organisme. Tant mieux, tant pis, je n’aurai encore le définir, je crois bien qu’on verra à la fin de la soirée. « Je suis désolé. » Et c’est sincère pour une fois, je me rapproche d’elle sans même y penser, glissant une de mes mains sur ses hanches et lui sers une mine renfrognée. « Je pensais que ce serait plus drôle. » Ca aussi c’est vrai, avouons que ce n’est pas le weekend rêvé à New-York qu’on est en train de passer.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Mar 18 Fév 2014 - 16:36
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    L'un des plus grands avantages de faire partie de la gente féminine ? Que tous, sans exceptions, sont capables de se plier à nos pieds (à nous, les femmes) si on joue bien les cartes qui sont entre nos mains. Et ne vous méprenez pas : elles sont toutes entre nos mains. Absolument toutes. Hormis la carte de l'erreur, évidemment : l'erreur, c'est pour les hommes. Les femmes, elles, ont toujours raison. L'un des plus grands inconvénients de faire partie de la gente féminine ? Que tous, sans exceptions, sont capables de se plier à nos pieds (à nous, les femmes) si on joue mal les cartes qui sont entre nos mains. C'est lorsque l'on se retrouve confrontée à cette triste réalité que l'on doit devenir créatives, nous. Je l'ai appris bien assez tôt et, heureusement pour moi, mes heures d'étude assidues sur le sujet semble avoir payé leurs frais : voilà que le dénommé Marc avait accepté de me laisser seule à seule avec mon meilleur ami, le seul, le phénoménal, l'unique Bad Brad'. Et maintenant ? Je ne me gêne pas pour lui lancer un regard noir. Il me dit que j'aurais pu trouver une meilleure excuse et, si en temps normal, je lui aurais répondu avec plus d'entrain, je suis souverainement en colère contre lui et il sait très bien pourquoi.

    - Tu m'avais promis qu'on s'amuserait, ici, ce weekend. Tu n'avais rien précisé au sujet de ces heures supplémentaires en tant que décoration dans ta vie. Ce n'est pas que je n'aime pas jouer la poupée, hein, mais clairement, ce "Marc" a le regard mal placé et ce, même avec son strabisme. Non parce que j'ai dû relever mon haut à plusieurs reprises courant cette soirée à cause du regard baladeur de ce petit fripon ! La prochaine fois, je songerai à porter quelque chose de plus conservateur ... Quitte à ce qu'il y ait des bretelles, hein. C'est bien que Bradley rie un peu parce que pour le coup, il est seul, ce soir. Je suis bien partie pour faire la moue une bonne partie de la nuit, si vous voulez tout savoir. Très bien partie, même parce que, clairement, ici, je perds mon temps et rien de plus. Il s'excuse, et voilà que je soupire. Évidemment qu'il est désolé. Othello était bien désolé, lui aussi, lorsqu'il a assassiné sa femme dans la fameuse pièce de Shakespeare mais cela ne l'a pas ramenée à la vie non plus, la pauvre, si ? Je pense que Bradley me connait un peu trop bien, cependant, étant donné que voilà qu'il se met à encercler ma taille de son bras. Satané homme capable de connaitre toutes mes faiblesses. Je me vengerai de lui, un jour, je me le promets.

    - Parce que tu penses, maintenant ?

    C'est peut être un peu trop brutal et radical mais prenez un peu en compte ma situation, en même temps : voilà que j'annule tout un weekend spa entre amies pour suivre mon meilleur ami, le seul homme que je suivrais jusqu'aux bouts du monde et plus loin encore si nécessaire, persuadée que nous allions passer l'un des weekends les plus extraordinaires de ma vie. Au lieu de cela, je me retrouve à garder un geek sophistiqué au compte en banque bien astiqué (et pas que le compte en banque, si vous voulez mon avis) mais empestant tellement le nouveau-riche que j'en ai la nausée.

    - Quand tu m'as dit "viens, Saph', viens, on va aller à New York, ce sera cool, tu verras, tu pourras faire du shopping !", je ne savais pas que par "shopping" tu entendais l'achat d'un taser. Non parce que clairement son auteur douteux ne m'inspire pas confiance et je préfère avoir de quoi me défendre s'il essayait de s'introduire dans ma chambre la nuit. Ça se voit que je suis profondément déçue ? Bien. Il comprendrait peut être l'étendue de ma colère dans ce cas là.
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    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Mer 5 Mar 2014 - 14:33
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    Elle me rappelle que je lui avais promis un weekend de rêve et qu’à la place de cela on se retrouve un peu comme deux couillons devant un mec qui malgré moi, je ne supporte pas. Je ne tente même pas de m’expliquer sur le sujet, il y a des gens avec qui ça ne passe pas, c’est tout, pas vrai ? Je la garde proche de moi alors qu’elle continu à m’exposer son point de vue sur le sujet « Marc » il me semble que du coup, je comprends un truc, c’est peut-être parce qu’il a les yeux mal placés que ce mec je ne pourrai jamais le supporter. Je ne suis pas du genre jaloux, soyons sérieux, je serai bien con de l’être surtout quand on sait comment je suis et ce que je fais. Mais le fait est que j’ai la fâcheuse tendance à vouloir garder mes conquêtes proches de moi et loin des autres quoi. Et de plus, Sapphire n’est pas simplement une de mes conquêtes, non, Sapphire c’est un tout, quelqu’un dont je ne pourrai pas me passer. « - Parce que tu penses, maintenant ? » C’est de bonne guerre alors je ne lui en tiens pas vraiment rigueur, me contente de rire un peu plus en approchant mon visage du sien, me délectant de son odeur, juste comme ça, pour le plaisir et m’empêcher de lui dire que je suis content qu’elle soit là parce que si ça n’avait pas été le cas j’aurai du me contenter d’une autre, de finir la soirée dans les draps d’un hôtel accompagné d’une femme, ou d’un homme on ne sait jamais, que j’aurai fini par oublier. Au moins, là, on est à deux et je me dis que tout n’est pas perdu que la soirée peut se mettre en route encore maintenant et que des folies nous attendent patiemment. « - Quand tu m'as dit "viens, Saph', viens, on va aller à New York, ce sera cool, tu verras, tu pourras faire du shopping !", je ne savais pas que par "shopping" tu entendais l'achat d'un taser. » Devant son expression en colère et blasée je ne peux pas m’empêcher de repenser à comment, oui, je l’ai supplié de m’accompagner. Lui vendant du rêve pour un weekend qui n’est pas du tout le reflet de ce que j’avais prévu pour nous, je l’avoue. Je caresse son visage en tentant un visage encore une fois désolé, je joue les chiens battus pour l’attendrir persuadé que ça va finir par fonctionner. On est une bonne équipe elle et moi, on ne va quand même pas se disputer pour ça ? « Oh allez, pardonnes-moi. » Je lui demande clairement plutôt que de le troquer contre un je suis désolé mal avisé. Et tandis que j’ai envie de lui faire un discours sur le pourquoi du comment on va finir par s’éclater ce soir, je me rends compte que j’ai laissé de côté un sujet qui tend à ce que la réflexion soit plus poussée. Marc et ses regards baladeurs sur le corps de mon amie qui lui plait surement un peu trop. « Puis lui, il n’a jamais dû voir une femme comme toi de sa vie aussi ! » En clair c’est normal qu’il passe son temps à la mater plutôt que de répondre à mes questions dont, soyons sérieux, il se fout royalement. Cependant, je garde un gout amer en bouche, parce que je ne l’excuse pas totalement cet écrivain de bas étage qui croit penser que Sapphire sera peut-être un jour son jouet. Oui, parce que c’est un intellectuel mais qu’il est homme avant tout alors je n’ai pas de mal à deviner ses pensées. « Quand il revient, s’il le refait et que je ne remarque pas, trop obnubilé par toi moi aussi, tu me pinces fort, et je jure qu’au lieu de l’interviewer je vais lui faire regretter le jour où il est nait. » Et le pire, c’est que c’est vrai.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Jeu 6 Mar 2014 - 15:32
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    Je ne vais pas mentir : je passe sans doute l'un des weekends les plus inintéressants de ma vie et, autant que je reconnais que de ne pas avoir la peur d'être enceinte pour une fois dans ma vie me plait étonnamment, je me dois de vocaliser l'évidence : Bradley a vraiment, vraiment mal calculé son coup pour une fois. Si j'étais un peu plus chiante, comme fille, je le lui aurai fait comprendre, parce que bon dieu, qu'est-ce que je m'emmerde, ici, avec l'imbécile heureux et son pseudo-auteur-pervers. Mais comme je suis gentille, moi, comme nana, je me contente de le lui dire clairement, que je ne passe pas le weekend rêvé, histoire qu'il comprenne directement mes mots sans avoir peur de mal les interpréter. Je suis comme ça, moi : j'offre des cadeaux, même quand on me le demande pas ! Il rapproche son visage du mien mais je m'éloigne de lui et de sa toxicité. Brad, c'est un peu comme mon meilleur ami, en fait. Cela veut dire, entre autres, que je sais exactement ce qu'il pense, comment il pense et, surtout, ses techniques pour se tirer de l'embarras. Et en l'occurrence, la Sapphire, elle a bon dos, mais elle n'est pas conne non plus, hein : la Sapphire, elle sait que si elle laisse ses yeux se plonger dans les iris bleutés de son compagnon, leur éclat auront raison de toute colère bouillonnante en elle et elle pourra alors dire adieu à sa répartie d'acier et à son emprise sur Bradley. La Sapphire, elle sait qu'il ne lui suffit que d'un regard, un seul regard et voilà, c'est fini, c'est fichu, elle est prise, elle est perdue. Où donc ? Dans le piège de son regard. Dans son remord, dans sa sincérité. Je me distance donc de lui lorsqu'il se rapproche, tournant même ma tête dans la direction opposée. Pour le coup, je veux bien admettre que je dois bien être chiante mais,  c'est pour une bonne cause : je suis en colère et je ne m'arrêterai pas de le lui faire comprendre tant que le message ne sera pas correctement passé (et par correctement passé, j'entends évidemment qu'il réfléchira à deux fois, la prochaine fois, avant de m'embarquer dans une telle aventure). Il me caresse alors le visage, me demandant de le pardonner et je marmonne entre mes dents :

    - Putain, Bradley, t'es vraiment qu'un connard d'être aussi doué avec les filles. Je me mords la lèvre mais je sais déjà que j'ai perdu d'avance : ma colère, elle est partie. Envolée ! Elle ne fait plus face à Bradley mais est allée se loger du côté de Marc, envers qui j'ai maintenant une animosité profonde : mon weekend est gâché non pas par Brad, après tout, mais bel et bien par cet écrivain de pacotille dont le talent équivaut à celui de ma grand-mère lorsqu'elle reprend une chanson de Justin Bieber. Je vous laisse définir quel est le niveau de ce soit-disant "talent". Je soupire alors fortement avant de déclarer, roulant des yeux vers le plafond : D'accord, je te pardonne. Pour cette fois ... Mais je te préviens que ça va te couter cher, hein. Je ne le fais pas par envie, hein, loin de là, je le fais même avec réticence ... Mais j'ai dit que je le ferais et donc, le voici pardonné. Je me demande simplement pourquoi je suis aussi faible, lorsque l'on en vient à parler des garçons en général et, plus particulièrement, de Bradley. Comme si je ne peux jamais rien lui refuser. Comme s'il a un certain pouvoir sur moi. D'un côté, j'adore ça mais, de l'autre ... C'est quelque chose que j'abhorre au maximum. En attendant, je suis bien déterminée à ne plus lui faire de cadeaux, à ce Marc. Il est tellement moche, en plus ... Un parfait exemple de la fameuse expression "beau de loin mais loin d'être beau". Brad se met d'ailleurs à parler de sa belle trouvaille littéraire et, riant légèrement à ses remarques désobligeantes, je ne peux m'empêcher de penser que chacun des mots qu'il dit est sans doute vrai. Après tout, peu d'hommes peuvent se vanter d'avoir rencontré des "femmes comme moi". Je crois bien que seuls ceux m'ayant déjà rencontrée peuvent s'en vanter, en fait. Je suis tellement unique comme fille qu'il est difficile d'en trouver une autre pareille, vous comprenez ? Bref. Je suis sure que vous me comprenez, sinon cela voudrait dire que vous êtes aussi con que ce Marc, et ça, c'est pratiquement impossible, si vous voulez mon avis. Bradley me déclare que si Marc me cause des ennuis à nouveau, je n'ai qu'à le pincer pour qu'il s'occupe de son cas pour moi. C'est une proposition bien alléchante et je m'apprête à y répondre lorsque l'intéressé revient. Je souris alors, me décalant d'une place afin de me rapprocher de Bradley et de permettre au dénommé Marc de s'installer. Celui-ci me tend un Bloody Mary que je m'empresse d'attraper après l'avoir remercié de son acte de parfait gentleman. Collant alors le lèvre à mon verre, j'en prends une large gorgée, persuadée que si je veux survivre le reste de la soirée, je dois, pour cela, finir complètement bourrée.

    - Alors, Marc. Parlez nous de vos voyages ! Un homme comme vous a dû en voir, des endroits exotiques !

    En disant ces mots, mes doigts cherchent aveuglément ceux de Bradley sous la table pour les frôler, caressant doucement les jointures de ses mains afin de m'amuser un peu.

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    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Sam 22 Mar 2014 - 20:58
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    Une expression désolée vient donc se placer sur mon visage à la limite du parfait, je sais bien qu’elle va finir par craquer, on ne peut pas m’en vouloir longtemps, surtout pas elle en réalité. Ma main s’aventure sur sa peau, sa joue, son visage que j’affectionne vraiment et puis ma demande d’être pardonné par la dame se fait entendre. Elle ne semble pas vouloir le faire – me pardonner – mais c’est comme si elle était déjà résignée. « Putain, Bradley, t'es vraiment qu'un connard d'être aussi doué avec les filles. » Je sais, merci. D’être aussi doué dans la drague en réalité, dans le fait d’attendrir les gens alors que je ne suis qu’en réalité un petit connard. Mais ça passe, car on aime me détester. Je sais bien que Sapphire fait partie de ces gens-là, ceux de mon fan club quoi, si fan club il y a. « D'accord, je te pardonne. Pour cette fois ... Mais je te préviens que ça va te couter cher, hein. » Me couter cher ? J’aimerai bien voir ça, comment la demoiselle va me faire payer, ouais, elle a réussi à m’intriguer. Pour le coup en plus je lui sers un regard de défi, le genre qui dit « J’attends de voir ça. » Je suis certain qu’elle me connait assez pour deviner ce que j’ai en tête et pourquoi je souris encore alors que sa colère se dissipe petit à petit. Je la prends alors par les sentiments, lui explique que c’est à cause d’elle qu’on en est à ce point-là. Parce que ma Sapphire, elle est belle, surement trop sexy. Je comprends totalement que Marc ait envie de la reluquer et qu’il s’imagine en train de la toucher. Enfin, même si je le comprends, ce n’est pas pour cette raison que j’approuve cela. Je ne l’approuve carrément pas, même, ça frappe fort dans mon esprit, alors c’est pour cette raison que je lui dis qu’il s’il le refait, je vais lui refaire le portrait, je vais lui faire mal, je le promets. Et c’est à ce moment que le bonhomme choisi de réapparaitre avec le verre de la princesse de la soirée en main. Verre qu’elle porte vite à ses lèvres afin d’en boire une longue gorgée, comme pour s’encourager. Je la comprends, c’est vrai. J’avoue ne plus avoir envie d’écouter le monsieur « je me la pète parce que j’ai écrit de la merde » je préfère surveiller qu’il ne se montre pas trop entreprenant avec elle. Donc je me contente de regarder où se placent ses yeux sur elle. « Alors, Marc. Parlez-nous de vos voyages ! Un homme comme vous a dû en voir, des endroits exotiques ! » Je tente de me concentrer sur la prochaine réponse de monsieur le couillon, mais je suis perturbé, par deux choses en réalité, par le fait qu’au final c’est elle qui fait l’interview, et surtout le fait que ses doigts s’amusent des miens, et que forcément, moi, je suis déconcerté, déconcentré aussi, par son geste, je suis foutu pour le boulot, je ne deviendrai pas un grand journaliste en rentrant à Los Angeles. Mes yeux toujours sur le visage de Marc, j’attends qu’il réponde tout en caressant la main de Sapphire que j’emprisonne de la mienne, j’entrelace mes doigts aux siens, et puis je la fuis, fais semblant de ne pas la vouloir, et je retourne la chercher, je ne me préoccupe carrément plus de Marc et de sa vie débile qu’il peut nous raconter. « Exotiques, je ne sais pas, mais des pays que je suis certain vous voudriez voir, vous aussi. » Mon attention revient sur cet idiot, et je me vois sérieusement en train de lui demander s’il lui propose de lui faire visiter le monde selon ce qu’il a pu en voir. Parce que je ne suis pas dingue, hein, lorsqu’il prononce son foutu « vous » il ne parle pas de nous, d’elle et moi, mais d’elle et lui. Putain. Je ne suis pas jaloux, je sais bien qu’on n’est pas un couple ou truc dégoulinant, et surtout qu’elle s’amuse avec d’autres que moi. Mais merde, ça ne se fait juste pas, ce qu’il est en train de me jouer, le petit intello qui frôle surement la folie pour tenter alors que je suis à côté. Il faudrait surement que je mette les choses au clair, que je lui signifie que de sa vie, il ne la reverra plus jamais. Non pas parce qu’elle ne le voudrait pas, mais parce que simplement moi, je le refuse. « Génial. » Je m’entends prononcer sur un ton complétement dégouté. Je m’en tape d’où il est allé trainer. Et parce que je suis professionnel dans le fond, je continue sans m’énerver vraiment. « Et tu es allé où, au juste ? » Bon j’avoue que ma voix n’est pas des plus calmes, faut l’avouer, je crois que je ne suis pas très convaincant. Et pourtant je bois une gorgée de mon verre en souriant, juste avant de retrouver la main de Sapphire, de la caresser quelques secondes, avant de la lâcher pour laisser mes doigts remonter délicatement sur sa cuisse dénudée à cause de cette mini-jupe noire qu’elle porte, qui me nargue et me donne des tas d’idées.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Mer 2 Avr 2014 - 18:03
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    Il fait le fier, il fait le beau et j'ai presque envie de lui tirer la langue tant il m'irrite, là, actuellement ... Mais je me retiens : je suis une grande fille, après tout. Je suis au delà de tous ces enfantillages, au dessus de ces gamineries. Je me contente donc de soupirer, lui balançant au passage un regard assassin qui en dit long sur mon humeur actuelle. Je cède cependant éventuellement à ses tendres regards et à ses mots doux, incapable d'y résister bien longtemps. Je suis une fille, après tout, et lorsqu'un bel homme nous parle ainsi, il est tout bonnement impossible de rester longtemps fâchée contre lui. C'est un peu comme une constante universelle - une loi de la nature invariable qui existe depuis la nuit des temps et ne cessera jamais d'exister. On est comme ça, nous, les filles : on aime, on aime trop et on aime toujours. Que ce soit vis à vis de nos parents, nos familles, nos amours ou nos amis, nos sentiments finiront toujours par prendre le dessus tant nous sommes incapables de vivre sans eux. Le jour où je serai capable d'en vouloir, réellement, à Brad' n'est pas encore arrivé, tout simplement parce que, s'il est vrai qu'il peut parfois être cruellement bête ... Il est également vrai que je ne pourrai absolument plus me passer de lui au quotidien. Bradley, c'est un rayon de soleil qui filtre au travers des rideaux de mes paupières et sait me donner le sourire, même lorsque je n'ai qu'envie de pleurer. Bad B', c'est le meilleur ami qui sait déjà ce que je pense et surtout, ce que je veux, avant que je ne le sache moi même. C'est celui qui me connait comme s'il était à l'intérieur de ma tête, tant et si bien qu'il fait partie de moi, à présent. Ce n'est pas l'ami que je connaisse de plus longue date, mais c'est en toute certitude celui avec le qui j'ai vécu le plus de folles aventures ... Et quelles folles aventures !

    Je lis quelque chose dans son regard ... Un jeu, un amusement. Je lis qu'il comprend exactement ce que je pense, en ce moment présent, et cela me fait sourire. C'est les moments comme celui-ci qui me permettent de me rappeler pourquoi exactement je le considère lui et pas un autre comme étant mon meilleur ami. Nous deux, on se comprend, en fait, comme personne n'a jamais su me comprendre auparavant et comme personne ne pourra très certainement jamais me comprendre. Je suis un génie, en fait, et personne ne le voit sauf lui ... Et c'est possiblement ce qui me plait le plus, chez lui, d'ailleurs : ce regard admiratif qu'il a de moi et qu'il ne peut s'empêcher de me lancer dès qu'il me voit. La façon dont ses yeux me dévorent lorsqu'ils croisent mon chemin, avides d'en savoir davantage sur moi et sur ma journée. Lorsque nous nous sommes rencontrés, il m'avait regardé d'une certaine façon et je me rends compte, maintenant, que son regard envers moi n'a jamais changé depuis. C'est alors que Marc revient, interrompant ce tendre moment partagé entre amis. Quel dommage. S'il aurait pu glisser sur une peau de banane sur le chemin, cela m'aurait arrangée, pour le coup ... Mais il faut croire que ce n'était pas le cas. Je lui fais alors la conversation, plus par politesse que par curiosité, soupirant intérieurement, cependant, face à la réponse très certainement impressionnante (et donc, terriblement ennuyante) qu'il risque de me fournir dans les prochaines minutes. Je profite du moment de réflexion de l'auteur, d'ailleurs, afin de chercher les doigts de Brad' des miens, tâtonnant aveuglément sous la table jusqu'à ce que je ne les trouve. Souriant en coin lorsque ma peau rencontre la sienne, je caresse tendrement les jointures de sa main avec un plaisir évident. C'est alors que ses doigts lourds et virils emprisonnent les miens. Dans un sourire, je le regarde, coquinement. Il voulait jouer ? On allait jouer. Et j'allais gagner.

    C'est alors que ses dix soeurs se dérobent des miennes et, déçue, voilà que je commence à reculer mon bras vers mon corps à moi ... Jusqu'à ce que sa main ne vienne les rattraper de nouveau. Un jeu de séduction et de tentation s'installe entre nous, comme à chaque fois que l'on s'ennuie, et je ne peux m'empêcher de me dire que malgré les pays exotiques que Mark a dû voir par le passé, il n'a sans doute jamais rien connu d'aussi rafraichissant et de nouveau que les caresses de Bradley. Encore heureux, si vous voulez mon avis. Je suis au courant de son penchant pour les deux sexes mais si je ne me trompe pas, même Brad' a des critères relativement sélectifs en matière de partenaires et je peux garantir que celui-ci ne correspond pas aux normes établies par ses fantasmes. Pas du tout, même. L'autre me dit qu'il pense que j'aimeraisles voir, ses pays, et si je souris poliment avant de lui répondre que Très certainement, oui, je me contente de me dire que ce que je veux, surtout, c'est de le voir s''étouffer sur les cacahouètes qu'il mange stupidement depuis notre arrivée ici. Sérieusement, les serveurs nous avaient offert les stocks du bar tout entier ou ... ? Non, parce que clairement, ce n'est pas possible que le pot ne soit pas encore vide, vu l'allure à laquelle il continue de s'y attaquer. Brad' semble fasciné par le discours de l'auteur (ironie), mais lui demande tout de même une liste de ses destinations. Et là ... Je dois avouer que je commence à paniquer, parce que cela ne m'intéresse absolument pas et que je pense que je vais mourir si j'écoute ne serait-ce qu'un seul mot de plus de la part de cet écrivain de pacotille mal habillé par son imprésario. La main de Bradley remonte alors vers la mienne avant d'aller plus loin, encore plus loin, cherchant en mon corps le confort que cette soirée n'a pas su lui apporter. Si j'avais hésité à jouer cette carte plus tôt, ce moment avait suffi à m'aider à me décider et c'est pour cela que soudainement, je marmonne d'une voix faible et sans forces :

    - Je ne me sens pas très bien tout à coup ... Je vais devoir jouer l'alcoolique lubrique mais cela ne me dérange pas si cela veut dire que Bradley pourra me raccompagner loin de l'autre idiot. Et puis ... Il faut avouer que j'ai peut être plus bu que je n'aurais dû le faire, soyons honnêtes pour une fois.
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    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Ven 25 Avr 2014 - 19:11
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    Des pays exotiques, des endroits qu’il aimerait lui faire découvrir, lui montrer, tenter de la charmer au Mexique et de la toucher sur le sable doré. Je n’arrive même pas à le concevoir tant ça semble étrange à l’imaginer. Non pas Sapphire avec un autre que moi, juste Sapphire avec ce mec-là. Et quand je m’énerve, et quand je tente de me contrôler intérieurement, elle relance le vice, me rend dingue en même temps qu’elle doit le faire pour lui. Seulement je ne parle pas de la même folie, pour lui, je parle de celle qui enivre, qui attire, qui donne envie … Pour ma part ça est une de révolte, de dégout, de cette impression d’être pris pour un con. « Très certainement, oui. » Très certainement, non. Elle n’ira pas voyager avec lui, je suis le seul à le voir de cette façon ? Je resserre mon emprise sur mon verre, enrage intérieurement, puis je repense à notre jeu, je repense à la manière qu’elle a de mentir et manipuler à la fois. Ce n’est rien, ce n’est qu’un bobard cette réponse, jamais elle n’ira, et je me dis que si moi je peux y croire, lui aussi, mais peu importe, parce que c’est bien ma main qu’elle tient sous la table. C’est bien à notre proximité qu’elle tient. J’en souris, quand je pose ma question à ce mec faussement érudit. Je ne suis pas jaloux, je préfère encore le dire, je n’aime juste pas l’idée qu’il puisse baver sur ma meilleure amie. Meilleure amie que je me permets de toucher plus intensément, sa cuisse, sa peau que je connais, ce corps que je sais apprécier, je me fais pressant, renforce cette étreinte discrète que je lui offre tandis que l’autre idiot la regarde encore. Et je me demande vraiment s’il faut que je lui explique comment fonctionne la vie, à ce petit. « Je ne me sens pas très bien tout à coup ... » Sauvé par le gong, l’écrivain de bas étages. Mon attention revient sur la belle de la soirée, et je la connais assez pour deviner ses mots totalement faux, encore une fois, mais tellement bien joués, bon sang. Et je ne perds pas de temps à hésiter, le monde du journalisme n’est pas encore pour moi, peu importe, je crois. Je lâche la peau de ma compagne pour trouver ses joues et les tenir entre mes doigts. « Tu veux rentrer, chérie ? » Celle-là elle était gratuite pour lui montrer que pour ce weekend elle n’appartient qu’à moi, du coup je me retourne vers lui, avec un air désolé. « Je ferais mieux de la ramener, ne vous inquiétez pas, l’article sera bon. » Ou peut être pas, j’en sais strictement rien, je ne suis pas encore décidé. J’entrelace mes doigts à ceux de Sapphire tout en lui disant « Allez, viens. » Je l’entraine hors du bar, et une fois dehors, automatiquement je m’allume une cigarette. Puis je me retourne vers elle, à nouveau, croisant ses yeux que j’ai appris, avec le temps passé à ses côtés, à aimer. « Je n’ai qu’un regret ce soir, tu sais. » Je laisse un certain mystère avant de m’approcher d’elle, en recrachant la fumée. « On n’a pas dansé. » Ouais, c’est la stricte vérité, je nous voyais bien à jouer cette nuit, à se taquiner, sans y penser, à être bien, juste là. « Faut remédier à ça. » Pour venir souvent à New York, je connais les meilleurs endroits où se rendre, et je compte bien y aller avec elle, avant de retourner à l’hôtel. Après tout, je lui ai promis un weekend de folie, alors il est temps.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Lun 16 Juin 2014 - 4:02
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    Du coin de l’œil, je remarque bien que Bradley semble plus tendu que d’habitude. Glissant alors ma main contre la sienne, j’essaie d’avoir une emprise un peu rassurante sur lui – le mot clé étant, bien évidemment, le mot « essaie ». Je ne peux que le comprendre, en même temps : moi aussi, je serais irritée si on me payait pour poser des questions à un homme aussi banalement inintéressant que celui-ci. Je me retiens d’ailleurs de bailler par simple politesse – non pas que je me soucie du regard que ce fameux monsieur (je ne me souviens même plus de son nom) pourrait avoir sur moi mais bel et bien parce que j’ai bien peur de gâcher les opportunités professionnelles que Brad’ pourraient avoir suite à cet entretien. Les gens seraient surpris s’ils avaient accès à ne serait-ce qu’un quart du tiers de mes pensées, étant donné que je suis persuadée que tout le monde, Brad’ inclus, me considère comme une conne égoïste et narcissique incapable de se préoccuper d’autre chose qu’à elle-même et son propre nombril. Je ne leur en veux d’ailleurs pas car, sur bien des points, ils auraient raison … Mais il se trouve que Sapphire Sachs a, tout de même, un peu plus de substance qu’ils ne semblent prêt à l’accepter. Cela ne me dérange pas nécessairement dans la mesure où on me sous-estime donc grandement. Cela me permet plus facilement de briller dans mes moments de gloire, du coup.

    Lorsque je sens les doigts de Bradley se promener doucereusement le long de ma peau, voilà que je commence à me sentir réconfortée – la soirée n’est pas entièrement perdue, mon meilleur ami est là avec moi et parvient à me distraire juste assez pour m’empêcher de m’endormir sur place et de tomber tête la première contre la table en métal. Tiens c’en est une bonne, d’idées, ça … C’est pour cela que je me mets à feindre une absence d’énergie. « Je ne me sens pas très bien. » Si Brad’ est incapable de réagir face à cette invitation à partir … Alors là, je ne sais plus trop ce qu’il me reste à faire. Je sens d’ailleurs que je suis dangereusement sur le point de devenir franche avec cet écrivain de pacotille, probablement parce que les Bloody Marys ont finalement eu le meilleur de moi et ont commencé à me délier la langue. Afin de renforcer mes propos, voilà que je bas un peu trop fréquemment des cils et que je porte une main à mon front avant de fermer définitivement des yeux pendant un bref instant. Lorsque Brad’ me caresse les joues, je m’efforce de ne pas sourire afin de ne pas trahir mon formidable jeu d’actrice – j’attends encore mon Oscar, d’ailleurs, si quelqu’un a envie de me le présenter … - et je me contente donc de murmurer, calmement et d’une voix insistante, comme affaiblie par une quelconque affliction :

    - Je ne veux pas nuire à ton entretien, Bradley, je ne me pardonnerais jamais si …

    En réalité, son entretien est le cadet de mes soucis, je m’ennuie tellement que je veux tout simplement rentrer et s’il ne le comprend pas il me le paiera cher. Me levant alors avec « difficulté », je marche un pas, puis deux.

    - Je peux rentrer seule, ne t’en fais pas pour moi, l’hôtel n’est pas très loin …

    Je continue alors d’avancer avant de me cramponner à une table sur ma gauche, heureusement vide, comme pour faire comprendre aux deux autres hommes que je ne suis pas en état de marcher seule. Je me penche d’ailleurs un peu afin davantage accentuer ma pseudo-faiblesse, le temps que Bradley explique à son cher ami qu’il vaudrait mieux qu’il me ramène sur le champ. Un sourire décore alors mes lèvres, heureusement que je leur tourne le dos. Il vient alors à ma suite et me dit de venir et, je me retourne brièvement vers l’auteur pour lui lancer un faible sourire et lui faire un signe de la main. En réalité, j’aurais préféré lui faire un autre signe de main que le « salut » silencieux que je viens de lui donner et mon sourire était faible non pas parce que je me sentais mal mais bel et bien parce qu’il n’en méritait pas un plus grand, l’imbécile. Nous sortons alors du bar, j’ai son bras autour de ma taille et je fais en sorte de m’appuyer légèrement sur son épaule pour donner l’impression qu’il m’aide. Certes, je dois avoir l’air d’une femme faible et soumise à l’heure actuelle mais pour l’instant je m’en moque totalement car cela vaut toujours mieux que d’être dévorée du regard par l’autre porc science-fictionné. Une fois dehors, je me propulse hors de l’emprise de Bradley, marchant dans une ligne – plus ou moins – droite avant d’inspirer profondément et de murmurer silencieusement :

    - Enfin … La liberté … !

    Je ris alors un instant, euphorique d’être enfin hors du bar. Une fois que je me suis camée de mon soulagement initial, j’entends le déclic de son briquet, suivi de sa belle voix virile et masculine ; le genre de voix qui fait perdre tous ses moyens à une femme et lui donne envie de faire l’amour à son propriétaire. Lorsqu’il me parle de son grand regret du soir, je lui tourne le dos. La façon dont il a débuté sa phrase m’intrigue. J’hausse donc d’un sourcil. Il s’approche alors de moi et m’explique que nous n’avons pas dansé ... Et maintenant qu’il le dit, c’est vrai, ça, que nous n’avons pas dansé … ! Si mon premier instinct est de lui dire oui et de le suivre n’importe où qu’il voudrait bien m’emmener, je me rends rapidement compte que ma performance digne de prix n’était peut être pas si faussée que cela. Me retournant alors, j’enroule donc mes deux bras autour de son cou avant de lui dire dans un sourire légèrement malicieux et, pourtant, las :

    - Pas ce soir, s’il te plait. Demain, plutôt. Ce type m’a complètement épuisée … Et tu sais bien à quel point il est difficile de réellement m’épuiser !

    Mesdames et messieurs, il s’avère donc que Brad’ et moi avions affaire à un professionnel de l’endormissement dans ce bar si grand et, pourtant, trop petit.


    Spoiler :
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    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Sam 19 Juil 2014 - 23:05
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    Quand elle me dit qu’elle ne se sent pas bien, j’ai déjà en tête, l’idée qu’elle et moi on fuit ensemble et plutôt vite cet endroit, parce que je ne supporte pas l’idée que cet idiot que je dois interroger ait envie de la baiser. Pardonnez ma vulgarité. Mais c’est la seule vérité, non ? Ce connard, je sais très bien que c’est ce qu’il a en tête, et je le sais si bien parce que si c’était moi à sa place, j’aurai la même chose à l’esprit. Je la voudrai dans mon lit. Alors c’est tout naturellement que je deviens possessif, que je pose mes mains sur elle et que je lui demande si elle veut rentrer. Et si on ne l’a pas encore compris, c’est ce qui me plairait. « Je ne veux pas nuire à ton entretien, Bradley, je ne me pardonnerais jamais si … » Sa voix fluette résonne dans ma tête et je lui souris tout simplement, parce qu’elle joue encore et que je sais que Sapphire est douée pour cela, pour jouer aux idiotes qu’elle n’est définitivement pas. On s’en tape complètement de mon entretien, voilà tout ce que moi, je retiens. « Je peux rentrer seule, ne t’en fais pas pour moi, l’hôtel n’est pas très loin … » Non mais elle se fiche de moi ou quoi ? Je prends le temps de m’excuser auprès de la tierce personne de la soirée avant de marcher aux côtés de mon amie. De soutenir son corps de mes mains, en traversant la foule pour voguer vers notre liberté. Vers la fin de notre soirée. J’arque un petit sourire lorsqu’elle fait un signe de la main à Marc, la simplicité de Sapphire me plait tellement que ça en devient apaisant, parfois. Une fois que nous sommes hors du bar, je lui laisse le temps de s’exprimer sur la joie qu’elle peut ressentir d’être enfin libérée. « Enfin … La liberté … ! » Ca m’arrache un nouveau sourire et je m’allume une cigarette afin d’atteindre moi aussi, ma propre liberté. L’échappatoire, le tabac, ça marche comme ça. Je l’écoute rire quelques secondes avant de lui avouer que je regrette de ne pas lui avoir donné le weekend de rêve que je lui avais promis. En un sens, je m’excuse de mes propres conneries. Comme dirait Anna, c’est ce que je fais à chaque fois, je merde pour tenter de m’en sortir après. Putain, je ne suis pas vraiment net lorsque je m’y mets. Quand elle enroule ses bras autour de moi, j’ai une réaction stupide, surement, mais j’avoue qu’elle me fait de l’effet, juste comme ça, à être proche de moi. Qu’on ne s’y trompe pas, même si tout le contexte est romantique, l’amour, on a déjà eu la preuve que ce n’est pas pour moi. Elle m’offre un sourire, et je ne peux m’empêcher de lui répondre de la même manière. « Pas ce soir, s’il te plait. Demain, plutôt. Ce type m’a complètement épuisée … Et tu sais bien à quel point il est difficile de réellement m’épuiser ! » Hum. Je me mets à grimacer un peu, puis finalement je renforce mon étreinte sur elle, mes mains sur ses hanches. Mon regard plonger dans le sien, j’avoue que j’oublie un peu ce qu’elle vient de me dire pendant l’espace de ses secondes que je passe à la regarder, à adorer un peu plus ce qu’il se trouve dans mes bras. Sapphire n’est peut-être pas ma femme, mais je suis cent plus complice avec elle, qu’avec Anna. Et c’est pour cette raison que sans le calculer vraiment, mes lèvres se posent sur les siennes, délicatement, dans un baiser court, mais qui est bien là, dans toute cette attirance qui se trouve entre nous deux et qui est renforcée par nos sentiments d’amitié. « Tout ce que la dame voudra. » Seulement ça. Et je m’éloigne d’elle tout en gardant tout de même sa main dans la mienne lorsqu’on s’approche de la route et que je hèle un taxi. Une fois la voiture jaune arrêtée, j’ouvre la porte à la belle « Après toi. » Et je lui fais une sorte de révérence bien accentuée, parce que si ça peut la faire rire, moi ça me plait.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Mer 23 Juil 2014 - 15:29
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    Je sens une légère impulsion contre mes hanches ; la pression vigoureuse de ses mains. J'ai le vertige, mais Bradley est probablement le seul homme capable de me donner un sentiment artificiel d'équilibre par le simple fait de m'enlacer. Lorsque ses bras s'enroulent autour de moi, il n'y a aucun doute là dessus : ils épousent mon corps. Comme si nous avions été taillés dans la même roche, faits pour s'emboiter tels deux morceaux de puzzle (et dans bien plus de sens qu'un, cette harmonie parfaite entre nos deux êtres est présente, ça, je peux l'affirmer). Il m'embrasse alors, lentement et légèrement, et si ma fatigue éprouvante m'empêche d'avoir envie de bien grand chose, ce soir, le désir que je possède à son égard ne s'efface, visiblement, jamais. Clignant doucement des yeux, je me retrouve à apprécier ce contact, à l'adorer, même, tant et si bien que j'en redemande encore. Je me permets donc de prolonger ce contact, si agréable et, pourtant, si spontané. Mes lèvres épousent elles aussi les siennes, ça, je le lui ai souvent dit, lorsque je me jouais de lui. Il me précise que ce soir, nous ferons "tout ce que la dame voudra". Je ris légèrement avant de lui dire, d'un ton légèrement offusqué :

    - La demoiselle, s'il te plait.

    Je suis peut-être fatiguée mais cela ne m'empêche pas encore de tenir à ma jeunesse et à mon statut de femme non-mariée. Le suivant alors jusqu'à la route, je me sens tout simplement rassurée par sa simple présence près de moi. La nuit est noire, si l'on oublie les phares des quelques voitures osant s'aventurer dans les parages. La main levée au dessus de lui, Brad' essaie d'interrompre l'un des taxis vagabondant sur le bitume afin de nous permettre d'un rentrer. Cela ne marche qu'au bout de la troisième fois, suite à quoi sa poigne ferme ouvre la porte avant que sa voix galamment virile ne m'invite à m'y introduire avant lui. Lorsqu'il me fait sa révérence, je souris légèrement, laissant un bref rire s'échapper d'entre mes lèvres (mettez mon manque de réceptivité sur le dos de la fatigue). Puis, je me pose sur la banquette et je me laisse glisser jusqu'au fond du véhicule, attendant ensuite qu'il s'installe à mes côtés afin de pouvoir laisser ma tête retomber contre son épaule. Le chauffeur nous demande alors où l'on va, et je le regarde de façon inquisitive avant de lui demander :

    - On rentre, du coup ?

    C'est la solution qui me plairait le plus, pour être sincère. À voir si elle lui plait, à lui aussi, ou non.
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    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

    Mer 20 Aoû 2014 - 17:15
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    J’ai encore le gout de ses lèvres sur les miennes lorsqu’elle me reprend pour me signifier qu’elle n’est pas une dame mais bel et bien une demoiselle. Je lui réponds par un sourire franc, avant de me concentrer sur notre quête de taxi. Une fois un trouvé, je la laisse entrer en premier, comme il se doit. J’entre à sa suite et lui laisse le loisir de poser sa tête contre moi. Comme par habitude, je respire lentement, appréciant l’odeur de son shampooing que je connais par cœur qui réchauffe un peu mon intérieur. « On rentre, du coup ? » Je réalise alors que le conducteur vient de nous demander notre destination, j’avoue avoir perdu un peu de ma raison en m’attardant sur elle une nouvelle fois. Et quand mes yeux croisent les siens bien fatigués, je comprends bien vite que ce n’est pas la peine de vouloir continuer à arpenter les rues de la ville qui ne dort jamais. Nous ne sommes pas obligé de faire comme New York ce soir, après le calvaire que je lui ai fait endurer de force alors que je lui avais promis un weekend de rêve, on peut bien rentrer. Alors d’un hochement de tête je lui réponds par l’affirmative avant de balancer l’adresse de l’hôtel au chauffeur. Il ne perd pas de temps pour redémarrer. Et pendant ce laps de temps où elle et moi sommes aussi proches, je la regarde affectueusement, glissant mon bras sur son épaule pour la serrer un peu plus contre moi. « Je ne t’ai même pas remercié pour ce soir. » Cela me semble pourtant évident que je dois le faire. Mes lèvres s’échouent quelques secondes sur le haut de sa tête, tendrement. « Ca comptait pour moi. » L’interview, la promotion qu’il peut s’y trouver au bout. Même si pour le coup ... « Ça m’a rendu fou, tu sais. » Je dois avoir un problème de possessivité. « Comme il te regardait. » Comme tous peuvent la regarder, alors qu’aucun ne la connait comme moi. J’ai une sainte horreur de me dire qu’ils peuvent la désirer sans en connaitre la moitié, elle est plus qu’une simple jolie fille à qui on veut offrir une nuit. Je sais, oui, je suis fait dans le même moule que ces cons, mais j’espère qu’un jour, je serai quelqu’un de bon.

    Re: BRADLEY & SAPPHIRE x Unrefined New York

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