Cora Noah. Noah Cora. Nous deux c'était toute une histoire. On avait été si proche auparavant. A tel point qu'on était inséparable. Quand j'avais des problèmes chez moi, quand mon père se mettait à hurler pour quoi que ce soit, je venais me réfugier chez la belle. On se racontait tous. Se comprenait. Se réconfortait. S’appréciait quoi qu'il se passe. Se soutenait. S'aimait. Pas d'un amour marital mais d'un amour fraternel. Rien d’ambiguë. Jamais. On savait tous les deux que jamais rien ne se passera et que c'est tellement mieux comme ça. Pourquoi gâcher une si belle amitié avec un semblant de sentiment qui n'est certainement pas de l'amour à proprement parlé. Et oui l'amitié homme/femme existe contrairement à ce que certaine personne peuvent penser et quand elle est pure c'est comme toute relation amicale c'est magnifique et inoubliable. En tout cas c'est ce qu'on pensait à l'époque. Je crois qu'on ne c'est jamais oublié mais le destin a choisi de séparer nos chemins de vie à cause de l'amour, ou peut-être grâce. Je ne sais pas trop quoi en penser. Bien qu'Amy fut la plus belle chose qui me soit arrivé à l'époque. Cora était elle aussi tombé sur la perle rare. Alors non, on se c'était pas abandonné, on c'était juste dit à la prochaine. Il m'arrivait parfois de vouloir lui parler quand il se passait quelque chose d'énorme dans ma vie, ou que j'avais réussi enfin à passer un niveau à la console, mais je m'étais retenu, elle devait sûrement être avec son copain et elle n'aurai pas envie que je les interrompe pour une futilité. Et c'est en pensant ça que je ne lui ai plus jamais adressé la parole. On ne se croisait jamais à LA mais si c'était le cas je ne sais même pas comment je réagirais...
Maintenant que Amy n'est plus là, j'ai voulu la voir. Mais j'ai reculé. Je sais pas, par peur. Elle me connaissait si bien, j'avais peur qu'elle trouve les mots pour me faire oublier Amy. C'est sûrement ridicule. Mais je crois que je ne voulais pas non plus freiner son bonheur par mes malheurs. Je l'avais déjà trop fait quand nous étions plus jeunes. Mais le jour où j'ai appris qu'il lui était arrivé un malheur, le même que le mien. Je suis venu. J'étais là, devant sa porte. Les points serrés. Les joues crispés. Les genoux tremblants. Puis c'est ainsi que j'ai réussi à approcher ma main droit de la porte pour appuyer sur la sonnette. Puis c'est son visage qui apparu quand la porte s'ouvrit. Je ne chercha pas midi à quatorze-heure, je m'étais approché d'elle et entoura son coup de mon bras et l'autre autour de sa taille et la serra contre moi. Je crois qu'on avait pas besoin de se parler. Moi je n'en aurais pas attendu plus d'elle.
C'est à ce moment là que je m'étais aperçu qu'on était les mêmes. Nous étions une copie de l'autre mais avec un sexe différent. On avait fait les même choix et ils c'était passé la même chose. Peut-être étions nous maudits, peut-être somme nous destiné à ne jamais connaître le bonheur de l'amour mais, au moins nous étions là l'un pour l'autre. C'était l'essentiel dans des moments comme ça.
Après quelque minutes, je l'avais enfin lâché. « Va prendre une veste, je t'emmène prendre l'air. » Je décida de l'emmener au Zoo, voir des animaux c'est toujours réconfortant. Et je me connaissais plutôt, il m'étais déjà arrivé de travailler là pour des stages. Je voulais donc lui montrer la beauté du monde et par le fait que ces petites ou grosses choses toutes mignonnes.
Maintenant que Amy n'est plus là, j'ai voulu la voir. Mais j'ai reculé. Je sais pas, par peur. Elle me connaissait si bien, j'avais peur qu'elle trouve les mots pour me faire oublier Amy. C'est sûrement ridicule. Mais je crois que je ne voulais pas non plus freiner son bonheur par mes malheurs. Je l'avais déjà trop fait quand nous étions plus jeunes. Mais le jour où j'ai appris qu'il lui était arrivé un malheur, le même que le mien. Je suis venu. J'étais là, devant sa porte. Les points serrés. Les joues crispés. Les genoux tremblants. Puis c'est ainsi que j'ai réussi à approcher ma main droit de la porte pour appuyer sur la sonnette. Puis c'est son visage qui apparu quand la porte s'ouvrit. Je ne chercha pas midi à quatorze-heure, je m'étais approché d'elle et entoura son coup de mon bras et l'autre autour de sa taille et la serra contre moi. Je crois qu'on avait pas besoin de se parler. Moi je n'en aurais pas attendu plus d'elle.
C'est à ce moment là que je m'étais aperçu qu'on était les mêmes. Nous étions une copie de l'autre mais avec un sexe différent. On avait fait les même choix et ils c'était passé la même chose. Peut-être étions nous maudits, peut-être somme nous destiné à ne jamais connaître le bonheur de l'amour mais, au moins nous étions là l'un pour l'autre. C'était l'essentiel dans des moments comme ça.
Après quelque minutes, je l'avais enfin lâché. « Va prendre une veste, je t'emmène prendre l'air. » Je décida de l'emmener au Zoo, voir des animaux c'est toujours réconfortant. Et je me connaissais plutôt, il m'étais déjà arrivé de travailler là pour des stages. Je voulais donc lui montrer la beauté du monde et par le fait que ces petites ou grosses choses toutes mignonnes.