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    they said there was free coffee. [/w. Joseph]

    Jeu 31 Juil 2014 - 3:02
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    Sapphire C. Sachs
    Sapphire C. Sachs
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    Messages : 712
    Date d'inscription : 24/04/2013
    Identité HRP : Ferdinand
    Gameplay : Je/elle.
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Nicola Peltz – Chirurgie #3 (anciennement Hilary Duff, puis Pixie Lott) © FA
    Nationalité/origines : New Yorkaise, Juive Ashkénaze
    Avertissements contenu : Antisémitisme, chirurgie plastique, commérage, harcèlement moral, méchanceté gratuite (cruauté).
    Orientation & situation : Moi, moi, moi, mwah ! <3 (Amoureuse d'elle-même)
    Métier/occupation : Actrice
    Études & fraternité/sororité : A obtenu son diplôme de photographie grâce à l'argent de papa.
    Résidence : Beverly Hills
    Autres comptes : they said there was free coffee. [/w. Joseph] ZQb8iUT
    Caleb
    they said there was free coffee. [/w. Joseph] LNSdREQ
    Carlson
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    Peter
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    Réveillée de bonne heure, j'étais partie au Starbucks afin de bien entamer la matinée avec un bon petit déjeuner. Ainsi, j'avais pris ce que je consommais toujours d'habitude : le fameux cinnamon roll à tremper dans un café. Mmmh. J'en bavais déjà par anticipation. Au moment de commander mon café, cependant, on m'avait appris la merveilleuse nouvelle que la boutique était à court de lait et qu'ainsi, la fameuse boisson que je prenais systématiquement avec mon roll ne pouvait pas m'être préparée. M'étant contentée de plaider ma cause au vendeur en lui expliquant qu'il m'était impossible d'aller à mon entretien d'embauche sans avoir de quoi me donner une bonne dose d'énergie pour bien entamer la journée, c'est déçue que je suis ressortie du magasin, mon cinnamon roll dans une main, mes espoirs brisés dans l'autre, le caissier m'ayant éventuellement expliqué que si je désirais un café, il allait falloir que j'attende (au moins !) une bonne demi-heure. Du temps précieux, n'est-ce pas ? Je suis parfaitement d'accord. Du temps précieux que je n'avais pas. Ainsi, je m'étais rapidement dirigée vers l'adresse que j'avais soigneusement notée sur mon papier à lettres rose orné d'illustrations de fleurs parfumées.

    Me faufilant rapidement dans l'immeuble, une fois arrivée, je m'incruste dans un ascenseur déjà rempli de monte, tentant tant bien que mal de garder mon sang froid. Sois calme, Sapphire, sois calme. Tu es la meilleure, tu le sais bien, que ce soit en photographie, en composition ou même au lit. Aucune autre femme ne t'arrive à la cheville. Calme toi, Sapphire, tu le sais que cet entretien, ce n'est qu'une pure formalité. Malgré tous mes efforts pour rester composée, cependant, la boule que j'ai au creux du ventre ne veut décidément pas s'en aller. Mince alors. Je me demande si le yaourt que j'ai mangé hier soir n'était pas périmé, pour le coup. C'est possible ... Ça m'apprendra à ne pas prêter davantage d'attention aux dates de péremption. Ou alors ... Tiens, c'est quand la dernière fois que j'ai eu mes règles, moi, d'ailleurs ? Je commence à compter les jours sur les phalanges imaginaires qui se matérialisent alors dans ma tête lorsque la porte de l'ascenseur s'ouvre à nouveau et que je suis presque jetée à l'extérieur par la foule existant toujours dans la cabine. Me redressant rapidement, j'essuie ma jupe par automatisme, histoire d'en ôter des poussières imaginaires, avant de me diriger vers le premier bureau que je trouve, en l'occurrence, celui d'une jeune femme pas très gâtée par la nature (malheureusement, nous ne pouvons pas toutes être aussi chanceuses que moi, en ce bas monde) et de lui demander où se trouve le bureau d'Aaron Campbell. Lorsqu'elle me regarde, visiblement surprise par ma question, je répète mes mots plus lentement avec insistance.

    - Sais-tu-où-je-peux-trou-ver-Mon-sieur-Camp-bell ?

    Je n'ai pas le temps d'attendre une réponse plus construite de la cruche visiblement aussi intelligente que le poisson rouge que je possédais lorsque j'étais encore à l'école primaire lorsqu'une porte s'ouvre derrière moi, menaçant de me faire tomber au sol. Poussant un léger cri d'indignation, je me retourne, furieuse, avant de me retrouver nez à nez avec un charmant business man. Parfaitement bien habillé. Bien rasé, également. Le genre d'hommes qu'ils mettent sur les magazines de santé, quoi. Avec un peu de chance, il a peut être un peu plus de jugeote que l'autre brune, là bas. C'est ironique, d'ailleurs, puisque habituellement, les brunes ont la réputation d'être plus intelligentes que les blondes ... Bon, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit plus intelligente que moi, quand même, cela me semble difficilement réalisable ... Mais pour le coup, même mon amie Zoé me semble moins idiote qu'elle. Incroyable. Demandant donc au mystérieux prince charmant armé d'un sourire digne d'une publicité pour dentifrices si lui ne saurait pas où je pourrai trouver ce cher et tendre Monsieur Campbell, je suis légèrement surprise lorsqu'il m'affirme être Aaron Campbell et m'invite à m'installer dans son bureau. Pendant qu'il discute avec l'autre jeune hébétée, je m'installe donc en silence dans la chaise face à son bureau avant de fouiller dans mon sac Hermès et d'un ressortir mon gloss. J'en applique une énième couche sur mes lèvres avant de sortir un miroir de poche de mon sac et de m'admirer dedans, histoire de vérifier que je suis aussi présentable que je l'étais en quittant l'appartement ce matin. Évidemment, c'était le cas, puisque je suis parfaite ; je l'ai toujours été.

    Campbell revient alors avant de s'asseoir face à moi et de me poser ce qui me semble être une centaine de questions sur moi, mes aspirations professionnelles, mes études et mon expérience photographique. Et mon expérience sexuelle, elle ne t'intéresse pas ? On ne partage pas une chambre ensemble au Coachella ? C'est dommage, je croyais. Distraitement, mes yeux balaient son bureau lorsqu'ils ne sont pas fixés sur son sourire éclatant et ses irrésistibles fossettes et c'est ainsi que je remarque qu'il n'a pas de photos de famille dans son bureau. Pas une seule. Aucun cadre contenant un cliché de lui pendu au bras d'une femme magnifique (ou hideuse, selon les goûts), une armée de morveux envahissant l'espace devant eux, des sourires écoeurants aux lèvres. Cela veut donc dire qu'il apprécie pleinement les plaisirs de la vie ... Ou qu'il est homosexuel. Mais quelque chose me dit qu'un homme comme lui ne peut pas être homosexuel, et mon gaydar doit être l'un des plus aiguisés de la planète. J'avais deviné que Wentworth Miller jouait pour l'autre équipe avant même qu'il ne fasse son "coming out", plus tôt dans l'année. Éventuellement, la discussion arrive à sa fin. C'est à ce moment là que je commence à bailler. Qu'est-ce que c'est fastidieux, un entretien d'embauche ... Je ne crois pas qu'il puisse exister chose plus ennuyeuse sur la terre entière.

    - Bien. Miss Sachs, c'est avec plaisir que je t'annonce que tu as été retenue pour m'accompagner au festival du Coachella en tant qu'assistante photographe. Ma secrétaire t'en dira plus sur le chemin de la sortie. Passe une bonne journée, je te verrai très bientôt.

    C'est alors qu'il replonge à nouveau son nez dans ses dossiers, ses documents et l'amas de photographies éparpillées de part et d'autres sur son bureau (dans lequel se trouve bon nombre des clichés que j'avais pris soin d'inclure dans mon portfolio, d'ailleurs) ; à ce moment là, je comprends qu'il est temps pour moi de m'en aller. Refermant donc mon Birkin Hermès après y avoir rangé mon CV et mon stylo bille rose, je commence à me préparer à partir. Silencieusement, je quitte la salle après lui avoir lancé un simple "Au revoir". Sur le chemin, je croise un homme dont le visage me frappe immédiatement (Joseph) qui profite visiblement du fait que mon entretien se termine pour tenter sa chance auprès du monsieur Campbell. [i}Tiens, peut être que c'est son petit-ami.[/i] Je retourne alors voir miss Kinder Bueno (brune à l'extérieur mais blonde à l'intérieur) afin de lui demander de plus amples informations sur ce fameux travail d'assistante ("Donc je dois vraiment travailler ? Je ne peux pas me contenter de le regarder faire ? [,,,] Quoi, tu ne sais pas s'il est marié ? [...] Mais, le monsieur là, c'est son petit-ami, non ? [...] Le monsieur qui vient d'entrer, là. [...] Non ? Ah bon, on aurait pu croire. [...] Et sinon, tu seras là, toi aussi ? Non ? Oh, c'est dommage, pourquoi ?" Tant mieux, bon débarras). Lorsque je m'apprête à prendre congés d'elle, la merveilleuse idée de lui demander s'il n'y a pas une machine à café sur place me frappe alors et c'est ainsi que fièrement, je m'y dirige après qu'elle m'en ait cordialement indiqué le chemin. Parce qu'avec toutes ces histoires, je n'ai toujours pas pu déguster mon cinnamon roll, moi. Et autant dire que cet entretien m'avait complètement affamée.
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    Spoiler :

    Re: they said there was free coffee. [/w. Joseph]

    Mer 6 Aoû 2014 - 12:05
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    Invité
    Anonymous
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    Il était assez tôt ce matin quand Joseph se dirigea au volant de sa mustang GT vers le bureau de Aaron Campbell. Le photographe était un ami ainsi qu'un photographe de talent que Jo réquisitionné assez régulièrement pour des photoshoots (en urgence) de certains acteurs et actrices ainsi que pour photographié des projets en cours pour envoyer aux investisseurs. Malheureusement, ces derniers bien que dilettantes n'avaient pas beaucoup de temps et devaient donc compter sur les informations transmises par email ou téléphone. Informations transmises par Joseph et son équipe bien évidemment. Ainsi, il était dans le coin pour demander un rapide service à son vieil ami. Le bâtiment où travaillait Aaron semblait presque similaire à celui où était la Great Major. Ils avaient des goûts assez similaires. A l'étage, Joseph se dirigea directement vers la secrétaire. Il la complimenta avant de lui demander si le photographe était disponible. La jeune fille lui avoua qu'il était en entretient mais que si c'était urgent, il pouvait quand même rentrer. Refusant l'offre, le producteur admit que sa demande pouvait bien attendre quelques minutes. Il s'approcha alors de la baie vitrée surplombant une bonne partie de la ville en attendant sagement. Au bout d'un moment, il ne pu s'empêcher de prendre son téléphone pour vérifier ses emails et ses messages et répondre à certains. Que ne ferait-il pas si internet venait à le lâcher...

    Au terme de quelques minutes, la porte s'ouvrit et une jeune fille blonde qu'il remarqua à peine à ce moment là sortit. Il en profita pour s’engouffrer dans l'ouverture. Les deux gentlemen se mirent d'accord pour un rendez-vous dans deux jours. Malheureusement, Aaron n'avait pas énormément de temps, aujourd'hui devait possiblement être sa journée paperasse où il devait rencontrer beaucoup de personnes et éventuellement abattre un peu de charge administrative avant de se remettre à la photographie. Il était étonnant de constater que vivre de sa passion semblait amener plus de contraintes qu'autre chose. Joseph ressorti et se rendit compte qu'il avait un petit coup de barre. Ca lui arrivait souvent les matins quand il avait enchaîné des réunions, des rendez-vous et après avoir traversé toute la ville en large et en travers avant même dix heures et demi du matin. Il était temps pour un petit café. Se dirigeant vers la machine à laquelle il se réapprovisionnait chaque fois qu'il faisait un détour chez son ami photographe, il sortit son téléphone pour appeler son assistante. « Décale mes rendez-vous de vingt-minutes. » Puis il raccrocha. Lorsqu'il arriva devant la machine, il aperçu la blonde qu'il avait vu sortir tout à l'heure du bureau. Elle était très mignonne et semblait assez vive d'esprit. Une fois servie, il se servit à son tour un café, il ne put s'empêcher de demander, curieux : « T'es un nouveau modèle pour Campbell ? » Après tout elle avait un corps magnifique et un visage intéressant avec des yeux expressifs.

    Re: they said there was free coffee. [/w. Joseph]

    Sam 16 Aoû 2014 - 2:12
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    Après avoir laissé mon café couler dans ma tasse, je me retourne rapidement, laissant mes cheveux heurter l'air avec vitesse avant de me retrouver nez à nez avec ... Lui. Étonnée, voilà que je demeure ainsi, debout, silencieuse, immobile à attendre ... Quelque chose. Quoi ? Je ne sais pas exactement ... Mais quelque chose tout de même. L'homme qui se trouve en face de moi est en effet le fameux petit copain imaginaire du grand Aaron Campbell - celui qui, au premier abord, semblait être le compagnon idéal pour le photographe et qui, pourtant, d'après les dires de sa secrétaire, ne serait qu'un simple ami, effectuant l'occasionnelle visite mensuelle lorsque l'envie lui prenait, entre deux rendez-vous. Me méfiant cependant des dires de cette secrétaire bien plus incompétente qu'utile, je détaille donc silencieusement l'inconnu, une mine légèrement étonnée sur le visage. Il est tellement ... Vieux. Je suis presque choquée qu'un homme aussi jeune, intelligent et, bien évidemment, craquant qu'Aaron puisse être tombé sous le charme de ... Ça ... Sa secrétaire devait avoir raison : Aaron Campbell devait très certainement sortir avec quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui irait davantage mieux avec lui. La question qui se pose donc est la suivante : qui est ce mystérieux inconnu ? Son père ? Non, il ne semble pas si vieux que ça ... Un collègue ? Cela semblait être la seule solutuon possible. Lorsqu'il s'adresse à moi, je cligne lentement des yeux, tentant de me rappeler d'un éventuel "Campbell" que je pourrai avoir dans mes contacts. Il me faut quelques minutes avant de comprendre que "Campbell" est en fait "Aaron Campbell" et que l'inconnu me demande donc si je suis l'une des mannequins du photographe. Souriant légèrement,  flattée par le compliment qu'il vient de me faire - tiens, n'était-il pas gay, il y a cinq minutes, pourtant ? - je lui réponds alors.

    - On pourrait croire, mais non. Je suis sa future assistante, Sapphire Sachs. Et vous ? Travaille-t-il lui aussi avec le photographe ? Fait-il partie des rares modèles "intéressants" du photographe, ceux vivant sous des ponts ou possédant quelques couches de gras en trop, cette catégorie de personnes toutes plus banales et ordinaires les unes que les autres ... Ou cherche-t-il, lui aussi, à obtenir le poste qui, malgré mes affirmations, ne m'appartient pas encore ? Il n'y a qu'un seul moyen de le savoir : par la conversation ... Et si d'habitude, je ne suis pas du genre à m'intéresser aux personnes comme lui (à savoir, vieilles, inintéressantes et au corps bien trop parfumé) la curiosité m'animant à son égard m'empêche de lui tourner le dos afin d'aller siroter mon café en envoyant des messages à mes meilleures amies avant de les critiquer avec mes autres meilleures amies. En effet, j'ai du mal à réellement cerner cet homme qui n'est pas le petit-ami d'Aaron Campbell mais qui semble malgré tout bien connaître les lieux et, si d'ordinaire cela ne m'aurait pas intriguée plus que cela, le fait de ne pas parvenir à le situer dans la vie de mon futur employeur m'agace fortement.
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    Re: they said there was free coffee. [/w. Joseph]

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