you found me | Thobliss [+18

La foule se dissipe, après avoir raccompagner Angie nous rentrons. Thobias semble ne pas vouloir me lâcher et je me trouve toujours dans ses bras. J'ai vraiment eu peur ce soir. Et je suis heureuse de retrouver Thobias. Notre dispute m'a clairement foutu la trouille, plus de nouvelles.. pour moi il me détestait.. et je n'avais plus rien à faire pour le récupérer. Mais apparemment il avait lui aussi besoin de temps. Alors maintenant on ne se quitte plus c'est hors de question, mon coeur ne supportera plus des soulèvements de la sorte. Il ouvre maladroitement la porte, je me sens crasseuse, je rêve d'une douche. Cette fois une fois à l'intérieur je retrouve l'usage de mes jambes. Mais je reste collée à lui. La peur de l'avoir perdu reste trop grande. Je flippe. Je m'enlace de ses bras et je me blottis un moment contre lui, pas la peine de prononcer un mot. Je soupire heureuse d'être là. Je redresse ma tête et je l'embrasse doucement. " Il faut sérieusement que je me lave.. et mes vêtements sont calcinés.. et fichus.. tu a gardé ceux que j'avais de rechange ? " Je me gratte, le colorant vert ronge ma peau, je suis brûlée à certain endroit, rien de grave mais c'est un peu douloureux, je n'aurais pas voulu mourir dans les flammes. Je n'arrive pas à croire ce qui se passe, c'est dingue. Deux fois j'échappe à le mort.. c'est trop, je craque, je renifle légèrement sentant que j'ai envie de pleurer. Je prend une grande inspiration. Je me force à sourire. " On dirait que le seigneur ne veut pas de moi à coté de lui. " Je me pince les lèvres. Je caresse la joue de Thobias avant de me diriger vers la salle de bain. Je n'arrive pas encore à lui dire combien j'ai eu peur, je crois que j'ai besoin d 'abord d'entendre ses paroles.

J'ai eu la peur de ma vie, j'ai bien cru que je n'allais plus la revoir. Deux fois de suite elle me faisait un coup pareil. Elle aurait pu y passer et qu'aurais-je fais sans elle ? Je n'en savais rien, mais je savais que je ne pourrais jamais m'en remettre. Nous avions ramené Angie chez elle, mais je refusais de la lâcher à présent que nous nous étions retrouvé. Je la gardais dans mes bras tandis que nous montions les escaliers. Plus jamais, plus jamais je ne la laisserais partir. Elle m'avait tellement manqué, j'ai bien cru que c'était la fin. Mais elle était toujours là. C'est avec difficulté que j'ouvrais la porte de mon appartement. Je la reposais sur le sol et nous restions serrés l'un contre l'autre pendant un moment. C'était bon de l'avoir à nouveau avec moi. Je répondais tendrement à son baiser "Ouai, ils sont toujours au même endroit". Je ne la quittais pas des yeux. Je voyais bien qu'elle se forçait à sourire, je la connaissais trop bien "Heureusement, je ne pourrais pas vivre en sachant que tu es avec lui...". Putain, c'est niais ça ! Elle se dirigeait vers la salle de bain, j'avalais ma salive. Il fallait que je mette ma fierté de côté, que je lui dise ces choses "Bébé, attend..." Je m'avançais vers elle, tête baissée, pris une longue inspiration et me lançait "J'ai dis des choses qui ne se disait pas et surtout, je t'ai traité plus bas que terre à cause de mes problèmes alors que toi aussi tu en as... Je suis désolé pour ça, j'ai agis comme un con et par fierté... Je ne le ferais plus et... T'avais raison, j'ai de la chance, je pense que je vais appeler ma soeur...". Je crois que c'était la première fois que je m'excusais de quelque chose. Je l'attirais contre moi "Je suis désolé Bliss, je t'aime comme un fou, n'en doute jamais".

C'est bon de le sentir contre soi, de savoir qu'il sera au final toujours là, ce soir il m'a un peu prouvé qu'il était près à tout, puisqu'il m'a cherché partout et voilà que nous sommes de nouveau ensemble, j'ai presque envie de dire pour le pire et le meilleur mais c'est comme ça. En tout cas, je me sens mieux, son absence m'empêchait d'être bien, et voilà que je suis pleinement moi, à croire que Thobias est une partie de moi même et qu'en partant j'ai laissé un bout de moi dans cet appartement. Mais maintenant je suis de nouveau un tout, nous formons un tout, une unité. Je retrouve la terre ferme et je lui avoue qu'il faut vraiment que je me douche, pour quitter la crasse qui me recouvre. Je commence tout juste à prendre conscience de la chance que j'ai. Je n'arrive pas vraiment à y croire. Je souffle, j'ai l’impression que le destin me pousse toujours dans ses bras quoi que je fasse, pour moi c'est juste plus qu'une preuve que nous sommes fait pour être ensemble le plus de temps possible. Je lui réclame mes affaires de rechanges que je laissais toujours ici pour lorsque je passais une nuit à l'improviste. En tout cas Thobias arrive lui aussi parfois à sortir des trucs admirable, lui qui déteste cela. Je souris.. ok je me force un peu. Je suis persuadée qu'il le voit.. Je souffle et je prend la direction de la salle de bain avant qu'il ne m'arrête. Je me retourne, il avance vers moi. Je le regarde.. j'attend.. je ne sais guère ce qu'il pourrait me dire. Des excuses, il s'excuse, Thobias s'excusait ? C'est rare, a gravé parce que monsieur possède une fierté aussi grosse que l'univers. Je me demande comment il fait parfois pour vivre avec sans se remettre en cause plus souvent. Ce qui n'empêche pas que je sois folle de lui, il paraît que les défauts sont minimes lorsqu'on tombe amoureux, je suis sous le charme de mon Thobias depuis le début, la preuve trois ans de séparation, on se retrouve, je tombe directement follement amoureusement de lui. J'arrive à vraiment sourire, il veut appeler sa soeur c'est un bon début. Il progresse. Je me laisse attirer contre lui, a nouveau il prononce des excuses mais ce n'est pas ce que je retiens de ses dernières paroles. Un jet'aime, je peux compter sur les doigts de la main le nombre de fois qu'il a pu me le sortir. C'est rare. je ne peux m'empêcher de sourire d'avantage. Je l'aime bordel, c'est débile et fou d'aimer autant une personne. " Tu me rend dingue pff ! " Je me hisse sur la pointe des pieds pour attendre sa grandeur, il est immense ce n'est pas possible. Je l'embrasse en l’attirant à ma taille en riant légèrement. Lui aussi a bien besoin d'une douche. " Allez vient, le orange te donne un air carotte qui ne me plait pas temps finalement ! " Je souris l'attirant dans la salle de bain retirant ses affaires sales puis les miennes avant de faire couler la doucher pour nous y faufiler tous les deux. " Attention monsieur Castelliano, on calme ses ardeurs, je veux juste une douche.. ! " Je souris pendue à ses lèvres, je prend le savon et le me place dans son dos, sur la pointes des pieds pour le savonner et retirer le colorant qui recouvre son corps. L'eau vire à une teinte kaki, la mousse est orange. Je me replace en face de lui après ça pour qu'il en fasse de même sur moi. " Magnifique tout plein de mousse comme ça. " Je souris et me mord la lèvre. "Je t'aime Thobias, toi ne doute pas que je pourrais te laisser un jour compris ? Jamais je le ferais ! Ou pour te faire réfléchir.. mais je t'aime tellement.. trop même, personne ne t'aime plus que moi.. "

Je crois que les fois où j'ai fais des excuses pouvaient se compter sur les doigts de la main, autant de fois où j'ai dis les mots "je t'aime". Mais j'ai tellement eu peur de la perdre... Je n'imaginais pas ma vie sans elle ou avec une autre personne. C'était souvent ce qui me faisais peur, mais je crois que celle de vivre sans elle était bien plus forte. On rentrait chez moi et lorsqu'elle partait prendre sa douche, tout ces mots me pendaient aux lèvres, ne demandant qu'à sortir. Alors je m'excusais, je lui disais ce que je pensais, ce que j'avais sur le coeur, lui avouant même que je l'aimais comme un fou. Je vis alors un véritable sourire se dessiner sur son visage. "Mais c'est mon but dans la vie, te rendre dingue". Elle se hissait afin de m'embrasser, je riais et me baissais afin de pouvoir lui rendre son baiser. Et enfin, elle me tirait vers la salle de bain. Je riais à sa remarque "Le vert ne te va pas non plus je te signale". Nous laissions de côté cette dispute, elle était passée à présent. Nous nous débarassions de nos affaires sales et elle me prévenait qu'elle voulait simplement une douche. De toute façon, je crois qu'après les événements, j'étais trop crevé pour lui faire l'amour dans la douche. Elle prenait le savon et s'empressait de frotter afin de faire disparaitre la peinture orange. Elle finissait et je lui pris le savon. Je levais les yeux au ciel "De la mousse orange, tellement sexy" Je pouffais. Je crois que la retrouver comme ça me mettait dans un état plutôt euphorique. J'entreprenais de lui froter le dos, les visage et les cheveux. Heureusement, ces trucs là partaient simplement. Le mélange de couleur dans l'eau ne rendait pas cela très joli, mais qu'importe. C'était l'heure des déclarations et pour le moment, je ne flippais pas "Si Bliss, il y a moi" Je lui volais un baiser et la regardait avec un grand sourire. Alors, je pris le pommeau de douche et l'aspergeait d'eau "Bah ! Faut enlever tout ce vert là, c'est laid" J'éclatais de rire. Je pris de la mousse sur moi et lui en badigeonnant son visage et alors, je l'attirais pour l'embrasser "Hm, vert et orange, c'est toi qui ressemble à une carotte bébé". Nous nous rinçions et enfin, nous étions propre, sans ce colorant sur le corps. Je pris une grande serviette pour deux et nous emmitouflais à l'intérieur. Je la serrais contre moi, tellement heureux de la retrouver. J'embrassais ses cheveux qui sentaient bon à présent "Hm, faut que je calme mes ardeurs comme tu dis, tu sens tellement bon que je te boufferai" sur ce, je mordillais son épaule en riant.

Cette soirée semble avoir réglé pas mal de chose entre nous. Je crois c'est tout de même une bonne chose, j'en avais marre de ne pas pouvoir lui parler, c'est dur sachant qu'on passe les trois quart de notre temps tous les deux. Jaycee était occupée et je n'avais pas vraiment envie de me confier pour être honnête et, j'étais mal et je suis restée chez moi quelques jours après avoir tenter de sortir, et j'ai failli mourir, mais apparemment cette sortie est bénéfique, puisque voilà que je suis dans l'appartement de Thobias et qu'on semble être réconciliés. Je crois que nous avons tous les deux autant l'un que l'autre eu peur de ne pas se revoir, de se perdre. Alors voilà. Et puis je crois que j'ai fait réfléchir Thobias. Il semble plus tendre mais bon. En tout cas sa petite déclaration moi elle me plait bien, je le trouve mignon lorsqu'il est tout attendri. Au final on file sous la douche après des baisers de réconciliations. J'aime bien moi. Je souris, je l'attire à moi ne le complimentant pas sur sa couleur de ce soir, Orange. On dirait qu'il a fait un trop plein de carotte ou d'UV. Il réplique que le vert n'est pas mieux, je rit et je lui tire la langue, en tout cas ce genre de produit ne semble pas tellement plaire à ma peau qui me gratte un peu, j'espère ne pas découvrir d'horribles plaques dessous la couleur, à moins que ce ne soit mes cloques. J'ai tout de même failli fini en poulet rôti. Je le déshabille puis je le fais moi même aussi en le prévenant qu'on ne fera rien ce soir, en tout cas pas dans le douche, la douche c'est physique et j'avoue que je suis un peu morte. Sous le douche je le savonne, la mousse prend rapidement une couleur orangeâtre. Je le taquine sur ça. " Owi tellement sexy, je ne te le fais pas dire, j'adore.. grr.. " Je ris bien entendu, ce n'est pas méchant. Sans vient le moment des déclarations; je lui avoue mes sentiments, on ne le fait que pas assez, c'est peut-être aussi ça qui fait qu'on bloque un peu. Il ne semble pas flipper comme il le faisait à de maintes reprises, il progresse. " Oh parce que tu t'aime plus que moi je t'aime ? " C'est maladroit sa réponse et je le sais, mais j'en profite pour détendre l’atmosphère. Il arrive à me voler un baiser et m'arroser.. tss j'en ris forcément Il entreprend alors de me retirer mon vert, et savonne, même mon visage, je grimace mais je le laisse faire. Mais il mélange nos deux mousses sur moi. Il m'attire à lui et nous voilà sérieusement carottes les amis. Vert et orange. " Pas autant de quoi ! " Il me rince et se rince ensuite. j'essore mes cheveux pendant qu'il attrape la plus grande serviette qu'il possède pour nous enrouler dedans. C'est presque romantique. Je me colle de tout mon corps contre lui, on se sèche, il embrasse mes cheveux mouillés et je souris à sa phrase. " gardes en un peu de coté quand même ! " Je l'embrasse après m'être retournée vers lui, pensant mes bras autour de sa cou, avec un peu d'élan je saute dans ses bras, enroulant mes jambes autour de lui. Je me tiens à sa nuque, je pose mon front contre le sien. " Prépare toi à me supporter encore longtemps. " Je l'embrasse. " Ni la première, ni la dernière engueulade, je t'aime et je ferais tout pour toi ok ? Que tu le veuilles où non, même si on est pas marié, je suis ta femme, voilà c'est pareil ! " Je ris légèrement. Puis je passe à autre chose. " On va dans la chambre regarder un film ? "

J'étais tellement heureux de la retrouver, de voir. En fin de compte, il semblerait que rien ne pouvait nous séparer. Même lorsque nous avions rompu pendant trois ans, nous étions toujours ensemble, je pensais toujours à elle. Quelque part, nous étions un peu fait l'un pour l'autre, elle était la seule femme que j'aimais, la seule capable de me supporter, la seule qui savait comment calmer mon caractère de merde. On se complétait et ces derniers jours ont été un enfer. Depuis que nous nous étions retrouvés il y a plusieurs mois de cela, nous passions la majeur partie de notre temps ensemble, dans notre bulle. Depuis qu'elle était partie, j'étais vide, il me manquait quelque chose pour vivre et à présent que nous nous retrouvions, je me sentais enfin moi-même. J'ai même mis ma fierté de côté pour m'excuser de mon comportement, lui annonçant que j'allais appeler ma soeur. On se charier sur chacune de nos couleurs et on partait sous la douche afin de se débarasser de tout cela et être enfin propre. Elle me prévenait qu'elle n'avait pas envie de se réconcilier sous la douche, ça m'allait, parce que j'étais vraiment mort pour le faire sous la douche là. J'étais d'humeur à rire ce soir, on se taquinait, on riait, elle me tirait la langue, je pouffais. Elle en remettait une couche en me taquinant sur la couleur orange que prenais la mousse "Le orange t'excite bébé ?" Je riais. Je lui pris le savon pour l'aider à se débarasser de ce vert, c'était moche. Mais soudain, elle me parlait de ses sentiments pour moi. Etonament, je ne flippais pas tant que ça à ce moment même. J'essayais de faire de même, mais j'étais plus maladroit. Je levais les yeux au ciel "Mais non, je t'aime plus que tu ne m'aime, j'en suis certain" Je pouffais et lui volais aussitôt un baiser, alors, je l'arosais. Après cette petite bataille, je l'attirais contre moi, nous étions de véritable carottes en vert et orange. On se taquinait, on riait. C'était plutôt rare ces moments là, je voyais bien que Bliss profitais de ma bonne humeur qui se faisait rare. Nous nous rinçions et en sortant, je pris ma plus grande serviette afin de nous enrouler tout les deux dedans, la serrant dans mes bras. J'embrassais ses cheveux mouillés, elle sentait bon, j'avais envie de la croquer. "C'est dur, tu sens vraiment bon" Je pouffais, elle se retournait pour m'enlacer et alors, elle sautait dans mes bras, je la soutenais afin qu'elle ne glisse pas. Nos fronts se collaient "Et toi aussi" Je me mordais la lèvre, je répondais tendrement à son baiser. Je la berçais dans mes bras "Hm, tu serais ma femme sans la cérémonie et tout ? Ca me va. Mais abuse pas, je flippe pas trop là, mais si tu viens à me parler de gosse, ça risque d'être le cas" Je souriais et lui mordillais la lèvre, joueur. "Okay" Je la renversais sur mon épaule en riant et l'emmenais dans la chambre. Je mettais un DVD et je la rejoignais sur le lit, l'attirant contre moi. Je caressais son bras "En vrai, tu m'as manqué comme un dingue, j'étais en mode zombie tellement tu me manquais" Soudain, je remarquais des marques rouges sur son corps, un peu comme des cloques "Putain bébé, c'est la peinture ou le feu ça ?" je commençais à m'inquiéter.

Tout semble être revenu dans l'ordre. Alors forcément on est mieux et plus content. Thobias semble particulièrement de bonne humeur, il n'est pas blasé comme il l'est souvent. Il ose dire ses sentiments. J'aime beaucoup moi ce genre de moments qui sont rares où nous sommes complices. Je dois avouer que c'est agréable un peu tout de même. On finit alors dans la douche pour se laver de nos colorants. C'est assez dur à faire partir mais on s'en sort, on a fait un mixte de couleur qui ne donne pas du tout envie. En tout cas il est câlin, doux, affectueux, je ne dis pas qu'il ne l'est pas, mais disons que les mots doux sont rares chez lui. Mais j'apprécie. " Tu ne peux pas savoir combien je t'aime.. donc on ne peut pas dire. Tu ne sauras jamais. Mais j'aime c'est fou, lorsque tu dis cela. " On finit par sortir de la douche une fois propres et on se sèche rapidement l'un contre l'autre dans une serviette. Je grimpe dans ses bras, je sens ses mains sous mes cuisses pour me tenir, je pose mon front contre le sien, je l'embrasse. Je ris, on est trop mort je crois pour se sauter dessus, en temps normal, la douche était la scène de nos ébats, puis le lit et toute la nuit encore, là, je crois que je vais m'effondrer dans ses bras, et ses bras dans pas très très longtemps. Je lui fais une dernière petite déclaration, je ne sais pas si c'est vraiment le cas, mais bon il ne flippe pas, lui même le dit. Je souris en me pinçant les lèvres. Je craque trop pour lui c'est dingue. Fou, incroyable. " Tu veux que je sois ta femme avec un mariage et tout ? Je ne crois pas, alors disons que je suis ta femme sans engagement. Si un jour on a besoin de le mettre sur un morceau de papier on ira à Vegas, ok ? " Je l'embrasse. " Je ne veux pas de gosse maintenant, on a le temps, j'ai que 20 ans.. tu me vois avec mon bide ? Je pourrais plus faire ce que je veux. " Je l'embrasse répondant à ses baisers. Hum.. Je lui demande si on peut aller dans la chambre pour mater un bon dvd. Je crois que je vais dormir devant mais peu importe. Thobias me fourre sur son épaule, je lâche un petit ris de surprise et je me laisse faire, nue comme un ver. Il me dépose sur le lit. Pendant qu'il met le film, j'enfile une culotte qui est rangée dans son armoire avec mes affaires pour quand je reste ici. Je m'installe sur le lit, défaisant les couverture, je met dessous que mes pieds, parce qu'il fait un peu chaud quand même. Thobias arrive et m'attire à lui pour que je sois dans ses bras. Je ris, j'ai l'impression de l'avoir changer, il est tout mielleux. Adorable. Je l'aime. Oh qu'on est niais ce soir, la fatigue et la peur, ne nous vont pas si bien. " Tu m'as atrocement manqué aussi ! plus de câlin le soir c'était dur ! " Je frissonne à ses caresses. Mes bras sont marqués de petites brûlures. On voit aussi sur mon ventre cette cicatrice récente, encore rosâtre sur le coté bas de mon ventre. C'est là que Thobias prend conscience du truc, je ris légèrement en le regardant. " Brûlure je pense " Je souris légèrement, je ne veux pas en parler. " Mais ça va, tu me masseras avec de la crème et tout se passera bien. Je regarde à moitié le film qu'on a déjà vu au final. Je mêle mes jambes aux siennes, en mode sangsue. Je caresse son torse parfait et ses muscles. Je sens mes yeux se fermer tout seul pour m'endormir au final. Lorsque je me réveille, il fait jour dehors et Thobias dort toujours. Je souris, il est adorable. Je lève sans le réveiller et j'enfile un grand t-shirt à lui pour aller dans la cuisine. Je veux lui faire un petit déjeuner. Alors je m'applique.

Mon dieu ce qu'on est niais dans ces retrouvailles. Je crois que c'est avec l'allégresse du moment, la joie de se retrouver après cette dispute. J'osais même une tentative de déclaration, bien qu'elle était maladroite, elle semblait fonctionner. On riait sous la douche, je savais bien que j'étais rarement de cette humeur, mais après ces longues journées sans elle, je me sentais enfin entier et j'étais heureux. Il fallait bien en faire profiter à Bliss. On se chamaillait pour savoir lequel aimait plus l'autre, de véritables niais. "Profites en, je ne te le dirais pas tout les jours. Mais tu te le met dans ton crâne et tu ne l'oublies pas" On sortait de la douche, j'agissais de manière différente, mais je crois que la fatigue y était pour quelque chose. Si j'avais été en forme, on aurait sûrement fait l'amour sous la douche pour finir dans mon lit et faire sauvagement l'amour toute la nuit, mais là, j'étais mort, je ne savais même pas si je serais capable de lui faire l'amour ce soir. La fête, la foule, nos retrouvailles, trop d'émotions dans la même soirée me faisaient presque comater. Elle grimpait dans mes bras, je passais mes mains sous ses cuisses pour la maintenir, collant mon front contre le sien. Elle me refaisait une déclaration et bizarrement, je ne flippais pas. J'aimais bien son idée justement, qu'elle soit ma femme sans engagement et si le besoin de le mettre du un bout de papier venait, nous irions à Vegas. Je lui volais un baiser "ça me va". Je l'embrassais à nouveau et riait lorsqu'elle parlait de bide "Et on pourrait plus faire l'amour comme des bêtes bébé". Nous étions complètement nu, mais je m'en fichais. Lorsqu'elle me proposait de regarder un film dans ma chambre, je la lançais sur mon épaule tandis qu'elle échappait un petit cri ce qui me fis rire. Je la posais sur le lit et mettais un DVD. J'enfilais en boxer et la rejoignais dans le lit, l'attirant contre moi. Je pouffais, on était tout câlin, tout mielleux, c'était rare. Sur le ton de la plaisanterie, je lançais "Je crois que c'est la fatigue, on est niais ce soir Je pouffais et je remarquais les cloques sur ses bras. C'était des brûlure, elle me disait que ça allait, je fronçais les sourcils, les regardant et je laissais. SI elle avait mal, je lui mettrais de la crème. Je tournais la tête vers la télévision tandis qu'elle enroulait sa jambe autour de moi, je frissonnais en sentant ses mains. Je ne me rendais pas compte que je m'endormais peu de temps après elle, laissant le film tourner. C'est la lumière qui me réveillait le lendemain matin. Les yeux fermés, je me tournais pour sentir Bliss contre moi. Personne. Je commençais à paniquer, me demandant où elle était passée jusqu'à ce que je sente une odeur venant de la cuisine. Je me frottais les yeux et constatait qu'elle était entrain de faire le petit déjeuner "Bonjour" murmurais-je, encore endormi. Je me posais derrière elle, enroulant mes bras autour d'elle et lui volait un baiser. Je pris son bras "Comment se portent ces brûlures ?"

Nous n'avons jamais agit comme ça lorsque nous étions en couple. Ou peut-être si tout au début, la première fois que nous sommes sortis ensemble. Nos étions des ados et au début on était toujours collés l'un à l'autre, ce n'est vraiment pas faux. Mais cette façade a vite était écourtée. Pourquoi ? Et bien Thobias.. bien entendu, c'est lui qui panique avec les sentiments pas moi. Moi cela ne me posait pas de soucis, d'être souvent avec lui. En tout cas là, même si c'est affreusement niais nous faisons des retrouvailles totalement niaises, c'est même pas digne d'un film d'amour qu'on fait dans notre belle ville. Mais je me sens beaucoup mieux. Vraiment. On rentre à son appartement, on retire sous le douche les colorations qui font que lui est orange et moi verte. On plaisante mais pour le moment je crois qu'on a plus la force pour du sexe, je sais que si on ne s'était pas engueulé, on aurait peut-être fait que ça toute la nuit, dans la douche et sur son lit, jusqu'à ce qu'on en puisse plus, c'est un peu notre sport quotidien, certain font du jogging nous on fait généralement l'amour. En tout cas c'est plaisant de l'entendre me dire de belles choses et qu'il soit adorable comme ça. Je veux être toujours la pour lui et même en lui faisant des déclarations, il ne flippe pas. j'avais un peu peur qu'il redevienne distant comme il le fait souvent. Mais moi j’aimerais qu'il m'en parle lorsqu'il flippe dans notre relation, on a le temps on est jeune, pas question d'avoir des enfants ni rien. Pas maintenant, pareil pour le mariage et il semblerait que mon compromis lui convienne. Je souris. Il me fous sur son épaule pour qu'on aille dans sa chambre regarder un dvd. Je met une culotte et je me colle contre lui. Je crois que je ne vois pas tellement le film, je m'endors contre lui. Je suis toujours parfaitement bien. Je me lève en première, heureusement que ce sont les vacances. J'enfile un t-shirt à lui trop grand et je me dirige vers le cuisine pour lui faire un petit déj. Des pancakes et des oeufs sur le plats. Je tente de ne pas gratter ou frotter mes cloques. Et je crois que les colorants ont fait une allergie aussi, parce que cela ne me grattait pas comme ça. Je tente de ne pas y penser. Puis j'entend qu'il arrive. " Bonjour !" Il me dit bonjour. je souris sans me retourner en remuant les oeuf dans une poêle. Je le sens m'enlacer et je me tourne pour l'embrasser. Il attrape mon bras et regarde mes brûlures. " ça me gratte, j'ai une allergie en plus de ça je crois. " Je souris et j'éteins le feu. " Hum, tu as faim j'espère ? " Je souris. Je me tourne vers lui. " Tu pourras me mettre de la crème finalement ? "

Il est vrai que j'avais tendance à avoir peur dès l'instant que Bliss parlait d'engagement ou de choses comme ça. Je n'y pouvais rien, mais c'était compulsif, dès l'instant que j'entendais parler d'engagement, quelque chose se passait en moi, je n'étais pas prêt même si c'était Bliss, que je savais qu'elle serait la seule que j'aimerais, tout cela me faisait peur. Étonnement, avec ces retrouvailles, elle me parlait de ce genre d'engagement, faisait bon nombre de déclaration et je n'avais pas tellement peur. J'en étais même heureux. Nous n'avons jamais été aussi niais, mais je m'en fichais. J'ai eu tellement peur de la perdre ces derniers jours que rien d'autre ne semblait compter. Je l'emmenais dans ma chambre afin de mettre un DVD. Aucun de nous ne semblait décider de faire l'amour ce soir, ce qui était un exploit, les jours où nous ne nous sautions pas dessus étaient rare. Elle savait bien que c'était ma façon de lui dire tout ce que je ressentais pour elle. J'avais tellement de mal à les mettre en mots. A ma façon, je lui disais "je t'aime" tous les jours. Après tous les événements, nous nous endormions dans les bras de l'autre sans même prêter attention au film. Lorsque je me réveillais, elle n'était plus là. Je croyais presque avoir rêvé de nos retrouvailles, pendant quelques secondes, j'ai cru que nous étions toujours en froid et je commençais à paniquer, mais je sentais une odeur qui venait de la cuisine. Je sortais du lit, me frottant les yeux. Je partais dans la cuisine pour découvrir Bliss qui préparait à manger. Je me fendais d'un petit sourire et venait derrière elle pour l'enlacer. Je lui rendais tendrement son baiser et pris son bras pour inspecter ses brûlures, elle faisait une allergie, je me mordais la lèvre, je regardais ce qu'elle préparait, œufs et pancakes, je me fendais d'un sourire "Oui, merci bébé" J'embrassais ses cheveux. "Ouai, je t'en mettrais" Je me fendais d'un petit sourire malicieux et lui volais un baiser plus fougueux "Hm, c'est bon de te retrouver". Je la laissais me servir et posais les assiettes sur la minuscule table de cuisine. "Putain, c'est trop bon" Je finissais mon assiette et allait chercher la crème dans la salle de bain. En revenant, je l'attirais sur mes genoux, commençant délicatement par ses bras. Je repérais des marques dans son cou, je lui en passais à cet endroit. "Je te jure que si tu avais fini brûlée, je sais pas ce que j'aurais fait. Bliss, tu joues encore une fois avec la mort et ça va chier, me fais plus peur comme ça okay ?"

Je crois que c'est totalement stupide d'être aussi dépendante d'une personne comme Thobias. On sait que cela ne sera jamais facile avec lui, et du coup.. c'est plus difficile à gérer comme relation. Il faut savoir quoi dire ou quoi faire. J'ai une chance, je connais parfaitement Thobias. Je le connais depuis que nous sommes ados et j'ai appris à savoir comment il fonctionne. Il flippe d'imager une future durable, de perdre sa liberté à cause de moi. Seulement non. Moi je ne serais pas celle qui le privera de sortir, de soirée, de sa jeunesse, il avait mal compris cette chose la première fois que nous avons tenté une relation. Mais maintenant tout va mieux, on est plus ou moins sur la même longueur d'onde. Je suis heureuse que notre engueulade ne dure pas plus de temps, il m'a tant manqué que je ne saurais dire combien j'étais mal et combien je me sentais vide. Tout me manquait, ses caresses, ses paroles, lorsqu'on rit tous les deux, qu'on critique la société d'aujourd'hui, qu'on est dans notre bulle. Mais je sais que je vais vite retrouver tout mon petit quotidien avec lui. En tout cas, déjà, je m'endors dans ses bras et ça fait du bien. Lorsque je me réveille je prend soin de le laisser dormir. Je file en cuisine lui faire un petit dej. Je me craque légèrement la peau, les pigments colorés ont aussi fait une allergie en plus des brûlures, peut-être que l'un est lié à l'autre. En tout cas, j'ai des plaques qui me craquent. C'est moche, carrément anti sexy. Tue l'amour. Je lui fais donc un petit dej, il arrive, je le salue lui répondant, l'embrassant, je le laisse se caler contre moi. Il regarde mes bras pour faire l'état de mes brûlures qui déjà hier l'inquiétaient. Je lui demande de me mettre un peu de crème au final, parce que c'est trop désagréable comme sensation, ça gratte et on ne peut pas le faire, c'est terriblement frustrant. Il me fait rire, je répond à son baiser. J'aime lorsqu'il est comme cela. " Hum, c'est le petit dej qui te fait rire cela? " Je le taquine, je le serre et je mange avec lui rapidement, sans trop de faim, je mange pas oeuf déjà, moi juste des pancakes, et seulement un, avec un peu de confiture. Il semble aimer. " Ravie que tu aimes, je suis sûre que tu mangeais pas quand j'étais pas là " Je souris malicieusement, il se lève et va chercher un truc, il revient avec la crème. Je me laisse tirer sur lui, sur le canapé, il entreprend alors de crémer mon corps pour me soulager. Je soupire lorsqu'il passe la crème et je me laisse aller un peu sur lui. Je pouffe en tout cas lorsqu'il tente de me dire qu'il a eu peur. " Je suis là, et regarde, je serais toujours là. " Je le laisse finir, je soulève même un peu mon haut pour qu'il en passe dans le haut du dos. Lorsqu'il a terminé, je me tourne à califourchon sur lui. Je l'embrasse doucement. " Dis.. " Je l'embrasse. " Tu progresses, tu ne me fais pas l'amour passionnément.. " Je ris et je me cale contre lui. " Tu as envie de quoi aujourd'hui? "

Nous nous endormons aussitôt, sans même tenter de faire au moins une fois l'amour. J'étais mort, j'étais certes heureux de la retrouver, mais bien trop fatigué pour le lui montrer. Lorsque j'ouvrais les yeux, le jour était déjà levé, mais je me retrouvais seul dans mon lit. Je croyais aussitôt que les événements de la nuit passée n'étaient qu'un rêve, que nous retrouvailles n'ont pas eu lieu et que j'allais devoir vivre sans elle, ce qui semblait être chose impossible. Cependant, une délicieuse odeur venait me rassurer. Encore endormi, je suivais cette dernière pour découvrir Bliss dans la cuisine qui nous préparais des oeufs et des pancakes. Je me fendais d'un sourire, c'était adorable. J'essayais de ne pas penser à la vision qu'on pourrait avoir de nous, un couple marié. J'essayais de ne pas penser à ces déclarations faites la veille, ne désirant pas prendre peur à ce moment même. Je l'enlaçais, l'embrassais, j'étais toujours aussi heureux de la retrouver. Je regardais ses brûlures, apparement, elle avait aussi fait une allergie aux pigments de couleurs, je me chargerais d'elle. Tout d'abord, nous nous installions à table, je la complimentais sur son petit déjeuner et lui avouait que j'étais heureux de la retrouver "C'est ça" plaisantais-je, je me fendais d'un petit sourire. C'était quoi ça ? Deux jours de suite de bonne humeur ? Il allait pleuvoir ou quoi ? Je dévorais ses pancakes et sa phrase me coupait. Je baissais les yeux. Durant ces jours, j'étais un véritable zombie, je n'ai presque pas mangé, je ne suis pas sorti... Je préférais ne rien répondre, me mordant la lèvre. Je me levais pour aller chercher de la pommade afin de soulager sa douleur, lorsque je revenais, je l'attirais dans le canapé, la posant sur mes genoux et je la lui appliquais. Elle était recouverte de cloques. Je claquais de la langue, mécontent et je lui demandais d'arrêter de jouer avec la mort. Deux fois me suffisaient amplement, je ne voulais plus avoir peur comme ça, peur de la perdre, ça le faisais rire, j'arquais un sourcil "Je suis sérieux Bliss" Elle soulevait le t-shirt et je lui en appliquais dans le dos "T'as bien intérêt" Je riais et j'avais enfin fini. Elle se posait à califourchon sur moi, je passais mes mains sur ses hanches et enfin, passait sous le t-shirt pour sentir sa peau contre la mienne. Je répondais tendrement à son baiser et enfin, elle m'arrachait un rire "Hm, hier soir j'étais mort, j'avais pas la foi de te faire sauvagement l'amour. Mais aujourd'hui..." Je laissais ma phrase en suspend "Si tu m'en parle, c'est que t'en a envie" je caressais son dos nu. Je riais, elle me demandait de quoi j'avais envie. J'embrassais sa joue et lançais "D'un bain..." Je me mordais la lèvre, lui lançant un regard qui en disait long et l'écartait doucement afin de me diriger vers la salle de bain. Je n'ai pas dis que je lui ferais l'amour tout de suite, j'avais envie de la faire languir, qu'elle m'implore, une sorte de vengeance pour m'avoir fait aussi peur et s'etre enfuie dans la foule hier soir. Je faisais couler un bain, retirait mon unique tissu et me glissait dans l'eau chaude. J'entendais soudainement des pas. Cette silhouette que je connaissais trop bien, un rictus se dessinait sur mes lèvres et je désignais mon t-shirt qu'elle portait "ça, c'est à moi, enlève-le".

Thobias est un mec bien. Je sais que certaines personnes ont du mal à me croire, je pense à Jaycee, qui avait du mal avant de le voir à faire une image concrète de mon petit ami. Je sais que généralement c'est mal de retourner avec son ex. C'est vrai mais pourquoi pas. Et la preuve cela semble nous aller plutôt bien, on s'aime plus que jamais on l'a fait. Enfin pour ma part, mais d'après ce que j'ai entendu hier de sa part, je ne doute même plus de son amour, il s'est avéré que même mon Thobias, oui oui Thobias peut-être niais à des moments, mais bon, on a tous nos moments de faiblesses. En tout cas je suis heureuse que nous nous soyons retrouvés. Il me manquait, depuis les vacances et précisément depuis la mort de ma mère c'est lui qui comble le manque, c'est lui ma famille, celui que j'aime le plus maintenant. Alors dormir à nouveau dans ses bras fut un moment délicieux. Nous n'avions même pas la force de nous unir sexuellement d'ailleurs, au contraire, on s'est endormi dans les minutes qui suivirent le début du film. Je me suis réveillée dans perturber le reste de son sommeil pour lui faire son petit dej. Je suis bien contente de pouvoir le refaire à nouveau. Bon ce n'est pas de la grande cuisine, je ne suis pas pro et je n'ai pas beaucoup de talents culinaires mais je prend le temps de lui faire plaisir. Il me rejoint peu de temps après comme un amoureux fou. Je souris et il inspecte mes bras et je lui demande qu'il me passe de la crème. En tout cas on mange bien. Je note qu'il ne semble pas vouloir parler du moment où nous nous étions fâchés, je ne remue pas plus le couteau dans la plaie. On mange tranquillement et il va chercher la crème me la passant sur la canapé. Elle apaise assez vite et c'est très agréable. Je me met face à lui lorsqu'il a fini.. notant qu'il m'a encore rien tenter pour coucher avec moi, ce qui relève de l'exploit je crois. Je le taquine un peu moi j'aime bien aussi.. mais bon. Il m'avoue qu'hier il était mort, moi aussi de toute manière. Je lui avais bien fait comprendre. " Peut-être que j'ai envie .. " Je laisse aussi en suspense.. Il m'avoue vouloir un bain Oh.. pourquoi pas. Je souris. Il me repousse gentiment pour se diriger vers la salle de bain. Je matte ses fesses au passage et je me résigne à le suivre. Une fois dans la salle de bain je dois enlever son haut, je souris malicieusement, je joue son jeu, je le retire, le laissant tomber au sol. Ok, puis ma culotte suit, j'entre dans le bain, je me cale contre lui, sentant son corps dans mon dos, je pose ma tête un peu en arrière sur son épaule, je soupire d'aise, c'est agréable ce genre de truc, le genre qu'on ne fait jamais. j'adore. " On devrait faire ça plus souvent.. " Je souris en fermant les yeux. " Donc tu décides de faire abstinence ? Ok, je suis sûre que tu ne tiendras pas très long de toute manière. "

A présent, je refusais de rester loin d'elle plus de deux minutes. Je l'avais retrouvée, je ne la quitterais plus. Nous avions déjà tendance à rester très souvent ensemble auparavant, si elle ne dormait pas chez moi, je dormais dans sa chambre de sororité, je devenais doué pour m'y glisser au milieu de la nuit. Mais à présent, je ne la lâcherais plus. Il y avait de truc entre nous qui faisait que nous étions tout pour l'autre, elle était ma seule famille, la seule personne qui me restais tout comme je l'étais pour elle depuis le décès de sa mère. Nous nous connaissons par coeur, si bien qu'il nous arrive de nous comprendre en un seul regard. Elle avait décidé de nous préparer le petit déjeuner, il était vrai que ce n'était pas moi qui ferais une telle chose. Je ne savais pas vraiment cuisiner et j'appréciais l'effort de Bliss, cela me faisait plaisir. Il fallait que je m'occupe de ses brûlures, car elles n'allaient pas s'arranger toute seule. Je partais dans la salle de bain afin de récupérer la crème et l'attirait sur le canapé afin de m'occuper d'elle. Elle avait des cloques partout, ce n'était pas très joli, mais en fin de compte, je n'en avais rien à faire, car elle était vivante. Elle a tenté de me parler de la période où nous étions en froid. Je ne voulais pas lui avouer mon état, comment j'étais perdu sans elle. J'ai bien cru que j'allais finir ma vie en ermite, sans manger, sans parler, ce n'était pas beau à voir. Je ne voulais pas qu'elle sache ça, bien qu'elle sache que j'étais perdu sans sa présence. Elle s'installait à califourchon sur moi lorsque j'avais fini, me faisant remarquer que je n'avais toujours pas tenté de lui faire l'amour. Je me mordais la lèvre, je voulais la faire languir, une sorte de vengeance personnelle pour m'avoir fait peur. Mais ça, elle ne connaîtrait pas mon plan, elle le comprendrait assez vite. Contrairement à ce qu'on pouvait penser, je sais lui résister, il faut simplement que je m'arme de volonté. Elle me fit comprendre qu'elle en avait envie. Bien, elle marchait carrément dans le plan. Je lui disais que j'avais envie d'un bain, je savais qu'elle s'attendait que je lui réponde que j'avais envie d'elle. Je m'amusais, c'était drôle. Je lui fis comprendre d'un regard qu'elle pouvait me rejoindre. Je fis couler un bon bain chaud et m'y glissais, Bliss ne tardant pas à me rejoindre. Je la regardais de la tête au pied, lui ordonnant de retirer mon t-shirt. Son unique sous-vêtement tombait aussi, je ne me lassais jamais de regarder son corps. Je suivais chacun de ses mouvements tandis qu'elle me rejoignait dans l'eau, se collant contre moi, je l'entourais de mes bras. J'embrassais son épaule "C'est vrai" Tiens, elle parlait d'abstinence, c'est que ça commençait à frapper dans sa tête, elle voulait faire l'amour, la torture commençait "C'est toi qui ne tiens pas en place bébé, regarde toi... T'as juste envie que je te saute dessus, que je te donne un orgasme, voir plusieurs, qu'on fasse l'amour comme des bêtes toute la journée" murmurais-je d'un voix suave, mes doigts effleurant son dos, je continuais le jeu au creux de son oreille "En plus, ça fais des jours qu'on l'a pas fait... Ce serait magique, genre, encore mieux que d'habitude, on pourrait même essayer de nouvelles choses" Je lui mordillais le lobe, fier de moi. Je ne ferais rien tant qu'elle ne me supplierait pas. C'était tellement amusant.

Je crois que pendant un moment cette situation va rester. En tout cas moi cela me va, j'aime bien lorsqu'il est tout attentionné et j'avoue que cela me donne encore plus envie de lui faire des câlins et tout ce qui va avec bien entendu. En tout cas le Thobias là est bien aussi, mais en tout cas, j'aime aussi bien lorsqu'il est comme avant. Bref bon moi temps que je suis avec lui c'est dingue, je suis bien. Il out casne me faut pas grand chose, juste sa présence. Je crois en tout cas que ce sont de belles retrouvailles sans sexe, sans rien. En tout cas le matin, moi j'ai envie de lui faire plaisir. Je lui fais son petit dej, en espérant qu'il soit content. Il arrive peu de temps après et me salue. En tout cas il semble apprécier.Je vois bien qu'il ne veut pas parler de notre séparation, alors je n'insiste pas. Je souris et je me laisse passer de la crème. Ce qui me soulage, j'aime quand il est tout attentionné. Mais je commence à me demander pourquoi il n'a rien tenter. Je parle niveau sexe, il n'a rien tenté, et moi je commence à être en manque je l'avoue, en même temps quand on a un dieu du sexe à coté de nous qui nous masse, c'est difficile, je vous assure. En tout cas, je lui pose la question.. mais il ne semble pas encore avoir envie de le faire, il semble vouloir attendre encore un peu, un jeu ? Peut-être, Thobias est toujours plein de surprises. Il veut un bain, alors il file dans la salle de bain et moi je le regarde, en matant comme il faut son petit cul dans son boxer. Rah... Je soupire tentant de résister.. mais lorsque j'entend l'eau couler puis s'arrêter.. je fonce dans la salle de bain. Il me demande de retirer son haut.. je joue son jeu, puis je quitte mon dernier vêtement. J'entre dans l'eau et je me cale bien contre lui. Je me laisse aller contre lui, soupirant. Il semble pour qu'on le fasse tous les deux plus souvent. Je tente de savoir à quel jeu il joue. " Hum, peut-être que j'ai envie mais je peux me retenir. " Je ris.. il tente de me mettre l'eau à la bouche. " Oh mais oui on pourrait.. " Je le sent mordiller mon oreille.. Je souris et je saisis sa main et je la place entre mes jambes et je gémis un peu histoire de l'aguicher. " Hum continue Thobias.. j'adore quand tu fais ça.. " Je continue un moment jusqu'à le sentir son désir physiquement.. Ok, je sais qu'il ne tiendra pas longtemps. Je me redresse dans le bain. " Bon je meurs de chaud moi ici.. " Je lui lance un regard.. genre tu me suis et tu passes une journée de folie. Je me sèche de façon aguicheuse et puis je sors de la salle de bain. " Bien.. tu fais quoi alors ? "