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    Le soumis devient un homme. Deviendra-t-il pour autant libre de ses pensées ? - Greliam

    Lun 17 Fév 2014 - 0:30
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    Jay Collins
    Jay Collins
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    Date d'inscription : 10/02/2014
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    Avatar (+ crédits) : Willi Whey (chaoticrow)
    Nationalité/origines : Américain
    Orientation & situation : hétérosexuel
    Métier/occupation : Vendeur dans un sex-shop & Hacker dans l'ombre
    Études & fraternité/sororité : Informatique & MicroTechnique à UCLA
    The Beginning of Depravation
           Gregorian & Liam
    Les draps sont humides et pour cause, mon front s’écrase sur le coussin, j’étouffe ma bouche dans la soie pour retenir les gémissements. Mes doigts sont à la limite d’arracher la protection du lit. C’est tellement intense que je n’ai plus envie de me cacher, de me taire. Il est là, à me faire plaisir, à décider comment je dois apprécier. Je sens ses mains se jouer sur mon dos, me caresser alors que ses hanches martyrisent mon corps. Ses accélérations sont une véritable torture, je ne sais pas si je tiendrais longtemps. Mes parents sont peut-être dans la maison, peut-être finiront-ils enfin à arrêter de m’ignorer pour venir savoir comment je vais ? Ça aurait été mieux si ce n’était pas quand Greg allait et venait en moi, qu’il me touchait d’une façon dont j’ai l’impression d’avoir toujours rêvé. Mon corps suintant se détend finalement, en même temps que lui, le gémissement que je lâche devient tellement fort que … je sors de mon rêve.
    La respiration haletante, je me réveille sur le ventre, le traversin entre mes cuisses. Mes draps sont mouillés par la sueur, j’ai bougé, bouleversé mon lit. Mes coussins sont au sol, ma couverture presque à terre. Quand je me lève, mon sexe est tendu comme jamais. Je m’assois sur mon lit, ma tête entre mes mains, je respire fort, j’halète. J’essayais de me dire que je venais de rêver et bien sûr, je sais que c’est un rêve. Un rêve érotique. C’est la première fois que je pense, je rêve, au sexe, à l’orgasme en lui-même. C’est la première fois que le désir m’anime. J’ai besoin de savoir si c’est bien moi, « ça », de savoir si je change, si … je devenais comme tout le monde ? Je suis allé voir mes amis, pas ceux qui font de l’art et qui aiment les soirées de gala avec des beaux tableaux, je parle de ceux qui aiment faire la fête dans des Night-Club et bien d’autres soirées de ce type.
    Devenir un homme. Sortir enfin de mon monde de puceau pour passer à celui de l’homme. Me faire une fille, ils me disent ça, me trouver une belle demoiselle et passer un bon moment. Je ne les crois pas, je me dis que c’est difficile. Alors pour m’encourager, je les suis jusqu’au Devilish Temptation. Il y a une bonne musique, des femmes, de l’alcool, tout ce qu’il faut. Je regarde autour de moi, c’est un monde totalement… différent ce que j’ai connu. Je ne fais qu’arriver et je suis déjà happé par la soirée, l’ambiance. D’ailleurs, je finis par me décider à aller dans la foule pour danser, en copiant les quelques personnes que j’ai vu danser. C’est là que je sens un corps féminin se caler contre moi. J’ai à peine le temps de tourner la tête vers elle qu’une autre arrive devant. Elles sont là, dansant contre moi. Et contrairement à ce que je m’attendais, mon corps répond. Mon cœur s’affole encore plus vite.
    Je glisse alors ma main sur la hanche de la demoiselle devant moi et je me laisse guider par les jolies nymphes. Celle qui danse derrière moi pose sa main sur ma gorge pour tirer en arrière mon visage et déposer ses lèvres sur les miennes. Je réponds bien évidemment au baiser, surpris, mais excité. Leur corps se déhanche contre le mien, c’est de la folie. J’ai l’impression d’être en transe. Nos lèvres se quittent et mon visage reprend sa place, mais se penche finalement sur les lèvres de ma voisine de devant qui m’embrasse pendant que les mains de l’autre fille se baladent. Je suis dingue, totalement raide dingue. Je suis totalement soumis à ses deux femmes. Lorsqu’elle libère mes lèvres, je tends mon cou, balayant mon regard sur la salle. Je n’aurais jamais cru croiser à nouveau ce regard. Mon bas ventre se réchauffe encore plus. Je le fixe, sans chercher à le provoquer, je suis bien trop incapable de lui faire un affront.
    Je me mords la lèvre et pour me libérer de ce pouvoir, celui de Gregorian, je penche mon visage pour poser à nouveau mes lèvres sur cette fille que je ne connaissais pas, ni d’Adam, ni d’Ève. Ma main se cale dans son cou avant que je descends sur sa mâchoire puis son cou.  Je rouvre les yeux pendant que je joue de sa peau. Je sais qu’il est là, qu’il m’a vu, on s’est vu. Depuis la dernière fois, il me fait peur, il m’intimide encore plus qu’à notre rencontre. Il faut que je fasse comme s’il n’était pas là … Difficile.
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    Gregorian s’était laissé convaincre par il ne savait quelle machination à se rendre dans ce lieu. Il avait préalablement fait quelques recherches sur le lieu et au vu des commentaires, de la manière dont la boîte était décrite, il s’était laissé porté par le courant, en compagnie d’une jolie jeune femme, assurément. Blonde, au regard vif comme il les aimait. Seul ombre au tableau, il ne parvenait pas à se souvenir où ils avaient pu se rencontrer, dans quelles circonstances. A ce qu’elle lui avait dit, à plusieurs vernissages et elle n’avait pu se résoudre à chasser son visage de son esprit. Il lui plaisait visiblement et elle espérait à défaut d’une relation longue, une bonne partie de jambes en l’air comme le disait-elle si bien. Quelque peu vulgaire au goût du russe qui préférait ses dames plus distinguées et dans la retenue. Néanmoins, elle avait de sacrés arguments, comme sa poitrine opulente par exemple ou bien ses jambes, qui, ornées d’une paire d’escarpin, donnaient l’impression d’être infinies. Sa paire de fesses était également un atout non négligeable. Il n’était donc pas surprenant que le tout ait su l’attirer par ici. Assis dans le coin VIP, whisky sec en main, son regard parcourait la pièce de long en large, écoutant d’une oreille discrète la conversation de la jeune femme. Non pas qu’elle était inintéressante mais sa voix lui était très désagréable, de quoi lui demander de faire silence. Il avait cependant une réputation à entretenir, à savoir l’homme d’affaires galant en toute situation qu’il était supposé être. Soudain, ses prunelles s’attardèrent sur un visage familier qu’il n’aurait jamais imaginé dans de tels endroits et pour cause, il s’agissait de l’étudiant-artiste Liam Winterbell coincé entre deux jeunes femmes ô combien entreprenantes. Cela ne semblait pas du tout le déranger, bien au contraire, après tout, quel homme normalement constitué y aurait trouvé à redire ? En voilà un spectacle des plus intéressants. Un sourire amusé apparut sur les lèvres de Gregorian tandis que ses yeux se délectaient avidement de la scène. S’il avait été sien, nul doute que ce comportement lui aurait valu une punition une fois à la maison. Monsieur Vosesviatski avait pour principe de ne jamais partager ce qu’il lui appartenait, ni de prêter ses jouets. Voilà, Liam n’avait pas encore sa marque se fabrique sur ses fesses, raison pour laquelle l’homme d’affaires demeurait si détaché, se surprenant même à rire de la situation. Le temps de s’intéresser à ce disait sa comparse de soirée et de revenir à Liam que celui-ci avait déjà disparu, seul apparemment. Il balaya prestement la salle et le vit se diriger vers la sortie. Curieux du dénouement, il sortit à son tour pour le suivre, paquet de cigarettes en main après avoir vaguement averti la jeune femme. « Eh bien alors, la soirée est déjà terminée ? » Demanda-t-il  sur un ton légèrement amusé avant d’allumer sa cigarette, le regard perdu dans le vide. En proie à des réflexions dont lui seul avait le secret. « Je crois que vos amies sont entrain de vous chercher partout » Il était toujours aussi narquois, moqueur même. « Vous en voulez ? » Il tendit son paquet dans sa direction, bien qu’intimement convaincu qu’il ne fumait pas.

    Re: Le soumis devient un homme. Deviendra-t-il pour autant libre de ses pensées ? - Greliam

    Mar 4 Mar 2014 - 21:18
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    Jay Collins
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           Gregorian & Liam
    Elles étaient trop entreprenantes et je sais ce qu’elles attendaient de moi. J’ai trop peur, je n’ai pas envie de devenir comme ces garçons qui profitent de chaque occasion. Je suis sorti aussi vite que je le pouvais. J’inspire, j’expire lentement. Je ressens tous les effets de l’alcool sur moi. J’ai trop bu à tel point que je ne sens même plus mon épaule, c’est gênant. Encore plus quand j’entends cette voix masculine dans mon dos. Mon corps se crispe comme jamais. Il est sorti.  Je tourne la tête, puis le reste de mon corps. Je suis devenu lent. Mes yeux se perdent dans une contemplation du maitre. Je l’admire. Oui, j’admire cet homme devant moi parce qu’il a une attitude exemplaire à mes yeux, parce qu’il a une façon de parler que j’apprécie. Il est ce que je voudrais être, mais une petite voix me dit en moi que c’est impossible. Comment je pourrais être aussi déstabilisant que lui ? Il me déstabilise par sa simple présence, je me sens soumis à chacune de ses phrases. Je serais presque capable d’obéir sans poser de questions. Mais presque, parce que je ressens me fait peur. « Non, merci… »  balbutiais-je enfin. Je lui ai enfin répondu, mais dans un sens, j’ai peur de lui manquer de respect en refusant. Je ne voudrais pas qu’il le soit. « C’est juste que je… je ne fumes pas. »  Je souris puis je décide de prendre mon téléphone portable. Il est trop tard. Avant minuit, mais pas après. Je n’ai pas de voiture, ni moyen de retourner chez moi. Je me rends compte que j’ai mis tout mon argent liquide en boissons. Les femmes auront raison de ma soumission à leur désir. Je soupire, je ne sais pas trop quoi faire. Mes yeux se perdent à nouveau sur Gregorian. Mes souvenirs me reviennent et j’essaie d’y échapper. « Vous passez une bonne soirée ? La femme que j’ai vue avec vous, elle est très jolie. Elle a beaucoup de chance. Pour ma part, je ne suis pas très à l’aise à ce genre de soirée. C’est … différent de mes habitudes. » Je ris nerveusement. J’ai peur de le gêner, même de l’ennuyer. Je plonge mes mains dans mes poches arrière. Mes amis sont à l’intérieur, je n’ai pas envie d’y retourner. Je fais quelques pas, je devrais peut-être partir. Oui, je marche jusqu’à chez moi, ça ne devrait pas être bien long. « Je …   » Je fais encore quelques pas, je suis gêné, je n’arrive pas à oublier. Mes yeux fixent ses lèvres, ses mains, puis ses hanches. Le souvenir de sa main sur moi laisse un flux bouillant me traverser de tout mon long. J’expire, je me contiens. Plus que quelques secondes et il retourne avec sa petite-amie. « Je vais rentrer chez moi, je crois. On se revoit bientôt, non ? Pour … la sculpture, évidemment. »  
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    Un hochement de tête de la part de l’homme d’affaires pour lui signifier qu’il comprenait. Il était satisfait d’avoir si bien cerné le jeune homme, ce qui animait plus encore son désir de le faire sien dans les plus brefs. Gregorian n’était pas homme patient lorsque l’on en venait à parler plaisir charnel, il excellait parfaitement à le faire croire à son entourage. Il lui gratifia d’un demi-sourire avant de ranger son paquet dans la poche intérieure de sa veste. Le silence se fit rapidement, chacun se perdant dans ses pensées, le russe dans les étoiles qui brillaient de manière plus vive ce soir remarqua-t-il, ou peut-être était-ce lui qui se l’imaginait. Dans tous les cas, il avait toujours trouvé cela fascinant ce phénomène de vie après la mort, de cette existence datée à l’heure même où elles se donnaient en spectacle à ses prunelles inquisitrices. Liam décida finalement de rompre la quiétude, qui devait sûrement être embarrassante pour lui mais reposante pour son aîné. Il était certain désormais qu’il avait passé l’âge de passer ses nuits dans des night club où la musique –si l’on pouvait la nommer ainsi- rendaient sourd. « Vous pensez à ce qui s’est passé la dernière fois n’est-ce pas ? » Il n’avait même pas pris la peine sur sa précédente question, quelle importance après tout. Cette femme n’était rien de plus qu’une des nombreuses demoiselles qui en avaient faits sa proie et il se voyait peu expliquer cela à Liam, il n’y avait aucune raison. Son sourire s’agrandit tandis que ses prunelles pétillaient d’une malice nouvelle. « Ce n'est pas en prenant la fuite que cela disparaitra » son regard s’était fait un chemin jusqu’à celui du jeune artiste, franc et direct. Il laissa la fumer de sa cigarette quitter ses lèvres avant d’en écraser le filtre sur le mur et de le jeter. « Viens, je te ramène » Il n’attendit pas la réponse de l’étudiant et se dirigea vers le parking où était garée sa voiture, l’allure décontractée. Il savait qu’il viendrait. L’attirance était trop importante pour que son manque d’expérience ne résiste.

    Re: Le soumis devient un homme. Deviendra-t-il pour autant libre de ses pensées ? - Greliam

    Dim 11 Mai 2014 - 13:17
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    Jay Collins
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           Gregorian & Liam
    C’était pire que tout pour moi. J’étais tourmentée, intimidé par mes souvenirs. Surtout par cet homme. Il avait une présence qui me troublait et persécutait mon esprit. Je ne savais pas plus comment être normale, j’étais obligé d’être naturel, je ne pouvais pas être quelqu’un d’artifice. Je n’y arrivais pas. Et le pire dans tout ça, c’est que c’est un homme intelligent. Il sait que je suis encore troublé par la dernière fois. Ses lèvres, sa main… Je ne peux nier. Je dois me mettre à l’évidence qu’il avait un pouvoir indéniable sur moi. « Oui… » avouais-je, tête baissée, le visage perdu autre part que sur l’imposante. Et encore une fois, il vise juste. Je tente de fuir ce qui est déjà présent, inévitable. En fait, je ne sais pas ce que je fuis, je sais que je dois fuir mais pas vraiment pourquoi ? A cause de lui ? A cause de cette soirée ratée jusqu’à présent ? A cause de moi qui a du mal à paraitre autre chose. « Vous avez autre chose à me proposer ? » Insolent. Je m’en veux. Je n’ose même pas lui dire pardon. Ça n’a pas été d’un ton méchant mais je m’en veux quand même. Lui parler ainsi alors qu’il est bon avec moi. Pour ma sculpture, pour sa bonté. Bien qu’il me trouble. Il m’ordonne de le suivre. Il veut me ramener. Dans ma tête, je me dis qu’au moins, c’est quelqu’un que je connais. Dans un autre, il va torturer mon âme encore plus. Mes pieds n’ont cependant pas perdu de temps, ils avancent un à un derrière Gregorian. Mon visage se tourne quelques instants. Et sa copine ? Il la laisse ici ? Je suis gêné mais en même temps, une partie de moi-même se sent victorieuse. Je me demande s’il a encore mon adresse, sûrement que oui vu qu’on doit se revoir. Quand la voiture est ouverte, je me précipite sur le siège passager. La ceinture est mise avant même que Gregorian ne soit assis. Le stress ? L’envie ? D’où cette précipitation ? J’ai envie de rechercher le contact. Soudainement, dans cet endroit si exigu, je tends mon bras dans sa direction, posant timidement ma main dans le creux de son coude. « Merci. » dis-je d’une voix faible. J’ai beau avoir fini, ma main ne s’en va pas.
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