Pandore allait pouvoir se reposer ce week end. Elle avait déposé la petite chez ses parents qui étaient ravis de l'avoir rien que pour eux. Je me sentais moins coupable de "couper" la relation si symbiotique entre la jeune femme et Beth. La belle brune était rentrée pour déjeuner, nous avions passé une partie de l'après midi sur la plage à nous disputer et rire comme deux amoureux. Puis nous avions voulu une dose d'adrénaline, bouger, sortir en brandissant notre étendard : en couple. J'avais choisi au hasard le zoo. Ça faisait un certain bout de temps que je n'avais pas pris le temps de renouer avec la nature, les animaux m'avaient toujours fait sourire. Ils étaient loin de nos problèmes stupides. Malheureusement pour eux, la plupart étaient enfermés. Leur illusion de liberté comme nous êtres humains était éradiquée. Nous avions pris ma moto. Pandore serrait ma taille. Je sentais son menton s'enfonçait sur mon épaule. En moins d'un quart d'heure nous étions arrivés. Nous avions pris le dernier ticket. Le parc aller très vite fermé. Mais il était si grand à parcourir. Main dans la main, nous nous étions enfoncés dans le zoo. Le soleil sombrait dans l'horizon. Nous avions ri devant les petites espèces puis nous nous étions drôlement éloignés jusqu'à finir vers les enclos des bêtes sauvages et carnivores. Désormais le soleil avait disparu. Le temps était passé trop vite, je n'avais aucune carte du parc qui faisait une dizaine d'hectare. Lorsque nous y voyions plus rien, nous avions enfin réagi. " Hmm, on devrait peut être faire demi tour non ? " demandais-je à Pandore avant de sursauter quand un rugissement brisa le chant des insectes qui nous encerclait. Nous étions deux proies en pleine savane. J'avais eu la chair de poule et mon coeur s'était mis à battre à fond. " On va se faire bouffer Pandore " dis-je en me rapprochant d'elle dans l'obscurité, serrant sa main.
and now we are alive
je t'ai cherchée partout, même ailleurs. je t'ai trouvée, où que tu sois, je m'endors dans tes regards. même sans toi, je ne serai plus jamais seul, puisque tu existes quelque part. @marclévy ≈ vous revoir › alaska.