discord
FRATERNITIES, NOW
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

FRATERNITIES, NOWConnexion
Historique  
  • AccueilAccueil  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • -28%
    Le deal à ne pas rater :
    Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
    279.99 € 390.99 €
    Voir le deal

    No game, No life | Jeseychou

    Lun 14 Juil 2014 - 17:16
    more_horiz
    Invité
    Anonymous
    Invité
    PROFIL

    No game, No life !



    La nuit gagnait peu à peu les rues de notre bonne vieille ville, et si ces dernières en devenaient presque désertes, il y avait un endroit où la population aimait se retrouver afin de partager un moment sous le signe de la magie :  La fête foraine.  Bien évidemment il y avait toujours plus grand ailleurs, mais celle-ci renfermait bien assez d’attractions pour vous faire vivre une nuit sans que les soucis de la vie quotidienne ne viennent entacher votre humeur. Ainsi désireux de partager un moment agréable en compagnie de Jersey, je lui avais donné pour rendez-vous l’entrée d’un tout autre monde.  Il y avait certes, plus romantique comme endroit, mais rien ne nous empêchait de poursuivre la soirée sous le signe de l’amour lorsque nous jugerons nécessaire de nous retrouver dans un lieu plus… intimiste.  
    Pour l’heure, je pouvais sentir mon cœur battre la chamade à mesure que mes pieds me portaient vers cette silhouette dont les courbes suffisaient à nourrir mon imagination. Elle était radieuse, comme toujours.  Tel un félin en chasse, je m’approche, contourne la foule pour la surprendre en glissant mes mains sur son visage, sur ces yeux dans lesquelles j’aimais tant me noyer. « Il n’est pas permit de faire languir plus longtemps une demoiselle aussi radieuse. Oubliez ce malheureux et rejoignez moi pour une nouvelle aventure.. » L’imagination ne me faisait guère défaut, pourtant bien conscient qu’elle n’aurait aucune difficulté à deviner qui se trouvait derrière ce murmure glisser a son oreille. Un sourire sur les lèvres, je l’invitais à pivoter sur elle-même, l’accueillant par un doux baiser dont je me fis une joie de lui voler. « Alors dis moi, par quoi aimerais-tu commencer : Par le grand frisson avec les montagnes russes ? La maison hantée peut-être ? Ou…Admirer la magnifique vue sur la ville du haut de la grande roue ? » L’amusement pouvait d’ores et déjà ce lire sur mon visage, tel un enfant à peine âgé d’une dizaine d’années. Le fait est que notre famille ne s’était jamais donné l’occasion de vivre un tel moment, d’être unis autrement que dans les cris et la violence. Comment donc résister a une telle ambiance lorsqu’il vous ais donné, pour la toute première fois, de passer un agréable moment avec une personne cher à votre cœur ?

    CODE BY APACHE.

    Re: No game, No life | Jeseychou

    Mar 15 Juil 2014 - 19:32
    more_horiz
    Jersey B. Harrington
    Jersey B. Harrington
    person
    PROFIL
    Messages : 6056
    Date d'inscription : 15/11/2012
    Identité HRP : BOY BYE, Loïc, 27 ans, Il, Loïc#9429
    Gameplay : Écriture à la première personne du singulier (parfois à la deuxième personne du singulier). RP en anglais possible et nombre de lignes variable (d'une dizaine de lignes à plusieurs pages WORD quand l'inspiration est très forte)..
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Inbar Lavi (burnonfyre)
    Nationalité/origines : Américaine (origines israéeliennes et américaines).
    Avertissements contenu : Langage potentiellement vulgaire (insultes) et références (ou actions) à caractère sexuel.
    Orientation & situation : Hétérosexuelle, célibataire.
    Métier/occupation : Chirurgienne pédiatrique (titulaire).
    Études & fraternité/sororité : Études de médecine (Alpha Bêta)
    Résidence : Une maison au coeur de Los Angeles (Northeast)

    Sept mois, une éternité pour certains mais finalement, je me rends compte que le temps passe cruellement vite. Hier encore j’ai l’impression que je me trouvais avec Tylian au bal de Noël, échangeant notre premier baiser et scellant le début d’une histoire bien plus romantique que tout ce que nous avions connu jusqu’à-là. Pourtant ce n’était pas hier, le 24 décembre était à présent bien loin de nous et nous étions plus proches de souffler notre première bougie que de passer la première semaine. Mes études, mon job, mon couple, l’argent… Tout me souriait cette année et c’est ce qui me rendait si heureuse, bon, il serait insensé de ne pas admettre que la présence de Tylian à mes côtés ne représentait pas, à lui seul, les trois quarts de mon bonheur parce que c’était le cas. Avec le temps j’étais profondément tombée amoureuse de lui, il s’en était passé des choses, nous en avions passé des moments rien que tous les deux, parfois chez lui, d’autres fois chez moi. Nous avions traversé des choses qui avaient contribué à nous lier davantage et à présent je pouvais enfin le dire à haute voix, je l’aime. Je ne lui ai pourtant jamais dit, ces mots ne sont jamais passés par mes lèvres, même pas lors d’une confidence improvisée sur l’oreiller.

    Ce soir, nous avons un rendez-vous un peu particulier, mon chéri m’a proposé d’aller faire un tour au parc d’attractions du coin et je n’avais pas pu refuser. Les attractions j’adorais ça, une vraie gamine lorsqu’on m’emmenait à la fête foraine. Depuis toute petite j’ai toujours adoré me balader, je me suis toujours sentie bien au milieu des attractions, l’ambiance y contribuant grandement. Je m’étais longuement préparée pour être la plus belle aux yeux de Tylian, malgré tout, je m’étais habillée de sorte à pouvoir faire toutes les attractions, hors de question d’opter pour une robe comme vous pouvez vous en douter. Vêtue d’un simple débardeur blanc avec un jean troué et d’une paire de chaussures confortables je m’étais donc mis en route, préférant la voiture au métro histoire de rattraper le retard que j’avais pris en me préparant. J’étais malgré tout la première arrivée, je n’eus pas à attendre trop longtemps avant que mon petit-ami ne fasse, à son tour, son entrée. « Il n’est pas permit de faire languir plus longtemps une demoiselle aussi radieuse. Oubliez ce malheureux et rejoignez moi pour une nouvelle aventure.. » Ses mains entourent mon visage, plus particulièrement mes yeux, mais je n’ai pas besoin de le voir pour le reconnaitre. Sa voix masculine et sensuelle à la fois je peux la reconnaitre parmi des milliers, parmi des millions et puis son parfum, la douceur de ses doigts, sa peau… Tout chez lui me parle. Mon sourire gagne en intensité, je pivote pour pouvoir lui faire face et lui dérober un long baiser, tendre, retrouvant comme pour la première fois ses lèvres légèrement charnues pour y laisser mon empreinte. Je le contemple, je me mordille la lèvre et lui demande, glissant ma main contre la sienne. « Tu as passé une bonne journée ? » Nos doigts s’entrecroisent, nous ne nous sommes pas vus depuis quoi… Deux jours ? Peut-être trois mais ça ne nous a pas empêché d’échanger des centaines de textos, de nous snapper régulièrement. Nous étions réellement accros l’un à l’autre, peut-être trop ? Je n’en avais pas la moindre idée, je ne ressentais pas la moindre gêne, au contraire, il me manquait à la seconde où je ne l’avais plus dans mon champ de vision. « Alors dis moi, par quoi aimerais-tu commencer : Par le grand frisson avec les montagnes russes ? La maison hantée peut-être ? Ou…Admirer la magnifique vue sur la ville du haut de la grande roue ? » J’hésite, je suis tentée par toutes les attractions du coin, des plus enfantines à celles qui te procurent des sensations de dingue. Je le regarde amoureusement, décidant d’y aller progressivement. « Et si on commençait par un petit tour dans les auto-tamponneuse ? »  



    extensionauto_awesomeac_unitvolunteer_activism


    No game, No life | Jeseychou Giphy

    Re: No game, No life | Jeseychou

    Lun 28 Juil 2014 - 20:04
    more_horiz
    Invité
    Anonymous
    Invité
    PROFIL

    No game, No life !



    Quel bonheur de croiser à nouveau son regard avant de retrouver la douceur de ces lèvres.  Je profitais de l’instant présent, me délectais de sa présence, de ce contact qui m’avait que trop manqué. Si nous n’étions pas le genre de couple à vivre l’un sur l’autre, je ne pouvais clairement pas envisager une journée sans avoir de ses nouvelles. Elle m’était indispensable, était l’un de mes repères dans cette nouvelle vie pour le moins…idéale. Mes bras vinrent naturellement l’encercler, resserrant doucement mon étreinte dans ce baiser fait de tendresse. Comme a l’accoutumé, mon cœur pris une vive accélération, trop heureux d’être auprès de celle qu’il chérissait.  Il m’était impossible de lutter, de ne pas fondre devant son sourire, cette façon qu’elle avait de me regarder, ou encore de se mordiller la lèvre avec sensualité. « Tu as passé une bonne journée ? » Ma journée avait été pour le moins banale, travaillant pour gagner de quoi vivre, n’ayant que pour seule hâte de retrouver ma douce Jersey pour le restant de la soirée. «  Disons simplement que tu viens de lui donner tout son sens » Je souriais à nos doigts entrelacés, a ce naturel avec lequel je m’exprimais pour revendiquer l’emprise qu’elle pouvait avoir sur moi.  Pour autant je me retrouvais bien incapable de lui dire combien elle était importante à mes yeux. Bien incapable de prononcer ces quelques mots qui suffiraient à combler une femme amoureuse. «  Et la tienne ? » Bien évidemment Jersey se tairait elle aussi dans le silence. Peut-être attendait-elle que je fasse le premier pas ? Chose que je pouvais parfaitement comprendre, après tout, il n’était pas rare que les femmes espèrent en être la première bénéficiaire. Que ces si petits mots et pourtant si lourd de sens, en viennent à s’échapper des lèvres de leurs petits copains. Malheureusement pour ma bien aimée, son cœur semblait s’être épris d’un parfait handicapé sentimental !
    Sept mois.  Sept mois de bonheur et pourtant je jugeai préférable de ne pas précipiter les choses, de ne pas à l’encontre de mes propres sentiments. Je tenais à elle certes, mais je n’étais visiblement pas prêt à le lui confier, sinon pourquoi ce blocage ? Hanna peut être ? La seule et unique qui avait su par je ne sais quelle magie, me soutirer ces doux mots d’amour. Aux dernières nouvelles, elle s’en était allé, repartant à l’étranger sans un mot ou presque pour son entourage. J’imaginais en être la cause et si dans un sens je le regrettais pour Jersey, je ne pouvais que m’en estimer plus heureux. Elle avait d’ailleurs pas manqué de semer la pagaille, m’enfonçant dans un mensonge qui n’était guère à mon goût. « Et si on commençait par un petit tour dans les auto-tamponneuse ? » Voila un choix qui ne me surprenait guère, plutôt simple sans pour autant être dénoué d’action. « Mhm…je ferais peut-être bien de te regarder en faire, après tout…’ Femme au volant… » Bien évidemment je n’en croyais pas un mot, jouant une nouvelle fois la carte de la provocation, comme à notre habitude.  Elle ne manquerait pas de me tenir tête et il fallait bien l’avouer, j’adorais ca. Mon sourire amusé en était clairement un indice, lui volant un petit baiser avant de nous mettre en marche vers les auto-tamponneuses.
    CODE BY APACHE.

    Re: No game, No life | Jeseychou

    Mer 30 Juil 2014 - 14:54
    more_horiz
    Jersey B. Harrington
    Jersey B. Harrington
    person
    PROFIL
    Messages : 6056
    Date d'inscription : 15/11/2012
    Identité HRP : BOY BYE, Loïc, 27 ans, Il, Loïc#9429
    Gameplay : Écriture à la première personne du singulier (parfois à la deuxième personne du singulier). RP en anglais possible et nombre de lignes variable (d'une dizaine de lignes à plusieurs pages WORD quand l'inspiration est très forte)..
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Inbar Lavi (burnonfyre)
    Nationalité/origines : Américaine (origines israéeliennes et américaines).
    Avertissements contenu : Langage potentiellement vulgaire (insultes) et références (ou actions) à caractère sexuel.
    Orientation & situation : Hétérosexuelle, célibataire.
    Métier/occupation : Chirurgienne pédiatrique (titulaire).
    Études & fraternité/sororité : Études de médecine (Alpha Bêta)
    Résidence : Une maison au coeur de Los Angeles (Northeast)

    Il me manque, c’est terrible de ressentir une telle sensation lorsque son copain n’est pas là et pourtant, je crois que je commence à m’y faire. C’est une bonne chose de ressentir le manque, vous n’êtes pas d’accord ? C’est la preuve que la personne qui fait notre bonheur a vraiment de l’importance pour nous, qu’elle a un poids particulier dans notre vie. Et puis, je sais qu’à chaque fois que nous allons nous voir le manque sera transformé en excitation, en tendresse et c’est encore mieux. Dernièrement, nous avons tous les deux été très occupés par nos études, par l’internat également et cet été nous allions devoir nous passer l’un de l’autre. C’est triste à dire mais il ne vient pas à Coachella, je sais qu’il a beaucoup à faire sur Los Angeles alors je l’accepte, je l’ai même soutenu pour lui éviter de venir juste pour me faire plaisir. C’est comme ça que nous fonctionnons, je préfère que nous ne soyons pas l’un à côté de l’autre tout en faisant ce que l’on aime plutôt que d’être tous les deux l’un à côté de l’autre en étant frustrés. N’est-ce pas les fondations d’un couple solide ? J’ai envie de croire que si en tout cas. Je lui demande naturellement, après avoir retrouvé ses lèvres avec appétit, s’il a passé une bonne journée. « Disons simplement que tu viens de lui donner tout son sens » Je n’ai pas besoin de plus pour être comblée, je sens des centaines de petits frissons parcourir mon corps, comme si des papillons venaient de décoller dans mon ventre pour prendre leur envol. Mon sourire s’étire naturellement tandis que mes yeux sont brièvement submergés, ils pétillent. Ce que j’aime lorsqu’il me parle ainsi, je n’attends rien de plus de lui, je n’ai pas besoin d’un stupide je t’aime qui pourrait ne pas être dit avec sincérité, il me prouve au quotidien qu’il tient à moi et j’ai appris à m’en contenter, ce n’est pas comme si ce n’était rien après tout, c’est bien plus que trois mots. « Et la tienne ? » Je prends le temps de réfléchir à ce que j’ai fait aujourd’hui. « Très classique jusqu’à ce soir, maintenant je me sens vraiment à ma place. » Je souris et lui attrape le bout du menton avec deux de mes doigts pour le faire s’approcher et pouvoir l’embrasser à nouveau. Je ne m’en lasse pas, au contraire, à chaque fois je retrouve les mêmes sensations que lors de notre premier baiser. C’est juste exquis, exceptionnel et unique.

    Par quoi allons-nous commencer la soirée ? Je n’ai pas besoin de trop réfléchir pour choisir de faire un petit tour du côté des auto-tamponneuses, une attraction assez amusante bien qu’il me soit déjà arrivé de me faire mal après m’être fait foncée dedans par un mec qui y allait tout en puissance et avec tout son poids au moment de me frapper de plein fouet. « Mhm…je ferais peut-être bien de te regarder en faire, après tout…’ Femme au volant… » Je le regarde, lui met un petit coup de poing sur l’épaule. Je ne sais pas s’il fait allusion à cette célèbre expression, femme au volant mort au tournant mais en tout cas, il doit le savoir, je suis assez féministe comme fille du coup je vais me défendre. « Tu pourrais… Surtout si tu as envie de tester la deuxième expression… Tu sais… Femme sous le volant, homme content ? » Je souris, aguichante au possible avant de brièvement l’abandonner pour acheter cinq ou six jetons qui nous permettront de faire plusieurs tours de suite. « Je vais te montrer que nous, les femmes, en plus d’être votre raison de vivre nous sommes meilleures que vous lorsqu’il s’agit de conduire. » Je ris et fonce sur l’une des voitures laissée vacante à la fin du tour pour m’y installer à côté de mon chéri.


    extensionauto_awesomeac_unitvolunteer_activism


    No game, No life | Jeseychou Giphy

    Re: No game, No life | Jeseychou

    Mer 27 Aoû 2014 - 17:43
    more_horiz
    Invité
    Anonymous
    Invité
    PROFIL

    No game, No life !



    Je n’imaginais que trop difficilement les jours à venir, sans Jersey pour égayer mes jours et mes nuits. Certes il y avait le téléphone, mais nous savions l’un comme l’autre que cela ne faisait pas tout. Pour autant je ne pouvais la suivre dans cette nouvelle aventure qui consistait à se rendre à Coachella pour vivre un été de folie. J’en rêvais, mais le fait est qu’il me fallait réfléchir à ma vie, mes envies, cet avenir qui devenait bien que trop flou à mesure que cette année s’était écoulée. Jersey l’ignorait encore, mais l’argent de la bourse qui m’octroyait le droit de poursuivre mes études m’était retiré. Bien trop d’étudiants y prétendaient et dans un souci d’égalité, les critères d’attribution étaient remis en cause. Ainsi donc il me fallait trouver une source de revenu si je décidais de poursuivre mes études. Là encore j’ignorais quoi faire, jugeant qu’il m’était impossible de poursuivre cette route indéfiniment. En plein doute,  je décidais donc de profiter des vacances pour réfléchir à ce que serait mon avenir, mais aussi et surtout pour trouver un travail beaucoup plus fiable et rentable que l’actuel. Je n’imaginais que trop bien la déception, voir la colère de Jersey quand elle l’apprendrait, mais j’avais opté pour un silence sur mes maux afin de ne pas entacher ses vacances que je qualifiais de bien méritée. Je ne voulais guère l’inquiéter, ni même qu’elle me propose son aide sur un plan financier. Elle en était capable, je le savais que trop bien. Appelez cela un égo surdimensionné, mais je refusais tout bonnement d’être entretenu, d’être à nouveau dépendant d’une autre personne. Ainsi donc je fis le choix d’en oublier mes problèmes le temps d’une soirée, ne profitant que de ma petite amie en qui j’avais toute confiance pour cet été durant lequel nous serions séparés.
    Naturellement, nous prirent des nouvelles de l’autre, sur cette journée qui touchait bientôt à sa fin si l’on en croyait le soleil qui se faisait peu à peu discret. « Très classique jusqu’à ce soir, maintenant je me sens vraiment à ma place. » Je ne pu que sourire, conservant mon regard dans le sien tendit qu’elle amenait mon visage au sien pour profiter d’un nouveau baiser. Je ne pouvais que m’en réjouir, bien trop heureux de gouter à la douceur de ses lèvres faute de ne plus pouvoir m’en passer. Qu’elle allait me manquer bon sang !

    Rapidement nos pieds nous portèrent jusqu’aux autos-tamponneuses, attraction idéale pour taquiner l’autre avant même d’être à bord. Je ne me fis d’ailleurs pas prier, la taquinant non sans un sourire amusé sur la capacité des femmes à tenir un volant. Bien évidemment je n’en pensais pas le moindre mot, reconnaissant bien volontiers que certaines femmes conduisaient bien mieux que les hommes. Non là était simplement l’occasion parfaite pour lui river un sourire sur les lèvres.  Que ma victoire fut belle, bien que facile, quand elle en vint à sourire tout en m’offrant un léger coup à l’épaule. « Tu pourrais… Surtout si tu as envie de tester la deuxième expression… Tu sais… Femme sous le volant, homme content ? » J’hausse un sourcil, un sourire un peu bête sur lèvres tant je suis pris par surprise. « J’hésite un peu à te demander d’où tu la sors celle là » Car comme tout homme un brin jaloux, voir possessif, je détestais imaginer ma petite amie en compagnie d’autres hommes, même si bien évidemment, je ne pouvais qu’avoir conscience que je n’étais guère le premier à obtenir ses faveurs…Et inversement d’ailleurs. Ainsi bien que peu sur d’apprécier sa réponse, je ne pu m’empêcher de la suivre jusqu’au guichet avant de se diriger vers une auto laissée à l’abandon.   « Je vais te montrer que nous, les femmes, en plus d’être votre raison de vivre nous sommes meilleures que vous lorsqu’il s’agit de conduire. »  Je ne pu m’empêcher de rire, non pas pour ces propos, me fichant bien de savoir qui était le meilleur des conducteurs, mais bel et bien parce que j’avais su faire ressortir son côté féministe. Je l’aimais, j’aimais cette passion qui l’animait chaque fois qu’elle ressentait le besoin de prouver qu’une femme ne se limitait pas seulement à combler son homme, sa famille. J’aimais son engagement, ces valeurs que je partageais en tout point. « C’est ce que nous allons voir ma petite dame ! Le premier tour de conduite est pour toi. Celui qui se prend le moins de coup choisira l’attraction suivante, marché conclu ? » A mon tour, je pris place dans l’auto aux côtés de ma douce Jersey, un sourire sur les lèvres. « En tout cas une chose est sure, vous n’avez pas à envier notre modestie ! » Une fois encore je la taquinais, insinuant fortement que les femmes devenaient de plus en plus vantardes, à notre image.
    CODE BY APACHE.

    Re: No game, No life | Jeseychou

    more_horiz
    Contenu sponsorisé
    PROFIL
    privacy_tip Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum