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    ▬ bang bang ▬ sivgard et scarlett

    Mer 12 Mar 2014 - 21:39
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    Bang bang
    Sivgard


    Elle frotte son corps contre le sien au rythme d’une musique qu’elle connait par cœur à force de l’entendre dans toutes ses soirées qui se ressemblent comme une routine qui n’en finira jamais. Elle répond à ses sourires en devenant une vipère, un serpent prêt à attaquer sa proie quand l’homme qui se tient devant elle pense qu’ici c’est lui le chasseur, lui le maitre. Il a faux, absolument faux, mais elle soupire quand les lèvres de l’inconnu veulent attraper les siennes, elle secoue le visage, espiègle, veut lui prouver que s’il espère la toucher ce soir il faudra payer, il faudra être dans un endroit beaucoup plus intime que cela. Elle est bien capable de minauder, de jouer à de petits jeux dangereux, mais elle n’oublie jamais l’objectif, le but ultime, la fin de la soirée, son salut à récolter. Elle fait donc semblant d’être gorgée d’une appétence que lui seul pourra combler, gonflée facticement alors que la partie intime de son cavalier elle l’est véritablement gonflée. Elle la frôle du bout des doigts, ne se gêne pas de ce geste qui pour elle est un automatisme. Elle s’enivre de cette vie dont elle a voulu, elle respire quelque chose comme de l’excitation, devient actrice pour quelques minutes et toutes celles qui vont suivre. Lui, il se rend déjà dingue de tout ce qu’il pourra lui faire, espérer mordre ou encore lécher. Elle sera docile, comme à chaque, elle gémira, lorsqu’il le faudra. Simulant un orgasme qu’elle n’atteindra pas, et n’a en réalité jamais atteint, mais personne ne le sait. Le sexe est un travail, un jeu, quelque chose qui fait de nous des bêtes et qu’elle désire comprendre sans même l’imaginer. De la plus surdouée qu’il soit, au sujet des plaisirs charnels elle n’est experte que par ses gestes et son apprentissage qui ne ressemble en rien à l’amour partager. Non, un homme ne saura jamais la faire frissonner, elle le sait. Elle est une machine, celle qu’il faut qu’elle soit pour la soirée et surement différente de celle de demain. Les mains de l’homme qui dansent avec elle se font pressantes sur ses hanches qu’il tient fermement. Elle fait semblant d’aimer, d’être maligne et de le taquiner. Il la regarde avec envie, et elle devine qu’elle est clairement la pute dont il a envie. Alors elle approche son visage de son oreille, lui murmure au creux de celle-ci les tarifs pour une nuit et toutes les options. Son visage change d’expression et il s’apprête à sortir son portefeuille, afin de lui prouver que de l’argent il en est gavé. Parfait. Elle prend sa main dans la sienne, le guide vers une chambre et pour accéder à celle-ci, passe devant celui qui est le gardien ici. Elle incline le visage devant son patron, esquisse un sourire qui pour le coup est un peu sincère, un peu méfiant, elle n’a pas peur de ce qu’elle va faire, mais elle ne sait pas quoi penser de cet homme qui ici règne en véritable empereur. Elle avale sa salive, a envie de se poser des centaines de questions, de le voir comme un de ces sujets qu’adolescente elle aurait adoré étudier. Sauf que l’heure n’est pas à la réflexion bel et bien à l’action. L’homme pousse un peu son corps pour qu’elle s’active, pour qu’ils en arrivent plus vite au moment où il la prendra comme la bête qu’il est, où elle criera, avant de lui signifier qu’il est le meilleur coup qu’elle n’a jamais rencontré. Ce sera bateau, mais il y croira, parce qu’ils y croient tous, à chaque fois. Elle ouvre enfin la porte vers ce qui va devenir le temple des secrets perdus de cet homme au regard qui petit à petit devient pervers. Elle ne le blâme pas pour cela, elle est habitué, elle n’est pas effrayée, n’a pas froid aux yeux, elle est prête à entendre toutes les demandes du monsieur. Avant qu’il ne puisse prendre la parole cependant elle le regarde, envieusement alors que son esprit est vers un ailleurs qu’elle tente d’oublier. « On se douche d’abord, et si tu veux la prendre avec moi, tu devras payer plus. » Il hoche le visage rapidement, plein d’une envie qui se ressent jusque sur les grains de sa peau, et elle l’avoue c’est tout sauf beau. Venir se doucher avec elle semble lui plaire, et quand il se fait une fois pressant, elle s’exaspère intérieurement. « Retires tes vêtements. » Sa voix est puissante, elle ne l’aime pas, elle la vomirait, elle préfère de loin satisfaire les hommes perdus ici plutôt que ceux qui se pensent tout permis. Mais en silence elle retire ses vêtements, un sourire posé sur ses lèvres pour attirer cet homme encore plus à elle. Une fois qu’elle est nue, il reste un instant à la regarder, la dévisager, elle se rend compte que son regard à changer, elle incline son visage pour essayer de comprendre ce qu’il peut se passer dans sa tête, mais elle ne voit pas, ne réalise d’ailleurs pas qu’il s’approche d’elle rapidement. D’une voix qu’elle choisit petite elle prononce « A toi. » Mais il ne semble pas prêt à le faire, les mains de cet homme se posent sur elle, elles caressent son corps, un peu trop fort, elle n’aime pas cela, mais elle reste docile comme à chaque fois. Puis il lève sa main, elle le regarde faire, ne s’aperçoit pas de ce qu’il va faire, ne le réalise lorsque le premier coup s’abat sur elle dans un claquement sonore. Elle perd tous ses moyens, et le second part, plus fort cette fois, il attrape son corps et le jette sur le lit, comme si elle ne pesait rien. Il la domine et elle n’arrive pas à se débattre, ses démons passés remontent activement dans son esprit. Et c’est seulement après le deuxième coup de poing qu’il lui met qu’elle lâche un cri montrant la douleur qu’elle ressent … Il va la tuer, c’est tout ce qu’elle est encore capable de penser.  

    © EKKINOX

    Re: ▬ bang bang ▬ sivgard et scarlett

    Jeu 20 Mar 2014 - 15:32
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    Chaque soirée au Red Zone se ressemble. On y retrouve les mêmes musiques lascives, les mêmes danses et déhanchés indécents, les mêmes visages assoiffés et impatients. Les mêmes verres qui se remplissent et se vident au rythme du désir vorace de la clientèle. C'est bien cette régularité qu'apprécie le patron des lieux, puisqu'elle représente une affaire fructueuse alliant la convoitise au charme, à l'obédience et même à la servitude. Ne faites donc pas ces gros yeux en vous imaginant les pires scénarios ; il faut bien garder à l'esprit que les règles de l'art sont chères à Sivgard, et c'est bien pour cette raison que chaque soir – ou presque – l'homme prend le temps de quitter son bureau et d'emprunter les marches menant plus haut aux différents espaces de son club. L'une des plus grandes pièces capte son attention étant donné qu'elle compte en son sein deux des nouvelles employées qu'il a engagées. Comme tout employeur qui se respecte, il les observe discrètement, appuyé contre l'un des murs situés en face des deux succubes. Leur travail ne consistera qu'à danser et aguicher les hommes mais elles semblent si douées à la tâche que l'on peut aisément les imaginer s'adonner à d'autres plaisirs plus approfondis. Dans la plus grande discrétion du monde qui le caractérise si bien, Sivgard se satisfait de ce qu'il voit avant de diriger ses prunelles plus loin sur d'autres danseuses. L'une d'elles, un peu plus en retrait, attire son regard tant sa petite mise en scène semble maîtrisée à la perfection. Jamais le grand Mikkelsen n'a trouvé à redire sur cette prostituée, ni même les hommes avec lesquels elle fait affaire. Il a l'habitude de faire face à ce genre de spectacle et pourtant, Sivgard se surprend parfois à apprécier d'y poser l’œil pour en détecter chaque indice charmeur, chaque regard ou geste qui pourrait déclencher chez le quémandeur un surplus de velléité. Il trouve cette femme particulièrement gracieuse et fascinante ; dotée d'une beauté aussi virginale que maléfique. La belle-de-nuit idéale qu'il ne devrait jamais laisser filer, autrement dit. Bientôt elle approche ses lèvres de l'oreille du demandeur et l'entraîne là où Sivgard n'aura plus la possibilité de contempler. Oh il pourrait s'il le voulait vraiment, après tout le maître des lieux ici, cela a toujours été lui. Cela dit il convient de savoir respecter là où s'arrête notre travail et là où débute celui de l'autre et ce n'est pas le propriétaire du club qui y trouverait à redire. Alors il suit du regard les deux protagonistes, interceptant au passage celui de la jeune femme dont le prénom résonne dans son esprit. Il ne sourit pas, se contente de deviner ce qu'elle pourrait être en train de faire d'ici quelques minutes comme tout autre homme l'aurait fait. Puis les minutes passent, son intérêt se montre changeant, s'amenuise finalement avant de le mener à l'étage afin d'y jeter un bref coup d’œil. Quelques chambres sont utilisées, aucun son n'est perceptible et ne mérite qu'on s'y intéresse alors l'homme revient sur ses pas et s'apprête à redescendre lorsqu'un cri fracasse l'atmosphère relativement paisible de l'étage. Stoppé net dans sa marche, le Suédois reconsidère rapidement son entreprise de retourner à son bureau, réalisant que ce cri sortait assurément de la bouche d'une des femmes travaillant dans l'une de ces chambres. Tout en gardant ce calme marmoréen, Sivgard ne perd pas une seconde de plus immobile et va ouvrir la première porte qu'il rencontre sans même toquer. Le destin doit être avec lui car il tombe nez-à-nez sur une scène qu'il a déjà vue et envers laquelle il se comporte chaque fois de la même manière. Il a beau exiger de ses prostituées qu'elles se soumettent le mieux possible aux désirs parfois contestables des clients, cela ne signifie pas pour autant qu'il accepte que ces hommes se transforment en animaux déchaînés et tyranniques. Non, son éducation stricte lui a inculqué de fortes valeurs loin du machisme et de la violence dont il a horreur plus que tout et une nouvelle fois, il ne va pas se priver de remettre de l'ordre là où cela fait défaut. « Sortez d'ici. » Ordonne-t-il à voix aussi autoritaire qu'impulsive tandis que ses yeux foudroient le monstre en pleine action. Ce dernier n'a sans doute pas compris qui est celui qui vient de l'interrompre car quelque chose de tout autant méprisant que lui doit lui gronder en son for intérieur de continuer à frapper la victime. Mais comment diable peut-il s'acharner... Une seule pensée habite l'esprit du patron à ce moment : il est absolument hors de question que cette ordure la touche à nouveau. Trois grandes enjambées pleines d'assurance le mènent alors au beau milieu de la scène, vers le coupable et la proie nue dont il s'inquiétera de l'état en second lieu ; d'abord il attrape l'épaule de l'homme en arrière qui tente de se défaire de son emprise impitoyable. « Lâchez-moi, j'ai payé pour son corps.» Bave-t-il presque. Ni une ni deux, Sivgard force le jeune trentenaire à se retourner pour lui faire face, lui attrapant brusquement sa chemise au passage. Là, le vouvoiement ne serait plus de mise. « N'y pense même pas. Ici c'est moi qui commande mon grand alors tu vas me suivre calmement jusqu'en bas. » Peut-être est-il chanceux que cet homme ne soit pas une brute à la carrure de boxeur mais quoi qu'il en soit, son traitement aurait été le même. Tenant fermement le coupable d'une poigne sévère, Sivgard jette un coup d'oeil à Scarlett. « Ne bouge pas d'ici, j'en ai pour deux minutes. » Et sans patienter il entraîne l'homme en dehors de la chambre jusqu'en bas où il note son nom, montre son visage au vigile qui bien évidemment aura l'interdiction de le laisser rentrer à partir de ce soir. Une fois cela fait, il prend bien soin d'aller chercher un pain de glace et remonte rapidement jusqu'à la chambre où se trouve toujours la jeune femme.  Elle n'a pas bougé d'un centimètre, sans doute encore sous le choc. Il se rapproche, se penche vers elle pour soulever son visage du bout de ses doigts et en inspecter les dégâts de son air impassible. « Tiens, mets ça sur ton visage. Et rhabille-toi. » Deux injonctions qui ne devraient pas poser de problème. Il lui tend la poche de glace avant de s'asseoir sur un fauteuil en face d'elle, non pas en position de spectateur mais bel et bien en position d'homme consterné avec son menton soutenu par ses deux mains liées. Il la regarde sans se gêner, et sans cesser de maudire l'homme qui a touché à l'une de ses employées indignement. « Raconte-moi ce qu'il s'est passé s'il-te-plaît. » Finit-il par demander, le plus calmement possible.

    Re: ▬ bang bang ▬ sivgard et scarlett

    Dim 13 Avr 2014 - 18:41
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    Bang bang
    Sivgard


    Les coups sont rapides, forts, capables de faire casser ses os, de la faire basculer, de la tuer. Elle a mal, le dit, elle cri, elle ne s’arrête pas, mais ce n’est pas pour autant que l’homme se stoppe, lui. Chacun de ses coups se fait plus fort, plus décisif, ça saigne à l’intérieur d’elle. « Sortez d'ici. » Elle entend, elle soupire, pleure surement, non pas de honte, ni de joie de se voir sauver de son bourreau, non, juste de douleur, celle qui est physique, celle qui pique. Elle a l’impression que son visage n’est plus le même, le temps que l’homme, le client, réalise qu’ils ne sont plus seulement deux dans cette chambre elle porte ses mains à ses lèvres, tuméfiée. Elle voit alors qui est entrer dans cette chambre afin de se faire finir ce spectacle, Sivgard, elle le voit s’approcher du client, l’attraper par le bras, ses habits, n’importe quoi, il l’éloigne d’elle et c’est tout ce qui compte, c’est tout ce qu’elle désire. « Lâchez-moi, j'ai payé pour son corps. » Pour son corps, oui, non pour sa vie. Sivgard use de force pour que l’homme tourne vers lui, quitte enfin le corps de Scarlett des yeux. Elle se sent souillée, réellement, ce n’est même plus du sens figuré. Bien sûr qu’elle s’est toujours sentie pute, bien sûr qu’elle sait qu’elle n’est pas grand-chose, mais elle l’a voulu, elle n’en a jamais douté. Aujourd’hui elle doute, cette nuit elle crève. « N'y pense même pas. Ici c'est moi qui commande mon grand alors tu vas me suivre calmement jusqu'en bas. » Elle tremble, elle tremble vraiment, toujours sur le sol, elle s’appuie contre le lit, tenant une partie de son visage avec son autre main. Elle ne pense pas à sa tenue, elle ne pense plus en rien en réalité, rien qu’à se haïr, se détester. Elle n’a pas l’habitude de se sentir comme cela, elle a envie de vomir, elle croit. Habituellement elle n’a pas peur de mettre les mots sur ce qu’elle éprouve, mais cette fois ça la frappe si fort qu’elle n’ose pas les utiliser, d’avouer qu’elle est encore moins que rien. « Ne bouge pas d'ici, j'en ai pour deux minutes. » A défaut de parler, elle hoche le visage, synonyme du fait que de toutes les façons, elle n’a pas envie de bouger, elle ne saurait pas quoi faire. Elle attend, elle a mal, elle omet les coups, elle ne pense plus qu’à son état mental, à son style de vie. A ce que sa mère dirait, si elle la voyait. Merde … Ça lui transperce le cœur et cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas perçu en elle une telle douleur. Après quelques minutes Sivgard revient dans la pièce, et de ses yeux de biches elle le regarde sans trop comprendre, surement un peu heureuse de le voir revenir vers elle, de ne pas être seule maintenant. Elle l’aurait supporté, mais elle se serait surement torturée. Il se baisse vers elle, effleure son visage de ses doigts, ses yeux la brulent et elle s’aperçoit qu’elle n’a plus envie d’être regardée ce soir. « Tiens, mets ça sur ton visage. Et rhabille-toi. » Elle hoche la tête en prenant la glace entre ses mains pour la poser contre sa peau, se trouver d’abord agressée par ce contact pour finalement s’en trouver soulager. Docile, elle se redresse, elle attrape ses vêtements, sous les yeux de son patron elle se rhabille en silence. « Raconte-moi ce qu'il s'est passé s'il-te-plaît. » En posant le pain de glace sur le lit le temps d’enfiler le reste de ses habits, elle croise son regard, pour la première fois de sa vie elle se sent pudique. Non pas du regard de son patron sur elle, mais bien par rapport à cette question qui la perturbe un peu trop. Une fois habillée, elle reprend la glace pour la mettre une nouvelle fois sur sa peau, elle gémit un peu de la douleur que cela lui provoque encore une fois, soupire fortement avant d’affronter les yeux de Sivgard. Elle s’assoit sur le rebord du lit, en se demandant s’il cherche à savoir si la faute venait d’elle, si elle a agi de façon à ce que cet homme pense qu’elle lui faisait un affront. Jamais, non, elle connait trop son métier pour que les pensées des hommes soient erronées. « Je … » Avant ça, hésiter dans le bâtiment ne faisait pas partie de ses habitudes, c’est le seul, ou bien un des seuls endroits de Los Angeles où la demoiselle se sentait parfaitement maitresse de ce qu’il s’y passait. Maintenant, sa sureté s’en est allée, et elle ne contrôle rien, en résumé, de ce fait elle hésite, de ce fait elle met du temps avant de trouver les bonnes choses à prononcer. Elle se reprend et se remémore ce qu’il s’est passé il y a quelques instants. « Je lui ai annoncé les tarifs, lorsqu’on dansait, il a accepté, nous sommes venus dans cette chambre, comme d’habitude j’ai demandé s’il voulait prendre sa douche avec moi … » Elle n’aime pas, elle n’aime pas dire tout ça à haute voix dans ces conditions-là. « Il m’a demandé de me déshabiller, ce que j’ai fait. Et il a commencé à frapper. » Elle n’a rien cherché, elle faisait juste son métier.  

    © EKKINOX

    Re: ▬ bang bang ▬ sivgard et scarlett

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