La séduction était un de mes points favori, et sur lequel j'étais passé pro. J'avais le physique adéquat, et la charisme nécessaire. Les filles aimaient ce côté rassurant, séducteur, avec une longueur d'avance. Il était rare que je ne rentre pas avec la fille que je voulais... J'étais très sélectif, et plutôt difficile sur les nanas. Autant physiquement, que mentalement, j'avais mes goûts, et une forte préférence pour les blondes. Cela dit, c'est surtout physique, le mental ne m'intéresse pas quand il s'agit de juste sauter la gonzesse. La demoiselle que j'avais visé ce soir ne m'avait montré aucune résistance. En même temps... Comment résister à ça ? Il était difficile de résister au luxe, à la luxure, et à moi. Un regard persuasif, et surtout traitre. Car vous vous y fier, sans vous méfier...
J'avais séduit la jeune femme assez rapidement, sans trop de fioritures. Elle avait l'air d'avoir envie de passer une bonne soirée, et moi aussi... Sûrement pas de la même manière, mais elle avait pas l'air farouche non plus. Tant mieux, les saintes nitouches, c'est bien à dévergonder un moment, puis des fois on a envie d'une nana qui sait ce qu'elle veut. Tant que je garde le contrôle... Tout va bien, et cette petite Madison avait l'air de savoir faire moitié moitié, elle savait ce qu'elle voulait, mais elle voulait aussi que je gère les choses. Tant mieux, c'était parfait, c'était ce qu'il me fallait. Je lui sortais alors le grand jeu de base, le p'tit tour en voiture pour aller jusqu'à l'hôtel, jusqu'à la plus belle suite de celui-ci, puis une petite phrase parfaite, pour débuter le feu. Je la collais contre moi, la regardant dans les yeux avant de lui murmurer qu'elle allait passer la plus belle soirée de sa vie, et de l'embrasser langoureusement, posant mes lèvres sur les siennes avec douceur, les caressant doucement, avant de franchir la barrière de ses deux flancs roses avec ma langue. Je lui offrais un baiser des plus sensuels, une de mes mains venant frôler sa joue, et l'autre posée sur sa hanche, se faisant un peu plus baladeuse, touchant le bas de ses reins. Elle colla ses mains contre mon torse, me répondant en même temps, suite au baiser. Je souris, en coin, tout en la regardant. « Parfait. » C'est qu'elle ne savait vraiment pas à qui elle s'adressait... Mais elle sera servie, tout de même. Elle avait besoin de nouveautés, probablement, de sortir de l'ordinaire et d'abandonner le missionnaire de base pour tester autre chose.
Puis elle m'abandonna son corps, me l'offrit, sans hésitation, déclarant qu'elle avait envie de s'amuser. Ca tombait bien, moi aussi. J'arrivais à lire dans ses yeux et son regard, même son sourire, cette petite malice, celle qui en veut, mais qui n'ose pas le demander... J'aimais ça. Cette timidité ne sera plus une barrière quand elle aura passé la nuit avec moi. Je souriais, malicieusement, glissant mes mains le long de son corps, tout en lui répondant. « Tu es à moi pour la nuit... Alors t'en fais pas, on va s'amuser. » fis-je, amusé, et intéressé. Je sens ses lèvres venir doucement caresser les miennes, comme quelques secondes auparavant. Elle allait s'amuser, la petite. D'une main ferme, mais pas trop, je venais agripper sa fesse droite, sous sa robe, collant son bassin contre le mien. Elle pouvait probablement sentir mon début d'érection contre elle. Mon autre main se glissa dans sa nuque, ou j'apposais celle-ci de manière à dégager ses cheveux, pour embrasser son cou. Sensuellement, je déposais des baisers dans celui-ci, remontant jusqu'à son lobe d'oreille. Je voulais la faire frémir, qu'elle meure d'envie, que son corps en demande, encore, et encore. Qu'elle ne puisse déjà plus se passer de mes mains, de ma bouche. Cette possession, entière, cette domination masquée, son corps contre le mien, lié par des fils invisibles.
Stoppant le baiser, je me mis alors lentement à genoux, tout en embrassant son corps, son cou, puis entre ses seins, son ventre, jusqu'à ce que je me retrouve un genou à terre. J'attrapais délicatement sa jambe d'une main légère, puis remontait à nouveau, mes lèvres embrassant sa cuisse, l'intérieur de celle-ci, puis au moment d'arriver au ventre, je passais mes mains sur ses hanches, sous sa robe, la soulevant, pour la lui ôter tout en remontant. Lui enlevant alors ce vêtement, elle se retrouvait en sous-vêtement assez rapidement. Souriant en voyant le corps de la demoiselle, je l'observais avec envie, avant de subitement l'embrasser, passant mes mains sur ses hanches, et la poussant en arrière avec moi, jusque contre le petit bureau, afin de, dans le feu de l'action, la soulever, l'y apposer, et me placer entre ses cuisses, toujours en l'embrassant. J'allais pas rester lent et pseudo romantique toute la soirée, il fallait que ça bouge. Passant une main dans son dos, je dégrafais son soutien-gorge, d'un geste agile et rapide, le sous-vêtement tombant sur ses cuisses. Sous-vêtement que j'écartais d'entre nous rapidement.
Elle était là, assise sur le bureau, jambes écartées, et moi entre. Si j'avais pu, je l'aurais immédiatement prise sur le champ, sans qu'elle ne me le demande. Mais il fallait faire durer les choses... C'était plus attrayant. Face à elle, je déboutonnais ma chemise, laissant mon torse se découvrir peu à peu. Je ne l'enlevais pas, mais la laissais ouverte. J'agrippais de nouveau ses fesses, collant son bassin contre le mien, et mon front au sien. Lui lançant un regard plus qu'intense.