INTRIGUE DE NOËL ❊ (TG) Les confréries fêtent Noël !

Le Noël des Confréries I'm hot, you're cold. Même si les températures ne sont pas aussi basses que dans le reste de l’Europe et que peu d’angeliens ne peuvent sortir moufles, bottes, écharpe et doudoune, ce n'est pas le cas des étudiants d'UCLA. Cette année les confréries ont décidé de faire les choses en grand. Si la neige ne vient pas sur la côte, c’est la côte qui viendra jusqu’à la neige. Pas de classe verte, pas de départ en avion comme vos chefs bien aimés l’aurait souhaité, mais ce n’est pas pour autant qu’ils comptaient baisser les bras et organiser la même fête triste dans une salle sombre. Au début cela semblait fou, ils s’étaient regardés, une lueur de malice et d’hésitation dans les yeux, mais plus ils y réfléchissaient, plus le projet semblait viable, crédible et surtout…réalisable. Les invitations avaient été envoyé à tous les étudiants présents durant ces vacances et le lieu de rendez-vous avait été maintenu secret pour qu’aucun petit curieux ne puisse s’aventurer et découvrir ce projet fou. Au final, le 19 Décembre 2014 à 18h, tous les étudiants qui avaient répondu présent à l’invitation se rendirent devant l’Université. La curiosité était à son comble et tout le monde faisait des suppositions qui semblaient toutes inimaginables, impossibles. Et pourtant, ils l’ont fait. Avant d’entrer dans le hangar auquel ont les avait conduits, les étudiants en charge du projet confièrent doudoune, gants et bonnets à tout le monde. Personne n’avait compris mais tout le monde avait enfilé ses affaires sans sourciller. Jusqu’à ce qu’on ouvre la lourde porte qui menait à la fête. Au début personne ne comprit, jusqu’à ce qu’un flocon se pose délicatement sur le nez d’un étudiant. Puis un deuxième, un troisième et bientôt ce furent des centaines de flocons qui envahirent la salle ! Des canons à neige avaient été placé dans les quatre coins de la pièce et au centre de cette dernière, un chalet – assez grand pour abriter tout les convives – avait été construit et la neige qui avait élu domicile sur son toit et à ses pieds étaient le témoin du thème de cette géniale soirée. « Si la neige ne vient pas à nous… commença le chef des Phi. - Alors nous ferons venir la neige à nous ! s’écria la chef des Gamma. -Bienvenue dans notre classe neige improvisée ! entonna le chef des Delta - Au programme, activités sportives, raclette, fondue et feu de cheminée. Tout ce que vous ‘navez jamais pu faire à L.A se tient devant vos yeux ébahis. Nous avons une multitude de nourriture, des couchages pour tous vous abriter et pour les plus courageux un jacuzzi juste derrière le chalet. Préparez-vous à passer une soirée inoubliable ! » termina la chef des Alpha. Bienvenue étudiant de tout parcours, à la première soirée ski organisé par les quatre chefs de confrérie d’UCLA.

La parole est à Sinead

Je n'ai pas tellement compris ce qu'il se passait comme évènement mais je faisais comme tout le monde, je suivais les organisateurs et prenait la tenue que l'on me donnait. Fort heureusement, elle était plutôt sobre, ce qui ne gâchait pas de mon allure. Finalement, je suis surprise de tombée sur ce paysage en entrant dans l'immense hangar et surtout... la neige... partout. Il ne faut pas longtemps aux canons pour recouvrir l'ensemble. Je faisais quelques pas de plus pour laisser les personnes qui se sont déplacés pour l'évènement s'avancer plus pour apprécier ce qu'ils avaient sous les yeux. Un manteau de neige recouvre le sol et je m'accroupis pour passer mes doigts sur la neige. Un frisson me traverse. Le froid… l’ambiance… sans parler de ce qui nous attendait dans le grand chalet au milieu du hangar. Mes doigts creusent la neige, la travaille et forment une boule dans ma main. Ronde, assez large, une boule de neige si excitante. Je pivote légèrement sur moi-même pour chercher une tête à viser. Une voix au loin capte toute mon attention. Je souris et vise, en profitant de mon avantage… En plein visage, la chance du débutant. Je pose ma main sur ma hanche, fière de moi. Désolé Bodman mais j’en ai tellement envie.

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i'm stronger than these criminals

   

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Il fallait que j'aille à cette soirée improvisé par tous les représentants des confréries, je me demandais bien où est-ce qu'ils nous amener... J'étais curieuse et j'avais envie de savoir, puis comme il faisait froid dehors et oui en plein mois de décembre il fallait s'en douter. Je décida de mettre tout simplement une tenue sobre, un jeans avec quelques déchirures dessus et un haut simple passe partout mais qui fait classe aussi. Puis une petite veste et mon manteau à fourrure de lapin, qui porte bien chaud. D'ailleurs quand je le mets, la capuche du moins on dirait que je suis prête pour aller au pole nord! Puis j'avais reçu une invitation, qui nous annonçait la date de l'événement et le lieu. Qui était plutôt étrange, à l'université on allait y faire quoi sérieusement? Ils devaient avoir prévus quelque chose de cool, et bien dans une salle très probablement où un truc dans le genre selon mes suppositions. Ils allaient nous en mettre plein la vue, j’espérais qu'il y aurait mes amis. Mais je pense très sincèrement, sinon ce n'est pas grave j'allais m'en faire je ne m'en fais pas pour ça. C'est le dernier de mes soucis... Je brava donc le froid, pour rejoindre l'adresse indiquée : l'université. Il y avait déjà une foule devant, je me dépêcha un peu pour rejoindre le groupe et entendre ce qu'ils se disaient et pour voir. Je suivais le mouvement, on me donna quelques trucs à mettre (doudoune, bonnet, gant). J'étais tellement sexy comme ça, mais bon on allait faire comme tout le monde et mettre les vêtements! J'avança petit à petit, jusqu'à voir de la neige. Whouaaaa c'était magnifique, si j'avais pensais à ça jamais. C'était une excellente idée, et quand je toucha par terre on aurait dit de la vraie. Je regardais un peu partout pour voir si je ne voyais pas des têtes connues, je continuais d'avancer petit à petit. Pour m'amuser un peu en attendant quelqu'un, je fis un petit bonhomme de neige.

Ridicule. C’était le premier mot auquel Charly avait pensé lorsque les Deltas avaient exposé l’idée de faire une soirée enneigée à Los Angeles. Il ne s’était pas caché d’afficher le fond de sa pensée et chez ses confrères Deltas, il était bien le seul à ne pas vouloir participer à cet évènement. D’un certain côté cela n’était pas étonnant. L’Allemand avait déjà goûté aux vacances de ski dans les alpes françaises, lieu qu’il chérissait encore lorsqu’il était adolescent. Comment les confréries pouvaient-elle croire qu’elles pourraient rivaliser avec les meilleures pistes de ski du monde ? Aucune chance que cela puisse plaire à sa seigneurie Von Bodman, même après tout le mal que les membres des confréries se seraient donnés. Alpha, Delta, Phi, Gamma, ils avaient tous mis la main à pâte. Tous, sauf Charly.
Par politesse, le jeune homme se rendit néanmoins à la fête. Par curiosité, juste pour faire l’état des lieux et finalement constater que les confréries avaient sorti le grand jeu. Est-ce qu’il féliciterait ses frères pour leurs efforts ? Pas sûr, sa fierté en prendrait un sacré coup.
Assis sur un banc en bois, Charly discutait de la décoration des lieux avec d’autres étudiants lorsqu’une boule glacée vint s’écraser contre son visage. Evidemment, il y a avait encore des gens assez puériles pour s’amuser de la sorte. « Qui a fait ça ?! » s’exclama-t-il après s’être relevé pour chercher son ravisseur du regard. L’évidence s’exposa alors face à lui : Ren Osbourn était l’auteur des faits et bizarrement ça n’étonnait pas l’Allemand. « T’as vraiment rien d’autre à faire ? » Il ne pouvait s’empêcher de repenser à cet après-midi-là, où sa soi-disant amie lui avait révélé qui elle était réellement. L’Allemand n’était pas disposé à lui accorder la moindre minute, la moindre seconde. Déçu, triste, énervé, sa haine et ses douleurs ne s’étaient toujours pas estompés. « Va donc te trouver un autre pigeon. »

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Ka Pua Maila I Ka Mauna


There is pleasure in the pathless woods, there is rapture on the lonely shore, there is society where none intrudes. By the deep sea and the music in its roar. I love not man the less, but Nature more.endlesslove

... Evidemment, il (Charly) est là. Avec une grimace légère, je m'arrange pour qu'il ne me voie pas, quitte à attendre un moment qu'il entre, quitte à me glisser entre deux inconnus. Je n'ai pas envie qu'il me voie, pas envie que ne commencent les hostilités entre nous...

Toute son expression indique qu'il est de mauvaise humeur...

La tenue qu'on nous a remise est bien trop chaude pour LA, même en hiver, mais, lorsque les premiers flocons se mettent à tomber, je retiens mal mon envie de sautiller. de la neige! de la neige!!!!

Un cri excité parvient à échapper à mes lèvres.

De la neige... cela fait si longtemps... Une éternité, me semble-t-il. Je retirai un gant, pour plonger mes doigst dans le manteau blanc qui commençait à se constituer sur le sol: un frisson me glissa dans le dos alors que les flocons fondaient autour de mes doigts.

En me redressant, je cherchai des yeux des têtes connues et croisait la silhouette de Jade, gamma comme moi, penchée sur une boule de neige qu'elle faisait rouler. Nous ne ous connaissions pas vraiment, à peine de vue, mais...

"Salut! Tu as besoin d'aide?"

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Lola, quand elle voit une fille sexy

La satisfaction m’envahissait, c’était si jouissif que lorsque le regard de Charly se posa sur moi, je n’avais aucune once de remord même si une part de moi était effondrée d’avoir à subir ce regard. Cela faisait plus d’un mois que je devais supporter ça. « T’as vraiment rien d’autre à faire ? » Je faisais une petite moue en secouant la tête négativement. Non, je n’en aurais jamais fini avec toi, Bodman. Tu n’imagines pas comment je peux être face à toi. Et je suppose que tu devras prendre cette habitude de me voir si forte, si hautaine face à toi. Parce que je sais ce que tu es, je sais que tu caches des faiblesses que je souhaitais atteindre. « Va donc te trouver un autre pigeon. » Je ne peux m’empêcher de rire, m’approchant de quelques pas, assez suffisant pour faire partir les personnes avec qui il était. « Parce que tu te considères ainsi ? Moi je te vois un peu comme un poulet. Tes actes sont comme tes mots, ça ne vole jamais très haut… comme un poulet… » J’esquisse un petit sourire. Oh, Bodman. Pourquoi fais-tu en sorte que la méchante Ren ressorte en moi ? « En réalité, tu es la meilleure proie que j’ai trouvé. Mon petit-ami est trop occupé. » La bombe est lâchée. Cette part si triste de moi se sent fière de l’avoir lancer et espère te faire mal. Je me penche pour prendre un peu de neige, la transformer entre mes mains alors que je m’approche de Charly. Je ne voulais pas que mes prochains mots ne soient entendus par des personnes, juste l’Allemand. « Je n’ai jamais profité de toi, et tu le sais. Je suis la même femme, simplement, je n’ai pas d’argent contrairement à ce que tu pensais. Tu le sais que je n’ai jamais profité de toi parce qu’il n’y avait rien de matériel entre nous. Être une victime ne te vas pas, à croire que tu deviens une guimauve… Bodman. » Malheureusement, ça m’est difficile de pencher mes lèvres à son oreille. Trop petite. Mes mots étaient bien plus féroces que cette boule de neige. Mes yeux ne cessent de le fixer alors que je me reculais, assez pour ne pas le blesser quand la seconde boule de neige frappait son visage : « Aussi mouillé qu’une … poule mouillée. Cot… Cot… cot… » Je joue avec toi, comme tu joues avec tous ceux que tu penses inférieures à toi. J’espère que ça te fait mal. Parce que j’ai ressenti bien pire de ta part.

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Charly était désormais persuadé qu’il aurait mieux fait de rester chez lui. Premièrement, il ne trouvait aucun intérêt à s’amuser dans de la fausse neige. Deuxièmement, la dernière personne qu’il souhaitait voir venait clairement de le provoquer et bien-sûr, il était incapable de laisser tomber l’affaire. Il découvrait alors une nouvelle facette de la personnalité de Ren : elle aussi avait du répondant car elle aussi, elle était blessée par cette situation, par toutes ces tensions. Charly appréciait secrètement cela, le fait qu’elle lui tienne tête, le fait qu’elle ne le laisse pas la mener à la baguette. « T’es venue jusqu’ici uniquement pour me traiter de poulet ? » lança-t-il d’une voix moqueuse tandis qu’il se rapprochait d’elle. « Tu cherches quoi au juste ? Tu veux qu’on s’engueule devant tout le monde ? Très bien parfait, j’ai rien à perdre. Je regrette juste que ton soi-disant mec ne soit pas dans les parages, juste histoire que je le mette au courant de tous les bobards que t’es capable de raconter. » Il s’était exprimé de façon à ce que la plupart des gens aux alentours puissent les entendre puis rapidement, il rapprocha ses lèvres au creux du cou de la jeune femme puis chuchota lentement. « Ton copain c’est un de tes anciens clients c’est ça ? Un pauvre type en manque de tendresse et bien évidemment, tu sais combler toutes ses envies, j’ai bien raison ? » Charly n’était plus décidé à rire, il n’était plus décidé à jouer. Ren l’avait trahi et la vengeance du jeune homme mettrait encore du temps avant de s’estomper, elle aurait à s’y habituer. Car si Charly avait été plus tendre avec qu’elle qu’avec quiconque, cette époque touchait presque à sa fin, ruinée par des secrets, des mensonges qui faisaient plus de mal qu’ils n’y paraissaient.

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Je suis si … différente et à la fois, je suis « moi ». En réalité, cette face de ma personnalité est rarement de mise. Ren qui sort ses crocs, c’est comme un lapin que l’on pense mignon et finalement, qui mord le loup qui essaie de le manger. J’espérais que Charly en soit perturbé. Je fais mine de sourire quand il me pose sa première question : « Si j’avais su que tu serais là, je ne serais même pas venue, moi qui pensais que cela serait si rustique pour toi… » C’est vrai… il est si « riche » que parfois, je me dis qu’à sa place, j’en serais écœurée. M’enfin… je ne l’épargne pas. Il est fort qu’au travers de sa richesse, chose qui ne m’atteignait pas la moindre du monde. Surtout qu’il me faisait bien rire… oui, je ris. Je suis comme lui, je me sens inatteignable en ce moment. Parce que Charly a perdu le privilège de me connaitre. Avant, il savait, maintenant, il ne sait plus. Il se coupe de moi et en paie le prix. Et combien même je me sens frissonnée d’avoir ses lèvres dans mon cou, qu’une partie de mon être rêve qu’il les pose sur ma peau, qu’il embrasse ma chair de la sienne, je restais immobile, seuls mes yeux suivaient sa progression et mes oreilles l’écoutaient avec la plus grande attention. Ce jusqu’à ce qu’un rire cristallin s’échappe de mes lèvres, que ma main se glisse sur la nuque de l’Allemand pour pénétrer son regard du mien. Je suis si proche de lui que l’on pourrait penser que je l’embrasse, de loin. « En réalité, mon ‘petit-ami’ a su tout comme toi ce que j’ai été. Mais contrairement à toi, il a compris que j’ai fait ce sacrifice pour sauver mon petit-frère et une famille menacée d’être séparé à cause de cette invention débile de l’homme : l’argent. » Mes doigts se fraie un chemin jusqu’à la chevelure de Charly que je serre un peu pour amener son oreille à mes lèvres – il est grand alors fuck ! « Dans la minute que nous avons fini d’en parler, il m’a fait l’amour avec tant de passion que son prénom résonnait dans la pièce. » susurrais-je  à son oreille. Lui seul entend cela. Mon souffle chaud s’abattait sur sa peau malgré moi. « Joshua… Joshua… » parodiais-je encore dans quelques murmures. « Tu le connais, c’est l’autre cousin d’Andreas. » Ma main libère sa si jolie chevelure, mon visage se recule. J’aime m’imprégner de son regard, un doigt presse lentement la lèvre inférieure du jeune homme : « ça te fait quoi de paraitre si faible, Charly ? D’être en position de faiblesse face à moi ? Tu te rends compte que l’argent qui te rend si fier, si… présomptueux, si arrogant… ne te donneras jamais la véritable force. T’es faible, et c’est ça qui te tue face à moi, tu es obligé de crier à tout le monde que je suis une mythomane pour te sentir si bien, si fort… ce n’est qu’une illusion, Charly. Et c’est dommage que ça devienne ainsi entre nous parce que tu es incapable de voir ce qu’il te faut vraiment. » Je voulais faire taire cette voix dans ma tête. Celle qui criait « moi, moi, moi ! ». Je ne voulais pas penser ça, parce que je suis la personne qu’il faut pour Joshua et pas Charly, non ?

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Même si elle avait été écartée du projet faute d’investissement, Sinead n’allait rater le Noël des Confréries pour rien au monde. Elle avait donc suivi du regard toutes les avancées du projet, se contentant de donner son avis quand on lui demandait. Ce qui n’était vraiment pas le genre de la princesse d’accepter de se faire traiter de la sorte mais elle était trop loin de la Nouvelle-Zélande, et de son ancien rang social universitaire, pour cracher sur ce genre d’opportunité.
Le jour-même, Sinead fut une des rares à arriver avec des vêtements chauds. Elle avait certes, été écartée mais sa confrérie avait eu la bonté de dévoiler le dress code quelques heures avant les festivités. Son égo de princesse en avait été flatté, mais lorsqu’elle fit le rapport dress code et thème de la soirée, elle tenta d’étouffer les critiques qui lui brûlaient déjà les lèvres. Comment allaient-ils faire en sorte de surpasser, ou au moins d’égaler tous les hivers au ski dans des stations de luxes, que Sinead avait passé tout au long de sa vie ?
Lorsqu’elle arriva sur les lieux, elle reconnut ses consœurs alpha et fit un sourire à Ren qu’elle perdit du regard après être entrée dans le bâtiment. Le cadre était assez idyllique pour ce qu’il était censé représenter. Elle rentra dans le chalet et se prit un verre de vin chaud, elle avait envie de se réchauffer un peu avant d’affronter le froid polaire et s’installa sur le banc de la grande table commune, regardant les étudiants excités, s’affairer.

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