Some saw the sun, some saw the smoke, some heard the guns, some bent the bow. Sometimes the wire must tense for the note. Caught in the fire, say oh, we’re about to explode. Carry your world, I’ll carry your world. Some far away, some search for gold, some dragon to slay. Heaven we hope is just up the road. Show me the way, Lord because I'm about to explode. Carry your world and all your hurt.
Body Art
Assise sur une marche d'escalier, Candy fumait tranquillement sa cigarette à l'extérieur. Elle adorait être entourée mais elle avait appris à apprécier la solitude au même niveau, surtout dans ces petits moments qui n'appartenaient qu'à elle. Il y avait les banales pauses café, et puis les banales pauses clope. C'était devenu un rituel, tout comme l'était de se lever chaque matin pour aller en cours ou d'écouter la radio en se préparant. Écrasant le mégot sur le sol, la surfeuse pris son sac avant de se lever, réintégrant rapidement l'intérieur. Elle avait encore une heure de pause avant de reprendre les cours et autant dire qu'elle ne savait pas à quoi l'occuper.
Elle erra quelques minutes dans les couloirs, fredonnant des airs de chansons populaires en dandinant la tête, avant de s'arrêter devant une porte. Haussant un sourcil, elle colla d'abord sa tête contre celle-ci, histoire de vérifier s'il y avait quelqu'un à l'intérieur. N'entendant aucun bruit, elle toqua ensuite, puis ouvrit sans même attendre une réponse. Par chance, celle-ci était ouverte. Et par chance, un garçon se trouvait là aussi. Pas n'importe lequel, d'ailleurs. Esquissant un sourire des plus révélateur, Candy fit un pas de plus en sa direction, essayant de trouver à quoi le jeune homme était occupé. « Tu travailles ? » Venant se poster tout près de lui, la danseuse s'imposa à Liam comme une évidence : « Moi aussi j'apprécie beaucoup l'art, tu sais... »
Reportant son attention sur la salle d'art, Candy fit mine d'analyser les oeuvres présentes, un peu comme si elle s'y connaissait alors que la seule et unique chose qui l'intéréssait ici, c'était Liam. Il fut un temps où elle dessinait mais c'était terminé. Elle n'avait plus touché à un crayon depuis des lustres, remplacé par des objets tout aussi fins et on ne peut plus simple d'utiliser, qui avaient davantage le don de l'apaiser.
S'approchant à nouveau de l'objet de ses désirs, Candy fit courir ses doigts sur le torse du jeune homme et ajouta, tout sourire : « Particulièrement l'art... corporel. » Se retenant de rire, la jeune femme voyait bien la gêne de l'étudiant s'accroître au fur et à mesure de ses paroles et de ses gestes. Elle connaissait son caractère et prenait toujours un malin plaisir à le mettre dans des situations toujours plus embarassantes. Il était beaucoup trop gentil pour l'envoyer ballader, mais pas assez confiant pour répondre à ses avances ou aller dans son sens, voilà pourquoi elle l'adorait.
Une heure. C'était le temps qu'il lui restait et elle comptait bien ne pas chômer pendant ce temps ; d'autant plus qu'elle était actuellement en très bonne compagnie.
Elle erra quelques minutes dans les couloirs, fredonnant des airs de chansons populaires en dandinant la tête, avant de s'arrêter devant une porte. Haussant un sourcil, elle colla d'abord sa tête contre celle-ci, histoire de vérifier s'il y avait quelqu'un à l'intérieur. N'entendant aucun bruit, elle toqua ensuite, puis ouvrit sans même attendre une réponse. Par chance, celle-ci était ouverte. Et par chance, un garçon se trouvait là aussi. Pas n'importe lequel, d'ailleurs. Esquissant un sourire des plus révélateur, Candy fit un pas de plus en sa direction, essayant de trouver à quoi le jeune homme était occupé. « Tu travailles ? » Venant se poster tout près de lui, la danseuse s'imposa à Liam comme une évidence : « Moi aussi j'apprécie beaucoup l'art, tu sais... »
Reportant son attention sur la salle d'art, Candy fit mine d'analyser les oeuvres présentes, un peu comme si elle s'y connaissait alors que la seule et unique chose qui l'intéréssait ici, c'était Liam. Il fut un temps où elle dessinait mais c'était terminé. Elle n'avait plus touché à un crayon depuis des lustres, remplacé par des objets tout aussi fins et on ne peut plus simple d'utiliser, qui avaient davantage le don de l'apaiser.
S'approchant à nouveau de l'objet de ses désirs, Candy fit courir ses doigts sur le torse du jeune homme et ajouta, tout sourire : « Particulièrement l'art... corporel. » Se retenant de rire, la jeune femme voyait bien la gêne de l'étudiant s'accroître au fur et à mesure de ses paroles et de ses gestes. Elle connaissait son caractère et prenait toujours un malin plaisir à le mettre dans des situations toujours plus embarassantes. Il était beaucoup trop gentil pour l'envoyer ballader, mais pas assez confiant pour répondre à ses avances ou aller dans son sens, voilà pourquoi elle l'adorait.
Une heure. C'était le temps qu'il lui restait et elle comptait bien ne pas chômer pendant ce temps ; d'autant plus qu'elle était actuellement en très bonne compagnie.