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    ▬ sirens ▬ william et victoire.

    Dim 18 Mai 2014 - 22:24
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    You might think I'm crazy

         
    « Victoria. » prononce ma mère en me regardant comme si elle allait me confier la mission la plus terrible au monde. Le fait est que je sais ce qu’elle va me demander de faire, je le fais souvent, et ça ne me dérange pas en réalité, bien au contraire, je dirai même que ça me plait. Les weekend où je suis de garde pour ses enfants que j’affectionne plus que de raison, la famille, notre nom, le cœur et l’importance que cela est. Il n’y a pas de bons mots pour définir ce que ça me fait. C’est encore mieux que les étoiles, je le promets. « Tu prends les petits avec toi ? » Evidemment, après tout, je ne vais pas aller jusqu’à la fête foraine en solitaire … Même si je connais tous les forains, même si j’y suis comme chez moi, et que j’ai une âme d’enfant qui jamais ne changera, j’aime trop les prendre avec moi. Quatre bouts de choux qui sont à mes cousines qui elles n’ont plus vraiment le temps de s’amuser, pour la vraie vie, qui sait. « Madre, tu le sais. » cette fois c’est moi qui suis bienveillante avec le ton que j’utilise pour prononcer ça, qui attrape les mains de Lola et de Miguel, qui trainent autour de moi. Les plus petits, les deux grands marchent déjà en direction de notre fin d’après-midi. Et moi je ris à toutes les bêtises qu’ils peuvent me dire avant de me retourner vers ma mère pour l’embrasser, doucement sur ses joues, son visage qui a trop vécu mais qui reste tout de même pour moi, ce qui se rapproche le plus de la perfection. Puis je me tourne et avance en prenant la même direction que ceux qui nous ouvrent la route, les deux bambins dans les mains. Mes pieds trainent un peu sur le sol, dérangés d’être enfermés surement, mes cheveux volent au vent, et le soleil s’abaisse un peu, nous permettant, ou plutôt me permettant, d’observer les couleurs nouvelles dont se teinte le ciel au rythme de mes pensées, de nos pas, de leurs rires et de leurs voix. Après quelques minutes nous arrivons et les deux grands de presque douze ans, me filent entre les doigts, je leur intime de faire attention, mais j’ai une confiance aveugle en eux, je sais qu’ils le feront. Lola et Miguel montent dans plusieurs manèges, et moi je me contente de les regarder, j’ai beau adorer ce monde, me dire qu’il renferme bien des secret d’innocence et d’enfances merveilleuses, j’ai facilement un vertige maladif, alors autant ne pas tenter le diable et me contenter de le vivre avec eux de loin. Quand leurs tours se terminent, je leur demande simplement « Vous avez faim ? » Je sais que c’est le cas, un enfant a toujours faim lorsqu’il se dépense sans compter, je me félicite d’avoir laissé de l’argent à Tony et son frère. Quand Miguel et Lola me trainent vers le stand de nourriture. Je leur demande leur choix, et au moment où je m’apprête à commander, voilà qu’un jeune homme passe devant moi. C’est exaspérée par sa conduite que je me mets à soupirer, évidemment que je ne vais pas faire un scandale pour cela, mais je ne peux pas m’empêcher de prononcer. « Normalement lorsqu’on est bien élevé, on attend son tour. » Peut-être bien qu’il n’avait pas remarqué ma présence, peut-être bien que ce n’est pas sa faute, mais sur le coup, j’avoue que je n’ai pas réfléchi avant de parler.
         
    lumos maxima
         

    Re: ▬ sirens ▬ william et victoire.

    Mer 21 Mai 2014 - 3:04
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    Sirens
    victoire & william
    Le sept est un bon chiffre. C'est en tout cas à sept qu'ils se rendent au parc d'attractions ce soir. Il doit être aux alentours de sept ou huit heures à peine mais déjà le soleil retombe vers l'horizon, offrant aux Angelins une vue dégagée sur un ciel coloré de mille feux par-dessus toutes ces attractions plus divertissantes les unes que les autres. William Stanford a beau venir d'un pays plus raffiné et moins tape à l'œil, la fougue et l'excentricité des Américains l'enchantent parfois, dans des occasions comme celle-ci. Ce soir, il va pouvoir faire la fête jusqu'à pas d'heure, séduire les filles sans retenue autant qu'il le souhaitera, crier à en perdre la voix dans les montagnes russes, parler et rire à voix haute dans la foule sans craindre qu'on ne se retourne sur lui. Car un Américain n'est pas dérangé par cela, non au contraire, l'Américain est bien souvent à la fête et à la rencontre de son prochain. « Williaaaaam ! Viens faire un tour dans le manège hanté avec moi. » Dit-elle avec un fort accent alcoolisé. Dépenser un ticket pour ça ? Voyons, non ! Il n'y a qu'avec ses petits cousins qu'il aurait accepté de faire ça, et encore. Cette fille a beau avoir quelques faveurs du grand Stanford grâce à sa plastique redoutable, ce n'est pas pour autant qu'il va faire un tel sacrifice. Ce qu'il veut lui, c'est les manèges à sensation, et puis... « D'abord, il faut que je mange quelque chose. » Voilà qu'il a déjà oublié l'invitation au manège fantôme, tout ce à quoi il pense  c'est de se remplir le ventre avant tout, en digne homme qu'il est. Il a bien bu une bière avant de venir au parc, cela ne va bien évidemment pas lui suffire, alors il balade son regard de grand au-dessus de la foule, à la recherche d'un stand à l'apparence satisfaisante. Mais c'est sans compter sur Tatiana – la blonde à la plastique avantageuse –qui tire à nouveau sur son poignet pour l'attirer à elle. « Bon, va vite te chercher à manger, nous on va au manoir hanté. » Très bien, à la bonne heure se dit William en croisant son regard bourru. Bon sang, certaines filles se saoulent si vite, c'en est consternant. « Okay, on se retrouve après. » Et en s'éloignant il retrouve enfin sa liberté, vogue vers le stand qu'il a repéré depuis une minute déjà. Content de s'être débarrassé de l'emprise un peu trop insistante de Tatiana – alors qu'ils viennent à peine d'arriver -, William affiche une mine plutôt décontractée, modérément joviale en s'approchant du vendeur. C'est lorsqu'il est en train de réfléchir à ce qu'il va choisir qu'une voix le perturbe. « Normalement lorsqu'on est bien élevé, on attend son tour. » De suite il se retourne et fait face à trois individus de taille différente. C'est la plus grande qui attire le plus son attention, enfin surtout son regard clair de lionne pour être exact. Pourtant il ne l'a même pas vue en arrivant elle et ses garnements, cela signifie sûrement qu'elle est arrivée en même temps, et donc qu'elle peste pour pas grand chose... Haussant les épaules d'indifférence, William répond du tac-au-tac. « Tu ne vas pas taper un scandale pour quelques secondes de plus quand même ? » Voilà une autre chose que l'Amérique lui a appris, la familiarité avec ceux qu'il ne connait même pas, et parfois cela frôle l'impolitesse. Qu'on se le dise, la notoriété dans une université monte parfois à la tête des jeunes étudiants dans son genre. Sous le regard presque désintéressé – par chance – du vendeur, William déloge enfin son regard de celui bleu azur de la jeune femme pour néanmoins en rajouter une couche. « On a dû arriver en même temps. La politesse marche dans les deux sens non ? »
    Code by Silver Lungs

    Re: ▬ sirens ▬ william et victoire.

    Dim 22 Juin 2014 - 20:12
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    Je mords ma lèvre, clairement, pour m’empêcher de me mettre à discourir sur le sujet de la politesse et du reste. Il se retourne finalement face à moi, et c’est un petit sourire que je lui sers afin de lui démontrer que c’est bien moi qui viens de lui adresser la parole, s’il se le demandait. L’espace d’une seconde il hausse les épaules, presque indifférent et son comportement pourrait parfaitement m’énerver, je l’avoue, cependant avant de le faire j’attends que le jeune homme se mette à parler. « Tu ne vas pas taper un scandale pour quelques secondes de plus quand même ? » Au moins je n’ai pas attendu longtemps et je dois avouer que pour le coup, je ne sais pas comment lui répondre, sur son visage se trouve cette expression que j’ai vue plusieurs fois, de ceux qui ont une confiance imparable en eux. Le genre Je-suis-parfait et le monde entier le sait. Et parce que je n’aime pas l’idée de conflit réel, je secoue le visage dans un geste qui n’existe presque pas pour lui signifier que non, je ne vais pas « taper » un scandale pour cela, qu’il passe avant moi et qu’il sorte de ma vie en résumé. Il détourne son regard de moi et je regarde les deux petits bouts qui se trouvent à mes côtés, toujours à patienter, je caresse affectueusement le visage de la fillette quand j’entends à nouveau le garçon parler. « On a dû arriver en même temps. La politesse marche dans les deux sens non ? » Un rire surement un peu faux s’échappe de mes lèvres, si je doutais de la reparti du jeune homme maintenant je ne peux pas la faire sortir de ma tête. Mes sourcils se froncent, automatiquement, mais cependant un sourire vient se loger sur mes lèvres, dans mon langage, celui de ma mère et de mon père, je dis aux enfants de m’attendre, de ne pas bouger, quand je m’approche au maximum de mon interlocuteur. Sans gêne comme je sais l’être, je tape mon épaule contre la sienne, comme si nous étions amis ou en l’occurrence des inconnus déjà complices. « Je ne suis pas connue pour être polie. » Ce n’est pas tout à fait vrai, surement carrément faux, mais puisqu’il choisit le chemin étrange de la taquinerie autant le suivre sur ce dernier. Je suis loin d’être quelqu’un d’asocial et j’ai comme l’impression qu’il ne l’est pas non plus, je lance un regard vers mes petits cousins qui cachent eux aussi un sourire en coin, au loin, j’aperçois les deux grands qui s’approchent de nous, et je pense à ce que ma mère dit à chaque fois « L’appel de l’estomac » comme s’ils le savaient, comme s’ils s’en doutaient. « Et ton arrogance me prouve que toi aussi. » J’aime assez l’idée de le titiller pour ne jamais le recroiser, c’est vrai. Le temps qu’il commande, je m’adresse aux enfants « On mange et on rentre, la nuit commence à tomber. » La phrase est juste pour eux, évidemment, pour ma part, je me vois déjà arpenter la fête foraine sous les étoiles, celles qu’au fil du temps, des jours et du reste j’ai appris à apprécier. « Pour mon manque de politesse, je t’offre un tour dans le manège que tu souhaites , une fois qu'ils ne seront plus là. Deal ? » Celle là, je ne sais même pas pourquoi je l’ai prononcé, une envie soudaine, qui sait.
         
    lumos maxima
         

    Re: ▬ sirens ▬ william et victoire.

    Jeu 3 Juil 2014 - 21:40
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    Aussi jolie que désagréable, voilà ce que se dit William en plongeant son regard clair dans celui, similaire, de la jeune brunette. A l'évidence, il n'a pas fait exprès de lui passer devant, si c'est vraiment ce qu'il s'est passé en tout cas, car lui a du mal à y croire. Et le William, il n'est pas du genre à admettre facilement ses torts. Plus, il n'est pas particulièrement d'humeur à être galant aujourd'hui, alors presque nonchalamment, il tente de convaincre l'inconnue de sa vision des choses. C'est à ce moment qu'elle s'adresse à ses marmots - tout du moins ceux qui l'accompagnent - dans une langue qu'il devine être l'espagnol et dont il ne maîtrise que quelques rudiments. En somme, à cause de son manque de vocabulaire et de la rapidité d'élocution de la jeune femme, William ne comprend pas un poil de ce qu'elle leur dit. Fronçant légèrement les sourcils, il regarde en coin la scène présente avant que son trouble fête se rapproche tout à coup de lui, peut-être un peu trop au goût du Français qui n'a jamais perdu ses manières natives. « Je ne suis pas connue pour être polie. » Qu'elle dit en lui donnant un coup d'épaule familier, pour le moins surprenant. Voilà qui est d'autant plus intrigant. Le grand blond la dévisage avec un intérêt nouveau, qu'il ne cache pas. « Et ton arrogance me prouve que toi aussi. » Il ricane dans sa barbe naissante et la défie presque du regard avant de se retourner pour commander discrètement de quoi nourrir deux estomacs, puisque l'homme a toujours eu un appétit d'ogre et que la fête foraine, ça creuse. Le vendeur se retourne pour préparer le diner de Stanford, moment où la petite voix résonne à nouveau derrière lui. « Pour mon manque de politesse, je t'offre un tour dans le manège que tu souhaites , une fois qu'ils ne seront plus là. Deal ? »  Instantanément, un fin sourire se loge sur les lèvres du jeune homme, qui fait volte face vers elle. Pour planter son regard dans le sien, la regarder un moment silencieusement et surtout, malignement. « Deal. » Il n'a pas fait semblant de réfléchir. Le visage de Tatiana lui est apparu en vision, sa voix horripilante et criarde, sa manie à se coller à lui comme si c'était la chose la plus normale au monde. Et il y a cette fille au regard mystérieux, dont il a tout à apprendre, qui lui propose un tour en manège. Comprenez que le choix fut facile pour lui. Quand enfin il a récupéré sa commande, William tend la monnaie au bonhomme avant de revenir vers l'étrangère. « Tiens, pour pardonner mon arrogance. » Le sourire aux lèvres, il lui donne un petit paquet de confiseries qui sauront faire son bonheur, ou même celui des plus jeunes. Il hausse d'ailleurs le menton vers eux. « Ça devrait leur plaire. » Contrairement à ce que l'on pourrait penser, William n'appartient pas à ces hommes qui ne supportent pas les enfants, au contraire même. En tant que grand passionné de basket, il lui arrive parfois d'encadrer quelques cours destinés aux enfants, occupation qu'il a toujours su affectionner à sa juste valeur. Apprendre ce que l'on sait à ceux qui ne demandent qu'à apprendre, voilà une chose qui fait totalement sens, n'est-ce pas ? Quoi qu'il en soit, il patiente ensuite que la brunette fasse sa commande, temps pendant lequel il textote l'un de ses amis pour le prévenir d'un « beau contre temps ». Nul doute que l'ami en question comprendrait de quoi il s'agit. Cela dit, détrompez-vous sur un point, William ne se place aucunement en position de chasseur avec cette fille. Parce qu'il a déjà hâte d'aller s'amuser, que son cœur est ailleurs, tout son corps d'ailleurs. Oui, il est déjà dans les montagnes russes. Et quand la demoiselle revient vers lui, il penche sa tête sur le côté. « Le Roller Coaster, ça te tente ? » Déjà il se dirige, à allure lente, vers la destination qu'il a décidé. Non sans adresser quelques mots à sa nouvelle camarade. « Au fait moi c'est William. Et toi ? » Demande-t-il d'abord avant de poursuivre, la mine semi-intéressée, avec une autre question un peu plus personnelle. « C'était les tiens ? » En référence aux deux gamins qui s'éloignent, bien sûr.


    Spoiler :

    Re: ▬ sirens ▬ william et victoire.

    Mer 27 Aoû 2014 - 11:29
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    « Deal. » Je hoche la tête, plutôt satisfaite de sa réponse avant de me concentrer sur les petits à côté, un sourire bienveillant sur les lèvres au moment où je lève les yeux vers le ciel qui s’assombrit petit à petit. Le jeune homme récupère sa commande et je le regarde quelques secondes de plus, je me demande ce qui a pu le convaincre, et puis je me dis qu’en un sens je me fiche de le savoir, vivons l’instant présent sans penser au pourquoi du comment. « Tiens, pour pardonner mon arrogance. » Je mordille ma lèvre avant d’incliner le visage lorsque je prends le paquet en main, souris une nouvelle fois plus délicatement. « Ça devrait leur plaire. » Surement oui, et à moi aussi ça me plait, qu’il tente de se faire pardonner en jouant sur les sentiments des petits qui se trouvent avec moi. Oui, c’est un bon point qu’il ait fait ça, le fait que l’on puisse s’entendre me semble beaucoup plus évident, enfin je ne vais pas trop vite en conclusion parce qu’on ne sait jamais dans le fond. Je me tourne afin de commander, connaissant leurs gouts par cœur parce qu’ils ont été les miens quand j’étais à leur image une enfant prête à rêver, et je réalise que je n’ai pas tant changé que cela, finalement je secoue le visage avant de leur tendre ce qu’on vient de me donner, je paie, que de moitié parce que le teneur du stand me connait depuis que je suis née, et que mes cousins, oncles et tantes sont ses voisins premiers, collègues depuis des années. « Le Roller Coaster, ça te tente ? » J’esquisse un sourire parce que je le connais par cœur ce manège-là, et s’il croit m’effrayer en choisissant celui-là, il est bien loin d’y arriver. « Ça me semble parfait. » Que je lui confie avec un clin d’œil lorsque les petits s’éloignent et que malgré tout je les surveille du coin de l’œil. « Au fait moi c'est William. Et toi ? » Son prénom me plait, je le trouve emplit d’une certaine classe naturelle, et j’en viens à me demander si je dois être Victoire l’étudiante en astronomie ou Victoria l’enfant du monde avec lui. « C'était les tiens ? » Ma réaction ne se fait pas attendre, je me mets à rire franchement, je sais bien que les gitans sont connus pour avoir des enfants plutôt jeune, après tout, ma tante Gina, a eu son premier enfant à quatorze ans, et ça me parait toujours étrange à moi. Alors je croise mes bras sur mon ventre pour essayer de me calmer, le problème c’est que c’est complétement incontrôlé. Comprenant que ça peut vite devenir, encore, impoli, je fini par me calmer avant de lui dire d’un ton tout du même un peu amusé. « Non, bien sûr que non. » Je ne suis pas hermétique aux enfants, mais je veux finir mes études avant cela, me servir de mes facultés pour en faire quelque chose qui puisse servir à l’humanité. Qu’on me traite de rêveuse s’il le faut, mais j’ai la tête dans les étoiles depuis des années. « C’était mes petits cousins, on est très famille. » C’est le cas de le dire. « Victoire. » Je prononce en riant encore un peu. « Mon prénom, je veux dire, c’est Victoire. » Puis on s’avance en rythme vers le manège je salue celui qui tient le commandes et quand il me voit, il sort du manège pour venir me prendre dans ses bras, normalement, c’est une chose qui ne se fait pas chez moi, on n’embrasse pas les filles de cette façon-là, on les respecte, on les aime de loin, mais comme je suis seule aujourd’hui, il faut croire que Tonio prend le droit. « Victoria … » Il prononce en déposant une bise sur ma joue. Quand il me relâche il pose un regard sur William, interrogateur et protecteur envers moi. « On est deux. » Et il me fait signe de passer pour qu’on aille s’installer. Une fois tous les deux côte à côte je le regarde en grimaçant. « Bon, d’accord, j’ai triché pour notre deal. » Et je lui sers un sourire angélique, après tout le résultat est le même il fait un tour gratuit.
         
    lumos maxima
         

    Re: ▬ sirens ▬ william et victoire.

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