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    LOLA → sleeping beauty.

    Dim 10 Aoû 2014 - 20:12
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    Invité
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    Tu la vois, là, mais il serait temps de la saisir si tu veux pas prendre l'eau. Elle marche vite, presque trop vite. Tu la vois prendre ce chemin, et tu retiens. Tu retiens ses pas, ses cheveux qui ondulent dans son dos et la forme que font ses hanches quand un de ses pieds passent devant l'autre. Tu enfile rapidement tes chaussures, et attrape un t-shirt que tu prends dans ta main. Tu soupire alors que l'un de tes bracelets s'agrippe à la toile de tente. « c'est pas vrai ! » tu ronchonne. Tu te défais de cette emprise et tu la perds, tu sais que tu la perds parce que tu ne la vois plus. Non, c'était ta seule chance. Tu soupire, et te relève rapidement en courant vers sa direction. Le chemin, c'est celui là. Tu tourne, et tu voix son roux au loin. Tu soupire de soulagement. Elle s'abaisse et disparaît de nouveau. Non, non.  Elle a ouvert une tente et tu retiens la tente. Tu marches et prends ton temps, tu n'a pas envie de passer pour la fille qui la suivait depuis le début. T'aura l'air de quoi quand elle va te voir arriver, complètement essoufflée, dans sa tente ? Tu y arrives doucement, peut-être cinq minutes après elle. Tu ne préviens pas, ne dis rien et tu ne fais qu'ouvrir la tente, puis tu t'y glisse. Tu la regarde et lui souris, « salut ». Loin de toi l'idée de demander la permission, car ce serait le meilleur moyen de permettre un 'non' catégorique de sa part et c'est une chose que tu aimerais éviter. Tu retire ton jean comme tu peux, et fais de même avec ton t-shirt. Te voilà en sous-vêtement, devant elle, sans gêne. Puis, tu enfile l'autre t-shirt, celui que tu as pris comme pyjama. « j'espère que t'attendais personne.. » tu ris un peu et finalement t'allonges, presque essoufflée par tous ses mouvements.  

    Re: LOLA → sleeping beauty.

    Dim 10 Aoû 2014 - 23:11
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    Lola C. Sandstrøm
    Lola C. Sandstrøm
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    Date d'inscription : 20/11/2013
    Identité HRP : Marie - alouette / 37 ans, dinosaure du rp
    Gameplay : RP en Je/Elle, indifféremment - min 300 mots
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Ebba Zingmark - Sadja
    Nationalité/origines : Finlandaise et américaine
    Avertissements contenu : dans le passé de Lola:
    homophobie intériorisée
    dépression et psychophobie
    mentions de bipolarité
    violence conjugale
    fausse couche
    chats merveilleux mais nommés d'après des criminels de guerre

    Orientation & situation : homosexuelle, célibataire
    Métier/occupation : styliste d'une marque high end de prêt à porter (LuxaLuxa)
    Études & fraternité/sororité : Stylisme - Gamma
    Résidence : Eastside
    La nuit tombe avec des précautions de sioux sur le camping et le champ coloré des tentes, le bourdonnement rieur des festivaliers. Je m'engouffre sous la toile vert eau de mon petit monde et pose au sol le gobelet brûlant de café que je viens d'acheter... Une bonne part des campeurs est encore au festival mais la pluie, la pluie drue et tiède et rieuse de cet été , cette pluie incessante qui nous est tombée sur le corps et l'enthousiasme m'a poussée à rentrer, laissant William, William l'effronté, William le vainqueur de pluie et de dragon, profiter encore du spectacle.

    J'ai de tels dragons qui courent sous ma peau et s'agrippent à ma gorge,à mes rêves et mes mots... et lui.. lui, lentement, les défait.

    « Je rentre... Il fait dégueu »

    Je l'ai senti hésiter...
    Il a proposé de rentrer avec moi.
    Il a plaisanté, prétendu vouloir me protéger.
    Prétexté ma faiblesse et mille autres folies.
    J'ai refusé, en riant, en lui prouvant que j'étais de taille à me défendre...

    Notre corps à corps a duré quelques courtes minutes, le temps de quelques éclats de rire, le temps de savourer la lueur dans ses yeux et mon corps... Mon corps qui s'habitue à lui, qui ne se révolte plus... Mon corps qui s'apprivoise. Peut-être... Peut-être cette fois... Peut-être qu'avec lui... Parce qu'il n'exige pas, parce qu'il rit, parce qu'il patiente et qu'il ... Je souris malgré moi, en songeant à nos chamailleries et nos taquineries qui ne sont qu'un prétexte, pour lui, pour s'approcher... Pour que moi j'apprivoise mes réactions...

    Je lui ai dit de profiter, que j'étais fatiguée qu'il fallait que je me repose, que le programme de demain me tentait bien trop, et qu'avec la pluie j'allais attraper la mort. Que j'étais une fragile et faible femme face au rhume, au rhume uniquement. J'ai réussi à le convaincre...

    Parfois je me sens si légère. Parfois je me sens si sale. Un oiseau en plein vol. EN pleine marée noire. Une fille normale. Une menteuse. Une amie. Une manipulatrice. J'sais plus, parfois... J'me dégoute. J'espère. J'me vomis... J'en crève, de plus savoir parfois, qui je suis, et si je peux être ... Si je peux être à lui. Toute, entière, à lui. Ne pas seulement l'apprécier... Le désirer. Sentir ma chair s'allumer lorsqu'il approche...

    Peut-être... Avec du temps?

    Je tresse mes cheveux encore humide, assise en tailleur dans ma tente monoplace, mon café saveur noisette posé devant moi, alors que je me perds dans mes pensées... Cela viendra-t-il? SI je fais un effort? Il a une belle peau, un regard qui me réchauffe, une honnêteté fondamentale, une voix grave et rieuse, des épaules larges, des mains tièdes et fortes... Je devrais le désirer... Je vais le désirer... C'est sûr...

    Une main pousse l'entrée de la tente, suive d'une chevelure sombre et d'une silhouette longiligne... Pia?

    « ... Salut... Pia. Qu'est-ce que t...»

    Elle entre sans attendre et tu lui adresses un regard perplexe, en la voyant trempée, quand la pluie a cessé depuis une bonne heure déjà et que toute personne à peu près saine se serait déjà chan... ah. Euh.

    « Ca va? T'es pas trop gênée? »

    Sa peau mate que le jeans humide dévoile, peu à peu, alors qu'elle s'escrime et que, dans ses efforts, elles pousse des grondements amusants. Deux jambes longues, galbées et le ventre qui,au dessus se dévoile sous mon regard ébahi.

    « Putain mais qu'est-ce que tu me f... »

    « Y espèl qué t'attendé pélson'.. »

    « ... Je parle pas italien! »

    Une rengaine que je lui refourgue souvent, depuis la rencontre où, vraiment, son accent la rendait quasi incompréhensible mais ou la chaleur de sa voix et son t-shirt trop décolleté m'avaient fascinée, bien malgré moi.

    Son T-shirt lui couvre tout juste les fesse et ... oh... Je ne veux pas... Rougissante je me penche pour prendre mon café et en prendre une longue gorgée, les yeux résolument clos, pour chasser toute image.

    « T'as pas de tente ou quoi? »
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    LOLA → sleeping beauty.  Giphy

    Lola, quand elle voit une fille sexy

    Re: LOLA → sleeping beauty.

    Lun 11 Aoû 2014 - 0:25
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    Elle te parle mais tu ne l'entends pas, ou alors tu ne veux pas l'entendre. Pour dire vrai, cette langue te demande encore quelques efforts de compréhension et un peu de concentration par moment, quand des mots compliqués ressortait. Tu espérais tellement trouver quelqu'un qui parle Italien que tu avais envie de poser la question à tous ceux que tu croisais, presque par reflex. Tu entends, elle te demande ce que tu fais, mais tu ne réponds pas. Tu réfléchis trop à ce que tu pourra lui dire. Ta tente est humide ? Ouais, il fallait la vérifier avant de l'emmener. Tu n'aurais pas pu demander à quelqu'un d'autre à Coachella ? Non, t'es bien trop peu réfléchi, et tu as juste agis sur le coup, alors te voilà maintenant, à côté d'une rousse, dans une tente trop petite pour deux. Au moins, vous aurez chaud, voilà comment tu relativise. Enfin chaud.. si elle veut de toi. « ... Je parle pas italien! » Tu soupire et lui souris, ouais, tu le sais, ça. Personne ne parle Italien, personne ne le parle jamais. Sa tente sent le café, et un peu son odeur aussi. Elle sent un jardin. Un jardin fleuri, tu y vois des roses, des tulipes, et pourquoi pas quelques petites fleurs innocentes comme des marguerites, celles avec lesquels on joue quand on est petites. Elle sent les fleurs et une plantation de café aussi, maintenant. « T'as pas de tente ou quoi? » tu la regarde, il va falloir en venir aux explications. Tu essaie d'articuler le mieux que tu peux, parce qu'elle ne comprends rien, ou alors elle fait exprès de ne pas comprendre, t'en sais trop rien. « j'en ai une mais elle a pris l'eau, à cause de la pluie. » tu as articulé que le mieux possible, si tu pouvais épeler les mots, tu le ferais. Tu la regarde et hausse les épaules en te pinçant les lèvres. Tu n'y pouvais rien, toi, si ta tente avait une sorte de fuite, si elle avait été mal conçue ou bien abîmé par le temps. « je veux juste dormir au sec. » tu lui lance un nouveau sourire fin, espérant qu'elle accepte, qu'elle veuille de toi. C'est pas tout le monde qui brise un peu de son espace vital pour quelqu'un d'autre. Et puis, elle était jolie, Lola. Son odeur était rassurante, et en même temps d'avoir ce côté rassurant avec toi, elle avait aussi ce côté plus doux. On avait envie de la protéger, de la prendre dans nos bras, de lui dire que la vie va bien alors qu'elle pouvait se permettre d'être libre elle aussi. Elle semblait toute timide, déjà quand tu te changeais, et tu l'a remarquée. Toi, tu te moques bien de te changer devant une fille avec qui tu vas dormir, après tout, tu as dormi plus d'une fois avec l'une de tes sœurs, et ça ressemblait à ça. Au camping dans le jardin, les nuits d’août où les étoiles passaient au dessus de vos têtes. Un souvenir viens, et tu lances doucement, « je prends pas de place, et je sais faire les massages, si tu veux. » évidemment, la partie des massages, c'est un énorme mensonge, mais en général, les gens sont trop gênés pour dire oui, alors il refuse la proposition simplement, et puis passe à autre chose. Tu savais que c'est ce qu'il allait se passer, tu as de l'expérience en manipulation de personne. Tu n'es plus à une près. Désolée douce Lola, d'être la cible de Pia en ce soir de Coachella. Pia, elle sait faire autre chose aussi. Depuis Gia, elle a appris de nouvelles choses, mais ça, jamais elle ne les confierais à Lola. Tu aurais bien trop peur qu'elle te dévoile au monde, qu'elle dise qui tu es, ce que tu es réellement. Un monstre, horrible et sale. Tu sais que tu le pense souvent, mais à chaque femme que tu vois, cette phrase te relance. Les femmes sont des démons qui te testent. Résiste. Ne craque pas. Machinalement, pour te protéger de Lola, de ce qu'elle représente, ton seul reflex est d'attraper le pendentif autour de ton cou en forme de croix et de le serrer fort, demandant à Dieu de te débarrasser de ses pensées impures.   

    Re: LOLA → sleeping beauty.

    Lun 11 Aoû 2014 - 21:48
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    Lola C. Sandstrøm
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    Elle tressaille imperceptiblement alors que je lui lance à la figure son accent et la dureté dont je me pare... Car il m'en faut du béton et des aigus, des tessons et de la cruauté, pour affronter les courbes douces qui se cachent à peine, dessous le t-shirt.

    Sous le velours sombre des yeux et le masque des cils, toute sa patience, toute sa lassitude aussi... A moins... A moins que je n'invente. Je dois inventer... Elle s'applique avec des manières d'écolière à détacher les syllabes, à articuler les sons... Et moi... Moi, je garde ma peur, mon trouble et mon envie de frapper, d'oublier... Mon envie de mordre et de la toucher. Parce qu'elle est belle, parce qu'elle a des hanches rondes, une taille creuse et des épaules minces et rondes... Parce qu'elle est fille...

    Je te hais.
    Je te hais quand tu troubles mes espoirs.
    Quand,s i facilement, tu éveilles en moi toi ce que Will...
    Tout ce que Will n'allume pas...
    Je me hais.

    Je détourne les yeux, termine mon café, soupire.

    « J'ai rien compris. »

    J'ai pas envie de comprendre. De faire d'effort. D'être gentille. Je mens. Un peu plus. Mal. Encore. Je mens au monde, à ta silhouette, à mes silences...

    « je suppose que ta tente a pas résisté à la pluie. C'est bien ma veine à moi... Merde. Merde... Merde! »

    Je murmure mon dégout, ma malédiction entre des lèvres serrées, en crispant une main sur mon front, dans mes cheveux. Pourquoi, dis? Pourquoi faut que tu surgisses de nulle part et que tu éveilles mes démons?

    « Bon... On va s'arranger pour ce soir. Mais demain... Demain tu te débrouilles. Tu te trouves une autre tente. »

    Je peux pas te jeter dehors et te laisser à la nuit... La nuit a parfois des dents aiguës et des mains crochues, des mains qui abiment leurs prisonnières.

    Agenouillée, j'ouvre mon sac de voyage ou sont roulées, serrées les unes contre les autres, comme nous allons l'être, mes affaires. Je te tends une serviette, sans te regarder... en évitant de te regarder.

    « Tiens... Tes cheveux aussi sont trempés... sèche les un minimum... Je me change pendant ce temps puis on s'arrangera pour le lit... »

    J'avec un regret j'écarte la robe de nuit ridiculement courte ridiculement sexy que j'avais emportée. Au cas où. Aù cas où, avec William... nous en arriverions là. Peut-être me suffirait-il de me pencher vers ses lèvres, de me hisser vers elles, de me coller à elles.. peut-être ne faudrait-il que ce geste-là pour basculer...

    Je n'ose pas. Pas encore. Pas tout à fait.
    J'ai peur d'avoir mal, de faire mal. D'être déçue.

    Un T-shirt, comme elle. Une hésitation qu'elle n'a pas eue. Faire glisser le long de mes jambes mon short, les yeux clos, ne pas songer que,peut-être, elle me regarde... Ne pas y songer... Ne pas frémir... C'est le froid soudain qui me hérisse la peau...

    Puis le haut léger de coton doux, le faire glisser sur mon ventre, mes bras... Glisser les mains dans mon dos, dégrafer, guider les bretelles sur mes bras. A genoux, dos à elle, avec pour toute protection le voile des cheveux et un peu de tissu pastel aux hanches.

    Très vite je me réfugie sous le t-shirt sélectionné, large, doux, rassurant, dans lequel je me perds. Un t-shirt que je lui ai volé, en riant. Volé à William. J'y enfonce le nez, inspire son odeur. Je vais les chasser, ces idées, ces pensées... C'est pas la faute de Pia si je suis...

    Je ne peux pas me venger sur elle...

    « Bon... On va être un peu serrées... Dans quel sens dors-tu, habituellement? Tu peux utiliser la serviette comme oreiller, en la roulant et... »

    Je tente de lui sourire, sans laisser mon regard errer où que ce soit. Sans penser à nos corps trop proches.
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    Lola, quand elle voit une fille sexy

    Re: LOLA → sleeping beauty.

    Jeu 21 Aoû 2014 - 0:24
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    Tout ira bien. Tout ira bien, tu le sais. Tu le sais parce que tu vas résister. Après tout, ce n'est qu'une femme. Qu'une amie. Et tu le sais, on n'a pas envie de ses amies. Même si elle est belle, même si elle est appétissante, même si elle fait terriblement envie. De toute manière, elle se moque de toi. À chaque fois qu'elle en a l'occasion elle se ris de toi, elle s'amuse, critiquant ton accent et faisant aucun effort. « J'ai rien compris. » encore une fois, elle le fait. Elle recommence. Elle le fait, mais tu n'a qu'elle. Tu ne connais qu'elle, tu n'a vu qu'elle. Il va falloir faire des efforts, et chacune de votre côté, du tiens, c'est déjà fait, tu articule comme jamais pour qu'elle comprenne, pour qu'elle fasse le moins d'effort possible, sauf qu'elle n'a pas l'air d'avoir envie de te comprendre. « je suppose que ta tente a pas résisté à la pluie. C'est bien ma veine à moi... Merde. Merde... Merde! » tu hoche la tête pour lui dire qu'en effet, c'est de la faute de ta tante. Pas la tienne. Non, ce n'est pas toi. Est-ce de la sienne ? Elle est passé au mauvais endroit au mauvais moment, on pourrait dire ça. « Bon... On va s'arranger pour ce soir. Mais demain... Demain tu te débrouilles. Tu te trouves une autre tente. » tu souris en coin et hoche la tête. Tu te débrouillera demain, ça te va. Tu croisera certainement quelqu'un d'autre, enfin tu espère. Tes cheveux sont humides, voire trempés, mais ça ne t'arrête pas. Tu dors déjà dans sa tante alors si en plus tu te fais exigeante, elle va complètement devenir tarée la rousse. Déjà qu'elle a l'air assez bizarre et grognon comme ça, alors si t'en rajoute une couche.. t'ose même pas imaginer. « Tiens... Tes cheveux aussi sont trempés... sèche les un minimum... Je me change pendant ce temps puis on s'arrangera pour le lit... » tu hoche la tête encore et utilise la serviette pour sécher tes cheveux. Elle enfile son pyjama, et d'accord, tes yeux s’égarent un peu. Pas longtemps, juste assez pour voir ce qu'elle cache. « Bon... On va être un peu serrées... Dans quel sens dors-tu, habituellement? Tu peux utiliser la serviette comme oreiller, en la roulant et... » tu hausses les épaules, parce que tu n'a pas de préférence. C'est comme elle le sent, c'est comme elle veut, c'est elle qui décide. Tu enroule la serviette et t'en fais un oreiller. Hm, ça a l'air cool. Tu tapote dessus. Ça ira pour ce soir, tu t'attendais pas à du cinq étoiles non plus étant donné la taille de la tante et le fait que le terme camping y soit associé. « je dors n'importe comment. » voire pas du tout, aussi. Tu te mords la lèvre, et la regarde un peu, « tu attendais quelqu'un.. ? » tu as un copain ? Tu es venue avec quelqu'un ? Voilà tout d'un coup que ta conscience te prends, et te voilà à te poser les bonnes questions. En même temps, tu avais beau écouter Dieu, sur le coup tu t'étais demandé comment quelqu'un pouvait s’intéresser à elle. Autrement que sexuellement, évidemment. Tu t'allonges en la regardant, attendant sa réponse.   

    Re: LOLA → sleeping beauty.

    Dim 28 Sep 2014 - 0:08
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    Lola C. Sandstrøm
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    « Non, je n'attendais personne. T'inquiète... »

    J'ai le sourire un peu blanc, la voix un peu crispée et des envies d'oublier, vite, qui et où je suis, et surtout sa présence. Cette ois, je la comprends, je ne joue pas l'idiote ou la méchante. Je tente juste de ne penser à rien, et surtout pas à mon corps. Ou au sien.

    « Si tu as froid... Ca devrait vite se réchauffer, à nous deux, coincées dans cette tente... Mais je vais ouvrir mon sac de couchage au max.. ca fera une couverture. »

    Tant pis... Tant pis pour le cocon protecteur du sac, je ne peux pas la laisser frissonner ainsi toute la nuit... dans quelques heures, il fera froid. Froid et humide... Je peux pas faire ça. Même si ça serait tellement plus facile, tellement plus sage. De mon sac, je retire une grosse à cheveux et démêle lentement la broussaille qui me tient lieu de tête. A chaque coup, une respiration. Rester calme.

    Je suis assise en indien, un peu penchée en avant, pour éviter la cloison. Mes doigts courrent dans mes cheveux pour les séparer en deux grosses nattes. Un air de petite fille, pour la nuit, pour demain avoir quelques ondulations dans la rouille...

    « Tiens, si tu veux... »

    Je lui passe la brosse, un élastique. Je la regarde du coin de l'oeil, étendue au sol, les cheveux encore tout encollés d'humidité, des ombres légères sous les yeux, un semblant de sourire aux lèvres et... et mon regard s'égare ailleurs, alors que je noue mes nattes, puis que je me penche, me couche à moitié pour atteindre la fermeture éclair de mon sac de couchage.

    « Lève les jambes, s'teplait... C'est coincé sous tes cuisses... Merci. »
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    Lola, quand elle voit une fille sexy

    Re: LOLA → sleeping beauty.

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