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    Malédiction | Lisa

    Lun 6 Avr 2015 - 17:05
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    « …Et c’est sur cette note que ce termine le cours d’aujourd’hui. Je vous demande de ne pas quitter la salle tout de suite, nous devons encore établir les binômes pour le devoir de la semaine prochaine. » Mon pied tapotait le sol dans un rythme effréné, sans doute trop pressé de retrouver un semblant de liberté. Le cours fut pour le moins intéressant, mais je reconnaissais volontiers cette difficulté à rester des heures durant assit sur une chaise. J’étais de ceux qui ne tenaient que trop rarement en place, à l’esprit vagabond, toujours dans le feu de l’action. Pour autant j’avais la réputation d’une personne complètement détachée, aux grands airs ‘je m’en foutiste’. Un comportement en parfaite contradiction et qui ne facilitait en rien les relations avec autrui, mais je n’étais pas de ceux à faire des efforts, me fichant bien de savoir mon entourage complètement perdu dans ces innombrables palettes de couleurs qui me définissaient.  Les noms défilaient deux à deux et le mien se faisait attendre, priant presque pour retrouver le terrain de baseball au plus vite. « John…avec Stacey » Rapidement les murmures se firent plus importants, certains étudiants étaient satisfaits, d’autres moins. Il fallait dire que les binômes étaient loin d’être construit sur un fond de hasard. Bien au contraire, Madame Ambrows aimait à penser que ses meilleurs élèves seraient un élément moteur pour ceux qui adoptaient un rythme de croisière. « Mademoiselle Renfield, vous serez avec Monsieur Keagan. » «  C’est une blague ? » «  Un problème Monsieur Keagan ? » Et comment ! Voilà qu’elle avait eu la merveilleuse idée de me mettre avec Lisa, demoiselle ô combien charmante, agréable, mais aussi à la rancune tenace. Elle et moi avions un passé commun qu’elle tentait tant bien que mal de me faire payer, moi cet ami qui n’avait pas su l’avertir quant aux infidélités de son petit-ami du moment. Depuis notre amitié prenait des allures de vengeance… «  Hum…on ne pourrait pas apporter une petite modification à vos binômes ? Pour incompatibilité d’humeur.» Si quelques rires se firent entendre, notre professeur de médecine générale restait quant à elle, complètement impassible. L’humour ne faisait pas partie intégrante de son existence, elle était du genre coincé.  Du moins telle était sa réputation. « Mais bien sûr Monsieur Keagan, tout ce qui vous conviendra. Un petit café aussi non ? » J’haussai les épaules, la mine défaite tout en me laissant retomber contre le dossier de ma chaise. Nous n’aurions pas d’autre choix que de faire équipe et si j’en croyais l’absence de tout sourire sur le visage de Lisa, elle en était plus que ravie elle aussi.
    Une fois le cours terminé  je pris la  direction des couloirs, poursuivant Lisa dans un petit sourire qui, je le devinais que trop bien, l’agacerait au plus au point. Une fois arrivée à son niveau, mon bras vint l’entourer, se glissant sur ses épaules pour la maintenir à mes côtés. « Il faut te rendre à l’évidence ma petite Lisa, toi et moi c’est loin d’être une histoire terminée ! » J’adoptais un comportement pour le moins familier, qui lui serait difficile de supporter compte tenu de nos rapports qui se rapprochaient emblématiquement du néant, néanmoins je ne pouvais m’en empêcher, prenant un malin plaisir à jouer avec ces nerfs comme elle avait sû jouer avec les miens. «Alors on s’organise comment pour le devoir ? Je passe te prendre chez toi ? Ou tu pourrais venir me voir jouer ? Il fut un temps tu ne ratais jamais une occasion de venir m’admirer, ouais inutile de le nier, même Anthony le savait ! » Assurément j’avais le diable au corps.

    Re: Malédiction | Lisa

    Lun 6 Avr 2015 - 19:22
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    Métier/occupation : Neuro-oncologue au Ronald Reagan UCLA Medical Center (chercheuse, consultante et formatrice)
    Études & fraternité/sororité : Doctorante dans le domaine de l'Oncologie. Possède un Bachelor de Médecine, un Master d'Oncologie et un Master de Radiologie. Ancienne Gamma Psi.
    Résidence : Appartement relativement luxueux à Westwood, proche du centre médical UCLA.
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    Soupir. Ennui. Lassitude.

    Seigneur ... Qu'est-ce que je fiche ici ?

    Fixant avec attention le mur du fond de la salle, je tente désespérément de rester concentrée sur les mots prononcés par le Docteur Ambrows. Et pourtant, c'est plus fort que moi : un désintérêt complet pour ce qu'elle pourrait bien avoir à nous raconter fait obstacle à toute tentative effectuée pour rester focalisée sur ... N'importe quoi. Je ne suis vraiment pas difficile, aujourd'hui. Un brin de concentration. C'est tout ce que je demande, vraiment. Et pourtant ... Non.

    Bien essayé, ma belle, mais ce n'est pas aussi facile que cela.

    Soupir, tandis que le refrain entêtant se répète pour la millième fois au plus profond de mes pensées. Mais ... Professeur ... Tous les élèves sérieux ayant déjà lu leurs cours comme nous sommes censés le faire avant chaque leçon connaissent déjà les emplacements et les noms de chaque os par coeur. Soupir, tandis que mes yeux se perdent, distraitement, d'un visage à l'autre, errant, vagabondant, sans réfléchir, sans s'arrêter, prenant bien soin de survoler avec hâte son visage à lui afin de ne pas trop m'y attarder. Soupir lorsque la fin s'annonce, de soulagement, cette fois-ci, avant qu'un léger grognement ne s'échappe d'entre mes lèvres malgré moi lorsque l'on en vient à parler de ... Binômes. Évidemment. Encore un travail de groupe. Parce qu'il faut bien que je me retrouve à faire un travail de groupe toute seule, encore une fois. Pour ne pas changer. Quand est-ce que les professeurs comprendront que je travaille mieux lorsque je travaille seule ? Au moins, je n'ai personne autour de moi pour m'irriter sur ce genre de travaux. Hélas, je n'ai malheureusement pas le choix. Soupir, encore, tandis qu'Ambrows déclare souverainement que mon amie Stacey devra travailler avec ... John. Évidemment. Elle n'aurait pas pu nous mettre ensemble, non ? Avec Stacey, au moins, j'aurais pu coopérer. Là ... Découragée, mes yeux se perdent à nouveau parmi les visages restant en place, ceux encore assis, ceux attendant également que leurs noms soient cités par cette voix rauque et peu accueillante. Je grince des dents à l'idée de travailler avec les quelques étudiants dont les noms n'ont pas encore cité. Quelle horreur. Il est hors de question que je travaille avec lui, là, dans le fond. Quant à celui-ci ? Je préfèrerai avaler une tronçonneuse. Et celui près de la porte ? C'est probablement le moins pire de tous, mais cela ne veut malheureusement pas dire qu'il vaut grand chose non plus.

    Pendant ce qui semble être une éternité, le professeur Ambrows continue à descendre le long de sa liste improvisée tandis que j'attends, impatiemment, que mon nom soit cité. Afin que la torture se termine, afin que le supplice prenne fin. Afin que je puisse enfin ranger mes affaires et, moi aussi, m'en aller. Évidemment, je suis probablement la dernière de la liste. Parce que Ambrows m'adore tellement. Il faut dire qu'elle n'a probablement pas eu énormément d'étudiantes capables de réussir tous ses examens avec brio tout en payant un minimum d'attention à ses propos lors des sessions. Ce n'est pas de ma faute si j'effectue la plupart de mon travail à la maison. Elle, cependant, ne semble pas partager cet avis : elle me trouve trop distraite et désintéressée en cours, et cela la frustre très certainement de me voir réussir chaque épreuve qu'elle nous fait passer sans la moindre difficulté (ou presque). Et enfin, nous arrivons au bas de la liste. Il reste encore quelques élèves dans la salle, rien de bien intéressant. On cite mon nom et ...

    Je manque de m'étouffer.

    Keagan ?

    Cette Ambrows est décidément complètement timbrée. Me retournant brusquement, je le fusille du regard lorsqu'il se met à parler. Évidemment que ses vaines protestations ne changeront rien. Évidemment qu'il perd son temps à parler alors qu'elle avait probablement passé des heures à générer cette liste de binômes pour bien s'assurer que toutes les personnes qu'elle n'aimaient pas se retrouveraient ensemble afin qu'elle puisse impunément les saquer. Et évidemment, si je faisais partie des étudiantes les moins appréciées par le docteur, Keagan était probablement celui qu'elle aimait le moins de toute la promotion. Et c'était devenu si transparent qu'elle n'essayait même plus de s'en cacher. Pourtant, Keagan semblait vouloir protester. Soupir, à nouveau, devant sa stupidité, cette fois-ci. Pourquoi serais-je surprise ? Ce n'est pas comme s'il avait réellement été intelligent par le passé. S'il l'était, ça se serait su. Il saurait correctement mentir, pour commencer.

    Je me mords la lèvre.

    "Lisa, je te promets que je ne savais rien, je te promets que je n'étais au courant de rien !"

    Baissant brusquement mon visage vers mes affaires afin de commencer à les ranger avec hâte et empressement, je réprime ces souvenirs menaçant trop dangereusement d'éclater à la surface.

    "Lisa ..."

    Cela fait des années que nous ne nous sommes pas parlés.

    Mais je n'ai pas oublié ses mots sa voix.

    Et pourtant ... J'ai vraiment tout essayé.

    Frénétiquement, chaque stylo se range dans cette trousse tandis que c'est avec fureur et rage que mes doigts s'empressent de ranger toutes ces feuilles de papier, jusqu'alors étalées sur la table devant moi. Je ne peux même pas le regarder. Même après tout ce temps, il me rend encore malade. "Comment as-tu pu ... Comment as-tu pu me trahir de la sorte ?" Je me mords la lèvre. Je ne peux pas oublier.

    Une fois mes affaires rangées, je me permets de me lever avant de quitter la salle, sans même me retourner. Ha ! Si elle croit que je vais me rabaisser à travailler avec LUI ? Elle se met le doigt dans l'oeil ! Ce travail, je vais le faire seule, pour ne pas changer. Marchant avec rapidité à travers les couloirs, je veux regagner ma chambre afin de pouvoir me plonger dans mes recherches et ne plus avoir à y repenser. Comme d'habitude. Parce que tout le monde sait que je suis une experte dans l'art de la sublimation. Heureusement qu'on avait eu ces cours d'introduction à la psychiatrie, il y a quelques années. Cela m'aura décidément appris bien des choses intéressantes, à défaut d'être utiles. Derrière moi, des bruits, des pas. Des cris, des claquements. Je n'y prête pas attention, me focalisant sur mon chemin, le chemin qu'il me faut emprunter pour rentrer à la maison. Et c'est alors que ...

    Brusquement, je sens quelque chose m'agripper. Étonnée, stupéfaite, je me retourne afin de me retrouver confrontée à sa tête enfarinée. Gé-nial. Pourquoi se sent-il contraint de m'importuner ? D'une voix tout sauf enthousiaste, je me permets de lui répondre, sèchement.

    - Au contraire, je dirais plutôt que c'est une histoire oubliée.

    Tandis qu'il persiste à ne pas vouloir me lâcher, moi je grince des dents, mal à l'aise, agacée. Je veux qu'il me lâche, je veux qu'il me fiche la paix ... Mais bien évidemment, ce n'est pas dans ses projets.

    - Parce que tu connais le sujet du devoir ? Ma foi. J'en suis toute retournée ! Malgré mon étonnement feint et hypocrite, le sens de mes mots est immanquable : tout le monde sait que Maël n'est pas l'étudiant le plus studieux de notre promotion.Cela m'étonnerait d'ailleurs qu'il se souvienne du cours duquel nous venons de sortir, si je devais être 100% honnête. Lorsqu'il me déclare qu'à un moment, je passais mon temps à l'admirer, c'est sarcastiquement que je lui ris au nez avant de me défaire de son emprise avec insistance, aidée d'un coup de coude "légèrement" déposé dans ses côtes.

    - Ne te flatte pas, la seule personne qui ait jamais pu t'admirer, c'est ton reflet.

    Si je suis cruelle ? Peut être. Mais rien n'avait pas été mérité, bien au contraire.
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    Re: Malédiction | Lisa

    Lun 4 Mai 2015 - 18:08
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    Qui ne tente rien, n’a rien, n’est ce pas ? Nul doute que toutes mes tentatives auprès de Madame Ambrows resteraient vaines, pour autant j’aimais converser avec elle, lui faire part de tout ce sérieux avec lequel je m’intéressais à ses cours.  Elle m’avait en horreur, à juste titre probablement, mais avait-elle autant le droit de nous humilier quotidiennement lors de ses cours et devoirs ? Je n’étais pas convaincu, bien décidé à ne plus me faire marcher sur les pieds et ce, par quiconque. Ainsi il n’était pas rare que nos petites joutes verbales amusent la galerie, ou non…si l’on en croyait l’agacement de mon nouveau binôme. Là encore les prochaines heures s’annonçaient pour le moins rocambolesques. Fort heureusement ce n’était pas pour me déplaire. Sa rancune était tenace et ce, malgré mes maintes excuses pour avoir été tout aussi aveugle qu’elle. En vain, depuis elle se contentait de me fusiller du regard, de m’ignorer ou encore de jouer avec mes nerfs lorsque l’envie lui prenait. Ainsi notre relation s’apparentait davantage au néant qu’à une réconciliation sous le signe de la bonne humeur, fort heureusement c’était sans compter sur quelques petits coups de pouce du destin : Merci Madame Ambrows.
    Lorsque nous furent enfin libre de tout mouvement, je ne pu que remarquer l’empressement avec lequel Lisa pris ses affaires avant de rejoindre le couloir. Elle fuyait, ce qui eu le don de me faire sourire tout en amorçant une approche pour le moins…osée ? Mon bras sur ses épaules, un sourire pleinement satisfait ancré sur mon visage, j’en vins à l’accoster tout en tenant des propos qui, je ne le savais que trop bien, l’agacerai d’autant plus. « Au contraire, je dirais plutôt que c'est une histoire oubliée. » Bien évidemment, je ne m’attendais pas à un accueil des plus chaleureux, bien au contraire, elle restait fidèle à elle-même, distante, froide et complètement détachée de ce qui fut autrefois, une belle amitié. Du moins telle était l’image qu’elle voulait se donner. « Si c’était véritablement le cas tu ne m’en voudrais plus autant tu ne crois pas ? Seul ce qui compte encore est capable de nous blesser Renfield  »   Je n’avais pas changé mes petites habitudes, l’appelant par son nom comme ci nous étions encore liée par notre complicité que je pensais pourtant sans failles. Je pouvais ressentir sa volonté de prendre ses distances, essayant tant bien que mal de se défaire de mon emprise, mais ma main lui faisait part de son plaisir quant à notre proximité nouvellement retrouvée. Du moins en apparence, j’en avais pleinement conscience, bien que mon comportement pouvait prétendre tout le contraire. J’étais ainsi, difficile à cerner, un peu fou peut être, original aux yeux d’autres personnes. Lisa me connaissait que trop bien pour savoir combien je pouvais être déstabilisant, tant l’on pourrait me prêter une dizaine de personnalités. Pour ma part, j’aimais à penser que j’étais simplement différent, composé de plusieurs nuances de couleurs, parfois d’une pureté sans nom et d’autres beaucoup plus… sombres.

    « Parce que tu connais le sujet du devoir ? Ma foi. J'en suis toute retournée ! » Bien que ses paroles regorgeaient d’ironie, je ne pu m’empêcher de rire, forcé de constater a quel point elle me connaissait que trop bien. Il était vrai que le sujet du devoir m’était inconnu, préférant de loin mes pensées ou dessiner que de me résoudre à confier la moindre petite attention à Madame Ambrows. Pauvre femme, qu’allait-elle bien pouvoir faire de ma petite personne ? «  Non, mais j’imagine que mon binôme le connait, je me trompe ? » J’haussais les épaules, lui offrant un air détaché comme j’en avais pris l’habitude. Le sujet du devoir ne m’inquiétais guère, car pas introuvable dans l’éventualité où Lisa n’avait pas pris la peine de le noter elle aussi. Ce dont je doutais fortement. Si son petit coup dans les côtes ne me fit aucunement mal, j’en vins néanmoins à relâcher mon emprise, la libérant afin de marcher à ses côtés pour mieux lui bloquer l’accès à son casier une fois devant. Posé contre ce dernier, mon sourire se fit plus large lorsqu’elle ne pu s’empêcher une énième provocation. « Ne te flatte pas, la seule personne qui ait jamais pu t'admirer, c'est ton reflet. » Là encore il m’en fallait beaucoup plus pour atteindre mon moral, ce cœur dont l’existence relevait parfois du mythe pour certains. Je levais les yeux en direction du plafond, faisant mine de prendre en considération ses propos. « Mon répertoire démontre le contraire, d’ailleurs j’y ai ajouté l’une de tes copines pas plus tard qu’hier. Pas trop mon style, mais je pense que je devrais la rappeler, lui laisser sa chance, tu me connais, la galanterie incarnée. » Un petit sourire narquois sur les lèvres, je retrouvais non mal son regard avant de surenchérir. « Enfin bref ! Tu sais que je te lâcherai pas tant qu’on n’aura pas bouclé ce devoir, donc fait nous épargner du temps et dis moi quand est ce qu’on peut se retrouver ? »

    Re: Malédiction | Lisa

    Dim 31 Mai 2015 - 7:54
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    Lorsqu'il essaie de me provoquer, je n'ai pas d'autre choix que de riposter, avec férocité. Je sais que je ne devrais pas ... Et pourtant, il le faut, en même temps. Paradoxal, n'est-ce pas ? Non ... Ambivalent, plutôt. C'est bien, ça, comme mot : ambivalent. C'est ambivalent, comme situation. Habituez-vous y : je suis l'ambivalence incarnée. C'est joli, l'ambivalence ... En fait, je crois que paradoxal était mieux. Reprenons, donc : c'est joli, les paradoxes. Ça prétend être quelque chose tout en en étant une autre, en réalité. Il est interdit d'interdire. Je suis gentille et je suis méchante. Adorable et machiavélique. Insouciante, calculatrice. Je suis une chose, j'en suis deux ... Je suis plein de choses, un peu comme ceci, un peu comme cela. Un petit peu de tout, une grande masse de rien. Je suis inquantifiable, indéfinissable, indescriptible, incompréhensible. Je suis Lisa. Quatre lettres. Deux syllabes. Une seule existence. Une infinité de possibilités. Mais ça, Keagan le savait déjà. Maël n'est pas stupide, malgré tout ce qu'on peut bien dire, croire et même penser de lui ... Malgré tout ce que je peux bien dire, croire et penser de lui. C'est bien cela qui m'agace, d'ailleurs : le fait qu'il ne soit pas stupide. En tous les cas, cela veut également dire qu'à ce stade, après tout ce temps, et malgré tout ce temps, également ... Il devrait suffisamment bien me connaître pour savoir ce dans quoi il s'aventure. Et le connaissant également, je sais qu'il ne s'aventurera pas sur un terrain dans lequel il ne se sentirait pas à l'aise. S'il me cherche, moi et toutes mes variables, moi et toutes mon imprévisibilité, c'est qu'il n'a pas peur de nous trouver, quel que soit le recoin sombre de ma psyché dans lequel nous avons collectivement décidé de nous concerter. Alors soit. Il veut jouer ? Je lui donnerai le grand jeu. Testons donc ce courage, cette bravoure légendaire dont il fait présentement preuve. Voyons jusqu'où il faut que j'aille pour pouvoir discerner dans son regard une incertitude, fine et légère pointe de peur.

    - Moi ? T'en vouloir ? Voyons, Keagan, tu sais bien que ce que tu avances est complètement ridicule : qu'est-ce qui aurait bien pu te donner l'audace de croire que tu mérites ne serait-ce qu'un tant soit peu de mon attention ? Je crains pour toi qu'il me faut bien plus qu'un vulgaire mensonge pour être blessée. Peut être que tu auras plus de chance la prochaine fois ! Je ne mâche pas mes mots, ne pèse pas leur poids. Pourtant, mes pensées cherchent à me retenir et me maudissent d'aller si loin, dès le départ. Lisa, que penserait ton père de toi s'il te voyait aussi froide et cruelle ? "Une femme se doit d'être douce et conciliante. Elle se doit d'être agréable et tendre envers ses pairs." Surtout les hommes. Où sont partis ces leçons de vie et cette éducation que tu tenais si haut dans ton estime, jadis, lorsqu'il était encore vivant ? J'ai envie de me mordre la lèvre mais je n'en ai pas envie, également. Je regrette et je ne regrette pas. Fidèle à moi-même, je vis de mon ambivalence. Je m'en imprègne, je me recouvre de son manteau. Elle me protège et me donne un sentiment de réconfort. Fidèle à moi-même, je vis de mes contradictions. Je veux le gifler. Je veux garder ma dignité et ne pas me donner en spectacle.

    Ah, être une femme respectable ...

    Si j'avais su que cela aurait été si difficile ...

    Je crois que j'aurais choisi d'être une de ces loques oubliées sur un trottoir, une fois le matin venu. Une de ces femmes lubriques, isolées, solitaires ... Sans valeurs, sans morale, sans crédibilité, quelle qu'elle soit.

    ... Quoi que ...

    La seule chose pire qu'être une femme avec un tant soit peu de dignité, c'est d'être une femme qui n'en a aucune. Non, je crois que je préfère encore avoir à surmonter tout un tas d'épreuves et d'ordalies que d'être une loque. Pourquoi ? Tout simplement parce que sans ma dignité, je suis consciente que je ne vaudrais pas grand chose. Comme toutes les autres, je ne serais bonne qu'à prendre et à laisser. Un peu comme Alice Collins, en fait. Je comprends mieux pourquoi Snow la trouve à son goût, maintenant que j'y pense ... Mais ça, c'est une histoire pour un autre jour.

    Maël me déclare alors qu'il "imagine" que je connais le sujet du devoir. Malgré moi, je me permets de rire, assez cyniquement.

    - Parce que tu as de l'imagination toi ? Eh bien ... Nous sommes en 2015 et les miracles n'ont visiblement pas fini de s'annoncer ! Roulant de mes yeux vers le plafond, je soupire bruyamment avant d'ajouter, d'un ton plus naturel et calme, cette fois-ci, bien que toujours sérieux :

    - Peut être. Peut être pas. Qui sait ? C'est toujours bien, un peu de mystère, non ? C'est alors que j'en profite pour rajouter une remarque un tant soit peu désobligeante. Désolée. C'était - visiblement - plus fort que moi. "Est-ce que mon petit ami me trompe ou est-ce qu'il m'est fidèle ?" est particulièrement cool dans ce rayon, également, tu devrais vraiment tester un jour !

    Profitant de cette réplique afin de tenter de me libérer de son emprise, le sentiment de soulagement que je ressens lorsqu'il me libère est ... En réalité, assez incomparable à tout ce que j'ai bien pu ressentir par le passé, si je suis honnête. Ou pas. Non, c'est assez soulageant malgré tout. Peut être pas aussi soulageant que lorsque les choses se sont terminées avec Snow mais bon, on ne peut pas gagner à tous les coups, n'est-ce pas ?

    D'ailleurs, je ne devrais pas jouer à la loterie ce soir (bien que je ne comptais pas jouer à la loterie de toutes façons donc bon) parce que visiblement, ce n'est pas mon jour de chance ! (Surprise) En effet, grosse brute s'amuse à me suivre le long des corridors malgré moi, histoire de bien s'accouder à mon casier lorsque nous sommes enfin arrivés à son niveau. C'est sûr que toutes les filles rêvent de voir leur casier bloqué par un gigantesque jeune homme au corps d'athlète – du moins, toutes les filles sauf moi. En même temps, je ne suis pas une fille : je suis une femme. C'est différent, l'air de rien, une femme. Ça a plus de dignité, pour commencer. Un grognement d'agacement alors s'échappe d'entre mes lèvres. J'en profite donc pour lui envoyer une réplique bien cassante sur son apparence. Tous les hommes sont relativement narcissiques, après tout, non ? Avec un peu de chance, je parviendrai à faire un home run.

    ....


    ....

    Mais non.
    Sa réponse me désespère.
    Son existence me désespère, en fait.
    Non. Tout me désespère, en ce moment.
    Hélas ...
    La vie est réellement difficile, parfois. Surtout lorsqu'on est entourés d'abrutis, comme c'est malheureusement le cas pour moi.

    - Mhh hmmm. C'était quoi son nom déjà ? Je dois impérativement couper les ponts, tu sais bien que je ne fréquente que des filles respectables, contrairement à toi, justement ! Maintenant, si tu pouvais te pousser, ce serait vraiment cool, comme ça je peux prendre mes affaires et rentrer chez moi, loin de toi. Lui envoyant un sourire hypocrite, j'attends qu'il se décale. Il me déclare en attendant qu'il ne compte pas me lâcher tant que le devoir n'est pas terminé. Chic chic chic. Pourquoi est-ce que la vie m'envoie sans cesse de véritables boulets à trainer derrière moi ? Sérieusement. Je ne mérite pas un peu de bonnes opportunités, une fois de temps en temps ? Non ?

    Me retournant brusquement, je lui fais alors face afin de lui déclarer, d'un ton académique et studieux :

    - Sinon, tu peux rentrer chez toi tranquillement, jouer aux jeux vidéos et ramasser la première fille que tu trouves sur le trottoir et je peux m'occuper du devoir. On se retrouve la semaine prochaine, tu n'as pas besoin de travailler, moi je n'ai pas besoin de subir ta présence insupportable et nous nous retrouvons tous deux avec une excellente note. Qu'en dis-tu ? C'est un bon plan, non ?

    Disouidisouidisoui pitié dis oui.

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    Re: Malédiction | Lisa

    Dim 5 Juil 2015 - 19:26
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    « Moi ? T'en vouloir ? Voyons, Keagan, tu sais bien que ce que tu avances est complètement ridicule : qu'est-ce qui aurait bien pu te donner l'audace de croire que tu mérites ne serait-ce qu'un tant soit peu de mon attention ? Je crains pour toi qu'il me faut bien plus qu'un vulgaire mensonge pour être blessée. Peut être que tu auras plus de chance la prochaine fois ! » Une fois encore Lisa m’accablait, évoquait ce mensonge dont j’étais coupable à ses yeux. A ses yeux seulement, car ma conscience, étrangement, ne ressentait pas le moindre remord quant a cette amitié autrefois basée sur de la sincérité. Oui, aussi surprenant que cela puisse être, je ne lui avais jamais menti, jamais caché les tromperies de son ex petit copain et pour cause, moi-même je n’étais pas dans la confidence. Bien évidemment je pourrais une nouvelle fois clamer mon innocence, lui répéter une énième fois que je n’étais en rien informé de ces trahisons. Pour autant je n’en fis rien, persuadé que mes efforts resteraient vains, encore et toujours. Lisa était du genre obstinée, entière, peut être un peu trop parfois, ne connaissant pas la demi-mesure. Dans le fond, ne devrais-je pas être celui qui doit en vouloir à l’autre ? Moi qui fus condamné avant même d’en comprendre les raisons ? Oui je devrais lui en vouloir, lui en vouloir d’avoir jeté au pilori cette amitié que je pensais importante à ses yeux. Pour autant je refusais de lui jeter la première pierre, comprenant que la souffrance pouvait parfois nous aveugler, nous rendre illogique. Ainsi je pris la décision de ne pas rétorquer le moindre argument concernant cette trahison qui existait uniquement dans son esprit, préférant de loin me jouer d’elle et de ses paroles que j’aimais interpréter à ma façon, non sans un sourire. «  Pourtant voilà bien deux minutes que ton attention est totalement mienne. » Dans un léger haussement d’épaule, je ne pu m’empêcher de lui adressé un sourire amusé, fier de lui prouver par A+ B qu’il n’était pas si aisé d’obtenir le dernier mot lorsque son propre comportement tenait un tout autre discours.   « Mais bon ! Puisque c’est de l’histoire ancienne et que tu ne m’en veux pas, nous allons pouvoir aller de l’avant de travailler ensemble comme il se doit ! » Non vous ne rêvez pas, une fois encore je retournais à mon avantage ses propres paroles, ne lui laissant d’autre choix que de composer avec moi et ce, le temps d’un devoir. Lisa devait probablement l’ignorer, mais il lui faudrait se surpasser si elle désirait un tant soit peu me blesser. Non…bien que le tournant qu’avait pris notre amitié ne me réjouissait guère, être victime de son tempérament de feu m’amusait plus qu’elle ne l’imaginait. Allons dont, n’avait-elle pas compris que j’avais une préférence pour les femmes de caractère ?

    Je ne pouvais le nier, j’aimais que l’on me tienne tête, que l’on cherche à me clouer le bec sans relâche.  Oh bien évidemment je comptais bien parvenir à mes fins, obtenir de Lisa un temps d’accalmie où l’on pourrait enfin discuter sans que la rancune ne l’aveugle, mais a quoi bon la facilité, où serait le plaisir ?   « Parce que tu as de l'imagination toi ? Eh bien ... Nous sommes en 2015 et les miracles n'ont visiblement pas fini de s'annoncer ! » « Que veux tu, je suis un homme plein de surprises. » Je n’en pensais pas un mot, me fichant bel et bien de ce que l’on pouvait bien penser de moi. Mais elle avait ce don pour me faire rire, ne cachant aucunement mon plaisir alors qu’elle s’évertuait de me mettre plus bas que terre. « Peut être. Peut être pas. Qui sait ? C'est toujours bien, un peu de mystère, non ? » Peu convaincu par son petit manège, je levais les yeux en direction du plafond,  me fichant bien de connaitre le sujet du devoir. Comme précisé un peu plus tôt, je ne manquais jamais de ressources, ainsi il ne me serait  pas bien compliqué de le trouver. Non, elle s’évertuait juste de me faire tourner en bourrique. Allez Lisa, tu peux mieux faire. « " Est-ce que mon petit ami me trompe ou est-ce qu'il m'est fidèle ?" est particulièrement cool dans ce rayon, également, tu devrais vraiment tester un jour ! » Voilà qui lui ressemblait davantage, virulente à souhait, une nouvelle fois en proie aux rancœurs du passé. Allait-elle enfin comprendre que je n’étais en rien responsable des actes commis par son ex petit ami ? Plus agacé que blessé, j’en vins finalement à manquer de délicatesse, jugeant avoir été suffisamment patient concernant toute cette histoire. « Justement, quoi de mieux que de prendre conseil auprès d’une experte dans le domaine, tu ne crois pas ? » Mon sourire s’en était allé, laissant place à une rancune qu’en temps normal je m’efforçais d’oublier. A coup sûr je m’étais à mal ce devoir que nous devions travailler ensemble, persuadé qu’elle refuserait en bloc de rester une minute de plus en ma compagnie. Elle ne perdit d’ailleurs, pas une seconde de plus pour se défaire de mon emprise, m’infligeant un coup pour être certaine de retrouver un tant soit peu de liberté.
    Je n’étais pas fier de mes propos qui s’avérait probablement plus blessant que jamais, plus qu’elle ne saura le reconnaitre tant sa dignité l’obligerait à garder la tête haute. Elle ne manquait pas de fierté, mais qui pourrait l’en blâmer ?  Pour autant je refusais de m’excuser, de lui céder une nouvelle fois au nom de cette amitié qu’elle s’évertuait de briser un peu plus chaque jour. Le temps des excuses touchait à sa fin, laissant place à une relation construite sur l’indifférence et un devoir qu’il nous fallait clôturer pour mieux s’ignorer.   Ainsi je me mettais une nouvelle fois en travers de son chemin, pour son plus grand désarroi. « Mhh hmmm. C'était quoi son nom déjà ? Je dois impérativement couper les ponts, tu sais bien que je ne fréquente que des filles respectables, contrairement à toi, justement ! Maintenant, si tu pouvais te pousser, ce serait vraiment cool, comme ça je peux prendre mes affaires et rentrer chez moi, loin de toi. » Un large sourire vint se glisser sur mes lèvres, étant peu décidé à lui offrir satisfaction tant que je n’aurai pas obtenu ce pourquoi je jouais avec ces nerfs. « Ce n’est pas mon amie mais la tienne. C’est à ce demandé qui est peu fréquentable. A moins bien sûr que tu comptes encore  accabler l’un de tes proches pour justifier tes mauvais choix » Elle l’avait compris je refusais de me pousser, préférant de loin la confrontation plutôt que de lui laisser la moindre opportunité d’accéder à son casier. C’est alors que, probablement las de nos petites joute verbales, Lisa me fit une proposition pour le moins inattendue… « Sinon, tu peux rentrer chez toi tranquillement, jouer aux jeux vidéos et ramasser la première fille que tu trouves sur le trottoir et je peux m'occuper du devoir. On se retrouve la semaine prochaine, tu n'as pas besoin de travailler, moi je n'ai pas besoin de subir ta présence insupportable et nous nous retrouvons tous deux avec une excellente note. Qu'en dis-tu ? C'est un bon plan, non ? Je devais avouer que sa proposition était pour le moins alléchante, néanmoins la méfiance semblait être les nouvelles bases de notre…relation ? Après tout, qu’est ce qui l’obligeait à mettre nos deux noms sur la copie ? Comment obtenir la garantie qu’elle n’offrira pas à notre chère professeure l’opportunité de mettre en difficulté et ce, en lui avouant qu’elle a réalisé ce devoir seule ? Une question sur le sujet du devoir suffirait à faire pencher la balance de son côté.  Naturellement je fis mine de réfléchir, de faire naitre en elle le moindre petit espoir de retrouver un semblant de tranquillité, mais… « Bien tenté Renfield, mais la seule fille avec qui je compte passer le reste de ma soirée se trouve justement sous mes yeux. La question est plutôt, combien de temps souhaites tu que cela dure ?» C’était tout bonnement mal me connaitre.
    Spoiler :

    Re: Malédiction | Lisa

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