Wassup buddy.
Joshua & Ren.
Oui mais hier, il était avec Riley. Et j’ai su avec le temps qui elle était pour lui, qui elle sera pour toujours. Ce qui restera toujours dans un coin de mon esprit. Peut-être parce que ça me fait quelque chose qu’elle a pu être là ? La blonde devrait n’être qu’une simple ombre dans mon esprit puis qu’à l’heure actuelle, ce sont les lèvres de Joshua sur les miennes qui me rendent toutes choses. Je dois l’avouer, le dire. Si j’apprécie, ce n’est pas seulement parce que c’est un baiser. C’est prenant et agréable. Mais comme à mon habitude, j’ai toujours une (fausse) raison de « fuir » ce plaisir alors qu’au fond, l’esprit désire rester là. Je me prends à revivre ce baiser alors que quelques secondes plus tôt, j’aurais pu en voler. Pour ma première fois, prendre l’initiative. A nouveau, c’est Joshua qui la prend. Ma respiration se bloque quand je le sens dans mon dos. Ses baisers enflamment ma peau. «
Joshua… » murmurais-je en baissant les armes plutôt facilement.
« Où est le mal si on en a envie tous les deux… ? » Il a raison. Je sais qu’il a raison mais mon cerveau essaie de le trouver « ce mal ». Et il le trouve. Dans une vie qui n’est pas la mienne. Une vie que j’oublie une seconde suivante quand ses mains viennent caresser ma peau, son corps blottir le mien avec douceur. Il sait où m’embrasser, il sait comment le faire. Parce que c’est la première fois depuis des années qu’un homme me désire … et qu’il n’a pas payé pour en avoir. J’avais l’impression de redécouvrir le désir, l’envie que ce soit uniquement cette personne qui nous touche, pas une autre. C’est … addictif. J’aime ça et j’ai envie qu’il continue. «
Joshua… » murmurais-je. Je bascule mon visage plus en arrière, glisse doucement ma main sur sa nuque et attire son visage près du mien. Nos souffles se mélangent… «
Le mal ce serait que tu t’arrêtes de m’embrasser. » Je penche encore plus mon visage, le tourne pour pouvoir l’embrasser. J’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter de ma poitrine. Tant de sensations d’un coup. Je n’y suis pas habituée. Mon corps suit ma nuque, je me retrouve face à Joshua. Je ne peux m’empêcher de rompre ce baiser pour lui dire : «
Mais vas-y doucement, je suis au bord de l’infarctus… » Je ris, un peu, légèrement. Mais très vite, mes lèvres retrouvent les siennes.