I know you know me as you know you.
Les apparences sont souvent trompeuses.
C'était les vacances, pour certains ça rimait avec voyages, repos, bonheur, liberté... A mes yeux ça rimait plus avec emprisonnement, dépression, pleurs, souffrance... Glenn ne me laissait pas le temps de sortir ou juste la journée mais je devais vite revenir, surtout si lui était avant moi à la maison. Je n'avais peu d'amis, ou très peu... J'avais peur de les voir de peur qu'ils aient des problèmes à cause de Glenn. Mon frère était trop... envahissant, impressionnant, effrayant surtout. Je ne sais pas ce qu'il a fait aux autres pour qu'ils aient si peur et qu'ils n'osent pas l'affronter.
Aujourd'hui j'étais la plus grande librairie de la ville, je ne risquais pas d'y croiser Glenn ou d'y faire des grandes rencontres. Je préférais me plonger dans l'univers d'un roman et je passais l'après midi à le lire et à m'imaginer la super héroïne de ce dernier. La lecture m'aidait en ce sens... Ca m'aidait à avoir une vie, une vraie vie, non vivre dans une prison.
J'étais au 14ème chapitre du roman que j'avais emprunté jusqu'à que j'entende des chaises bougées... Trop bruyamment pour être "normal" dans un tel endroit. Je levais les yeux et là les 5-6 garçons qui étaient à la table en face de moi bavaient devant les jambes nues de 10 mètres de long qui se baladaient face à eux. Je saurais reconnaître ces jambes là parmi des milliers, il s'agissait de Joyce. La conseillère d'orientation de la fac. Elle était devenue comme... Ma meilleure amie/confidente au fil des années. Elle était assez spéciale en son genre je dois le reconnaître, sexy, intelligente, drôle... Bon parfois elle était agaçante avec ses questions mais je sais que c'est quelqu'un de bien, qui m'apprécie à ma juste valeur... Si je puis dire. Mais la question est: que faisait-elle là? Elle n'était pas partie en vacances? Ou alors elle revenait à peine en ville? On est déjà en août après tout.
- Hey mademoiselle...
Lui disais-je timidement, levant maladroitement ma main droite, lui faisant coucou de la sorte. Elle n'avait même pas calculé les petits ados de la table d'à côté... Mais bon, je dois l'avouer, elle savait se mettre en valeur et elle avait une beauté à nous en couper le souffle.
- Je suis surprise de te voir là Joyce.
Ma voix était calme, j'étais ravie de la voir, je ne l'avais pas vu depuis fin juin, depuis la fin des cours en somme, donc je me demandais bien ce qu'elle allait me raconter. Elle aura toujours des choses à me dire de toute façon, je n'ai pas peur à ce sujet.
Aujourd'hui j'étais la plus grande librairie de la ville, je ne risquais pas d'y croiser Glenn ou d'y faire des grandes rencontres. Je préférais me plonger dans l'univers d'un roman et je passais l'après midi à le lire et à m'imaginer la super héroïne de ce dernier. La lecture m'aidait en ce sens... Ca m'aidait à avoir une vie, une vraie vie, non vivre dans une prison.
J'étais au 14ème chapitre du roman que j'avais emprunté jusqu'à que j'entende des chaises bougées... Trop bruyamment pour être "normal" dans un tel endroit. Je levais les yeux et là les 5-6 garçons qui étaient à la table en face de moi bavaient devant les jambes nues de 10 mètres de long qui se baladaient face à eux. Je saurais reconnaître ces jambes là parmi des milliers, il s'agissait de Joyce. La conseillère d'orientation de la fac. Elle était devenue comme... Ma meilleure amie/confidente au fil des années. Elle était assez spéciale en son genre je dois le reconnaître, sexy, intelligente, drôle... Bon parfois elle était agaçante avec ses questions mais je sais que c'est quelqu'un de bien, qui m'apprécie à ma juste valeur... Si je puis dire. Mais la question est: que faisait-elle là? Elle n'était pas partie en vacances? Ou alors elle revenait à peine en ville? On est déjà en août après tout.
- Hey mademoiselle...
Lui disais-je timidement, levant maladroitement ma main droite, lui faisant coucou de la sorte. Elle n'avait même pas calculé les petits ados de la table d'à côté... Mais bon, je dois l'avouer, elle savait se mettre en valeur et elle avait une beauté à nous en couper le souffle.
- Je suis surprise de te voir là Joyce.
Ma voix était calme, j'étais ravie de la voir, je ne l'avais pas vu depuis fin juin, depuis la fin des cours en somme, donc je me demandais bien ce qu'elle allait me raconter. Elle aura toujours des choses à me dire de toute façon, je n'ai pas peur à ce sujet.
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