Friendship had a lot of sens.
Riley & Edward
Riley & Edward
La frustration est un mot que je n’aurais souhaité à vivre pour qui que ce soit et pourtant, ce soir, je le vis. Depuis la fin de matinée, j’ai vécu quelque chose d’étrange et surtout de très énervant. J’avais besoin de changer d’air, d’être seul aussi. Le petit Thomas est chez mes parents, refourgué aussi avec mon petit frère. Plus personne à part moi et mon verre de whisky. Je regardais lascivement la télévision sans rester plus de cinq minutes sur la même chaine. Le seul moment de répit fut quand j’eus faim. Je ne sais pas pourquoi, j’avais envie de manger mais j’avais congédié la nourrice qui préparait le repas.
Malgré moi, je dû commander des plats chinois qui furent livré une demi-heure plus tard. Le mélange whisky et plats – bien gras – chinois n’était pas si ragoutant qu’on pourrait le penser. Il restait quelques pâtes, nems etc… mais je n’ai plus faim. Voilà à quoi ressemble une soirée pour oublier l’envie de faire l’amour, l’envie d’être un homme, un vrai. Vient finalement la nicotine qui m’apaise, la fumée tue mes bronches mais apaise mon cerveau. Je ferme les yeux pour en apprécier les effets. Je vivais une histoire d’amour avec une cigarette, au moins, elle ne me faisait pas faux bon.
Sauf que ma soirée fut bien plus différente que je ne l’aurais cru. La sonnerie se mit à tinter, ah, quelqu’un est là. Qui est-ce ? Je suis surpris, étant donné que je n’attendais personne en particulier. D’un pas lent, je me déplace jusqu’à la porte. Une blonde, belle femme fatale et intouchable. Riley Clarke, la fille d’un ami à moi. Je m’entendais bien avec elle, d’ailleurs, elle venait souvent me voir pour parler de sa famille étant donné qu’elle est en froid avec eux à cause de sa « bisexualité ».
« Riley ? Je … suis surpris de te voir. Enfin … Bonsoir, pardon. » Je me pousse de l’entrée pour la laisser passer. Je referme la porte derrière elle tout en m’approchant afin de prendre son manteau que je déposais sur la console. Ça ne semblait pas aller, mais comment dire ça sans montrer que j’ai l’impression que c’est encore sa famille qui l’a rend ainsi ? « ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu. Viens. » Je pose ma main dans le haut de son dos et je l’emmène jusqu’au salon. J’éteins ma cigarette en essayant de faire du vent avec ma main pour ne pas la gêner et l’invite à s’asseoir en tendant la main vers le canapé.
« Excuse-moi pour le bazar, je me faisais une petite soirée tranquille. » Je ris légèrement avant de prendre les boites du traiteur chinois pour les poser sur le plan de travail de la cuisine. Je reviens vers elle, m’asseyant à ses côtés. En quelques secondes, j’ai oublié cette histoire avec Sofia. Peut-être que la présence de Riley apaisera mon énervement. « Avant qu’on parle un peu, tu veux boire quelque chose ? Ou manger ? Tu as faim ? » questionnais-je, soucieux de la mettre à l’aise.
Malgré moi, je dû commander des plats chinois qui furent livré une demi-heure plus tard. Le mélange whisky et plats – bien gras – chinois n’était pas si ragoutant qu’on pourrait le penser. Il restait quelques pâtes, nems etc… mais je n’ai plus faim. Voilà à quoi ressemble une soirée pour oublier l’envie de faire l’amour, l’envie d’être un homme, un vrai. Vient finalement la nicotine qui m’apaise, la fumée tue mes bronches mais apaise mon cerveau. Je ferme les yeux pour en apprécier les effets. Je vivais une histoire d’amour avec une cigarette, au moins, elle ne me faisait pas faux bon.
Sauf que ma soirée fut bien plus différente que je ne l’aurais cru. La sonnerie se mit à tinter, ah, quelqu’un est là. Qui est-ce ? Je suis surpris, étant donné que je n’attendais personne en particulier. D’un pas lent, je me déplace jusqu’à la porte. Une blonde, belle femme fatale et intouchable. Riley Clarke, la fille d’un ami à moi. Je m’entendais bien avec elle, d’ailleurs, elle venait souvent me voir pour parler de sa famille étant donné qu’elle est en froid avec eux à cause de sa « bisexualité ».
« Riley ? Je … suis surpris de te voir. Enfin … Bonsoir, pardon. » Je me pousse de l’entrée pour la laisser passer. Je referme la porte derrière elle tout en m’approchant afin de prendre son manteau que je déposais sur la console. Ça ne semblait pas aller, mais comment dire ça sans montrer que j’ai l’impression que c’est encore sa famille qui l’a rend ainsi ? « ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu. Viens. » Je pose ma main dans le haut de son dos et je l’emmène jusqu’au salon. J’éteins ma cigarette en essayant de faire du vent avec ma main pour ne pas la gêner et l’invite à s’asseoir en tendant la main vers le canapé.
« Excuse-moi pour le bazar, je me faisais une petite soirée tranquille. » Je ris légèrement avant de prendre les boites du traiteur chinois pour les poser sur le plan de travail de la cuisine. Je reviens vers elle, m’asseyant à ses côtés. En quelques secondes, j’ai oublié cette histoire avec Sofia. Peut-être que la présence de Riley apaisera mon énervement. « Avant qu’on parle un peu, tu veux boire quelque chose ? Ou manger ? Tu as faim ? » questionnais-je, soucieux de la mettre à l’aise.
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