Intrigue du Feu de Bois Tout commence par une histoire... Cette intrigue commence le 18 Juillet 2013 et s'achève le 28 Juillet 2013 . The Festival of Colors a écrit: Participants : - S. BLISS MONTGOMERY : 5 points. - ASHTON N. SALVATORE : XX points. - LENA M. BROOKLYN : 5 points. - ABEL P. FOX : 5 points. - THEA C. STONEHEVEAN : 5 points. - DANIEL JOE YOUNG : XX points. - HOLLY S. BROOKE : 5 points. (Dernière MAJ : 28.07.13 à 14:02 avec Thea) | La parole est à Aaron |
La fête battait son plein. Dans l’air flottait des saveurs qui ne cessaient de le ramener en enfance. Des vendeurs de chapatis ou de nan déambulaient avec leurs charriots et offraient pour quelques sous un casse-croûte typiquement indien. D’autres mets sur des stands éphémères régalaient les passants du soir et ceux venus assister à Holî. A coup sur le festival des couleurs commençait dans l’assiette. Mais en suspension dans l’air on pouvait presque voir les pigments envolés qui dessinaient des écharpes de brumes colorées. C’était un spectacle féerique qui ravissait autant les yeux que l’esprit. Abel flânait dans cette ambiance avec un sourire béat, rien n’aurait pu le contrarier ce soir-là. Parfois il tendait la main comme pour essayer d’attraper ces écharpes de brumes, sans succès, mais c’était peut-être mieux ainsi. Comme si on pouvait attraper un rêve. Le feu, allumé en souvenir de l’ancestrale légende de Holika était impressionnant et il participait à rendre l’atmosphère étrange en faisant scintiller les pigments comme autant de feu follets dansant autour des gens. Ses vêtements n’étaient déjà plus blancs mais c’était ça qu’était devenu l’esprit de Holî, la poudre comme cure des malentendus. Quelques petites bourses accrochées à sa taille, contenait les fameux pigments qu’il balançait sur les riverains.
Soudain, le vent se leva. Incontrôlable. Brutal. Mère nature semble elle aussi vouloir participer aux festivités. Les gens autour se couvrent les yeux de la poussière, remontent leurs cols ou enfilent leurs vestes. D’autres courent s’abriter là où il peuvent. Abel lui s’arrête de marcher pour apprécier ce retournement de situation. Contre le vent il ne risque rien et ferme les yeux pour mieux appréhender le monde alentour.
Un cri. Un autre. Puis la panique se créée. Lorsqu’il ouvre les yeux il voit le toit du Seextine en proie aux flammes. Un souvenir de la saint-valentin refait surface. Balayé par le vent. Il tourne la tête à gauche, puis à droite. Le temps nécessaire au feu pour descendre ravager la boîte de nuit. Ses portes s’ouvrent et des dizaines de clubbers fuient la mort. Ni une ni deux, il se reprend en main. Il compose le numéro de l’hôpital et prévient ses collègues de nuit qu’un incendie vient de se déclarer et qu’ils risquaient d’avoir des blessés à la pelle. Puis au lieu de partir dans le sens contraire des flammes il s’approcha. Des pompiers qui étaient déjà sur place pour surveiller le feu clandestin appelèrent du renfort et commencèrent à se mettre en action. Abel s’approcha d’eux en fouillant dans sa sacoche sans hésiter, puis trouva sa carte de médecin urgentiste.
« Bonsoir, je suis Abel Fox, je travaille à l’hôpital de L.A. J’ai prévenu mes collègues, ils envoient du renfort médical, et se prépare à accueillir les blessés graves. Je peux vous aider à évacuer et donner les premiers secours. » lança t-il d’une voix professionnelle qui avait perdu toute trace de fête. L’heure n’y était plus. Autour d'eux, les gens criaient, s'affolaient et paniquaient. Peu d'entre eux semblaient garder une part de lucidité.
Elle n'aurait pas vraiment songé à se trouver là à la base. Les clubs, elle, c'était pas son truc. Mais son père travaillait sur une affaire qui l'intéressait particulièrement, et elle n'avait pas pu s'empêcher d'aller y fourrer son nez. Il faisait une filature même si ce n'était pas vraiment son rôle, il adorait se prendre pour un détective privé. La cible était une femme, gestionnaire d'une assez grosse entreprise soupçonnée par son associé de détourner des fonds. Suite aux plaintes, James avait décidé de mener sa petite enquête, n'hésitant pas à en parler à Lena qui de toute façon, comptait suivre la même voie. S'il savait qu'actuellement, elle filait son propre père ! Mais il ne le savait pas, ou s'il s'en doutait, il cachait très bien son jeu. En tout cas, elle était bien là à épier de loin, prétextant téléphoner en sirotant un coktail, sans alcool bien sûr.
La Holi, tout le monde en parlait depuis plusieurs jours. C'était un gros événement à ce qu'il paraissait. Lena aurait bien aimé inviter Victoria en fait, mais sa meilleure amie n'était pas disponible, elle passait des concours importants. Elles se verraient à Noël de toute façon lui avait-elle dit joyeusement. Un léger sourire sur les lèvres, mais un peu triste quand même, Lena avait raccroché. Bon sang ce qu'elle pouvait lui manquer sa rousse préférée ! Mais elles avaient un chemin dans la vie tracé différemment et la seule force de leur amitié maintenait encore le contact malgré la distance. Heureusement que le web existait. Parfois Lena regrettait que l'Amérique soit si grande. Tellement de kilomètres à parcourir, tellement de temps passés dans les transports... Elle avait d'ailleurs refusé de se rendre à la Holi toute seule. Elle n'osait pas demander à Aaron, et elle ne se sentait pas encore assez proche de Myndi pour oser ne serait-ce que lui proposer cela. Elle avait probablement des amis plus proches pour y aller et sûrement des tonnes de choses de prévues ! Si bien que lorsque son père annonça qu'il allait au boulot, une idée stupide s'alluma dans l'esprit de l'étudiante. Et si elle faisait semblant d'aller à la Holi pour suivre son père ? C'était chose aisée.
« Attend-moi Papou ! J'm'habille et je te laisse me déposer en ville ! » brailla-t-elle. « Tu vas retrouver des amis ? » hurla l'interpellé en bas de l'escalier. « Vous pouvez pas attendre d'être l'un en face de l'autre vous deux ? » compléta le cri de Lauren qui devait partir un peu plus tard, rejoindre ses collègues de travail pour l'occasion. Un joyeux capharnaüm qui fit sourire Lena. Alors qu'elle attachait rapidement ses cheveux en un chignon négligé. Un peu de noir sur mes yeux, une fleur dans mes cheveux..... Le maquillage discret pour faire ressortir ses belles prunelles azur oui, la fleur...malgré l'ambiance indienne, non. Enfin si, mais, sur sa robe. Une jolie robe sombre mais très colorées par les nombreux motifs floraux. Une veste en jean, des chaussures ouvertes mais confortables, son éternel sac à main qui n'avait rien d'élégant et la voilà prête dix minutes plus tard.« Depêche-toi ! J'veux pas être en retard ! » beugla James. « Oui oui ça va je suis là ! Bonne soirée Lau' ! » Et ils montèrent en voiture.
Maline, elle avait fait parler son père avant elle, lui demandant où il allait. Ainsi, elle pouvait dire qu'elle devait rejoindre non loin et qu'il suffisait qu'il la dépose là où lui allait. Il ne tiqua même pas et lui souhaita une bonne soirée avant de se diriger rapidement vers le club. Un peu surprise, Lena qui n'aimait pas ces endroits le suivit quand même. Elle était passée de justesse avec sa tenue et s'était installée dans un coin de la pièce, ayant son père en vue, dans son dos et cherchant où se trouvait la fameuse femme d'affaire qu'il filait. Cela faisait à présent vingt minutes qu'elle enchainait les cocktails. Grosse erreur, il allait lui falloir aller au toilettes ce qui voulait dire, lâcher du regard son père et la femme en question et en plus passer devant son père.. «Crap ! »marmonna-t-elle pour elle-même. Mais n'y tenant plus, elle termina son verre et se rendit là-bas. De retour , elle entendit : « Mademoiselle...vous prendrez bien un verre avec moi. »
Le ton de son père était sans appel. Légèrement moqueur. Lena finit par s’asseoir en face de lui, de manière stratégique pour ne pas lui boucher la vue. «Salut P'pa.» Les gens dansaient autour d'eux, eux n'avaient rien remarqué de la scène. Le père et la fille entrèrent dans une communication codée qui fut interrompue par la requête d'un jeune homme qui voulait inviter Lena à danser. [HJ :Jeune homme qui peut faire partie de la mise en situation ! Cela pourrait être sympa pour créer un lien ! ] Cela tombait bien pour James qui cherchait une excuse pour que sa fille aille s'amuser. Il sourit au jeune homme après l'avoir détaillé des pieds à la tête, il ne laisserait pas sa fille aux mains de n'importe qui tout de même, mais..il semblait acceptable, puis la poussa presque dans ses bras.
C'est là que tout s’enchaîna très vite. James remarqua que sa cible quittait le club, il se devait de la suivre. Il embrassa Lena sur le front, lui souhaita une bonne soirée et s'empressa de quitter la pièce. Il ne vit donc pas que quelques instants plus tard à peine, le toit s'embrasait, sa fille étant toujours à l'intérieur du club. La jeune femme elle se retrouvait à sourire gênée dans les bras de l'inconnu, sans savoir quoi dire, prise au piège à son propre jeu. Puis des cris retentirent, l'air devint rapidement suffocant et la panique engendra un mouvement de foule brutal qui projeta Lena à terre. Si elle était seulement tombée ! Sa tête cogna malheureusement dans le coin de la table, l'assommant directement. Ce fut soudain le trou noir pour la jeune femme.
Je déteste lorsque nous sommes en froid. Mais Thobias ne semble pas vouloir s'ouvrir à moi. Je ne sais pas pourquoi, ni comment, mais apparemment il ne veut pas du tout parler de la situation. C'est apparemment.. le fait qu'il ait une soeur.. qu'il est revu son frère.. je crois que rien ne va plus pour lui et il ne semble pas vouloir me parler un peu. J'aimerais qu'il me dise ce qu'il ressente, seulement.. il ne veut pas me parler. Il se renferme sur lui même et m'engueule à la moindre occasion. J'ai l'impression qu'au final je ne sers strictement à rien de plus qu'à être un défouloir. je refuse cette place, je ne veux pas que cela nous pourrisse, on ne fait que s'engueuler pour le coup et j'en ai raz le bol. Ce soir pour ce festival je refuse d'être avec lui, peut-être qu'avec même un peu de chance je peux le rendre jaloux. J'ai ben l'intention de lui montrer que je peux m'amuser sans lui, apparemment il ne veut plus que nous soyons collés comme on le fait alors voilà. On ne va plus l'être. Je vais lui rendre sa liberté et peut-être qu'il comprendra ce qu'il a perdu ce soir et qu'il cessera toutes ses conneries son sale caractère. En tout cas, la soirée bat son plein dans la boîte, je m'amuse, je danse avec des mêmes, j'ai cru le croiser lui.. mais apparemment il semble bien occuper aussi.. Je suis un peu énervée, je tente de me divertir comme je peux mais au final la soirée commence sérieusement à tourne en rond. Je bois plusieurs verres j'avoue.. mais je n'aurais pas pensé que l'alcool pourrait me faire faire autant d'effet. Je vois ses flammes.. sur le plafond. Je réalise qu'elles sont totalement vraies lorsque tout le monde panique et fonce vers la sortie. C'est un peu une scène apocalyptique, finalement l'alcool ne semble pas avoir grand effet sur moi. Je vais pour suivre ses personnes lorsque je trouve une fille totalement inconsciente sur le sol. Personne ne semble avoir vu qu'elle était là. Je tousse parce que c'est de pire en pire pour respirer. Je tente de la bouger. " Ett ? " Je n'arrive pas vraiment à la faire reprendre conscience. Je le redresse sur mes épaules, me remerciant pour les nombreux cours de boxe qui me permette de la soulever. J'avance en toussant mais c'est difficile et j'ai beaucoup plus de mal. " Hééé ! Il me faut de l'aide ! Elle est inconsciente et j'arrive pas à la sortir.. " Je tousse encore et je n'arrive pas.. je bloque.. je ne sais pas comment réussir à temps à la sortir cette fille.
Cela faisait plusieurs années que je vivais à Los Angeles et pourtant, jamais auparavant je n'avais participé au festival des couleurs. Cette fête était pour moi un rêve d'enfant et donc, une journée très attendue. Je me préparais depuis le petit matin pour être parfaite et au final, j'optais pour une simple robe blanche, dessinant ma fine taille et soulignant mes formes parfaites. Pour accompagner le tout , je décidais d'enfiler des talons aiguilles, qui me permettraient d'observer les alentours sans avoir à me dresser sur la pointe des pieds. En ce qui concernait le maquillage, j'ajoutais quelques touches de couleurs pour montrer mon intérêt pour le festival sans pour autant me transformer en pot de peinture sur pattes ! Je pensais m'y rendre avec Dalg mais finalement, je décidais d'y aller seule, de mon côté prétendant que je devais aider ma tante à faire le dîner de ce soir puisqu'elle avait de nombreux invités. En réalité, je l'évitais un maximum en ce moment, ne sachant pas ce que je voulais au plus profond de mon coeur. Est-ce que je l'aimais ? C'était évident. Qu'est-ce que j'étais prête à accepter par amour ? Je n'en avais encore aucune idée et c'est pour ce fait que j'avais besoin de recul. Je souhaitais sauver mon couple mais j'étais incapable de dire à quel point je le désirais.
Quelques heures plus tard, je me retrouvais à virevolter au milieu de tous ces pigments de couleurs. Fermant les yeux pour apprécier ce nouveau ressenti, je riais aux éclats, seule et pourtant entourée. Cela faisait des semaines que je ne m'étais pas sentie aussi vivante. J'aimais Los Angeles. Je l'aimais bien plus que le Canada. Les habitants pouvaient peut-être me prendre pour une folle, surtout à ce moment précis or, j'étais heureuse et je souhaitais faire partager ce sentiment avec le monde entier. Je décidais de m'arrêter pour faire une pause et, rien de mieux que le club pour se détendre et se sentir libre. Je me dirigeais vers le bar, pris place sur un tabouret et commandais un premier verre. Peu de temps après, j'étais en train de le siroter. Je pensais qu'aujourd'hui était un autre jour, que tout allait se passer à merveille et pourtant... Le vent se levait de plus en plus dehors et sans que personne ne s'y attende, celui-ci pris position du club. Le toit commença a s'enflammer doucement et les clients se mirent à courir et crier dans tous les sens. Je voulais faire de même mais, c'était impossible, ils se piétinaient et trébuchaient où qu'ils aillent. Il fallait faire quelque chose ! J'avançais d'un pas lent et certain vers la sortie quand une voix vint à mes oreilles. Je fis donc demi tour et vis une jeune femme à genoux près d'une table. Mais qu'est-ce qu'elle faisait ? Hey, qu'est-ce que tu fais ? Il faut sortir d'ici vite ! M'écriais-je en fixant tour à tour la jolie blonde et les flammes orangées qui envahissaient petit à petit le bâtiment. C'est après un certain temps de réaction que je m'aperçus qu'elle n'était pas seule. En effet, une autre jeune femme était à ses côtés et celle-ci semblait inconsciente. Oh merde.... Murmurais-je bouche bée en m'avançant doucement vers elles. Je commençais à avoir des tremblements dans tout le corps, la peur, l'envie de partir loin d'ici, le regret de me pas avoir emmené Dalg. Et si je mourais ce soir ? Et si je n'avais jamais occasion de lui dire toute la vérité ? Est-ce qu'il m'en voudrait de lui avoir menti ? Un tas de questions prit possession de mon esprit et pourtant, il fallait que je reste concentrée. Je crois qu'à deux, on peut réussir à la tirer de là... Respire. Respire et reste calme. Je lançais un léger sourire rassurant en direction de la petite blonde et passais un bras endormie sur mon épaule. Est-ce que nous allions sortir d'ici vivantes ? Est-ce que cette belle inconnue avait une chance de s'en sortir ? Respirait-elle encore L'urgence du moment n'était aucun que sortir de ce maudis club dans lequel je n'aurais jamais dû me trouver.
Une soirée au Seextine ? Mais comment pouvais-je refuser ça ? Faut dire que ses derniers jours la club est un peu ma seconde maison, j'y passe effectivement toutes mes soirées, et en général elles ne se finissent pas avant le petit matin ou on me porte jusque le taxi tellement j'étais crevée et bourrée. Bref aujourd'hui sera différent, oui je ne vais pas me saouler à être complètement ivre, voilà une bonne résolution, mais cela ne veut bien sur pas dire ne pas s'amuser, depuis quand a-t-on besoin d'être ivre pour s'amuser ? Personnellement je n'en avais pas besoin. J'enfilais alors une magnifique robe blanche qui d'ailleurs se fera surement colorer lors de la soirée ce qui ne me dérangeait en aucun cas puisque je l'avais achetée exprès pour cette occasion. Une fois prête, je me dirigeais vers le club, motivée à passer une soirée inoubliable.
Il y avait déjà un monde fou dans le club, faut dire que cette soirée avait fait un buzz inimaginable sur la toile mais il y avait aussi eut une promotion de ouf un peu partout dans LA, pour ça c'est vrai que le Seextine excellait, et c'est d'ailleurs surement une des raisons qui me pousse à toujours venir dans ce club, au moins j'étais sure de ne pas m'ennuyer, parce que oui c'est tout à fait possible dans certaine boite de nuit. Je dansais alors à en perdre au moins dix kilos, j'étais jamais seule, toujours entourée de divers garçons qui ne restaient pas une seule chanson entière parce que ce soir je ne cherchais pas à tirer mon coup comme un mec, mais juste m'amuser. La soirée battait son plein lorsque d'un coup alors que le vent c'était anormalement levé, le toit prit feu et la panique dans le club fut immédiate, tout le monde se précipitait pour sortir, moi la première merci hein je ne veux pas mourir dans ce foutu club, en courant vers la sortie, j'aperçue trois filles au sol, enfin surtout une et deux qui essayaient tant bien que mal de l'aider, merde. Je pris alors l'initiative de m'avancer vers elle mais quelque chose qui tomba juste en face de moi me barra le chemin, surement quelque chose du toit, je fis alors un bon en arrière évitant de peu ce truc qui failli m'écraser le pied, la respiration haletante je me relevais avec bien du mal, faut dire que nous avions de plus en plus de mal à respirer, d'ailleurs cela me fit paniquer et je me retrouvais moi-même un peu à court d'air perdant l'équilibre un instant je m'accrochais alors contre le mur essayant de me calmer.
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