FOX R. OXBURRY
22 ANS
ANGLAISE
CINEMATOGRAPHIE
HETEROSEXUELLE
CELIBATAIRE
ANGLAISE
CINEMATOGRAPHIE
HETEROSEXUELLE
CELIBATAIRE
FEAT. MAGDALENA ZALEJSKA
PARTIE I - DIX INFORMATIONS À SAVOIR SUR MOI ...
Imprévisible - Impulsive - Maladroite - Généreuse - Vulgaire - Tête brûlée - Sportive - Loyale - Idéaliste - Rêveuse - Je m'en foutiste - Déterminée - Secrète - Instinctive.
• Elle est née à Frampol, en Pologne. Le 22 Avril 1992.
• Elle a été adoptée à l'âge de 5 ans par un couple d'anglais fortunés et très religieux résidents à Glasgow.
• Elevée strictement dans le respect de la religion, elle a eu une enfance solitaire et marginale rythmée par les visites à l'église et les cours de bienséances.
• Ayant très peu d'amis et passant la majoritée de ses soirées seule dans sa chambre, elle est vite devenue accro aux films et aux séries en tout genre qui lui permettaient de se faire une idée du monde extérieur.
• Arrivée au lycée, Fox échappe au contrôle de ses parents adoptifs et brise les règles imposées par sa mère. En conflit avec sa famille, elle a souvent du mal à gérer sa frustration et ne comprend l'attitude de son père qui prend plaisir à la voir se rebeller mais qui prend également le parti opposé.
• Elle se plaît à outrepasser le règlement, sort, boit, fume et se retrouve régulièrement dans des situations qu'elle ne maîtrise pas sans pour autant s'en inquiéter.
• Elle parle couramment le Polonais et a tendance à le parler lorsqu'elle s'énerve. Ne soyez pas surpris si vous vous prenez un petit "dupek" bien placé au milieu d'une conversation qui dérape.
• C'est une débutante en ce qui concerne les relations amoureuses - sérieuses - n'ayant pas trop eu l'occasion de s'épanouir dans ce domaine durant son enfance. Les sentiments les plus forts qu'elle ait ressentis étaient envers son voisin et accessoirement son meilleur ami de l'époque, qu'elle n'a plus revu après le déménagement de celui ci en Irlande. Majoritairement, elle se contente d'histoires sans lendemain.
• L'art la fascine. Toute forme d'art, aussi bien la peinture que la musique et, bien sûr, le cinéma.
PARTIE II - ON ...
J'ai toujours aimé mélanger les styles, alors ma garde robe on peut dire que ça du slim déchiré à la robe tapis rouge, de la veste en cuire et crop top au blazer et des baskets Nike aux Dr Martens. En général, j'oscille entre le grunge et le glamour. Rock'n'roll quoi. En revanche, avec moi, c'est du sombre ou rien, bordeau, noir, gris, bleu marine je dis oui mais par respect pour mes yeux et ceux des autres, je refuse de porter des couleurs claires ou trop flashy. En ce qui concerne les sous vêtements, c'est tout en dentelle. Pour cette partie là de ma garde robe je préfère largement l'élégance, pas de dépareillés ou d'informes - mise à part les spécimens dédiés à la mauvaise période du mois.
Je me suis toujours vue comme quelqu'un de propre, sans être une compulsive de la savonnette ou une adepte des trois douches par jour. L'hygiène c'est important, surtout pour une phobique du médecin comme moi. Plus je suis propre, moins j'ai de chances de me retrouver assise cul nu sur un lit d'hôpital ou allongée sur un siège à me déboîter la mâchoire pour q'un mec puisse accéder à ma molaire. Mais j'abuse pas. Une journée type c'est une douche le matin - je pars du principe que se laver le soir ne sert à rien sachant que votre haleine et vos fesses ne seront quand même pas fraîches au réveil, sauf les jours de sport - un coup de brosse à dents, de déodorant, de parfum, de maquillage et je suis opérationnelle. Basique. En revanche je suis pas le genre de fille qui se balade avec le contenu de son armoire de salle de bain dans le sac, au pire vous y trouverez un vieux paquet de mouchoirs mais ça n'ira pas plus loin.
Le cinéma, je suis tombée dedans quand j'étais gosse. A vrai dire, c'était le seul moyen que j'avais pour m'évader un peu et en apprendre sur le monde qui m'entourait. Dans ma famille, on ne parle pas. On ne voyage pas non plus. Tout ce que j'ai apprit, je l'ai apprit en regardant des films, des séries ou des documentaires. Et c'est vite devenu une espèce de drogue. Je regardais tout. Des films en noir et blanc aux blockbuster américains, je passais des soirées, des nuits même à imaginer des scénarios. Alors devenir scénariste, c'était un peu la consécration, le rêve de ma vie en somme. Je me suis lancée quand j'ai eu l'âge de décider moi même de ma vie, et je ne regrette pas.
C'est un jeu. Un peu dangereux des fois c'est vrai mais c'est le meilleur jeu du monde et moi, j'adore jouer. Surtout quand il n'y a pas de règles. Je n'ai jamais compris pourquoi le sexe était aussi souvent sacralisé. Pas de sexe avant le mariage, attendre pour sa première fois, ne pas se donner trop vite... ni pourquoi tout le monde semble croire qu'une fille, ça peut pas s'envoyer en l'air sur un coup de tête sans morfler après. Le sexe c'est une question d'envie, et mes envies, moi, j'ai pas l'habitude de les réprimer, quand je veux faire quelque chose, je le fais. C'est la même chose pour ce domaine là. L'essentiel c'est de se respecter, sans respect de soi, c'est pas du bon sexe.
PARTIE III - AND ON ...
L'inconvénient quand on grandit dans une famille comme la mienne où la religion a une place importante, trop importante même, c'est qu'on apprend vite à détester tout ce qui s'y rapporte. Dieu. Ce mec a bousillé mon enfance. Parce que Dieu était important, je ne sortais pas le Dimanche comme tous les autres, ni le Samedi soir d'ailleurs. Non. Moi j'allais à l'église. Moi j'étais obligée de porter des tenues chastes. Moi je n'avais pas le droit de fréquenter des garçons. Alors, avec tout le respect que je dois aux croyants, Dieu, je l'emmerde. En revanche, je suis une adepte du 'chacun croit en ce qu'il veut' donc je ne juge pas les croyances des autres, du moment qu'ils me laissent tranquille avec ça.
Le monde en noir et blanc je n'y crois pas. Selon moi le monde c'est une palette de nuances de gris. On a tous son côté dark vador et son côté abbé pierre. Prenez moi par exemple. Je suis une révoltée, impulsive, imprévisible, joueuse, le genre qui boit trop, fume trop qui se lance des défis stupides et qui n'adhère à aucune règle. Mais à côté de ça, je suis honnête, fiable, loyale, passionnée, curieuse, ouverte d'esprit et généreuse. Je suis le démon et l'ange. Je suis grise.
Los Angeles pour une anglaise c'est disneyland pour un enfant, c'est le compte en banque de Rotschild pour un pauvre. Le paradis en somme. J'ai quitté la pluie et la boue pour le soleil et la mer, et honnêtement, c'est l'histoire d'amour la plus jouissive que j'ai jamais eu. A l'origine, j'ai débarqué pour mes études mais après goûté à tout ça, aux Etats-Unis, aux hamburgers frites, aux hot dogs, aux centres commerciaux, aux soirées universitaires, comment est ce que je pourrais remettre un pied chez moi ? Et puis LA, c'est la ville du cinéma. Je serais folle de mettre un terme à une relation qui marche si bien.
Mon passe-temps principal ? Sortir. Boire jusqu'à plus soif, danser, m'oublier le temps d'une soirée. Sinon j'ai des loisirs simples. En tant qu'étudiante en cinématographie qui se respecte, je passe énormément de temps à regarder des films, beaucoup de séries aussi et je fais aussi pas mal de sport parce qu'avec tout ce que j'ingère, il faut bien s'entretenir. Et puis le sport ça me permet d'évacuer quand je sens que je vais exploser - à chaque émotion violente, un footing. Le shopping aussi. Quoi de plus bandant que de passer une heure à cherche LE jean qui me fera des fesses parfaites ?