SAKURA PICS
FEAT. HIROKI L. GRAY
KIMONO & RICE POWDER
Une séance photo. En kimono. Dans un hôtel japonais. L'idée pouvait sembler osée, quand on se voyait proposer une telle activité ... et qu'on était un homme ; parce que même androgyne, Nika restait un homme. Avec une voix grave, un service trois pièces, un torse plat. Un homme quoi. Mais Hiro avait lancé cette suggestion et il le connaissait assez bien pour rire et prendre cette séance photo. Après tout pourquoi pas ? Hiroki était loin d'être un amateur et ils s'amuseraient bien. Puis il le connaissait bien maintenant, ou au moins assez pour savoir que cela n'allait pas être gênant. Alors Nika avait répondu à l'invitation, laissé Cillian dans les bras de RJ pour l'après midi, avant de prendre le chemin du Ryokan avec un petit sourire au coin des lèvres : ils allaient bien s'amuser. Il avait même déjà prévu de se maquiller, jouant clairement et volontairement avec ces airs androgynes qui fascinaient ou gênaient, mais que lui assumait complètement. Quitte à faire un photoshoot ambigu autant jouer la carte de l'androgyne à fond non ? Kimono d'homme, maquillage ... Le contraste allait être saisissant.
Un kimono. L'androgyne, sur le point de se changer pour le shooting, détailla l'enchevêtrement de tissu qu'il retournait dans tous les sens avec un regard interrogateur. Ce n'était pas le genre de choses qu'il avait l'habitude de porter alors autant le dire : il ne voyait même pas comment enfiler ce truc. Il avait essayé deux ou trois fois avant de se rendre compte ... qu'il ne s'y prenait vraiment pas comme il fallait ! Il rit alors et enleva de nouveau le kimono, se retrouvant sans complexe en boxer au milieu de la salle d'essayages, levant la voix pour se faire entendre depuis ... peu importe où était le photographe. Il avait clairement besoin d'aide pour enfiler ce tas de tissus - et il n'était pas le genre de mannequin qui serait assez patient pour tenter un nouvel essai. Euh ... Hiro ? Tu peux me filer un coup de main ?
FUCK YEAH DISNEY GIF -- NELLIEL
FRATERNITIES, SEVEN YEARS LATER