TROISIÈME INTRIGUE ☼ mise en situation numéro 4.

Intrigue du Feu de Bois Tout commence par une histoire... Cette intrigue commence le 18 Juillet 2013 et s'achève le 28 Juillet 2013 . - Un indien raconte la légende de Holika au feu. Après, quelqu’un invente une histoire et, peu à peu, chacun prend la parole pour raconter une histoire, réelle ou non, qui serait en rapport avec les coutumes et traditions, le passé, les légendes, la conversation peut même dévier sur votre enfance, et les souvenirs des légendes et des comptes que vous avez eu. Bonne histoire et surtout, évitez de faire des cauchemars ! Participants : - DALGLIESH E. AGNEW : XX points. - SHAE M. ANTONNELI : 5 points. - A. ROMANE BURNS : 5 points. - LOLA SANDSTROM : 5 points. - GRACE W. NOLAN : 5 points. - JERSEY B. HARRINGTON : 8 points. - SARAH R. MASON : 5 points. (dernière mise à jour à 21h35 avec le post de Jersey de 19h55)

La parole est à Hye

J'écoute ses paroles, ou plutôt je les bois, fascinée par tout ce qu'il peut raconter, comme s'il parlait d'une vie que j'aurai pu vivre si je l'avais vraiment voulue. Je découvre le monde sans voyager, je me sens comme chanceuse et je regarde le petit groupe qui se trouve autours de moi qui fait la même chose que moi, il semble connaitre des secrets que personne n'a entendu avant ce jour. C'est beau car on s'y croirait, comme si la vie connaissait une partie de son apogée parce qu'aujourd'hui nous sommes en communion même si nous sommes censés être dans des groupes différents, je lance un sourire à Aaron qui se trouve à mes côtés ainsi que Jersey, s'en suit les souvenirs des gens, les récits de toute une vie en une nuit. Mon père me hante un peu et les voyages qu'on a pu faire tous les deux, les endroits qu'on a pu voir, les aventures qu'on a vécu mais surtout celle qu'on aurait pu vivre. Lui, sa voiture et moi. L'odeur du feu me monte un peu à la tête et j'ai l'impression d'être droguée aux souvenirs que je chéri comme les plus grands des secrets. La parole est à tout le monde à présent et je sens que mon tour ne va pas tarder à arriver, une jeune fille s'attarde sur les légendes d'Irlande qu'elle connait, sur les fantômes d'une Écosse qu'elle a eu la chance de visiter et sur Brocéliande, cette forêt aux multiples secrets. Je retiens mon souffle au rythme de mes pensées, en attendant toujours plus, pour en apprendre toujours plus. On me livre des aventures merveilleuses, des récits nouveaux et des nouvelles envies de visiter le monde et chacun de ses recoins, il m'attend, ce monde, bon sang, je le ressens. J'en apprends plus sur des choses qui ont rythmé plusieurs existences qui paraissent tellement loin de Los Angeles et de la version matérielle des gens, ce soir, j'en suis certaine tout est différent. Puis je me décide enfin attrapant un bout de bois pour en faire brûler l'avant, je prends la parole à fermant un peu les yeux, pour ne pas oublier une seule partie de ce que j'avais vécu ce jour là, de ce que j'avais appris, et de ce qui m'avait donné envie de faire cela de ma vie. Voyager, j'entends, pas construire des bâtiments. « Avec mon père, une fois, enfin, je ne sais pas vraiment si c’était une légende ou quoi que ce soit, mais il m’avait raconté une centaine de fois l’histoire d’un chef indien ayant sauvé son village des attaques en se transformant en baleine tueuse. Il remontait les fleuves de la mer vers son village pour prévenir des attaques qui pouvaient arriver. On disait que même après la fin des attaques, il revenait souvent sur les quais, pour regarder les souvenirs de sa vie et rester des heures à frotter son corps sur les galets. Alors on y est allé, en voiture tous les deux, voir si encore aujourd’hui il le faisait, si son esprit était encore là, comme l’histoire le disait, et après des heures d’attentes dans le froid canadien, l’orque est arrivé pour se laisser aller à chanter tandis que les galets le caressaient. Je crois que c’était un des plus beaux jours de ma vie. Quand j’y pense, c’était juste merveilleux. » Je ne sais pas s'ils attendaient une histoire comme celle là, mais le souvenir me fait du bien. J'esquisse un sourire à ceux qui se trouvent autours de moi, avant de jeter entièrement mon bout de bois dans le feu. Un souvenir à la fois, la parole n'est plus à moi.

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Tu vois ce moment entre le sommeil et le réveil,
ce moment où on se souvient d'avoir rêvé ?
C'est là que je t'aimerai toujours,
c'est là que je t'attendrai.

Le festival débutait seulement et les animations qui étaient prévues pour mettre davantage d’ambiance également. En me baladant en ville j’étais tombée par hasard sur le feu de bois. Ce n’est pas vraiment le feu en lui-même qui avait retenu mon attention mais plutôt l’homme qui se trouvait juste à côté, installé à même le sol avec quelques autres personnes qui entouraient ce dernier. Ce vieux monsieur était indien, il suffisait de le regarder pour que cela saute aux yeux, le petit point noir au-dessus du nez entre les deux sourcils, une peau métissée et les vêtements qui allaient avec. Captivée par son récit je m’étais installée entre deux personnes, à côté de celle avec qui j’étais habituée à passer énormément de temps, c’est-à-dire Grace. « Avec mon père, une fois, enfin, je ne sais pas vraiment si c’était une légende ou quoi que ce soit, mais il m’avait raconté une centaine de fois l’histoire d’un chef indien ayant sauvé son village des attaques en se transformant en baleine tueuse. Il remontait les fleuves de la mer vers son village pour prévenir des attaques qui pouvaient arriver. On disait que même après la fin des attaques, il revenait souvent sur les quais, pour regarder les souvenirs de sa vie et rester des heures à frotter son corps sur les galets. Alors on y est allé, en voiture tous les deux, voir si encore aujourd’hui il le faisait, si son esprit était encore là, comme l’histoire le disait, et après des heures d’attentes dans le froid canadien, l’orque est arrivé pour se laisser aller à chanter tandis que les galets le caressaient. Je crois que c’était un des plus beaux jours de ma vie. Quand j’y pense, c’était juste merveilleux. » Je l’avais écoutée attentivement, buvant chacun de ses mots et prenant presque part au récit de la jeune femme. Dès qu’elle avait arrêté de parler le silence avait regagné notre cercle, le craquellement du bois étant le seul son qui pouvait encore atteindre nos oreilles. Prenant une grande inspiration, je prenais à mon tour la parole. « Je me souviens qu’il y a dix ans, lorsque ma grand-mère est rentrée d’Inde, là où elle venait de passer trois ans, et que nous nous sommes installées sur mon lit pour qu’elle puisse me narrer calmement le récit de ses aventures la première anecdote à laquelle elle a pensé était justement le Holi. Elle m’a raconté comment elle avait fait connaissance d’une famille d’indiens qui, chaque année, travaillaient durement pour pouvoir fournir à une majeur partie des organisateurs du festival les couleurs nécessaires pour en mettre sur tous les participants. Ils s’épuisaient quotidiennement et n’avaient pas beaucoup d’argent mais chaque année, lorsqu’ils découvraient les autres colorés de la tête aux pieds et de voir ô combien ils étaient heureux mettait suffisamment de baume au cœur de cette famille qui était prête à se serrer la ceinture pour perpétuer la tradition. Depuis ce jour-là j’ai toujours eu envie de participer moi aussi à l’un de ces festivals et il semblerait qu’à la fin de celui-ci je pourrais moi aussi faire découvrir une petite partie de mes souvenirs de la Holi à ma grand-mère qui m’a toujours promis de m’emmener en Inde pendant la période estivale. »

muddafuggin' cooper !

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FESTIVAL OF COLORS

Intrigue feu de bois

Ce soir-là, Lola avait décidé de se poser au coin d'un feu de camps en compagnie d'autres habitants et étudiants. Le festival of colors avait commencé depuis peu et Lola avait décidé d'y participer, trop heureuse de voir l'évènement se dérouler dans la ville. Un indien était assis parmi eux et racontait la légende de Holika. Une histoire passionnante que Lola écoutait avec une grande attention, les yeux ronds tels ceux d'un enfant.
Une fois l'histoire de Holika terminée, le silence se fit, et tout le monde se regarda. Puis, dans l'esprit de partage de légendes, plusieurs autres personnes se mettent à parler, chacun son tour, en racontant souvenirs et histoires. La jeune finlandaise reste silencieuse, écoutant chaque récit avec intérêt. Elle sent que c'est un de ces moments magiques, hors du temps, où la vie quotidienne semble si lointaine.
Le feu crépitait vivement, éclairant chaque visage autour de lui, transportant chaque personne ici présente dans un état second de souvenirs et de mélancolie. Lola, en tout cas, ne pouvait s'empêcher de se remémorer son enfance en Finlande, son pays d'origine. Elle n'y était jamais retournée depuis son départ pour les USA à son entrée au lycée. Et son pays lui manquait, terriblement. Encore aujourd'hui elle ne sentait pas totalement intégrée au sein des USA, restant une finlandaise de nationalité et de cœur.
Deux étudiantes racontèrent, chacune leur tour, un souvenir qui leur tenait à cœur. La première, Grace Nolan, raconta un souvenir lié à son père et elle, qui avaient eu la chance de voir un orque venir près d'eux lors d'un voyage en Inde. Lola trouva cette histoire superbe. Elle s'imagina la scène avec un très fin sourire aux lèvres, les yeux fermés. La deuxième étudiante, Jersey Harrington, parla de sa grand-mère et du souvenir d'elle lui racontant l'histoire d'une famille indienne. C'était aussi une très belle histoire, et Lola sourit à la jeune blonde lorsqu'elle eut finit.
Le silence retomba, et la jeune Gamma Psi sentit qu'elle devrait, elle aussi, raconter quelque chose. Elle n'aimait pas parler de son enfance, aimant trop garder ses souvenirs pour elle, dans son cœur. Elle savait pourtant qu'elle allait devoir parler à un moment ou à un autre, mais ce n'était pas pour tout de suite. Elle voulait d'abord écouter encore quelques autres récits avant de se lancer.  

FICHE ET CODES PAR EPISKEY.

Le festival tant attendu, en fait moi il m'intriguait plus que tout autre chose. Je ne suis pas le genre de nana à ma renfermer sur moi-même. Nous sommes autour d'un feu, cela rappelle des souvenirs d'enfance, depuis que je suis ici, ce n'est vraiment pas le genre de choses que j'ai pu faire ces dernières années. Mais, ça me rappelle tout de même à mon enfance et aux voyages familiaux, aux vallées d'Irlande. Les visages éclairés par les flammes sont pour la plupart presque inconnus pour moi. Il y a ce jeune homme particulier aux cheveux roses que j'ai eu le plaisir de croiser lors de la fête sur le yacht et il y a Grâce que je connais plus ou moins bien. Jersey est ce qui se rapproche le plus d'une amie. Les autres? Inconnus au bataillon mais, qu'importe. Je suis silencieuse, j'écoute le récit de cet homme qui parait emprunt d'une grande sagesse. C'est un peu comme si tous ici autour buvions ses paroles comme du petit lait, fascinés, j'aime les histoires de légendes. Mais, je me tais, j'écoute alors que la brune prend à son tour la parole. Elle nous raconte un souvenir de son enfance, un moment partagé avec son paternel. Je pense au mien et je me dis que dans le fond, avec ce que j'ai appris dernièrement, je ne suis plus si sûre de le connaitre aussi bien que je le pensais. Pourtant, je ne laisse pas cette donnée me miner le moral, après tout je suis venue ici pour passer un bon moment et non pour penser aux erreurs du passé. La jeune femme avait l'air d'avoir partagé de très bons moments avec son père, cela me fit doucement sourire, un peu comme si je la remerciais de partager cette anecdote avec nous. Mes yeux s'étaient reposé sur le feu, un sentiment d'apaisement s'était emparé de moi. Cela me fit repenser à un conte irlandais que mon propre père m'avait conté quand j'étais toute gamine. Je pris alors à mon tour la parole. Je suis d'origine Irlandaise. En Irlande, il y a une histoire derrière chaque champ, un mythe derrière chaque montagne, une légende au détour d'une rivière. Quand j'étais gamin mon père nous racontait ces contes fabuleux avant d'aller dormir ou lors de randonnées. Je me souviens ce celle de ... Non en fait rien de comparables avec vos histoires, j'ai l'impression que toutes les légendes d'Irlande sont faites pour faire peur aux enfants. finis-je par lâcher juste après que Jersey ai prit elle aussi la parole. Rien à voir avec des vieilles légendes indiennes, empruntes de sagesse. Elle était bizarre cette coutume de se peinturlurer de la tête aux pieds, à quoi cela servait-il? L'une d'entre vous connait la signification que ça a pour eux de se colorer ainsi? Bien oui j'étais assez curieuse en fait.

Autour du feu, un homme d’origine indienne nous explique la légende de Holika. En jetant quelques poignées de sables, faisant grandir le feu, il nous conte l’histoire de cette femme brûlée pour sa vanité et sa méchanceté et du triomphe du petit garçon aidé des dieux. Mes grands yeux sombres fixaient l’homme avec avidité, comme si j’attendais qu’il nous conte une deuxième histoire. Si je connaissais l’histoire de Holika pour avoir fréquentée l’Inde par plusieurs reprises, j’étais toujours avide de ces histoires que les Indiens savent si bien conter. Toutes leurs déesses, leurs dieux ont leurs propres histoires et je pouvais passer des heures à écouter un habitant me raconter les légendes. Venant d’Italie, nous avions nous aussi notre folklore et je me rappelais bien de ma grand-mère me racontant ses histoires de femmes déchues ou de divinités anciennes … Mais c’était des souvenirs trop précieux pour moi, pour que je puisse les raconter en public. Alors en silence, j’écoutais le récit de Grace, puis de Jersey. Je buvais littéralement leurs paroles, leurs histoires me donnaient la chair de poule. Une petite rousse semblait avoir pris le même partie que moi, de se taire alors qu’une blonde Romane se lança également avant de rebrousser chemin. « Oh aller raconte nous en une ! L’Irlande à un fort folklore, j’aimerai entendre une histoire sur l’Irlande par une irlandaise pour une fois ! ». En Amérique nous avions tendance à traiter les irlandais avec humour, je ne savais plus ce qui était vrai du faux dans tout ce que j’avais entendu sur eux. Entendre une histoire par une irlandaise elle-même me garantirait un peu de vrai folklore pour une fois. « Chaque couleur à une signification, le vert représente l’harmonie, l'orange l’optimisme, le bleu la vitalité et le rouge la joie et l’amour. C’est un peu leur façon de se souhaiter de bonne chose … Sans distinctions de classe ou de religion ». Car c’est bien ce qui gangrénait l’Inde, les distinctions. La Holi leur permettait avant tout de se mélanger les uns aux autres et de casser des barrières qu’ils n’auraient pas casser autrement. « Il est de coutume d’ajouter Bura Na Mano, Holi Hai ! qui veut dire ne soyez pas fâché, c’est la Holi ! ». Le visage rieur je zieutais mes compagnons avant de laisser place à mon tour au silence.

INTRIGUE FEU DE BOIS

J'étais venue avec une amie manger dans un resto chinois. Pas meilleur resto chinois qu'à Chinatown.. Sauf peut-être en chine. Bref. Le ventre plein, nous sortions du restaurant et on se quittait là, puisqu'elle devait prendre un autre chemin. Je trainais un peu dans le coin, c'était bien actif le soir quand même et l'ambiance était bonne. Je devrai y venir plus souvent. Je remarquais un feu de bois à quelques mètres seulement, et je décidais d'aller m'installer. Il n'était pas tard, autant finir la soirée en beauté avant de rentrer. Un indien se mit à raconter la légende de Holika et peu à peu chacun prend la parole. Pour le moment je préférais écouter les autres. D’ailleurs je ne connaissais pas du tout quelques uns ici. Avec mon père, une fois, enfin, je ne sais pas vraiment si c’était une légende ou quoi que ce soit, mais il m’avait raconté une centaine de fois l’histoire d’un chef indien ayant sauvé son village des attaques en se transformant en baleine tueuse. Il remontait les fleuves de la mer vers son village pour prévenir des attaques qui pouvaient arriver. On disait que même après la fin des attaques, il revenait souvent sur les quais, pour regarder les souvenirs de sa vie et rester des heures à frotter son corps sur les galets. Alors on y est allé, en voiture tous les deux, voir si encore aujourd’hui il le faisait, si son esprit était encore là, comme l’histoire le disait, et après des heures d’attentes dans le froid canadien, l’orque est arrivé pour se laisser aller à chanter tandis que les galets le caressaient. Je crois que c’était un des plus beaux jours de ma vie. Quand j’y pense, c’était juste merveilleux. dit une fille. J'avais écoute toute son histoire sans rien rater, et je finissais par sourire à la fin. Jersey prit ensuite la parole suivi d'une autre fille (Romane) et la signification des couleurs par une autre. J'ai une petite légende anglaise perso, mais c'est pas classe.. si c'était pour gâcher l'ambiance, pas la peine.

CODE BY APACHE.

L’idée de tous nous raconter quelques histoires qu’elles soient liées ou non à la HOLI devant un feu de camp comme nous pouvions le faire de coutume lorsque nous faisions du camping était une très bonne idée. Nous n’étions pas énormément il y avait donc entre nous une certaine convivialité qui s’était créée, nous nous écoutions tous parler sans interrompre l’autre et sans apporter un regard critique à l’histoire qui était racontée. Je sentais que cette soirée, si tout continuait de se passer comme prévu, allait être très sympathique et je ne regrettais définitivement pas d’être venue toute seule, j’allais pouvoir faire de nouvelles rencontres et aborder quelques connaissances par la même occasion avec qui je n’aurais peut-être pas sauté le pas si j’avais été accompagnée de mes amis les plus proches. Chacune à leur tour, Romane, puis Shaé vinrent à énumérer des légendes ou histoires qui avaient pu bercer leurs enfances respectives ou plus simplement leur passé. J’écoutais attentivement le récit de chacune d’entre elles, ne posant pas de questions puisqu’il me semblait inutile d’en poser une juste pour dire de l’avoir fait. « J'ai une petite légende anglaise perso, mais c'est pas classe… » Je me demandais de quelle légende est-ce qu’elle voulait parler mais Sarah allait de toute manière bientôt nous le dire. « On s’en moque, on est en petit comité après tout. Raconte-nous cette légende. » Nous nous étions vues plus tôt dans la journée lorsque j’avais pété un plomb sur Thea qui me provoquait sans cesse depuis qu’elle avait des vues sur Elijah mais je ne voulais pas qu’elle garde uniquement ce souvenir de moi, au contraire, je n’étais pas une furie au quotidien, du moins… Pas violemment parlant.

muddafuggin' cooper !

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