And dreamed of paradise. - Madice.

But it flew away from her reach.

Alice & Madison.

fiche par ©century sex  

Je dois écouter mes amis, mes proches. Je dois me montrer plus forte et avancer dans la vie. Je dois vivre pour moi et non pour les autres, encore moins à leur dépend. Alors j’ai prévu de me libérer de tous les poids qui m’oppriment depuis un petit moment. Ce soir, je veux être une femme comme les autres, qui s’amusent, qui profite de la vie sans se soucier de-ci ou de ça.

De un à quatre, je ne sais plus compter. Seulement je sais que c’est un de ces chiffres qui est le nombre de cocktail que j’ai pu boire depuis que je suis arrivée. Je ne suis pas bourrée mais je me sens inhiber de tous les mœurs possibles. Je me suis bien amusée depuis trente minutes même si à présent, je ne trouve plus les personnes qui m’ont accompagné.

Je décide d’aller prendre un autre verre pour me rafraichir, je danse trop et surtout, avec n’importe qui. Je m’écarte de celui-ci, remontant le corset de ma robe pour lisser un peu celle-ci qui souffre de trop de danse. Je fais un petit signe d’au revoir à ce jeune homme. Je m’accoude au bar pour commander un délice des îles. Je sirote mon cocktail quand j’aperçois une personne, qui ne m’est pas du tout inconnue.

Alice Collins. Une amie, ma première fois, une beauté. Pas que le fait de boire la rend belle mais mon esprit accepte d’avouer ce fait, elle est belle et… je pourrais bien profiter de mon célibat un peu, non ? Après tout, si les gens pensent qu’on flirte, je n’aurais pas de remords. Sauf celui de me laisser toucher par les regards des autres.

Même avec de l’alcool dans le sang, je sais comment me comporter avec les gens. Pour l’instant. Je commande un autre cocktail pour Alice et je m’approche d’elle, pour l’accoster. « Salut Alice. » Je lui tends le verre alors je me mettais bien en face de la jeune femme, en espérant qu’elle accepte.

« Tu penses que je peux encore te kidnapper pour la soirée ? » demandais-je à la jeune femme. Je me disais bien qu’on pourrait réitérer une soirée ensemble comme la dernière fois. Quitte à dépasser les limites, après tout, je n’en ai plus maintenant.

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Les cours ont repris, ça y est. Et qui dit reprise des cours, dit reprise des soirées étudiantes, ou en tout cas reprise des soirées qui nous permettent d'oublier la pression. Ce n'est pas comme si j'étais du type très angoissée par mes cours, non c'est surtout que je n'ai pas l'habitude de passer une semaine sans une soirée de fête, au minimum. Nous sommes à Los Angeles après tout, une ville qui ne dort pour ainsi dire jamais, et puis il faut bien se rapprocher de ces nouvelles personnes dont on a fait la rencontre à l'université, non ? C'est avec quatre amis danseurs, deux filles et deux gars, que je suis venue ce soir dans cette boite de nuit à Hollywood. L'ambiance est grandiose, avec plus de spots lumineux qu'il n'en faut, une musique electro-pop complètement déjantée et une population... plutôt surexcitée. L'alcool coule à flot vers le bar et j'en suis pour ma part à mon quatrième ou cinquième verre, je ne sais plus trop. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que je ne m'en suis payé qu'un seul, tous les autres m'ont été offerts par de gentils messieurs que j'ai remerciés à l'aide de quelques danses collé-serré. Il faut dire qu'ils étaient plutôt charmants et que ces danses n'ont pas du tout été une plaie, bien au contraire. C'est dans cette euphorie qui est désormais complètement mienne que je viens m'accouder une nouvelle fois au bar. Pour terminer un verre et ensuite regarder mes deux amies danser avec des inconnus. Je ris lorsqu'un gars vient se glisser entre les deux pour se les accaparer, à la manière d'un véritable chasseur... complètement saoul. Et là, j'entends une petite voix qui réussit malgré tout à parvenir jusqu'à mon oreille. Je me retourne, mon regard se pose sur une très jolie blonde que je connais aussi très bien, bien plus que ces deux filles avec qui je suis venue ce soir. « Oh quelle surprise ! » M'exclamé-je, un grand sourire aux lèvres. Madison me tend un verre et je le saisis volontiers avant de l'écouter me poser une question. Je la fixe ne serait-ce que quelques secondes avant d'afficher un petit air malicieux. « Je pense que j'aime les kidnapping de ce genre. » Et suite à cet aveu, je bois mon verre d'une traite pour finalement le reposer franchement sur le comptoir. « Merci pour le verre, même s'il va contribuer à m'achever pour le reste de la soirée. » J'éclate de rire et me rapproche d'elle à l'aide d'une démarche qui, même si elle n'est pas dépravée, prouve de mon taux d'alcoolémie certain. En posant ma main sur son épaule, je viens frôler son oreille de mes lèvres. « Mmmh, ce corset te va à ravir. » Elle doit le savoir, ça doit être la raison pour laquelle elle l'a mis ce soir. Plaire aux gens, non... ? Et moi, elle me plaît, je ne l'ai jamais caché, encore moins ce soir. Mes doigts s'entremêlent aux siens et je l'attire vers la piste de danse pour que l'on se laisse aller, qu'on savoure un rapprochement qui, je l'avoue, fait déjà naître quelques douces sensations en moi.

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Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen

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Alice & Madison.

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Pour une surprise, je l’avoue, je ne m’y attendais pas. Je me serais bien vue tendre les bras de chaque côté pour faire admirer la « bête » mais j’ai comme qui dirait des verres dans les mains. Après ma question, d’ailleurs, j’en buvais quelques gorgées. Je crois que je ne ressens même plus l’alcool dans mon corps.
Je manquais presque de m’étouffer à sa réponse. J’aurais pu m’y attendre mais l’effet est plus surprenant pour le coup. « Je garde ça en tête pour les prochaines fois. » Après tout, hein ! Je suis la jeune femme pour le verre, surprise de la voir vider le sien plus rapidement.
Elle est aussi torchée que moi, ce qui me fait rire. Et aussi pleurer de rire. « Oh, petite joueuse ! Moi qui pensait t’achever autrement. » Lourdes de sous-entendues, je ne lance pas trop non plus. On est dingues mais c’est tellement bon !
Je ris encore plus, buvant encore un peu ce qu’il me restait dans mon verre. Surprise par la démarche d’Alice, je passe mes bras autour d’elle avec maladresse pour la tenir. Oui, j’ai un peu de mal à être correctement « droite ».
Son compliment fait le tour de mon corps et a pour effet de resserrer encore plus mes mains sur elle. « Merci… »  On est si proches, c’est … wow. Même la dernière fois, on ne s’était pas tenue ainsi. Ma langue humecte mes lèvres quand elle me tire.
Mon dieu. Je sais que ça va être chaud. Je vide mon verre et le pose sur la première table sur notre chemin. Mon regard suit finalement sur la brunette, regardant ces formes parfaitement visible dans sa robe. Si courte. Je sais que je pourrais glisser ma main à l’extrémité et épouser la forme de ses fesses.
Cependant, ce sont mes hanches qui viennent se glisser contre elle, plaquant ma poitrine contre son dos. La main qu’elle tenait entre les siens, je resserrais l’emprise sans être trop forte non plus. L’autre se glisse sur sa hanche et doucement se plaquer sur son ventre pour la rapprocher de moi.
Sensuelles. Sexy.
Au rythme de la danse, je la suivais. Ça m’amusait et m’enveloppait dans une bulle d’inhibitions. Je ne m’occupe pas de ce que mes actes auront pour conséquence mais de l’effet que ça va me faire. Plus c’est dévastateur, mieux c’est.
Je cale mon visage dans le creux de son cou, mon souffle chaud et humide frappant son cou. Mes narines pouvaient sentir son parfum. Aillant quelques centimètres en plus qu’Alice, je pouvais apercevoir la naissance de son buste. Sans parler de la vision précédente, je me sens un peu troublée. Je retombe dans cette attirance, ce désir.
Je ne l’ai jamais oublié mais je ne pensais pas le ressentir à nouveau. Doucement, mes lèvres remontent à son oreille, mes lèvres pincent doucement le lobe. « Tu as une jolie robe, elle mets en avant tes formes … magnifiques. Ça laisse travailler l’imagination … même si je n’ai pas oublié ce qu’il y a en dessous. » Ma voix est sensuelle, amusée ! Pas de provocations mais plutôt de la douceur.
Et comment pourrais-je l’oublier ? Ma première fois, la première fois qu’une femme a envahi mon esprit. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle n’est jamais vraiment repartir. Seulement tue par le respect, l’amitié.
J'embrasse son cou, avec douceur. Au début, ce n'était qu'un chaste baiser, se transformant au fur et à mesure. Je remonte juste en dessous de son oreille. J'aspire, lape, embrasse sa peau. Juste un peu. Pour la faire rougir.
Et finalement, la libérer.
Je ferme finalement les yeux et continue de me laisser emporter par la danse avec Alice. Celle-ci étant la maitresse de notre soirée.

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Il nous aura fallu peu de temps pour épargner les sous-entendus. Parce que l'heure est à la fête, à l'alcool et que forcément, l'apparition de Madison influe d'autant plus sur mon humeur. Je ne suis pas innocente, ou très rarement avec elle, je l'avoue. En même temps, on ne contrôle pas une attirance physique, encore moins lorsque nous sommes sous l'emprise de quelques substances euphorisantes. Ce sourire surpris qui étirait mes lèvres à son approche au bar se transforme en un sourire charmeur lorsque je l'emmène sur la piste de danse, non sans adapter ma démarche à la situation. La musique m'emporte déjà, je me déhanche sensuellement, lève les bras doucement en me retournant vers elle qui s'approche. Nos regards se cherchent, s'accrochent et mes paupières s'abaissent quand son corps se place contre le mien, quand nos jambes se caressent. Le tempo s'adoucit, nos mouvement également et pourtant, mon cœur se déchaîne à cause de cette danse sensuelle, de Madison. A voix haute, elle me confesse son envie, envie que je devine déjà depuis un moment grâce au langage de son corps qui a toujours su parler pour elle. Il fait de plus en plus chaud, ce n'est pas tant l'effervescence de tous ces danseurs, c'est elle surtout, ses lèvres qui se baladent, qui apprivoisent à nouveau ma peau. Tout en moi s'électrise, ne pense plus qu'à elle, qu'à nous. J'écarte mon visage, la regarde un moment danser, les yeux fermés, transportée par cette musique entraînante. Le bout de mes doigts vient effleurer sa joue, ses lèvres entrouvertes, et je capture son regard quand elle le rouvre, lui adresse un petit sourire confiant. Elle inspire la liberté, et je respire la liberté, ce soir. Je m'emballe, je me pince les lèvres, avec envie. Et à ce moment-là, un homme se rapproche de nous, un homme dont je ne regarde même pas le visage. Je sais ce qu'il veut, s'approprier deux filles sexy, qui ne semblent pas timides, dans leur coin. Ça, c'est sûr. Quand le chasseur vient se caler derrière mon amie, j'attrape la main de Madison, l'attire vers moi avec amusement et viens encercler son cou de mes bras avant de capturer ses lèvres avec les miennes pour un long baiser qui, je le sais, aura le pouvoir de raviver tout ce qui s'était tu pendant des mois et des mois.

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Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen

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Alice & Madison.

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J’ai besoin d’Alice, bien plus que je ne peux l’avouer. Notre amitié est profonde, je sais que je peux compter sur elle, que je peux lui faire confiance et lui confier le plaisir de se retrouver avec elle, nous amuser ce soir comme jamais. Je me permets tellement de choses, de répondre à un désir qui revit de minute en minute. Danser contre elle, c’est bien plus que ce que les gens pourraient voir de nous. C’est une retrouvaille si agréable que je me sens emporter parmi les cieux. Vous savez, cette image irréelle où deux personnes s’envolent dans les airs, entourés de nuages, ce n’est pas le côté romantique de la chose qui est le plus beau mais cette liberté d’esprit. L’âme est apaisée et s’accroche à ce moment. C’est ça ce que je vis avec Alice, quand on danse, que je la regarde et que la seule chose dont j’ai envie de faire, c’est encore plus me serrer dans ses bras. Tout est si beau, si enivrant que je ne vois même pas qu’un homme nous rejoint jusqu’à ce que je sente sa présence sur mes hanches. Je ne sais pas ce que ressent Alice mais moi, je n’ai pas envie qu’il vienne à nous. Je veux seulement rester avec Alice, je l’ai kidnappée après tout ! Je serais prête à lui demander de s’éloigner si Alice n’avait pas eu une meilleure idée… une bien meilleure idée. Je me retrouve contre elle, loin de lui. Quand elle pose ses bras autour de mon cou, je comprends. Mon cœur bat à la chamade et explose quand ses lèvres se posent sur les miennes. J’inspire longuement avant de me relâcher et répondre à Alice encore plus fougueusement. Je pose mes mains au creux de ses reins. Ma langue se glisse entre les lèvres de la jeune femme pour rejoindre sa jumelle et s’engager dans un ballet sensuel. Sa bouche, sa langue, ses mains, ses seins, tout, tout ce qui me touche me rend dingue. Je craque totalement en ce moment et je sais que ce n’est pas forcément bien de faire ça. Mais je me sens tellement bien depuis des semaines que je n’ai pas envie de gâcher ça. Je fais ce dont j’ai envie, de toute manière. Après tout, hein ? Je la pousse doucement loin de la piste, juste à la frontière des tables et de la piste, contre le dossier d’une banquette. « Le kidnapping, c’est plutôt large comme idée. Tu ne trouves pas ? » lui dis-je entre quelques baisers, de façon saccadée. Tout ça pour dire : je peux t’emmener chez moi ? Je peux passer la nuit avec toi ? Au fond, je ne pensais pas forcément coucher avec Alice. Simplement… qu’elle reste avec moi jusqu’à demain matin, au moins.  

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L'emballement est là, la précipitation aussi. Tout s’enchaîne à grande allure, mon attirance pour elle se décuple, se transforme en un désir plus net, plus intense. J'ai l'esprit vaporeux, ma faculté à peser le pour et le contre totalement damnée. Il me la faut, elle. Je veux continuer de l'embrasser, ses lèvres, sa peau, ailleurs, tout. Madison me rend toute chose, davantage lorsqu'elle m'entraîne un peu plus loin, je ne saurais vous dire où. Il n'est plus question de cet homme étranger, il n'est plus question de quiconque sinon nous deux dans cette danse toujours sensuelle. « Si tu veux échapper aux toilettes, il va vraiment falloir que tu me kidnappes. » Je souris entre deux baisers, entre une caresse sur sa joue, sur ses lèvres. « On va chez toi ? » Pour ne pas ennuyer Grace si elle est là, pour découvrir son nouveau chez elle, pour le faire là où je ne l'ai pas encore fait. Ça chauffe, ça brûle, là en bas, en moi. Je ne sais pas comment nous allons tenir jusqu'à chez elle mais j'ai déjà adopté l'idée car mes pas nous entraînent à l'accueil quand ma main elle serre la sienne. Une fois que nous avons récupéré nos affaires, nous sortons, faisons quelques pas maladroits sur le trottoir. Des gens sont là, des gens nous voient mais je m'en fiche, je capture à nouveau ses lèvres, entrelacent mes doigts aux siens. Qu'ils s'offusquent, qu'ils rient, qu'ils aiment, vraiment, qu'est-ce que ça peut nous faire ? D'une main libre, je hèle un taxi et nous grimpons dedans...

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C’est un oasis de bonheur. Une échappatoire dans laquelle on se jetterait même si on est bien dans sa peau. C’est… le paradis au bout des lèvres, des doigts. Une seule envie se repends dans notre corps : toujours plus et plus loin. La danse sensuelle se mue en un échange sensuel. Les baisers deviennent plus intenses, plus fougueux, les mains se baladent encore plus sur ce qu’elles peuvent atteindre. « Si tu veux échapper aux toilettes, il va vraiment falloir que tu me kidnappes. » m’annonça la jeune femme. Oui, oui… je le voulais. Je suis une criminelle. Du moins, dans notre jeu, je veux être une criminelle et Alice, ma victime. Je suis prête. « On va chez toi ? » Où elle veut. Tant que je la possède. Tant qu’elle est à moi. « D’accord. » J’acceptais sans réfléchir. Je n’ai pas cette possibilité, de vraiment réfléchir à ce que je dis, ni même à mes actes. J’en oubliais pourquoi je ne devrais pas. Je la suis, attirée par le désir, l’envie, et elle. Cette fille si belle. Entrainée, je ne m’investis vraiment que lorsqu’elle sort avec moi à l’air libre. Que le froid frappe mon corps. Je frémis. J’ai peur d’avoir froid mais quand elle m’embrasse, je n’ai plus de craintes hormis de lui faire l’amour dans un coin de rue tellement elle me donne envie. Quand le taxi est là, je la suis à l’intérieur, je glisse mon bras derrière sa nuque pour l’embrasser alors que de l’autre main, je glissais un papier où il y avait l’adresse. Le taxi fait son bout de chemin durant lequel les lèvres d’Alice n’ont pas eu une seule seconde de repos, où les miennes ont dévorés son cou. Sans parler de mes mains qui ont caressés ses cuisses en menaçant de s’approcher de cette intimité que je rêvais de retrouver. Finalement, nous arrivons et c’est avec toute hâte, que je donnais quelques billets au chauffeur en lui disant de garder la monnaie puis j’attirais la jeune femme dans l’immeuble. Ce n’est qu’une fois dans l’ascenseur, que je l’attirais à moi pour l’embrasser. « Alice… » murmurais-je en frôlant ses lèvres des miennes…

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