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    C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Ven 15 Fév 2013 - 15:50
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    Il existe certaines questions qui restent sans réponse. La question du jour est la suivante : lorsqu'une journée commence mal, pourquoi continue-t-elle souvent mal ? Une réponse comme parce que serait surement la plus logique puisque personne ne peut y répondre. C'est comme ça, tout simplement. Parfois, accepter la fatalité est la meilleure chose à faire. Je me suis levé du mauvais pied puisqu'en retard. Pas le temps de prendre mon petit-déjeuner, juste de passer sous la douche et de m'habiller rapidement avec un rapide coup dans les cheveux. Histoire de ressembler à quelque chose de potable. Peut-être baisable même. Qui sais !!? C'est avec un simple jeans marron à la couple slim sans être trop collant tout de même et un pull blanc cassé avec un coll en V. Une simple paire de chaussures, ma ceinture, mon sac en bandoulière et me voila prêt à partir. J'ai presque envie de dire : enfin ! Je vais être en retard. Un professeur pas très sympathique qui plus est. Je me grouille, c'est tout ! La voiture, une place de parking introuvable. Bon, je me gare un peu plus loin et je cours jusqu'à l'amphithéâtre. J'ai quelques minutes de retard, j'arrive au même moment que mon professeur. Il arque un sourcils lorsqu'il me voit derrière lui et me demande simplement de fermer la porte, sur un ton des plus arrogants. Que je déteste ça ! Je m'installe dans l'une des premières rangées et son cours commence. Quelques prises de notes dans mon syllabus face à moi, mon sur-ligneur à la main, je prends les informations importantes afin qu'elles me sautent aux yeux lorsque je relierai tout ça ce soir lorsque tout aura stagner un petit moment dans mon esprit. Cela paraîtra surement plus clair à ce moment là ! Le cours se termine, je salue rapidement Thea et je la laisse avec ses amies. J'aurai d'autres occasions pour discuter avec elle. Je m'en vais donc à la cafétéria de l'université.

    L'endroit est calme. Il reste une heure avant que l'heure du déjeuner arrive. Je vais me chercher un café, je prends également l'un des derniers croissants qui restent et je vais m'installer sur une table libre. Déguster mon en-cas ? Pas vraiment. En moins d'une minutes trente, il est avalé ainsi que mon café que j'ai bu tout aussi vite. Je respire un grand coup et je sors un livre sur les enfants surdoués de mon sac. Je l'ouvre mais avant d'entrer dedans, je jette un oeil autour de moi. Victoire... Cela aurait put être un cri du coeur mais non. C'est le prénom d'une jeune fille qui ne semble pas beaucoup m'apprécier. Et lorsqu'on ne m'apprécie pas, je n'apprécie également guère la personne. Après tout, pourquoi se montrer gentil avec une personne aussi détestable que cette jeune fille aussi dérangée que dealeuse ? Oui, je ne sais pas si elle est au courant de ça mais les gens parlent ici. Et je suis donc tout à fait informé sur ces petites magouilles. Le sait-elle ? Je m'en balance. Elle me voit et je lui lance sur un ton des plus agréables avec un large sourire aux lèvres. « Victoire ! ... Si je m'attendais à te voir ici, j'aurai pris le temps d'être encore plus élégant ! » Sympathie hypocrite. J'espère simplement qu'elle ne va pas s'attarder ici. Mais après tout, c'est une mauvaise journée alors, je m'attends au pire.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Sam 16 Fév 2013 - 12:29
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      C'est une belle journée, je vais me coucher !
      Victoire • Solal
      « Solal il a dit que la drogue, c’était pas très bien. Que si j’allais régulièrement au centre, ils me donneraient des trucs pour arrêter. » Avait bégayé le client tandis que la jeune femme lui avait noué sa ceinture au dessus de l’articulation de son coude. Concentrée dans ses gestes, elle avait tapoté la jonction jusqu’à faire apparaître une veine, chose plutôt aisée, après tout, il suffisait de suivre les trous, le plus dur serait de percer. Elle avait alors soupiré en levant les yeux vers lui, armée de sa seringue. « Solal est un imbécile, tu veux que j’arrête ? » demanda-t-elle en levant un sourcil mais l’héroïnomane hocha négativement la tête en lui tendant son bras. Alors elle l’avait piqué. Un geste précis et net, sans la moindre hésitation. Son esprit était pourtant ailleurs, ce n’était pas la première fois qu’on lui parlait de Solal, Solal le beau, Solal le gentil, Solal le Saint-Bernard, Solal le héros de ces bas fonds de la population. Ouais Ouais à d’autres. Elle ne le connaissait pas vraiment mais elle savait de qui il s’agissait, ce qu’il étudiait et sa foutue gueule de Bon Samaritain. Au début, elle n’avait rien eu à lui reprocher, il pouvait bien faire ce qu’il voulait, mais quand cela touchait son business, là elle commençait à grogner. D’accord, l’héroïne ce n’était pas trop son domaine, elle préférait largement se concentrer sur les drogues festives pour les étudiants lors de leurs soirées mais malgré tout, elle aimait bien ces vieux petits junkies. Après tout, elle était un peu comme leur infirmière, elle venait égayer leur journée par sa présence et en plus, elle leur apportait leur ration, n’était-elle pas adorable ? Pas aux yeux de Solal en tout cas, ce dernier l’avait plus d’une fois regardé bizarrement, comme si c’était de sa faute à ELLE si le monde ne tournait pas rond. Mince alors, ces junkies étaient tout majeurs et tatoués, elle n’était pas de la Croix Rouge, ils n’avaient qu’à prendre leurs propres responsabilités.
      Voilà telles étaient ses activités la nuit dernière et en toute franchise, elle n’y pensait déjà plus tandis qu’elle suivait les cours d’architecture en compagnie de Simba. Quel comble que son camarade de classe toit également un client régulier, à vrai dire, elle n’aimait pas trop cela, mais il était au courant qu’au moindre mot, elle lui casserait la figure. Et elle avait confiance en elle, Sheinead l’entrainait. Malgré cette attitude déroutante, Vic n’était pourtant pas un monstre et physiquement, elle ne sortait pas franchement du lot, ses cheveux châtains bordaient son visage de poupée de porcelaine tandis qu’elle s’habillait d’un style Vintage lui donnant un petit air d’extraterrestre en ce monde de modes, mais elle assumait ses robes, son Liberty et son air de fillette des champs. Et cela lui allait à merveilles. Et malgré son agacement vis à vis de Solal durant la nuit, sa journée avait bien commencé, Vic était de celles qui pensait que le positif attirait le positif, alors elle souriait quoiqu’il puisse arriver et n’imaginait que de bonnes choses, profitant de chaque petit plaisir de la vie. Et justement, ce matin faisait parti de ces jours heureux. Vêtue d’un pantalon beige, d’une chemise liberty blanche aux motifs bleus, de chaussures à talons hauts, elle avait attaché négligemment ses cheveux dans son dos lui donnant un petit air champêtre aussi sauvageon qu’adorable. Parce que oui, pour les hétéros, Vic n’était pas hideuse à regarder, c’est Sweeney qui l’avait dit même.
      Installée dans la cafétéria, un de ses professeurs étant absent, la jeune femme étudiait un bouquin théorique sur la mesure des angles, installée seule à une table près de la fenêtre afin de profiter des rayons de soleil. Dehors il avait beau y avoir grand soleil, il faisait malgré tout un froid de canard. Levant un instant les yeux de son livre, elle croisa le regard de, je vous le donne dans le mille : Solal. Bon sang, ne pouvait-il pas se contenter de rester figurant dans les mots des junkies, genre une sorte de Kaiser Soze ? Non, fallait qu’en plus, il vienne se matérialiser à quelques pas d’elle. Voilà qu’il arma son visage trop parfait d’un large sourire. A sa réflexion, elle eut malgré tout un petit sourire amusé : « Solal, ne te fatigue donc pas, tu es parfait » répondit-elle sur un ton égal au point qu’il en fut difficile à démêler le vrai du faux. « Toujours à trainer dans mes pattes à ce que je vois. ». Sur ces mots, elle attrapa sa pêche et croqua dedans, savourant la chaire ferme du fruit et son jus sucré. Elle le regarda à nouveau avec un petit sourire énigmatique. « Tu en veux ? Elles sont délicieuses. » Un petit air de défi dans son regard.



    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Mar 19 Fév 2013 - 12:51
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    Malgré toute la rancoeur que j'ai pour cette fille, j'avoue qu'elle est très belle physiquement et qu'elle a un style vestimentaire qui me plait énormément. Je suis homosexuel mais je sais dire lorsqu'une fille est agréable à regarder ou non. Et dans cette université, il y a un grand nombre de garçons et de filles plus élégants les uns que les autres. Je lisais donc un des mes livres lorsque j'ai aperçu cette fameuse fille : Victoire. Seule à une table, je me suis approché d'elle après avoir fermé mon livre et attrapé mon sac en bandoulière que j'ai déposé sur mon épaule. Là, ça fait très gay... Tant pis ! Je marche en sa direction, mon livre en main avant de la saluer et de lui sortir une petite réflexion accompagnée d'un sourire des plus agréables. Elle semble également occupée avec un livre dont je ne comprendrai surement rien : des mathématiques ! Les math et moi, on ne s'est jamais très bien entendu. Il faut bien avoir des soucis dans certaines matières, personne n'est parfait après tout et personne ne peut donc être bon en tout. Moi,j'excelle dans la psychologie et les langues et c'est pour ça que j'ai choisi ses deux cursus lors de mon entrée à l'université et je me débrouille vraiment très bien. « Solal, ne te fatigue donc pas, tu es parfait » Je laisse transparaître un large sourire tandis que je suis debout face à elle, près de cette fenêtre éclairée par le soleil qui resplendit dehors. Il est présent mais il ne fait pas spécialement très chaud sans pour autant atteindre le froid suédois que je connais. Nous sommes à Los Angeles tout de même ! . « Merci, je te retourne le compliment ! Malgré nos différents, tu as un style très agréable Victoire ! » Sourire agréable. . « Toujours à trainer dans mes pattes à ce que je vois. » Moi ? Bien sur que non ! Qu'est-ce que j'en peux si nous sommes dans une grande ville mais que nous semblons nous attirer comme deux aimants. C'est vrai, on est constamment là à se croiser encore et encore alors qu'on ne s'entend pas si bien que ça. Entre piques et autres remarques, voila à quoi nous passons notre temps. « Et pourquoi ne serait-ce pas toi qui serait toujours dans les miennes ? Où que j'aille, tu es là ! Tu me fais suivre, n'est-ce pas ? » Et je lâche un soupir amusé.

    Manger une pêche. Un regard qui lance un défi. Tout est amusement avec elle, tout n'est que défi. « Tu en veux ? Elles sont délicieuses. » Moi ? Pourquoi pas ! Je ne suis pas allergique à ça. Je tire la chaise et m'installe face à cette jeune fille. J'accroche la sangle de mon sac au dossier de la chaise et je dépose mon livre sur la table. J'attrape une pêche et croque une première fois devant... C'est vrai qu'elles sont vraiment bonnes ! « J'espère ne pas te déranger à m'asseoir comme ça, face à toi ? » En fait même si je la dérange, je m'en fou royalement. « Délicieuse cette pêche ! L'argent de ton business te permet d'acheter des aliments de qualités ! » Et un clin d'oeil plein d'insolence après cette remarque des plus déplacées.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Jeu 21 Fév 2013 - 10:23
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      C'est une belle journée, je vais me coucher !
      Victoire • Solal
      A les voir ainsi installés face à face sous le doux rayon de soleil, Vic et Solal semblaient être des amis de longue date et non pas des rivaux moraux, après tout, n’était-ce pas ce qu’ils étaient ? Solal oeuvrait pour le bien, donnait sans compter de sa personne et même de son porte-monnaie, comme si son but ultime dans la vie était de rendre heureux son entourage proche ou non alors qu’à son contraire, Vic était un modèle parfait d’indifférence : elle était la main du diable, aussi délicieuse et toxique que la pomme de Blanche-Neige. A vrai dire, Solal ne lui avait jamais rien fait directement, se contentant de lui envoyer quelques piques ou allusions qui ne la touchaient guère mais c’était viscéral, il avait beau ne rien lui faire, il l’excédait. Tellement dégoulinant de gentillesse, de patience, de générosité, de tout quoi ! Elle avait parfois la sensation de ne voir qu’un énorme Marshmallow et il lui était déjà arrivé de se demander quelle goût il pouvait bien avoir si elle se décidait à croquer dans son bras. Cela n’arriverait jamais évidemment, elle n’était pas encore fille, mais tout de même, elle était persuadée qu’il avait un gout de Barbapapa. Bref, écoeurant. Heureusement pour lui, il était aussi gay qu’elle était hétéro, sinon elle lui aurait probablement sauté dessus rien que pour le gâcher. Et comme en opposition à ses pensées, elle lui fit un doux sourire. Ce sourire qui lui donnait un air aussi innocent que charmant, ce sourire pour qui on pardonnait tout. Il lorgna sur son livre et la panique se lut dans son regard, non Solal, les chiffres n’allaient pas te manger, et oui, elle, elle comprenait. Ça t’en bouche un coin, non ? Elle eut un petit sourire moqueur en l’observant. A vrai dire, elle avait longuement hésité entre un cursus de sciences mathématiques ou de physique-chimie, indécise, elle avait finalement opté pour l’architecture. Rien à voir. La jeune femme suivait une logique toute personnelle qui ne manquerait pas de surprendre. Elle leva un sourcil à sa réponse, amusée, alors comme ça on se battait à coup de compliments ? « Je sais » répondit-elle, juste pour jouer à celle qui se donnait du mal pour être reconnue, en réalité, elle s’en fichait. Elle lui fit un petit clin d’œil entendu puis ouvrit les hostilités avec douceur, comme s’ils ne faisaient que jouer un jeu. Elle eut alors un petit rire devant son indignation feinte. Un rire presque joyeux qui ne manqua pas d’attirer l’attention sur eux. Elle fit mine d’être embarrassée, toujours sembler parfaite, toujours maîtriser la moindre parcelle de son corps et son âme. Elle était un véritable tyran ainsi que son propre souffre-douleur. Elle se rapprocha alors de lui, approchant son visage du sien comme pour lui chuchoter une confidence : « La nuit, la misère et la détresse de ces gens, c’est moi. Alors oui, tu viens en mon sein, tu m’invoques même. Laisse ces gens faire ce qu’ils veulent de leur vie, donne leur tes sous si tu veux, mais reste de ton côté de la route. » Prononcés de sa voix douce et presque infantile, ses mots n’en avaient pas moins les lueurs d’une menace. Elle lui fit un nouveau sourire charmant, croquant dans sa pêche sans le quitter du regard. Elle lui en proposa une alors, un air de défi dans le regard. Ne dit-on jamais de ne pas toucher à la nourriture donnée par un inconnu ? Manger, c’était comme s’exposer aux dangers de la nature, une minute d’inattention, une gorge offerte et le crocodile se jetait sur le zèbre. Mais Vic n’était pas un crocodile pas plus que Solal un zèbre, n’est-ce pas ? Il lui demanda alors s’il la dérangeait ? Ma foi, tu es déjà installé pensa-t-elle, mais au fond, il ne la dérangeait pas. « Fais donc, je ne vais pas te manger. » glissa-t-elle d’un regard perçant, comme si elle pouvait sonder son esprit, ce n’était pas le cas, des deux, c’était lui le psy pas elle. Elle se croyait cependant plus intelligente que lui et l’estimait incapable de deviner ce qu’elle avait en tête mais au fond, elle ne préférait pas être son rat de laboratoire. Ok elle était peu sentimentale, mais la vivisection non ! A sa remarque, elle eut un petit rire plus mesquin que le précédent. « Ah c’est sur que par rapport à la charité, c’est plus rentable ! Et toi, pas trop frustré de parler dans le vent ? D’offrir ton cœur aux inconnus qui dès le lendemain retomberont dans les mêmes travers ? Finalement, nous faisons du travail d’équipe toi et moi. Nous sommes une team. » Elle eut un petit sourire. Elle se fichait de lui là.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Sam 23 Fév 2013 - 15:58
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    Sourire moqueur sur un visage de porcelaine. Cette fille n'est autre que le mal incarné pour moi. Le démon qui détruit des vies pour de l'argent. Serait-elle vénale en réalité ? Je ne veux pas le savoir, je souhaite simplement qu'elle arrête ce petit jeu de destruction massive. Offrir de la drogue à des gens dans le besoin. Ou pas. Les riches de se monde sont tout aussi dépendant de cette merde que les pauvres. Certains s'en procurent facilement, laissant s'échapper quelques billets comme on balaie une poussière tandis que d'autres sont prêts à se livrer corps et âmes pour une dose. J'ai grandi dans un monde d'argent. Ma mère est mannequin, mon père un grand producteur dans le cinéma. Je connais les désastre de la drogue dans le milieu de la mode et cinématographique. Ces gens qui se laissent aller, toujours enclin au stress des défilés ou des plateaux télévisés. Et ce sont des gens comme Victoire qui permettent ça puisque pour consommer, il faut tout d'abord acheter !

    Un compliment. Une réponse rapide. « Je sais » Je souris gentiment. Hypocrisie. Je ne la supporte pas. Elle est le mal incarné. La douleur que chacun d'entre nous souhaite voir disparaître mais qui persiste et donc au final, nous avons besoin pour nous sentir vivant. Je l'ai vu en cours. Autodestruction. Soif de sensation et besoin d'exister. Un manque cruel de conviction qui oblige ces personnes à se mettre dans des situations douloureuses pour avoir la perception de leur utilité sur cette Terre qui est la nôtre. Je soupire. Ces pensées m'attristent mais elles font partie de la vie de beaucoup de monde. « La nuit, la misère et la détresse de ces gens, c’est moi. Alors oui, tu viens en mon sein, tu m’invoques même. Laisse ces gens faire ce qu’ils veulent de leur vie, donne leur tes sous si tu veux, mais reste de ton côté de la route. » Je la regarde après ces murmures qui me donnent presque envie de réfléchir. Ses paroles sont tout aussi belles qu'elle. Mais ça s'arrête là puisque le mal la ronge entièrement. Je réponds simplement. « A force de persévérance ils comprendront leurs erreurs. Tu es la misère et la détresse de ces gens... Je suis la lumière d'espoir qui leur permettra de s'en sortir ! » Je suis convaincu de ce que je dis. dans toute noirceur il y a cette lumière. En réalité, je nous compare comme le Ying et le Yang. Victoire et moi. La noirceur de la nuit et le blanc de la pureté. Je me considère comme ce blanc qui permettra à ses gens de s'en sortir. Je veux y croire et je ferai tout ce que je peux pour les aider !

    « Fais donc, je ne vais pas te manger » Pas sur. Je me répète mais cette fille est démoniaque et je ferai tout ce que je peux pour la détruire, elle et son business. Elle mange sa pêche, m'en propose une. je la prends. Je laisse échapper une réflexion à laquelle elle répond rapidement. « Ah c’est sur que par rapport à la charité, c’est plus rentable ! Et toi, pas trop frustré de parler dans le vent ? D’offrir ton cœur aux inconnus qui dès le lendemain retomberont dans les mêmes travers ? Finalement, nous faisons du travail d’équipe toi et moi. Nous sommes une team. » Pardon ? Comment peut-elle penser ça ? Je ne veux pas qu'elle nous voit comme ça ! Je sais malgré tout qu'elle a raison sur certains points. Je ne soupire pas. Je ne veux pas lui donner raison. Je plonge mon regard bleu clair dans le sien et je lui réponds. « C'est à force de leur parler qu'ils vont prendre conscience de leurs erreurs ! Personne ne croit en eux, ils n'ont aucune estime d'eux.Lorsque j'aurai réussi à leur faire comprendre qu'ils sont tout aussi important que nous, là ils arrêteront peut-être ! Je suis persévérant... Et je continuerai d'aller les voir encore et encore. Quitte à les retrouver mort d'une overdose mais au moins j'aurai essayé ! » Et même si je sais en sauvé deux sur quinze, je l'aurai fait. Ce sera deux vies qui ne seront plus gâchées ! « Même si pour le moment je ne peux leur apporter qu'une oreille attentive, je le fais... C'est la base de mon futur job après tout : l'écoute de l'autre ! » Et je souris de toute mes dents. Un sourire plein d'hypocrisie. Celle-ci se voit à des kilomètres. Je n'en ai rien à faire. Victoire tombera et je serai présent lors de sa chute.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Mar 26 Fév 2013 - 21:21
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      C'est une belle journée, je vais me coucher !
      Victoire • Solal
      Vic ne faisait jamais de scandales ou de scènes mémorables, non, elle avait beau détester Solal, il était hors de question de se donner en spectacle pour autant préférant au contraire jouer la carte de la sympathie. Ils savaient tous deux qui ils étaient et les sentiments l’un pour l’autre étaient suffisamment clairs pour qu’elle ne se sente obligée d’en rajouter une couche. Non, ce serait d’un bien mauvais goût et puis, il n’était pas obligé de savoir de quoi elle était réellement capable. Après tout, il ne faisait que marcher sur ses plates-bandes en se tenant à distance respectable, Solal avait au moins la présence d’esprit de ne pas entrer en collision frontale, du moins c’est ce qu’elle avait toujours pensé jusqu’à présent, ne se doutant pas un seul instant que le jeune homme s’en était pris à l’unique personne qui comptait réellement pour elle, à celui en qui elle avait placé son entière confiance et surtout, le seul auprès de qui elle pouvait sangloter sans retenue après un de ses cauchemars qui hantaient ses nuits. Edonis. Ce dernier pouvait bien coucher avec la planète entière, elle s’en moquait bien, en revanche quand elle allait mal, elle avait besoin de lui, il était sa bouée de sauvetage en quelque sorte. Possessive, elle ne supportait aucun de ses manquements et se montrait particulièrement exigeante vis-à-vis de lui et pourtant, il n’avait que de trop rares contreparties tant la jeune femme avait du mal à exprimer ses sentiments les plus profonds, mais il avait le droit de la voir quand elle était mise à nue la nuit, à ses yeux, rien que cela était suffisant. S’il y en avait un sur Terre capable de lui refaire du mal, ce serait bien lui. Ainsi, les deux ennemis mangeaient leur fruit en se lançant des petits sourires aussi faux que leur apparente bonne entente et au fond, la jeune anglaise se demandait bien ce qu’il attendait d’elle ainsi. La déstabiliser ? Essaie encore, tu es encore loin du compte. La provoquer ? Il lui faudrait également poursuivre ses efforts. Faire la taupe ? Peu probable, il était bien trop droit pour y parvenir. Tisser des liens ? Alors il était encore plus tordu qu’elle. Mais au fond, n’était il pas une sorte d’illuminé pour qui la psychanalyse était une passion ? Après tout, ce n’était pas elle qui venait se vautrer dans la crasse de ces pauvres gens avec l’espoir de les voir se réveiller un jour et se dire « Ciel, pourquoi me fais –je tant de mal ? » Non, elle oeuvrait dans leur destruction, mais elle le faisait bien, prenant parfois même le temps de les piquer pour eux pour éviter qu’ils ne s’abiment davantage ou percent mal leurs veines. Elle était indifférente quand à leur souffrance et leur vie en revanche, elle était aimée de tous car sa présence était pour eux comme une libération, comme un rayon de soleil après huit jours de pluie. Elle n’avait pas choisi ce métier pour devenir leur petit ange de la nuit, mais pour certains, c’est ce qu’elle était devenue. Un petit démon portant de belles robes et une auréole pour cacher ses cornes. Elle lui fit alors un petit sourire à sa réponse, un sourire qui lui donnait un air plus naïve que d’habitude. « Demande leur ce qu’ils pensent de moi, tes protégés. Quand je viens, on ne parle pas de leurs malheurs, je ne leur rappelle pas dans quelle merde ils pataugent et surtout, je ne les prends pas de haut comme tu le fais sans même t’en rendre compte. D’après toi, que pensent-ils d’un gosse de riche qui se prend pour le Messie ? Au fond, Solal, je ne veux pas être méchante mais imagine ce que ces gens peuvent bien ressentir quand on leur tend sans cesse là main, comme si tu jugeais cette vie indigne d’eux. C’est peut-être le cas, je ne sais pas, mais est-il utile de le leur rappeler ? » Terre à terre. Des mots simples qui décrivaient la violence de ce monde l’air de rien et oui, elle pensait réellement ce qu’elle disait. A ses yeux, cette vie leur convenait d’une façon ou d’une autre et il lui paraissait inconvenant de décider ce qui était bon pour eux ou non. Sur ces paroles, elle croqua dans sa pêche, sans le quitter du regard. Un regard perçant et froid donnant un bref aperçu sur le vide de son cœur. Si Solal ne soupira pas à sa blague, elle en revanche le fit. Il était tellement persuadé qu’il n’y avait que le noir ou le blanc qu’il en devenait presque désespérant. « Et pourquoi fais-tu cela ? Aurais-tu été SDF ou junkie un jour ? Ou une personne proche ? Traumatisme ? » Elle fit un petit sourire faussement compatissant, comme si ces malheurs ne pouvaient être que des blagues, des sujets de moqueries. Elle leva alors un sourcil, amusée par son sourire hypocrite. « Ecouter les autres ou lire entre les lignes Solal ? » Elle lui sourit en se penchant au dessus de la table en posant son menton sur sa paume de main, comme pendue à ses lèvres. « Depuis toutes ces années, tu n’as toujours pas la moindre idée de qui je suis vraiment et pourtant, ne me fais pas croire que le sujet ne t’intéresse pas, ta façon de me détester et espérer ma chute traduisent bien assez ta fascination. Tu devrais faire ton mémoire sur moi, tu auras de bonnes notes. » Un petit clin d’œil. Arrogance pure et provocation.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Mer 27 Fév 2013 - 9:27
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    Conversation. Victoire. Moi. Nous discutions. Chose qui nous arrivait souvent malgré notre mauvaise entente. Personne ne pouvait le savoir. Nous semblions si bien nous entendre. Toujours à m'occuper de ses histoires et elle à tenter de me faire comprendre que tout ce que je fais ne sert strictement à rien. Je lui réponds. Elle me sourit. Un air naïf lui apparaît. Cette fille est fausse. Presque insensible à mes yeux. Elle possède cette faculté étrange à pouvoir se contrôler dans n'importe quelle situation. Cela m'intrigue. Mais ne me déstabilise pas. Mes études me font m'intéresser à elle. Si étrange. Si fascinante. Et pourtant si détestable à mes yeux. « Demande leur ce qu’ils pensent de moi, tes protégés. Quand je viens, on ne parle pas de leurs malheurs, je ne leur rappelle pas dans quelle merde ils pataugent et surtout, je ne les prends pas de haut comme tu le fais sans même t’en rendre compte. D’après toi, que pensent-ils d’un gosse de riche qui se prend pour le Messie ? Au fond, Solal, je ne veux pas être méchante mais imagine ce que ces gens peuvent bien ressentir quand on leur tend sans cesse là main, comme si tu jugeais cette vie indigne d’eux. C’est peut-être le cas, je ne sais pas, mais est-il utile de le leur rappeler ? » La raison peut-être dans ces mots. Mais également ailleurs. Je ne pense pas cela. Je me dis constamment qu'il faut montrer la vérité pour réussir à s'en sortir. Ils sont là, à se droguer, à vivre dans la misère et elle leur apporte simplement du réconfort grâce à une illusion apportée par un produit tout droit sorti d'on-ne-sait-où. Ce n'est pas comme ça qu'elle les aide. Elle leur permet simplement de s'échapper de leur misère. Son regard se fait froid. Cette fille est immonde. Mais discuter avec elle m'est également tellement plaisant. Sa répartie me plait. Je plonge mon regard bleuté dans le sien. Je ne souris pas. Sérieux. Ma réponse se fait entendre. « Tu ne fais que leur apporter l'illusion qui leur permet de tenir. Et c'est cela même qui va les détruire. Et quoi ? Il faut les laisser-là ! Attendre qu'ils crèvent comme des animaux ? C'est quelque chose que je ne veux pas ! Je leur dis simplement la vérité et je ne leur apporter pas cette saloperie qui leur permet de tenir le coup ! » Je m'arrête un instant pour reprendre de plus belle. « Je leur dis simplement la vérité tandis que tu leur apportes du mensonge en seringue ! » Je sais que je fais parfois mal. Je leur donne l'occasion de vouloir une autre dose, parfois plus forte, simplement parce que je leur ai explosé leur vie en pleine face. Si cela permet d'en faire réagir certains, il est clair que je vais continuer.

    « Et pourquoi fais-tu cela ? Aurais-tu été SDF ou junkie un jour ? Ou une personne proche ? Traumatisme ? » Je connais ce monde de drogues, en effet. Mais dans un milieu où l'argent coule à flot. Son sourire m'exaspère. Malgré tout, je réponds de la même manière ce qui lui fait arquer un sourcils. « Ma vie ne t'intéresse pas Victoire... Je n'ai pas de traumatisme. Je sais juste ce que ce genre de choses peut faire. » Un arrêt de quelque seconde. « Je fais simplement partie de ces personnes avec un compte en banque correcte qui souhaite aider ceux qui ne le peuvent. » Un compte en banque correcte. La fortune familiale s'élève à plusieurs milliards. Je n'ai rien à craindre à ce niveau. C'est dans mon caractère d'aider les autres. Mes parents trouvent également ça stupide. Mais je leur fais face et je continue à venir en aide à qui le veut bien. « Ecouter les autres ou lire entre les lignes Solal ? » Ma seule réponse est la suivante. Sur un ton calme, posé. « Tu m'exaspères. » Elle se met dans une position, comme pendue à mes lèvres. « Depuis toutes ces années, tu n’as toujours pas la moindre idée de qui je suis vraiment et pourtant, ne me fais pas croire que le sujet ne t’intéresse pas, ta façon de me détester et espérer ma chute traduisent bien assez ta fascination. Tu devrais faire ton mémoire sur moi, tu auras de bonnes notes. » Elle est provocatrice. Arrogante. Mais elle a raison et la seule pensée qui me traverse l'esprit est la suivante : et paf dans ta gueule ! Je pourrais l'éviter. Ce serait tellement plus simple. Mais je suis constamment en train de l'ennuyer. De me mettre en travers de son chemin. Ma dernière action envers elle n'est pas des moindres. Elle porte même un nom. Edonis. Je connais leur lien. Mais aucun de nous ne lui parle de ce qu'il se passe entre nous. Ces soirées passées ensembles. Ces rencontres impromptues. Ses moments où nous nous laissons aller à nos pulsions animales. Je ne sais pas quoi répondre. malgré, je me lance après une bonne minute. « Je le confirme. Tu me fascines tout autant que tu m'énerves. Malgré tout, je ne peux accepter ce que tu fais donc je continue mon action. Même si comme tu le penses si bien, elle ne sert à rien. Mais j'ai de la volonté et j'ai su en aider un... Ce qui me permet de continuer à croire qu'un autre le peut également. » Arrêt de quelques secondes. « Je leur dis ce qu'ils ne veulent pas entendre. Je les prends de haut selon toi. Et je m'en fou ! Certaines personnes acceptent mon aide... Tu en connais surement même ! Peut-être même personnellement ! » Pas de nom. Mais je me dis que j'en ai trop dis. Mon envie de lui parler d'Edonis est là. Mais je ne peux pas. Pour lui. Malgré tout, je sais que cela la toucherai... Et le plaisir que je prendrai n'est pas explicable. Faire souffrir Victoire. Lui montrer que son entourage proche accepte mon aide. Lui faire fermer son clapet. Une joie que je connaîtrais un de ces jours. Pour le moment, patience.

    Re: C'est une belle journée, je vais me coucher ! [Victoire]

    Ven 1 Mar 2013 - 23:14
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      C'est une belle journée, je vais me coucher !
      Victoire • Solal
      Si Solal n’avait pas été résolument un enfant de cœur et si Vic avait su faire preuve de la moindre empathie, ces deux-là auraient réellement pu devenir amis, cultivés et intelligents, leurs conversations étaient toujours passionnées et pleines de sens tandis que leur gout commun pour la mode aurait pu en faire d’excellents partenaires de shopping ou même de stylisme hélas non, rien de tout cela n’arriverait, pas tant qu’ils marcheraient face à face prêts à entrer en choc frontal. Vic le savait, un jour ils finiraient par se rentrer dedans et là il y aurait des dommages, ils n’en sortiraient pas indemnes et c’était bien la raison pour laquelle ils se montraient si courtois l’un envers l’autre, faisant un bref chemin ensemble dans la même direction pour ensuite s’opposer plus fort que jamais. Les choses auraient pourtant pu être tellement plus simples, pour commencer, il aurait pu la dénoncer aussi simplement que cela, tout comme Paxim qui avait gros contre elle, mais pour une obscure raison, ni l’un ni l’autre ne semblait décidé à y mêler la justice, préférant sans doute l’anéantir personnellement. Elle était presque flattée par cette haine qu’ils éprouvaient pour elle, tant d’attention pour une insignifiante petite anglaise étudiante en architecture, c’était touchant. Ses deux vies se mêlaient pourtant de plus en plus et son cœur battait de plus en plus vite quand elle croisait certains regards, le regard de ceux qui savaient qui elle était réellement, de ceux qui d’un mot pouvaient la ruiner mais malgré cette appréhension, l’adrénaline était belle et bien présente. Oui, elle se sentait vivante et surtout, plus forte que jamais. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. La jeune femme lui exposa alors son point de vue, persuadée d’être dans le vrai. A vrai dire, les héroïnomanes n’étaient pas de son domaine préférant se concentrer sur les drogues festives pour les étudiants, mais les junkies avaient quelque chose de destroy qui l’attirait irrémédiablement. Elle leva pourtant les yeux au ciel à la réponse de Solal. « Pour l’amour du Ciel, on dirait un témoin de Jéhovah ! » Elle s’arrêta un instant et leva un sourcil, interrogative. « Tu es dans une secte évangélique ? Enfin, c’est ton problème, pas le mien ». Une vipère qui rependait son venin, comment la décrire autrement ? Le tout étant de savoir à quel point son venin pouvait-être mortel. Elle continua dans sa lancée en le questionnant sur sa vie avec une telle légèreté dans la voix qu’elle aurait pu énoncer les jours de la semaine, comme si elle s’en moquait. Elle s’en moquait. Elle fronça pourtant les sourcils à sa réponse, marquant pour la première fois un tant soit peu d’émotions, son regard devint aussitôt plus dur tandis qu’elle se recula de lui pour prendre appui sur le dossier de sa chaise. « Mais pour qui tu te prends, à prétendre savoir, hum ? Tu viens tout beau tout neuf dans ton emballage cadeau et tu crois pouvoir changer le monde, faire croire à ces gens que la vie est belle ? Foutaises ! Quand tu auras vécu le quart de ce qu’on a traversé, là tu pourras revenir jouer au Saint Sauveur, pas avant ! » Elle soupira puis reporta son attention au fruit, comme pour marque le changement de la conversation. Elle haussa les épaules quand il lui répondit qu’elle l’exaspérait, tout le plaisir était partagé alors elle ne s’en formalisa guère, préférant se moquer de lui et de ses études en lui suggérant de travailler sur elle. Elle lui fit un petit sourire amusé qui trancha avec son air sérieux des minutes précédentes, son sourire s’accentua quand il confirma qu’elle avait vu juste. Elle était vraiment trop forte. Du moins c’est ce qu’elle s’imaginait et elle était bien loin de se douter de ce qui se tramait dans son dos entre son ennemi et celui qui partageait plus ou moins sa vie depuis trois ans déjà. « Au fond je m’en fiche, à chaque fois qu’ils essaie d’arrêter, ils replongent plus fortement qu’avant, c’est tout bénéfices pour moi donc, ça me va. » répondit-elle en haussant les épaules, peu concernée par leurs soucis, elle tourna cependant la tête vers lui, sans trop comprendre le message caché, après tout, comment aurait-elle pu deviner ? « Peu importe, ils finiront toujours par revenir à moi. Toujours. » Répondit-elle avec son assurance légendaire, sans douter un seul instant de ses propos. Elle arqua pourtant un sourcil, ces sous-entendus ne lui plaisaient pas. « A quoi tu joues ? »

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