I need your help (Caden)

Tu attendais devant le mcdo, tapant de ton pied contre le sol, tu commences à t'impatienter. Ton regard se porte sur ton téléphone, vous vous étiez bel et bien donné rendez-vous à cet instant au mcdo et pourtant il n'avait toujours pas pointé le bout de son nez, qu'est-ce qu'il foutait? Tu n'aimes pas attendre, tu es du genre impatiente, il allait t'entendre lorsqu'il arriverait à-toi, du moins, tu espérais qu'il n'ait pas dans l'idée de te planter ici. Ta main se porte sur ton ventre qui commence lui aussi à s'impatienter, tu n'avais pas pensé à avaler quoi que ce soit de la journée, tu avais été bien trop occupée pour y penser, mais maintenant, ton ventre te le faisait savoir. Caden, le voilà qui arrive tranquillement, les mains dans les poches, rien que de le voir si nonchalant te frustre au plus au point et cela ne semblait pas pour autant l'en déranger, à croire qu'il le faisait exprès dans le but de t'agacer un peu plus. Soupirant, tu l'attrapes par le bras afin de presser le pas "Je commençais à penser que tu m'avais oubliée" ronchonnes-tu en poussant les portes du mcdo, malheureusement, il y avait du monde, si Caden était arrivé plus tôt... enfin bon, ce n'est pas grave.. Posant ton regard sur le jeune homme, tu affiches alors un large sourire, tu sais que tu dois te montrer aimable avec lui, car il compte te rendre un bien grand service. Lorsque ce fut votre tour, tu passes commande, ce n'est qu'une fois servie que tu diriges en compagnie de Caden à une table libre du fast-food. Tu lui glisses alors dans la main ton ordinateur portable "Fais ce que tu dois faire avec tes doigts magiques" Toi et l'informatique ça fait deux, heureusement que tu avais faite la rencontre de Caden qui t'avait déjà sorti d'un plus gros problème, que tu préfères ne plus penser aujourd'hui.

Luann m’a demandé de l’aider à nouveau mais cette fois-ci, c’est pour son ordinateur. Je viens à en avoir l’habitude mais vu qu’elle est jolie, je fais des efforts. C’est un peu macho de réagir comme ça mais c’est tout moi. J’arrive au MacDo et c’est une Luan affamée et pressée que je retrouve. Elle me fait rire. Je la regarde sournoisement quand elle me dit qu’elle a cru que je l’avais oublié. Oh, c’est qu’elle me connait très mal. « Le jour où je t’oublierais, c’est que je serais parti au Canada… au moins. » dis-je en rigolant alors que je me mettais à réfléchir à la commande que je pourrais faire. Je me voyais bien manger de façon industriel pour être calé jusqu’à ce soir. Je ne sais pas ce que je vais faire après tout. Nous commandons ce dont a envie puis une fois que ce fut payé, je suivais la demoiselle. Je pose d’un côté le plateau qui possède mes délices et de l’autre, l’ordinateur que j’allumais d’un tour de main. Je la regarde, un air vicieux et malsain sur mon visage. Je ne pense pas qu’elle a l’air de se rendre compte de ce qu’elle me dit. « Oh tu sais, ce n’est pas seulement avec les ordinateurs que j’ai des doigts magiques. Je pourrais te montrer tout à l’heure. » Je pose un œil sur l’ordinateur de la jeune femme. Je connaissais déjà son code pour l’avoir installer moi-même puis je pianote tout en mangeant quelques frites. Je m’assurais déjà qu’elle ait toujours ses logiciels à jour. « A force, je vais te donner une formation pour les ordinateurs ! Comme ça, tu n’auras plus de soucis ! Au fait, tu refais toujours des photos ? » demandais-je à la jeune femme avec un petit sourire en coin. Pas que j’aimais la taquiner…. Bon d’accord, un peu quand même ! Elle m’avait offert une vision incroyable que j’ai trouvé ces photos, je me demandais si elle en avait d’autres, mais je suis respectueux, je ne vais pas cliquer sur le dossier « Images » pour aller voir. Je me contente de pianoter sur l’ordinateur pour faire ce qu’il faut pour m’occuper de son ordinateur.

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T'es nulle en informatique, ce n'est pas nouveau, heureusement pour toi que tu as la rencontre de Caden, il peut t'être utile au moindre petit problème informatique, tant mieux pour toi! Cette fois-ci, il n'est pas question de récupérer des photos un peu trop dénudées, mais bel et bien d'un problème informatique, peut-être un virus, tu n'en sais trop rien, c'est Caden l'expert. Après avoir pris ton plateau tu t'installes à une table, demandant aussitôt au jeune homme de faire travailler ses petits doigts magiques. Sa réponse n'est guère étonnante, mais sur le coup tu n'avais pas saisie où il voulait en venir, probablement trop aveuglée par cette faim "Pour quoi d'autre?" demandes-tu l'air de rien tout en mangeant une frite. Pauvre jeune femme naïve sur l'instant. Ce n'est qu'après avoir sortie ces paroles que tu comprends enfin, secouant la tête te fronces le nez "Non... Je ne veux pas savoir" ricanes-tu finalement avant de t'emparer de ta boisson pour boire quelques gorgées. On pourrait ainsi croire que tu n'as pas mangée durant de longues semaines, vu la vitesse à laquelle du dévores ton repas. Jetant un petit coup d’œil en direction de Caden, tu manques de t'étouffer à l'écoute de sa petite question. C'est vrai, il avait pu apercevoir certaines photos olé olé que tu avais faite pour ton ex "Cela se pourrait bien" dis-tu d'un petit sourire coquin avant de boire une nouvelle gorgée, autant être sincère, même si cette histoire t'a donnée une leçon, tu fais bien plus attention aujourd'hui avec tout ceci, du moins, tu essayes. "Pourquoi? Serais-tu curieux d'en découvrir de nouvelles?" demandes-tu d'une douce voix tout en lui jetant un petit regard amusé. Non, non, ce n'est pas de la drague, quoi que.. Peut-être un petit peu, on peut bien s'amuser un peu de temps en temps.

"Pour quoi d'autre?" Je la regarde, sérieusement, ce genre de question peut rendre dingue n’importe quel homme. Cette innocence sur le visage d’une femme aussi … « fatale » physiquement, ça déroute tellement. Mais finalement… "Non... Je ne veux pas savoir" Je me mets à rire, amusé qu’elle est compris où je voulais en venir. Je reste, cependant, concentré sur son ordinateur pour voir son souci et faire tout ce qu’il faut. Et vu que je reste quand même respectueux, je ne cherche pas des dossiers personnels, mais je lui demande… "Cela se pourrait bien" Je dévie obligatoirement mon regard pour le poser sur Luann. Je me mords la lèvre, me demandant ce qu’elle a bien pu faire. Mon esprit se mets à imaginer des situations, des tenues explicites, ou même la nudité de la jeune femme. J’en avais déjà aperçu un peu auparavant. "Pourquoi? Serais-tu curieux d'en découvrir de nouvelles?" Et malheureusement pour elle, je suis quelqu’un de particulière honnête et franc. « T’es pas désagréable à regarder, au contraire. Du coup… je demandais. » Puis mon regard se fait plus… provocateur envers la jeune femme. Comme pour la chercher un peu. J’aime le ton qu’elle emploie avec moi. C’est le genre de chose que j’aime entendre. « Un jour, il faudra que tu me les montres toutes. A défaut de pouvoir te regarder en vrai. Mais je ne veux forcer à rien, je comprendrais que tu veuilles les garder que pour toi. » C’est une invitation ouverte et déplacée pour les avoir avec sa permission. Je sais que je pourrais les trouver en une minute sur son ordinateur, montre en main. Mais je m’en moque de mon attitude si dragueur avec Luann, elle me connait bien pour ça. J’attaque un peu mon menu aussi alors qu’un scan rapide se faisait sur son ordinateur.

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Tu fais mine de ne pas comprendre sur le moment, à vrai dire sa réflexion était passée par une oreille et ressortie de l'autre, tu n'avais pas fait attention à ce qu'il venait de dire, jusqu'à ce que tu te mettes à réfléchir bien entendu. Tu ne veux pas en savoir plus, tu sais parfaitement où il veut en venir et cela t'amuse. Un sourire sur tes lèvres, tu entames ton menu tout en le laissant trafiquer avec ton ordinateur, tu n'as rien dont tu as honte dessus, tu laisses donc sans grande difficulté le jeune homme vadrouiller sur la machine. Voilà que le sujet des photos revient sur le tapis, c'est en partie à cause de ce léger problème que tu avais rencontré que ton chemin a croisé celui du jeune homme, tu ne le regrettes pas, il t'est aujourd'hui bien utile et agréable à regarder cela va de soi. Tu l'observes du coin de l’œil, curieuse de savoir s'il est désireux d'en découvrir de nouvelles. Tu ne doutes pas de sa réponse, il se montre très intéressé par cela. Ton regard se porte sur lui, le sourire ne quittant pas tes lèvres, tu fixes son regard avant de te rapprocher doucement de lui, gardant ce petit air charmeuse sur le visage, tu es à ton tour joueuse, loin d'être timide face à lui. Son compliment te fait davantage sourire, ton visage se rapproche dangereusement de lui, tu te contentes juste de jeter un rapide petit coup d’œil sur l'écran de l'ordinateur, juste pour vérifier qu'il fait bien son travail et peut-être bien que tu utilises cette petite proximité pour jouer un peu "Tu sais que... ça ce mérite" murmures-tu d'une douce voix non loin de son oreille avant de porter un regard sur lui, croisant son regard que tu ne quittes pas durant quelques secondes "Si tu es gentil" reprends-tu avant de te reculer, dévorant une frite d'un air amusé.

Cette fille, elle me plait. Et ce serait mentir que ça me dérangerait pas de vivre un petit à côté avec elle. Alors quand je lui demande ouvertement si elle en avait, si elle les partagerait avec moi. Même si j’aimerais bien la voir « en vrai ». Voir ses hanches, ses seins sous mes yeux que des photographies volées par un ex petit ami. Je pose mes yeux sur la jeune femme quand elle s’approche de moi. Je déteste quand les femmes font ça. Je me sens faible d’être séduit par leurs formes qui se mettent en avant quand on les regarde. Leur bouche, leur poitrine, l’image de leurs hanches moulées par la robe. "Tu sais que... ça se mérite" Je la regarde. Je regarde son ordinateur et repose à nouveau mes yeux sur elle. Elle est sérieuse ? Ce n’est pas comme si je voulais qu’elle couche avec moi ! – bien que si elle le proposait, je lui ouvrirais grand mes bras, ma porte, ma couette. « Je pensais que c’était le cas… » ajoutais-je du même ton que la jeune femme en la jaugeant. Mon regard se veut sensuel, un brin provocateur pour voir comment elle réagit. Ce qui me rend encore plus fou, c’est ce qu’elle rajoute. "Si tu es gentil" D’accord, elle fait partie des femmes qui en veulent trop. Une condition, ça passe. Deux conditions, je commence à avoir du mal. Peut-être parce que Leah m’a dégouté de la patience. Attendre des mois pour rien du tout, sur des brefs espoirs, je n’aime pas ça. Je ne veux plus de conditions sur ma personne alors que celle d’en face, n’en a pas. « hm, je vois. Je suis amplement gentil et j’ai tout le mérite qu’il faut. C’est plutôt une question d’envie, non ? » C’est vrai, si elle n’était pas une jolie et gentille) fille, je ne ferais jamais ça pour elle. Je suis ce qu’elle a dit, simplement on accepte ou non de le voir. Je cale mon dos contre le dossier en buvant ma boisson en reposant mon regard sur son ordinateur. « Pour ton pc, j’en aurais fini d’ici dix minutes, il n’y avait pas grand-chose faire. Il sera presque comme neuf après ça. »

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Quel petit curieux, il désire voir de nouvelles photos de toi en tenue déconseillée pour de petits yeux innocents. Rien ne peut l'empêcher de jeter un petit coup d'oeil à cet instant même sur ton ordinateur, mais tu notes le fait qu'il n'en fait rien, préférant au préalable demander ton autorisation. Te connaissant, tu ne peux pas t'empêcher de jouer un peu, faire durer les choses avant de céder à ses désirs. Cela semble de toute évidence l'agacer, te voir agir ainsi, c'est vrai, tu peux vite devenir une emmerdeuse de première lorsque tu t'y mets, ton défaut? C'est que tu ne sais pas t'arrêter avant qu'on ne te secoues pour te sonner de stopper ton petit manège. Attrapant ta boisson, tu cales la paille entre tes lèvres, tout en jetant de petits regards en direction du jeune homme déjà bien gentil de te rendre à nouveau service avec ton ordinateur, au final il n'a pas tout à fait tort, il a déjà obtenu le mérite de voir une photo... mais non, tu ne comptes pas lui offrir ce petit plaisir, pas tout de suite. Tu ne réponds rien à ses premières paroles, hochant du visage à en l'écoutant, ce n'est effectivement pas une question de mérite dans ce cas-là, mais plutôt d'envie "C'est peut-être le cas" Oui, il n'a pas non plus obtenu un non catégorique de ta pars, tu lui as seulement fait comprendre que toutes bonnes choses se font attendre. Tu le laisses travailler avec ton ordinateur, pendant ce temps tu t'occupes de ton repas que tu manges peu à peu, décidément, cela fait un bien fou de faire taire ces gargouillis au fond de ton estomac. Buvant à nouveau quelques gorgées de ton coca, ton regard se porte à nouveau sur Caden qui t'indique que l'ordinateur serait près d'ici dix minutes, c'est parfait, cet homme est rapide, toi qui pensais que cela prendrait des heures "Une fois ces dix minutes écoulées, je te propose d'aller boire quelque chose d'un peu plus fort chez moi.?" dis-tu d'une douce voix après avoir reposée ta boisson sur la table. Ton regard s'était posé sur lui, tu l'interroges du regard afin de savoir si cela l'intéressait. "Ah moins que tu préfères retourner à tes activités une fois le boulot terminé" ajoutes-tu d'un haussement d'épaules.

Luann ne me dit pas non, enfin, elle ne refuse pas, simplement, elle fait planer le suspense. Assez pour ne pas être la fille facile que j’essayais d’éveiller chez les filles la plupart du temps mais pas trop pour me donner l’envie de rester avec elle. Elle me tente, me séduit. Contrairement à ce qui a pu se passer avec Leah, je savais que ce n’était pas une question de mois. Qu’elle ne cherchait pas à me prendre pour un con. Je repousse sur le plateau ce que je n’ai pas mangé alors que la demoiselle me proposait quelque chose d’intéressant : "Une fois ces dix minutes écoulées, je te propose d'aller boire quelque chose d'un peu plus fort chez moi.?" Mes lèvres s’étirent, je ne fais pas de commentaire à ce sujet mais au fond, je suis content de savoir qu’elle veut bien qu’on se voit « un peu plus ». Un verre, ce n’est rien de méchant. Sauf si y’en a plusieurs mais ça… on verra bien. Je vide mon gobelet de soda. "Ah moins que tu préfères retourner à tes activités une fois le boulot terminé" Je ris en manquant de m’étouffer. Elle ne se rend pas compte de ce qu’elle me propose. Faudrait être con pour refuser ça. « Ouai, ça me botte bien ! » Je passe ma main devant ma bouche pour cacher ce début de digestion et finalement, tapotes sur son ordinateur pour en terminer. Finalement, je n’ai mis que cinq petites minutes pour terminer. Plutôt fier de moi, je lance l’extinction du pc. « Bon… une jolie fille m’a promis d’aller boire un verre chez elle, j’espère qu’elle est prête… » J’étendais mes bras pour détendre mes muscles et finalement ranger l’ordinateur dans sa sacoche. Je pousse celle-ci vers la jeune femme. Le repas terminé, je prends nos plateaux et les vide dans la poubelle. « Tu es prête à y aller ? » proposais-je à la jeune femme en sortant les clefs de ma voiture.

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De ton côté, tu ne souhaitais peut-être pas écourter ce rendez-vous, enfin, ce n'est pas un vrai rendez-vous à proprement parlé, tu avais juste besoin de ses talents pour réparer ton ordinateur qui fait encore des siennes. Tu lui proposes alors d'aller boire un verre chez toi, tu aurais très bien pu proposer dans un bar ou quelque chose comme ça, sur l'instant, tu ne sais pas pourquoi tu venais de l'inviter dans ton appartement. Peut-être plus efficace pour toi d'y déposer ainsi ton ordinateur? Lui offrir un verre est la moindre des choses pour le remercier. Tu parles sans récolter de réponses, mais tu vois dans son comportement que l'idée est loin de lui déplaire, rien qu'à voir ce petit sourire qui arpentait ses lèvres. Tu souris à ton tour tout en finissant ton repas, finalement il t'indique qu'il a fini son travail. Tu observes l'heure, impressionnée "C'est mon invitation qui t'a reboosté?" ricanes-tu tout en posant ton regard sur le jeune homme. De dix, vous êtes passés à cinq minutes, ton invitation est effectivement bien passée. Tu le laisses ramasser, tu n'as pas besoin de faire la moindre chose, il s'occupe de tout, range soigneusement ton ordinateur dans sa sacoche, jette le restant du fast-food dans la poubelle et toi, tu es là, à le regarder tranquillement s'afférer à ces tâches "Merci Caden" dis-tu en souriant avant de te lever de ta place. Tu poses ta main contre son épaule "J'aime quand tu es au petit soin avec moi" Tu ne fais que le taquiner juste un peu, tu as toujours aimé cela avec lui, l'enquiquiner à ta façon, mais au fond, au fur et à mesure, tu finis par apprécier cet homme. Vous quittez alors le fastfood, vous engageant dans la rue qui remonte jusqu'à ton appartement. Pas besoin de prendre de véhicule et puis c'est bon de marcher parfois "Tu n'es jamais venu chez moi... je me trompe?" demandes-tu en arquant un sourcil cherchant à faire la conversation, car oui, tu n'aimes pas les conversations vide, rien de tel pour être mal à l'aise. Il peut se considérer privilégié, tu invites très peu d'hommes chez toi.

Ce serait mentir que de dire que sa proposition n’a pas influencé mon travail. Et elle le sait. "C'est mon invitation qui t'a reboosté?" Je lui lance un petit sourire, aussi amusé qu’elle. Je me contente de ce regard pour lui affirmer que « oui », je n’ai pas envie de lui donner cet avantage sur moi. Je ne veux pas que les femmes possèdent des avantages à cause de mes envies, de ma condition d’homme, de mes faiblesses pour elles. Et pour l’instant, je sais que la jolie brune n’en profitait pas de trop. "Merci Caden" Je souris. « De rien, c’est tout naturel. » Naturel… enfin, disons qu’elle est jolie, que j’aimerais bien la mettre dans mon lit, et que malgré moi, je suis en sorte séduit par la jeune femme sans avoir la possibilité de lui faire comprendre. Carapace, Carapace… Finalement, Luann n’habite pas loin, on a juste à marcher, je la suis donc. "Tu n'es jamais venu chez moi... je me trompe?" me questionne-t-elle en chemin. Je fais mine de réfléchir à ce qu’elle me disait, fouillant dans mes souvenirs sur les chaque fois que je l’ai vu. C’est alors qu’une image amusante me vient en tête. Et c’est une image digne de Caden Marshall. « Non, c’est vrai, mais j’ai aperçu un peu avec les photographies… Mais c’est mieux de se rendre compte en vrai. » Douces photographies, je connais déjà ce corps sous ces jolis vêtements. Même s’il n’y a plus de place pour mon imagination, ça ne change en rien le désir. Ma petite conscience, oui très petite, me frappe de freiner dans notre route jusqu’à chez elle pour le plaisir de l’admirer. Finalement, nous finissons par arriver chez elle. Une fois dans l’ascenseur, je posais mon dos contre la paroi et l’observait. « Tu invites souvent des hommes chez toi ? Ou je suis le premier en dehors de tes petits copains. » Au fond, ma fierté de mâle en serait bien heureux qu’elle dise « oui » mais je pense que je peux me leurrer, elle n’est pas le genre de fille à avoir qu’un seul homme à ses pieds. La montée de l’ascenseur est tellement courte…

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