Re: IT'S NOT GAY WHEN IT'S IN THE ONE TWO THREE WAY ! [ tg ]

Ricanant légèrement, je lui répondis sur un ton calme et posé.

- Du calme, ma fille : personne n'a parlé d'autre chose que d'un verre ... et je me retins fortement afin de ne pas dire "pour le moment". Mais elle était perspicace. Il fallait se l'avouer. Certes, nous ne faisions pas grands efforts pour dissimuler nos réelles intentions ... Bien que je me plaisais à croire que je n'étais pas si transparent qu'ils m'en donnaient l'impression.

- Un verre devrait suffire à me faire pardonner, non ? lui souris-je alors, tout en faisant signe au serveur :

- Garçon ! Votre Paradise Punch non-alcoolisée pour la belle demoiselle assise par ... Oh, vous la retrouverez bien assez facilement, va. Il n'y en a pas deux comme elle.

Et c'était sûr que dans le rayon "charme", elle occupait toute l'aile entière.

Reportant finalement mon attention vers elle, je laissai mon regard furtivement croiser celui d'Abel afin de lui faire comprendre que je ne l'oubliais pas. Puis, je lui demandai avec un intérêt artificiel peut être trop poussé (mais au fond, bien véridique : c'est que cette petite brune là m'intéressait, et pas qu'un peu) :

- Tu devrais vraiment refaire l'éducation de ton ami : aussi charmant qu'il soit, il n'a même pas pris le temps de me dire ton prénom. Si je puis me permettre ... C'est quoi, ton petit nom ? C'était moins fin que ça ne l'aurait été sobre ... Mais ça ferait l'affaire. Du moins, je l'espérais.

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+ DOESN'T IT FEEL SO GOOD TO BE BAD?

Soirée Saint Valentin

Où comment tuer sa soirée à sortir en total impro.

"Personne n'a parlé d'autre chose que d'un verre". Il était vraiment sérieux là ? Car si il voulait faire le malin pour la faire rigoler l'espace d'un instant, il fallait avouer que ce n'était pas très réussi. Bon, oui il fallait dire aussi qu'Eleanor à cet instant ne lui accordait que peu de crédit, et que ça ne jouait pas en sa faveur. Mais il semblait trop sûr de lui et très entreprenant, même si c'était une qualité qu'elle pouvait apprécier, parfois. PARFOIS.

« Ca tombe bien. Cela aurait été dommage d'essuyer déjà un refus aussi rapidement, n'est-ce pas ? »

Yannick semblait de ceux qui savaient pertinemment ce qu'ils étaient en train de faire, comment le faire, à quel moment le faire et pourquoi le faire. Seulement, elle avait la nette impression qu'il l'avait mal jugée et qu'il la prenait pour... pour quoi d'ailleurs ?

« Tu me demandes si un verre que tu m'offres avec l'argent de ton père - évidemment pas le tien - et que tu dilapides pour rattraper tes erreurs, suffirait ? Allons, je suis sûre que tu connais la réponse, hein ? »

Ce type se disait riche et il lui demandait si un verre à 5 dollars rattraperait la chose. Elle en riait intérieurement, tellement c'était pitoyable. C'était un peu comme si il lui montrait une bague en plastique. C'était vraiment ça, sa manière de se faire pardonner ? Eleanor ne le quittait pas des yeux, elle voulait absolument tout capter de lui. Enfin, presque, car elle adressait par moment des regards assez évocateurs pour Abel. Enfin, Yannick s'attardait à lui demander comment elle s'appelait, alors que d'un autre temps, il avait quasiment donner son adresse à Abel. M'enfin, il fallait bien laisser une chance.

« Je m'appelle Eleanor, Yannick. » répondait-elle, lui offrant un sourire forcé pour lui dire que ce n'était pas encore ça. Si lui n'avait pas pris le temps de bien faire les choses, elle avait tout écouté. Cependant, si elle prenait la peine de lui parler, c'est qu'il éveillait au moins sa curiosité. « C'est vrai, je me suis toujours dit qu'il fallait que je corrige deux trois choses. En revanche, ne le prends pas mal, mais niveau courtoisie et prestance, il en a carrément plus. Un point où tu sembles pêcher plus qu'honteusement. On va dire qu'on ne peut pas être bon partout. »

Je n'avais pas attendu une seconde pour entraîner Fauve avec moi sur la piste de danse. Celle-ci avait également eu le temps de prendre Priam avec nous. Bien entendu, Fauve sans Priam, ce n'était plus la même. Et tandis qu'elle se trémoussait autour ce lui, je dansais sur le rythme de la musique, balançant mes hanches et buvant en même temps. J'étais dans mon élément, je ne voyais plus personne autour de moi, n'entendait plus les rires, les cris, que la musique et les battements des enceintes. Made se mit à tourner autour du jeune homme, elle m'indiqua de faire de même et je n'hésitais pas. Parce que dans ces situations, je n'avais qu'une envie, bouger mon corps. Je ne pensais plus à rien, juste mes mouvements et ma fiole qui se retrouva vide en un rien de temps. Le flacon était assez petit et ne contenait que peu de whiskey, mais assez pour me rendre joyeuse. Je fis alors signe à mes compères que j'allais au bar. Je commandais alors un double shot de tequila et le vida d'une traite. C'est à ce moment-là que mes yeux tombèrent sur Aaron qui se trouvait un peu plus loin. Je demandais à nouveau, un cosmopolitain cette fois-ci, avant de me diriger vers le coréen, un sourire aux lèvres.

Moi, jaloux ? Je l'étais carrément. Car même si je me laissais faire par Loo, ce n'était pas pour autant que je laisserais Théa à quelqu'un. Même si Lorenzo était mon meilleur ami, je restais quand même protecteur envers Théa, et surtout un peu égoiste. Nous étions seulement des amis, je ne voyais rien au delà de notre relation mais je pouvais pas. Je passais mes mains sous le tee-shirt pour enlever celles de Loo. ❝ Arrêtons les frais. J'reviens. ❞ Théa avait emmené Lorenzo sur la piste mais j'attrapais la jolie blonde par le poignée afin qu'elle vienne à moi, collant son buste contre mon torse et en prenant sa mâchoire avec ma main. Je lui envoyais un petit sourire sadique : ❝ Joue pas à ça avec moi. ❞ Je lâchais prise pour abaisser mon visage jusqu'au sien et l'embrasser langoureusement. Elle faisait sa jalouse, je lui retournais la monnaie de sa pièce et je ne me gênais pas de le montrer devant tout le monde. OUI OUI; propriété privé jusqu'à preuve du contraire, durant mon célibat, Théa m'appartenait lorsque j'étais dans la même pièce qu'elle. Une idée me venait à l'esprit, je regardais Lorenzo avec un petit sourire puis tirait Théa jusqu'au bar. ❝ Une autre tournée s'il vous plait. ❞ disais-je au serveur avant de me tourner vers mes compères. Je calais ma tête contre celle de Théa, j'avais pas envie de la lâcher. Je glissais mes doigts dans sa chevelure. ❝ Tu sais que tu as pas à être jalouse, Théa... ❞

Never babe. Je n'aide pas la concurrence à atteindre ma perfection. Et encore moins les jalouses. La belle était amusée par l'asiatique et se retenait presque de rire devant ses mimiques sur-exagerées de pouffiasse, hello, on n'est pas dans Mean Girls et tu n'es pas Regina, ok. Sur ses paroles, cette dernière l'avait quitté, la laissant de nouveau seule. Un autre verre ? Heureusement pour elle, quelqu'un vint à sa rescousse. Solal ? Ma foi, ils sont colocataires mais ne parlent quasiment pas, si ce n'est pour les tâches ménagères et pendant les repas mais à part ça, elle ne le connait pas tellement. « Salut Payson ! T'es seule ? Ca te dirait d'aller boire un verre ? » Etrange qu'après deux ans de colocation il vienne lui parler, enfin, elle était heureuse de pouvoir discuter avec lui, surtout si il lui propose un verre. " Heeey Solal, bien sûr que j'accepte, je ne peux pas refuser un verre surtout que tu ne me laisses pas le choix !" lui répondit-elle en riant. Son opération pour se trouver quelqu'un le jour de la St Valentin était en train d'échouer mais voyons les choses du bon côté : elle s'était bien amusée et puis, elle avait encore toute la soirée pour se trouver quelqu'un. « Je viens d'arriver et il faut se mettre dans l'ambiance ! N'est-ce pas ? Si tu me dis ce que tu veux, je vais nous chercher ça et après on va danser si tu veux ? » Solal accompagna sa phrase qu'un petit mouvement de bassin, ce après quoi Payson ne put s'empêcher de rire avant de l'imiter. " Ouaai, t'as l'air d'être un super danseur ! Hum ... je veux bien un cosmopolitan, après tout, les boissons sont gratuites ce soir autant en profiter " Payson le trouvait très mignon mais elle savait qu'il était gay, enfin elle n'en était pas sûre car elle n'avait jamais osé lui demander mais elle arrive à sentir ce genre de chose et puis, elle est sûre l'avoir déjà maté le plombier super sexy qui était venu réparer la tuyauterie.

Mon sourire se transforme en sourire arrogant quand je vois tous les mecs qui regardent Bethany comme s'ils allaient l'a dévorés, visiblement le fait que j'ai mon bras autour de ses épaules ne semble pas les dérangés. En même temps je comprends pourquoi ils ont l'air de loups affamés en l'a regardant, elle est vraiment sublime dans sa robe ce soir et je suis ravie qu'elle soit avec moi en ce moment. Elle me dit « Tu aurais dû m'appeler, on se serait ennuyé ensemble. » Je lâche un petit rire avant de répondre "Je m'en souviendrais pour la prochaine fois" . Puis Bethany me dit qu'elle va se chercher un verre et qu'ensuite on pourra s'en aller, je choisis ce moment pour chercher Ethàn du regard et une vague de jalousie me submerger en voyant qu'un gars lui tient maintenant compagnie. Mais je ne suis pas le genre de jaloux maladif donc j'hausse les épaules, parce que de toute manière que pouvais-je faire ? Rien, donc c'était mieux que je n'y pense plus pour le reste de la soirée. Je fais de nouveau un sourire à Bethany et on se dirige vers la sortie de la boite.

Où était passé ton bon sens ? Tu le ne le savais pas mais il était sans aucun doute très, très, très loin d'ici. Tu n'étais pas vraiment en état de réfléchir et au fond, tu avais mis ton cerveau en mode off. Cette nuit, plus aucune réflexion ne viendrait entacher ton esprit. Tu partais d'ailleurs sur la bonne voie depuis que tu avais avalé cette petite pilule. Tu devrais sans aucun doute remercier Victoire plus tard, enfin, si tu arrivais encore à te souvenir d'elle. Pour le moment, la pilule commençait seulement à faire effet. Tu te sentais beaucoup plus déluré et capable de plus d'actions. Il n'y avait qu'à observer l'étrange manière dont tu te déhanchais sur la poste. Cela ne ressemblait à rien de connu mais c'était exactement ce que tu vivais. Une sensation de bien-être quelque peu inconnue ou plutôt très oubliée chez toi te saisissait de tout ton corps tandis que tu profitais de la compagnie. Tu avais rencontré Ethàn ou c'était lui qui t'avait rencontré ? Pas le temps de te poser la question.Tu voulais profiter du moment et cela ne pouvait se faire qu'en te concentrant sur l'inconnu qui ne l'était plus du moins en prénom. Tu ne savais pas où il vivait ni son âge mais tu te doutais qu'il était majeur. Il n'avait pas une tête de minet de seize ans et puis, ce lieu devenait de plus en plus débauché et un mineur n'allait surement pas rester ici. Qui plus est, en voyant les regards qu'il te lançait, tu n'avais aucun doute que ce n'était pas ceux d'un jeune homme innocent. Tu lui avais avoué que ta frontière sexuelle diminuait à mesure que ton esprit s'embrouillait. Oh bien sûr, tu n'avais pas exprimé les choses de la sorte mais cela revenait au même. Naturellement, tu lui retournas la question et sa réponse ne se fit pas attendre sauf qu'elle arrivait d'une manière totalement inattendue. Il t'avait embrassé. Comme ça... Au milieu de la piste et ta tête s'était quelque peu réveillée sous le choc. Oh pas longtemps, juste assez pour te faire comprendre que tu n'étais plus vraiment toi-même mais cela n'était pour autant pas si mal que cela. C'était même plaisant. Ses propos te ramenèrent un peu plus à cette nouvelle réalité. Ton regard se posa sur la foule qui te semblait bouger à un rythme étrange voir même effréné tandis que lui restait si visible, tellement. Tes yeux le regardaient de haut en bas d'une manière assez clair. Où était passé ta pudeur ? Très loin d'ici mais tu savais que cette douce amie pouvait se ramener dès que l'occasion se présenterait. En l'entendant proposer un verre, tu sautas sur l'occasion pour enfoncer encore davantage ta pruderie au fond de toi. Tu t'approchas de son oreille avant de lui sortir un petit « surprend-moi ». Tu jouais avec le feu mais cela te plaisait énormément. Ta bouche n'aurait pas été contre rencontrer la sienne mais ta tête était peut-être encore un peu trop présente. Tu avais besoin d'un verre de plus ou d'un geste de plus pour te laisser encore plus aller.

Abel avait bien raison. L’enfer n’était face à une femme en colère. Et dans les yeux d’Eleanor brillaient une colère froide. Les flammes bleues d’un dragon depuis longtemps endormi. L’alcool était un inhibiteur pervers et si Abel n’avait pas été aussi téméraire en temps normal, il aurait été un vrai sagouin à ce moment-là. Mais il savait très bien qui il était et savait de quoi il était capable. Cependant, il se délectait de la joute verbale qui c’était installé entre Eleanor et Yannick. Car il s’appelait Yannick. Un peu moche comme prénom mais au moins ça contrastait avec son charme. L’un comme l’autre n’y allaient pas de main morte et cela lui faisait plaisir de voir à quel point son amie tenait à lui et par-dessus tout détestait qu’on vienne les embêter.

« Bon ça y est, tu m’as gonflé le lourdeau. Mais je vais te dire une chose, je sais pourquoi tu es là et ce que tu attends de moi. Ce que tu fais je l’ai pratiqué quand tu allais encore au concert de Bieber en t’imaginant pouvoir le coincer dans une zone sombre des baskstages. » lança t-il d’une traite et que ce soit Eleanor ou Yannick tous les deux avaient entendu. Un sourire étrange apparut sur le visage d’Abel. Celui du souvenir. Il happa le barman qu’il connaissait, lui lança un regard et prit une bouteille non loin. Il s’enquilla cul-sec une bonne rafle de vieux rhum et se lécha les lèvres en regardant Yannick. Puis il se tourna vers Eleanor en posant une main apaisantesur la sienne.

« Je ne suis pas fier de ce que je vais faire. Mais je crois qu’il a besoin d’une bonne correction. Pendant que je peux encore parler comme il faut, sache que je suis désolé que tu vois cette facette de moi. Je te promet que je te ferai trois défilés sans me plaindre. Je t’aime mon amie. » dit-il en lui faisant du joue contre joue. Il était sincère.

Après cela il se tourna vers Yannick, une lueur résonnant dans son regard. Le démon Abel était dans la place. Il attrapa la main de Yannick et se leva.

« C’est l’heure pour moi de te donner une leçon dont tu te souviendras. Assure-toi dans les années qui vont venir de ne pas croiser ma route tu risquerais de le regretter. Je vais te montrer la jouissance du démon ! En avant ! » dit-il d’un ton autoritaire en prenant le chemin de la sortie. Il voulait se faire Abel ? Qui a dit qu’on se faisait Abel ?

Je sentais que peu à peu Sweeney se laissait aller. Je ne savais pas s'il était comme ça ou pas dans la vie de tous les jours vu que je ne le connaissais pas du tout. Mais en tout cas, son attitude à la soirée montrait clairement qu'il comptait s'amuser ce soir. Comme j'avais l'intention de le faire. Ça allait me permettre d'oublier que Theodore partait de la soirée avec l'autre blondasse. Ce n'était pas vraiment le fait qu'ils partent qui me dérangeait, mais plus le fait que Theo m'avait quasiment totalement ignoré et c'est surtout ce qu'ils allaient faire tous les deux après qui m'inquiétait. J'étais un peu mal placé pour faire mon jaloux alors que je baisais à tout va, j'avoue, mais c'était comme ça, je pouvais pas m'empêcher de l'imaginer au lit avec cette pimbêche et ça me donnait juste la nausée rien que d'y penser. Alors pour m'oublier ces images horribles, je préférais m'ancrer celle du beau jeune homme qui me tenait compagnie.
Sweeney ne m'avait pas repoussé quand je l'avais embrassé, il n'avait pas non plus répondu au baiser furtif. Non il avait eu juste l'air surpris un instant avant de reprendre (ou plutôt reperdre) ses esprits. Il était alors venu me chuchoter à l'oreille, assez sensuellement que je devais le surprendre dans le choix de nos boissons. Euh, s'il continuait à me chauffer comme ça, même si c'était pas grand chose, il allait vite se retrouver avec peu de vêtements et peu m'importait l'endroit. Pour calmer un peu mes ardeurs, et ne pas lui sauter dessus, je m'éloignais de lui pour aller nous prendre deux verres. Je demandais au serveur de nous préparer deux cocktails les plus forts et les plus tropicaux; le B.Davis (ouais ok j'regarde One Tree Hill et alors ? :p). Alors qu'il les préparait, j'observais de loin mon compagnon pour la soirée, et me dit qu'il était vraiment vraiment attirant. Je pris les deux boissons terminées et les emmenai au jeune homme : « Et voilà, je te laisse goûter et me dire ce que tu en penses ... de la manière de ton choix. » Un verre de plus, l'alcool afflue dans mes veines, Théodore s'efface peu à peu; la vraie soirée peut commencer.

J'avais un peu pété les plombs mais je crois que c'était les effets de l'alcool sur moi. Pourtant que je n'avais rien pris d'autre que de l'alcool. Je n'avais pas touché à autre chose mais j'étais un peu trop joyeuse et fetarde à mon gout mais je ne peux pas vraiment me controler là. Une idée lumineuse me traversa l'esprit, jouer à un jeu d'alcool dans un coin moins bruyant, par contre j'espérais que Cléo avait une idée parce que là je n'en n'avais pas du tout. Au passage je pris deux bouteilles, une pour mon amie et une pour moi. Cléo me proposa de jouer au jeu du "je n'ai jamais" et j'hochais de la tete pour lui montrer que j'approuvais son idée. le principe du jeu est simple, quelqu'un dit je n'ai jamais fait telle chose et tout ceux qui l'ont déjà fait doivent boire. Elle me confessa n'avoir jamais fait de threesome ce qui me fit rire Je ne bois pas haha ! Euh je n'ai jamais .. eu de relations homosexuelles. Bon sans compter le baiser de tout à l'heure mais ce n'était rien du tout. J'attendais en souriant pour voir ce qu'elle allait faire

Spoiler :

Accepter un verre surtout si je ne lui laisse pas le choix... Je ris à sa réponse. Non, je ne lui laissai pas le choix mais cela ne lui déplaisait pas à ce que je pouvais comprendre. Je lui ai parlé un instant de se mettre dans l'ambiance avant de bouger légèrement mon bassin, chose qui la fit rire mais elle m'accompagna rapidement avant de me donner sa commande et de me préciser que les boissons étaient gratuites... Pardon ? Ai-je bien entendu ? GRATUITES ! Un large sourire se dessina sur mon visage comme si je venai de découvrir un trésor égyptien enfouit depuis des millénaires et que c'était moi qui venais de le trouver alors que tant d'autres avaient cherché auparavant. « Des boissons gratuites ? C'est avec un plateau de Cosmopolitan que je vais venir oui ! » Et je m'en vais rapidement au bar. Le barman vint à moi, très mignon entre autre. « Salut ! Trois cosmopolitan et trois whisky coca stp » Ce soir, je me met la tête à l'envers oui ! Des boissons gratuites, pour une fois que je vais pouvoir me bourrer la gueule et me réveiller demain avec une gueule de bois phénoménale et pas un sous en moins dans mon porte-feuille. J'ai un large sourire aux lèvres, heureux de ce qui va m'arriver ce soir. Je demande au barman de mettre le tout sur un plateau et je reviens près de Payson. Tout ça en moins de 5 minutes, le barman est rapide héhé. Je présente le plateau à ma colocataire et avec un large sourire aux lèvres, je lui dis. « Ce soir, on se fait plaisir ! » Je dépose le plateau sur une table, je prends un verre dans chaque main et je regarde Payson avant de hausser la voix, comme je l'ai fais jusqu'à maintenant. « La musique est chouette ! Viens, on va danser ! » Et je pars en direction de la piste de danse. Je me retourne vers elle qui n'a toujours pas bouger, je lui envoie un baiser avec mes lèvres, un petit clin d'oeil et je bouge mon bassin de façon sensuelle afin qu'elle s'approche de moi. Entre temps, j'ai déjà fini un de mes deux verres... Alcoolique que je suis !

Ce jeu était un des plus drôles à jouer avec des inconnus. Tu apprends des trucs sur eux et ça te permet de savoir à quoi tu pourrais les initier si ça les tente. Alors que j'avouais ne jamais avoir de threesome, bien que je ne dirais sûrement pas non si l'occasion se présentait, Sahara posa son prochain j'ai jamais étant je n'ai jamais eu de relations homosexuelles. La blague. Je rigolais doucement tout en attrapant plus fermement ma bouteille et en descendant quelques gorgées. Sérieux, toi jamais ? dis-je en rigolant doucement avant de reprendre une once de sérieux, fixant Sahara et rentrant dans une profonde réflexion. Je n'ai jamais ... fais l'amour dans des toilettes. C'est pas très glamour dans des toilettes quoi. Je fixais ses lèvres, me disant que le baiser de tout à l'heure avait sûrement été la première fois qu'elle embrassait une nana, un sourire en coin s'afficha alors sur mon visage alors que j'attendais sa réponse.

Je ne fus pas tellement étonnée de voir Cléo boire, elle avait donc déjà eu des relations avec des filles vu ce qu'elle m'avait dit tout à l'heure, ça semblait assez logique mais j'étais toujours nulle pour trouver des idées de questions, gages, etc surtout alcoolisée. Elle semblait étonnée que je ne sois pas encore initiée aux filles Et non, disons que ce n'est pas convenable dans ma famille .. Ce qui était totalement vrai, être homosexuelle ou juste bisexuelle quand on est de sang royal, ce n'est pas vraiment conseillé à moins d'avoir des envies suicidaires. Elle me lança son deuxième je n'ai jamais et j'appris qu'elle n'avait jamais rien fait dans des toilettes. Je souriais à ses propos, elle qui paraissait si .. aventurière, spontanée que cela m'étonnait presque mais soit, je pris ma bouteille et je bus quelques gorgées d'alcool, ben quoi ? J'ai déjà fait des choses dans des toilettes, vous savez à l'âge con et pour un mec des fois on ferait un peu n'importe quoi enfin bref ! Eh oui tu m'as démasquée ! Bon euh je n'ai jamais ... eu de relations avec un prof. Après je n'excluais pas d'avoir fantasmer dessus, le plaisir des yeux était toujours autorisé ! J'étais bien partie pour avoir la gueule de bois demain moi ..

Alex avait passé son bras autour de mes épaules afin de me faire entrer dans le petit groupe qu'ils formaient et commandé un autre verre pour moi. Du Whisky, ce n'était pas ma boisson préférée, je n'en buvais que depuis que je connaissais Alex. Lorenzo m'avait salué d'un sourire que je lui avais rendu en me détachant un peu d'Alex. Lorenzo avait l'air d'avoir bien profité de la boisson. La blonde( Thea) qui semblait faire de l'effet à Alex n'avais pas l'air de m'apprécier, à peine étais-je arrivée qu'elle m'aboyait qu'Alex n'était qu'à elle, elle ne m'avait même pas laissé le temps de répondre à celui si.

- Du calme ma grande je te le laisse. Ce soir l'alcool est mon seul et unique ami, lui au moins il sait me réchauffer.

J'accompagnais mes mots d'un clin d'oeil à l'attention de Renzo qui devait surement comprendre ce que je voulais dire. La blonde, qui m'avait limite agressé, avait finalement jeté son dévolu sur le pauvre Renzo après un dernier geste d'affection pour ce bon vieux Alex... J'avais attendu que le semblant de couple s'éloigne vers la masse informe et mouvante qu'était la foule _la blondinette avait compris qu'Alex n'allait pas se priver de ma présence_ avant de boire d'une traite mon verre et d'interroger Alex:

- Jalouse et possessive, elle te plait vraiment où tu aimes simplement l'avoir dans ton lit?

Je m'étais rapprochée de lui afin d'entendre sa réponse sans que la musique ne me dérange.

Convenable dans ta famille ? Genre ton père est tellement strict qu'il te priverait de ton héritage ou je ne sais quoi juste parce que tu as embrassé une fille. J'avoue qu'en général, en jouant au je n'ai jamais, j'étais plus celle qui buvait à tous les tours et qui ne trouvait jamais d'idée, faut croire que ce soir, j'avais très envie de faire boire Sahara alors je me torturais les cerveau pour trouver des idées. Je dois avouer que non, je ne l'avais jamais fait dans les toilettes. C'est juste un des endroits les plus répugnants. Je vois alors Sahara boire et je lève un sourcil, un peu étonnée. Je ne le voyais pas à faire des choses dans les toilettes. Je laissais échapper un petit rire lorsqu'elle avoua que je l'avais démasqué et me préparais pour son prochain je n'ai jamais qui finit par être "avoir eu des relations avec un prof". Je pris la bouteille et but une gorgée. Techniquement, c'était pas un prof, mais un membre du personnel, enfin c'est possible que je l'ai aussi fait avec un prof sans le savoir. dis-je un sourire aux lèvres. Je n'ai jamais ... vraiment eu de relations sérieuses. Pratiquement que des coups d'un soir ou de quelques soirs. dis-je, réalisant que finalement, elle pouvait trouver ça pathétique, de ne jamais avoir vraiment été avec quelqu'un, même si au fond, c'est le genre de relation qui m'allait putain de bien parce que c'est le seul genre de relation ou tu es sûre de ne pas te retrouver détruite à la fin parce que tu auras trop aimé quelqu'un.