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    Are you kidding me? | Jane

    Dim 18 Jan 2015 - 19:40
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    « Madame la Doyenne vous a spécialement désigné comme étant son parrain.  » Quelle idée saugrenue, comment avait-elle pu avoir une imagination aussi débordante ? Moi ? Parrain d’une future étudiante de l’UCLA ? Je n’étais pourtant pas un exemple à suivre. Elle devait être souffrante, je ne voyais guère d’autre explication valable et surtout, saine d’esprit. « Ne bougez pas.  Je vais vous chercher le major de promo’,  je suis certain qu’il se fera un plaisir de l’accueillir. » Là était du bon sens non ? D’un pas décidé, je pris la direction de la porte, m’apprêtant à saisir la poignée lorsque la secrétaire fit une énième tentative d’autorité. « Monsieur Keagan ! Vous allez accueillir cette demoiselle, suis-je clair ? » Je n’aimais guère le ton qu’elle employait, ayant une sainte horreur des ultimatums en tout genre. Aurais-je oublié de le stipuler à la Doyenne lors de notre premier entretien ? Il est vrai que je n’avais pas d’autre choix que d’avoir un comportement exemplaire, mes études n’étant pas le seul enjeu de ma présence dans ces locaux. Il en allait de ma liberté, je le savais que trop bien. Pour autant je restais quelqu’un de déterminé, voir de complètement buté. « Madame Spoots, sérieusement, vous pensez vraiment que Luka ne ferai pas un meilleur parrain ? Il adore ça ! Qui sait, il pourrait même avoir ces chances avec cette fille. Il broie du noir vous savez ! Allez, faites un geste humanitaire. » Son petit sourire m’indiquait un amusement certain, bien que contrôlé pour conserver les apparences. De même, le petit soupire qui s’échappait de ses lèvres alors qu’elle me toisait du regard au travers de ses énormes lunettes rouges, laissait entrevoir l’habitude de nos joutes verbales.   « Je compte sur votre grande répartie pour l’accueillir comme il se doit, vous serez aux petits soins pour elle,  et avec le sourire. » Que ne fut pas ma déception, lâchant à mon tour un soupire dés plus remarqué. Car si l’idée d’accueillir une nouvelle étudiante pour lui faire visiter le campus ne contribuait aucunement à la naissance d’un sourire, il en était d’autant plus le cas lorsque Madame Spoots crut bon de ma rappeler la coutume qui consistait à faire les quatre volontés du nouvel étudiant. « Avec le sourire ! Elle se trouve à l’entrée du parc, bonne journée à vous. »
    Je devinais que trop bien le sourire de Madame Spoots lorsque mes pieds passèrent le seuil le la porte, finalement contraint de prendre la direction du parc. Je ne la connaissais pas encore, mais je maudissais déjà l’étudiante qui avait eu la mauvaise idée de vouloir s’inscrire à l’Ucla. Non pas que ce soit une mauvaise université, bien au contraire, je devais reconnaitre que tout était fait pour contribuer au bien être des étudiants, mais aussi a leurs réussites. Non, elle avait simplement mal choisi son jour. Quel est son nom déjà ? Que ne fut pas la tentation de retourner dans le bureau de l’administration, prétextant ne pas avoir trouvé l’étudiante en question, faute de ne pas connaitre son nom. Malheureusement je savais que trop bien que cette excuse ne serait aucunement approuvée. « Quand on veut, on peut ! » Les blâmes de Madame Spoots envahissaient déjà mon esprit, signe que tout ceci ne serait qu’une perte de temps.

    Comme à l’accoutumée, le parc était particulièrement fréquenté, de nombreux étudiants espérant ainsi profiter des quelques rayons de soleil. Pour ma part j’observais toutes les demoiselles qui se tenaient à l’entrée du parc, renvoyant sans aucun doute l’image d’un homme, tout sauf gentleman.  C’est alors que mon regard en vint à se poser sur une demoiselle, plutôt charmante si l’on en croyait les courbes de son corps. Elle me tournait le dos,  semblait en proie à la curiosité en regardant chaque passant. De toute évidence, elle attendait une personne sans véritablement en connaitre l’identité. Une coïncidence un peu trop parfaite n’est ce pas ?  Armé d’un petit sourire, je pris les devant en allant à sa rencontre …bien évidemment, la courtoisie voudrait que je me présente, l’interpelle avec douceur et bienveillance, mais je reconnaissais volontiers que mon esprit de contradiction l’emportait amplement sur ma volonté de jouer les parrains. Dans un silence quasi religieux et une délicatesse sans nom, je pris le soin de placer un ruban sur les yeux de la jeune inconnue. « Bienvenue à l’Ucla mademoiselle. Je serais votre parrain tout au long de la visite guidée, qui petit bizutage oblige,  se fera dans un premier temps les yeux bandés. Il vous reviendra de faire appels à vos sens pour deviner où nous nous trouverons tout au long du par…. » Tout en inventant une nouvelle tradition et après avoir noué le ruban, je pris mes aises en me saisissant de sa main, l’amenant à me faire face. Bien qu’en partie masqué, certains de ses traits me paraissaient pour le moins familier. Pour autant j’étais bien incapable de l’identifier pleinement. Une ancienne conquête ? Impossible, je m’en souviendrais. Une connaissance ? Probablement, mais d’où ? Depuis combien de temps ? A moins que tout ceci ne soit le fruit de mon imagination. Conscient de m’être interrompu sans la moindre raison apparente, je repris après un petit raclement de gorge. « tout au long du parcours. Attention, trois mauvaises réponses donnera lieu a un gage qui consiste à porter le t-shirt de l’université lors de votre premier jour de cours et croyez moi, il n’est pas beau à voir. Vous êtes prête ? Bien évidemment vous pouvez profiter de notre petite excursion pour me poser toutes les questions qui vous viennent à l’esprit » Avouez tout de même que l’idée était bien plus attrayante que la traditionnelle visite du campus.

    Re: Are you kidding me? | Jane

    Ven 20 Fév 2015 - 3:00
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    Adélaïde Sullivan
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    Are you kidding me?


    Adélaïde ne l'avait dit à personne parce qu'elle n'était même pas sûre de le vouloir vraiment et de ne pas fuir au dernier moment devant cet obstacle. Depuis qu'elle était toute jeune, d'abord à cause de son statut de demoiselle très riche et trop médiatisée pour être dans une école puis ensuite à cause de sa maladie devenue incontrôlable, elle n'avait jamais fréquenté d'établissement scolaire. Elle avait, bien entendu, comme tout le monde, eut une scolarité, mais à domicile ou bien en cours privés et restreints. La scolarité dans un établissement, d'autant plus public, elle ne connaissait pas. Comment s'y comporter, quelles fréquentations à avoir et celles à éviter, comment cela fonctionne? Elle ignorait tout, se faisait des idées, plus ou moins exactes à vrai dire. A la lecture de son dossier, la doyenne avait été surprise de voir qu'Adélaïde choisissait un établissement aussi exigeant qu'UCLA alors qu'elle n'avait jamais fréquenté d'école, mais elle y voyait une forme de courage et d'envie d'investissement. Dans un sens, c'était plutôt vrai. Maintenant que sa bipolarité était relativement bien stabilisée, elle n'avait aucune raison de fuir un parcours classique, si ce n'est ses propres peurs de ne pas réussir à s'intégrer comme quelqu'un de normal, mais ça, c'était une autre histoire. La doyenne lui avait donc prévu un petit peu d'aide avant qu'elle ne se décide a réellement venir dans cet établissement ou non. Allez savoir, elle était peut-être de bonne humeur ce jour-là. Une pré-rentrée, une sorte de visite guidée par un autre élève qui pourrait lui parler de l'établissement de son point de vue à lui, probablement pour un côté un peu plus réaliste de la chose. Une petite visite guidée qui était censée lui montrer les bons côtés du campus, de la vie à l'université, les différentes et nombreuses libertés qu'ont les étudiants et bien évidemment les locaux. Mais surtout, cette visite était censée la mettre en confiance et autant dire que de se retrouver d'un seul coup dans le noir complet, la vue obstruée par un foulard, c'était loin d'avoir cet effet. Fort heureusement, la personne qui l'avait surprise de cette façon se mit à parler pour lui souhaiter la bienvenue ici, ce qui empêchait Adélaïde de se défendre, comprenant qu'il ne l'agressait pas. Qu'avez-vous cru? Qu'elle était une jeune femme sans défense? Bien au contraire, elle aurait été tout à fait capable de lui donner un coup si cela avait été nécessaire mais ceci est une autre histoire.

    Surprise, donc, elle n'en restait pas moins souriante, prête à subir ce petit bizutage loin d'être méchant et loin d'être à l'image des bizutages extrêmes qui font probablement subir les maisons des élites à leurs nouvelles recrues. « J'ai bien fait de ne pas mettre de talons alors. » Pourtant adepte de ce genre de chaussures qu'elle trouvait presque indispensables pour relever la féminité mais qu'elle avait laissé de côté aujourd'hui pour une question de pratique. Elle savait d'avance qu'ils allaient probablement affronter de nombreux escaliers et autant dire qu'en talons, c'est loin d'être confortable. Sans oublier une raison de plus très simple: le parc. S'enfoncer dans la terre à cause des talons, autant dire que ça donne une image plus idiote qu'autre chose. Elle avait donc mis ses fidèles converses tandis qu'il la tournait vers lui, coupant la discussion au milieu d'une phrase. Le très léger haussement de sourcils d'Adélaïde laissait savoir sa surprise mais elle n'eut pas le temps de relever ou de lui demander s'il y avait un problème qu'il reprenait déjà la parole. « Ouuuhhh, jaune et bleu le t-shirt je suppose, aux couleurs de l'université... vu comme ça, c'est sûr que c'est pas hyper glamour, ni fashion, ni... portable tout court. » Un bref rire passait le seuil de ses lèvres tandis qu'ils se mettaient à marcher. Réflexe et précaution oblige, elle n'avait pas lâché la main de son accompagnateur. « Et j'ai le droit de les poser quand je veux, où je veux et sur tout ce que je veux ces fameuses questions? » Après tout on ne sait jamais, il parlait peut-être de questions qui ne concernent que l'administration par exemple et dans ce cas elle ne pourrait pas vraiment avoir d'indices pour deviner le lieu où ils sont. « D'ailleurs je compte sur vous pour m'indiquer de possibles obstacles. Se casser la figure le jour d'une visite est probablement plus honteux encore que de porter un t-shirt. » Disait-elle avec le sourire en continuant sa marche jusqu'à ce que la texture sous sa chaussure change, la faisant s'arrêter quelques secondes. « On est sur le béton là non? » Disait-elle en tapant ridiculement son pied contre le sol pour vérifier ses dires, bête réflexe, une nouvelle fois. Un chemin du parc peut-être? Une cours? Elle connaissait un peu l'endroit suite à son rendez-vous avec la doyenne mais pas assez bien pour être sûre à 100% de ce qu'elle avancerait.
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    Re: Are you kidding me? | Jane

    Mar 10 Mar 2015 - 18:38
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    Je devais avouer que faire visiter le campus à une future étudiante était une idée qui ne me plaisait guère, du moins telle était mon opinion avant de repérer au loin celle qui serait victime de mon imagination débordante. Oh elle avait l’air plus qu’appréciable, gentille, bien sous tout rapport. Pour autant je détestais que l’on me force la main, que l’on me dicte mes faits et gestes sans prendre en considération mon avis qui, rappelons le, s’avérait meilleur que celui des autres. Je restais en effet persuadé que Luka, jeune fayot en manque de reconnaissance, se serait fait un plaisir de l’accompagner. De même, il avait cet avantage de connaitre le règlement de l’université par cœur, tandis que le fascicule me servait actuellement de ‘cale’ pour ma commode un peu trop bancale. Enfin ! Si je n’avais d’autre choix que d’accomplir ma pénitence, je refusais de l’exécuter  sans une touche de Maël, un petit grain de folie qui je l’espérais, égayerai mon après-midi.  Sans l’ombre d’un bruit, j’en vins à accoster la demoiselle, plaçant au dessus de ses yeux un foulard tout en l’informant d’un petit bizutage comme le prévoyait la tradition. Du moins, ma tradition.  Bien évidemment elle aurait pu mal le prendre, se mettre à hurler, me frapper après s’être libérer de mon emprise, mais elle n’en fit rien. Bien au contraire, elle semblait en confiance, souriait à l’idée de se prêter au jeu. « J'ai bien fait de ne pas mettre de talons alors. » Détails importants aux yeux d’une femme, n’ayant pour ma part, aucunement pensé au calvaire que serait cette visite si elle avait eu la merveilleuse idée de porter des talons.  Fort heureusement la chance semblait être de mon côté, ce qui de mon point de vue, n’était pas forcement le cas pour notre jolie inconnue. « Ou pas, quelle femme ne rêve pas d’être porter par un gentil homme ? » La modestie ne m’étouffait guère en dressant un portait bien trop flatteur de ma personne. Néanmoins je n’en pensais pas un mot, laissant échapper un petit rire amusé tant je ne pu contenir mon sérieux. D’un geste lent et avec douceur, j’en vins à la faire pivoter sur elle-même, l’invitant ainsi à me faire face dans un sourire en proie à l’amusement qu’elle ne saurait apprécier.  Il fut pourtant de courte durée, soudainement perturbé par ce visage plein de grâce, mais étrangement familier. Les mots finirent par me manquer, ne retrouvant que difficilement le cours de mes idées tandis que ma mémoire fouillait, en vain, dans mes plus vieux souvenirs dans l’espoir de reconnaitre ces traits a semi-voilés. Tout ceci n’était peut-être que le fruit de mon imagination.

    Place aux festivités, mais avant tout il me fallait lui énoncer les règles du jeu, possiblement modifiables selon les circonstances.  Et oui, quel serait l’intérêt d’inventer un petit bizutage sans pouvoir le modifier à sa guise ? Triche ?! Point du tout, voyez-y plutôt un soupçon de malice et d’ingéniosité …. Et quel serait donc un bizutage en bonne et due forme  sans un petit gage en cas d’échec ? « Ouuuhhh, jaune et bleu le t-shirt je suppose, aux couleurs de l'université... vu comme ça, c'est sûr que c'est pas hyper glamour, ni fashion, ni... portable tout court. » Une fois encore elle riait de bon cœur, faussement intimidée par ce t-shirt dont l’existence ne relevait que de notre imagination, du moins pour le moment. « Vous n’imaginez pas à quel point ! Il parait qu’il n’a pas été lavé depuis une bonne dizaine d’année. Je vous laisse imaginer l’état ! » A mon tour je laissais échappé un petit rire, tandis que ma main vint prendre possession de la sienne afin de démarrer notre expédition. « Et j'ai le droit de les poser quand je veux, où je veux et sur tout ce que je veux ces fameuses questions? » Je devais avouer que je n’y avais pas vraiment réfléchis, préférant de loin les règles quelques peu évasives pour mieux les manipuler selon mes envies. J’haussais néanmoins les épaules, n’ayant pas de raisons particulières pour m’y opposer.   « Mhm ne me demandez pas tout de suite si je suis célibataire,  procédons par étapes si vous le voulez bien. Vous en aurez suffisamment l’occasion plus tard, tellement la visite du campus vous aura plu »  Une fois encore je faisais dans l’humour, devinant sans grand mal le large sourire qui vint prendre possession de mon visage.   « Plus sérieusement, vous pouvez me poser n’importe quelle question au sujet de l’université ; son fonctionnement, l’ambiance qui y règne etc. Mais une fois à l’arrêt, vous aurez uniquement le droit à trois tentatives pour deviner l’endroit dans lequel nous nous trouvons. » Nous entamions ainsi notre marche en direction d’un premier bâtiment, croisant au passage quelques étudiants surpris par le manège qui se déroulaient sous leurs yeux.  « D'ailleurs je compte sur vous pour m'indiquer de possibles obstacles. Se casser la figure le jour d'une visite est probablement plus honteux encore que de porter un t-shirt. » Elle n’avait pas tord, et si la mettre en difficulté pouvait me procurer un certain sentiment de vengeance vis-à-vis de l’administration, je ne pouvais me résoudre à prendre le risque qu’elle se blesse réellement. Après tout elle n’était pas responsable, qui plus est cela revenait à m’attirer des ennuis qu’il me fallait à tout prix éviter pour le moment. « Ne vous en faites pas, je veillerai à ce qu’il ne vous arrive rien. » Ainsi j’abandonnais les traits de l’humour pour de la sincérité, continuant notre marche jusqu’à ce que la demoiselle décèle un changement sous ses pieds.  « On est sur le béton là non? » j’observais l’un de ses pieds valser sur le sol, tapant ce dernier dans l’espoir de lui soutirer un premier indice. « Mince, on ne m’avait pas dit que je tenais compagnie à la fille du grand Sherlock Holmes »  De ma main je l’invitais à poursuivre notre route dans une allure modérée, veillant ainsi à ce qu’elle ne trébuche pas sur le bitume comme je lui en avais fait la promesse. Riant légèrement, l’envie de satisfaire ma curiosité se fit soudainement ressentir, désireux d’en connaitre davantage sur cette demoiselle qui semblait avoir tout pour elle. « Et sinon qu’est ce qui vous amène à l’Ucla ? Il y a un cursus qui vous plait plus que les autres ? » Lentement mais surement, nous firent notre entrée dans le hall du bâtiment principal. Celui-ci était vaste, particulièrement visité par les étudiants dont les bruits et bavardages donnaient naissance à un léger écho. « Voici le premier lieu emblématique de l’université. Plutôt simple à deviner si tu sais être attentive à ce qui t’entoure.  » Sans véritablement m’en rendre compte, je m’étais mis à la tutoyer, abandonnant peu à peu les politesses d’usage pour une éventuelle complicité.

    Re: Are you kidding me? | Jane

    Lun 16 Mar 2015 - 17:14
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    Adélaïde Sullivan
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    Contre toute attente, son stress s'était envolé. Aussi improbable que cela puisse paraitre, le fait d'être dans le noir rendait peut-être les choses moins impressionnantes et effrayantes pour Adélaïde. La visite se transformait en jeu plutôt qu'en un évènement plus ou moins officiel et décisionnel. Il fallait également avouer que le jeune homme qui l'avait accueillie demeurait sympathique, du moins pour le moment c'est ce qu'elle lui reconnaissait. Peut-être était-il ainsi parce qu'elle était nouvelle et qu'il savait d'avance que cela serait le seul moment passé avec elle, alors autant le rendre agréable après tout. Néanmoins, et ce malgré sa sympathie, elle lui reconnaissait aussi pas mal d'égo, ce qui la faisait rire. A vrai dire elle était plutôt du même genre, à ne jamais se laisser abattre et toujours à mettre ses atouts en avant plutôt que ses défauts. Jane ou Adélaïde, elle était ainsi, a savoir ce qu'elle veut et ce qu'elle vaut et peu importe ce que les personnes autour d'elle peuvent en penser, elle s'en fiche comme cela n'est pas permis. Après tout, lorsqu'on est une "fille de" mieux vaut avoir un caractère affirmé pour ne pas se laisser marcher dessus et être détruit par les médias. C'est ainsi qu'Adélaïde pensait les choses et elle était persuadée que le jeune homme chargé de sa visite était dans la même trempe, fait dans le même moule, à toujours répondre à tout avec brio et sans aucune hésitation. « Quelle femme ne hurlerait pas d'être embarquée elle ne sait où par un garçon gentil ou non qui se trouve être un inconnu? » Quoi? Un kidnapping est si vite arrivé! Rien ne garantissait à Adélaïde qu'il n'était pas un gentil garçon pour mieux lui révéler, dans une cave poussiéreuse, son côté psychopathe tout droit sortit d'un asile. Vous allez me dire, rien ne garantissait non plus qu'ainsi, main dans la main, il ne la menait pas dans un guet-apens. Son sourire se transformait soudainement en une petite grimace de dégoût dès l'instant où il évoquait l'absence de propreté du t-shirt de l'école. Autant dire que pour une fille comme elle, le genre de fille qu'on qualifie très vite de superficielle parce qu'elles prennent soin d'elles plus que la moyenne, c'était impensable d'enfiler un tel habit et d'y survivre. Du moins en apparence puisque la jeune femme était plus du genre à relever les défis et se prêter au jeu plutôt qu'à faire sa petite fille trop belle et trop mignonne pour porter une telle horreur. « Même pas peur, je suis plus robuste qu'il n'y parait. »

    Le suivant tranquillement, quelque peu ralentie dans sa démarche de par sa cécité soudaine, elle écoutait la réponse à sa question avec un large sourire. Non, vraiment, elle était pas tombée sur le plus modeste des mecs mais au moins ça aurait l'avantage de rendre la visite un peu plus drôle et moins monotone qu'avec un homme carré et bien en tout genre. Un sourire amusé qui se transformait vite en un sourire malicieux. Il ne lui avait interdit aucune question, seul le nombre de celles-ci étaient limitées à partir du moment où ils s'arrêtaient de marcher. « C'est noté. » Oh non elle ne préciserait pas si elle avait bien compris les règles ou le fait qu'il était célibataire. Si lui pouvait se jouer d'elle, elle pouvait bien se jouer de lui un petit peu également. « La fille de Sherlock aurait déjà dit qu'on est sur le chemin pour aller à tel endroit. Personnellement je sais juste qu'on est sur un chemin en béton, fraichement sorti du parc, ça va pas me mener bien loin ni résoudre notre enquête. » Disait-elle en se moquant ouvertement d'elle-même. L'autodérision ça la connaissait, on lui avait toujours appris à rire d'elle-même avant que les autres n'aient le temps de se moquer. Mieux vaut revendiquer une connerie que de la laisser couler, au moins, on ne vous emmerde pas avec ça. « La curiosité d'une grande école déjà. » Elle qui n'avait rien connu de semblable. « Et le dessin avant tout. Je sais que ça n'a aucune garantie à la sortie mais sincèrement je m'en fou. Je suis jeune, je veux juste faire ce qui me plait. » Point. Qu'elle ait raison ou tort, elle n'écoutait que son cœur et non les statistiques post-études qui rabâchent comme il est difficile de se faire une place dans le monde artistique. Elle avait déjà plus de chance que d'autres en faisant partie de la haute société mais ça, c'était une autre histoire. « Et toi qu'est-ce que tu fais ici? » Sa voix fut bien vite coupée par celle d'autres étudiants et vu le brouhaha, elle devinait facilement qu'ils étaient en masse. « Je pense savoir où l'on est mais par principe et pour le jeu, j'aimerais au moins te poser une question. » Un sourire malicieux naissant sur ses lèvres, ça puait la connerie à plein nez. « On est où? » Il avait dit qu'elle pouvait lui poser des questions sur tout et n'importe quoi, elle allait pas se gêner de détourner les règles contre lui, après tout, ne sont-elles pas faites pour être transgressées?
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    Re: Are you kidding me? | Jane

    Lun 6 Avr 2015 - 16:59
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    « Quelle femme ne hurlerait pas d'être embarquée elle ne sait où par un garçon gentil ou non qui se trouve être un inconnu? » La demoiselle ne manquait pas de répartie, ni même de caractère. Amusé par ce répondant, je ne pu que rire aux éclats, convaincu que le reste de la visite se ferait dans le même état d’esprit.  Dans le fond elle n’avait pas tord, l’inconnu que j’étais pouvait être bon comme mal intentionné, pour autant elle ne pouvait pas nier cette curiosité, ce pouvoir que j’exerçais sur elle en entretenant le mystère autour de cette petite visite guidée. Par ailleurs j’étais prêt à parier qu’elle prenait peu à peu goût à nos échanges, pour ne pas dire à cette rencontre née sous le signe de l’originalité. « Oh mais allez y, criez, il est encore temps … » Un large sourire sur les lèvres, je l’incitais à jouer les victimes, comme prêt à en assumer les conséquences. Néanmoins j’avais pris pour habitude de ne pas rendre les armes sans opposer la moindre résistance. « Mais a en juger par votre sourire, votre main si délicatement posée dans la mienne, je crains qu’on nous prenne simplement pour un couple un peu trop…expressif. »  Après tout ne pourrait-elle pas endosser, malgré elle et aux yeux des autres étudiants, le rôle de la femme comblée par un petit ami qui saurait la surprendre au quotidien ? Car assurément elle n’avait pas l’allure de la femme contrainte et soumise, bien au contraire... Connaitre ses limites en devenait presque un jeu, la menaçant d’un horrible pull si elle ne parvenait pas à découvrir les différents lieux que je m’apprêtais à lui faire visiter. « Même pas peur, je suis plus robuste qu'il n'y parait. » Et si une petite grimace vint traduire son dégoût, elle se revendiquait une nouvelle fois comme une dure à cuir, l’âme d’une rebelle qui ne craignait aucunement de se bruler les ailes.
    Ne pouvant aller à l’encontre de ses paroles pour le moment, nous en virent à prendre la direction du hall avec sourire et prudence, veillant par la même occasion à définir ce que seraient les règles de notre petit jeu. Ainsi il lui était possible de me poser n’importe quelle question tant qu’elles restaient au nombre de trois. « C'est noté. » Instinctivement, mon regard en vint à quitter le sol pour son visage, observant ce sourire plein de malice que je crus déceler dans la tonalité de sa voix. Mhm…pourquoi avais-je cette soudaine impression de m’être fait avoir ? A croire que je la connaissais depuis toujours, savait lire en elle comme dans un livre ouvert.  Non…je devais faire erreur, une telle connexion entre deux individus ne pouvait que relever du domaine de l’impossible. Il n’y avait rien de plus, rien de plus que quelques joutes verbales qui avaient le mérite de maintenir ma bonne humeur. « La fille de Sherlock aurait déjà dit qu'on est sur le chemin pour aller à tel endroit. Personnellement je sais juste qu'on est sur un chemin en béton, fraichement sorti du parc, ça va pas me mener bien loin ni résoudre notre enquête. » Une fois encore elle me soutirait un sourire, l’attirant vers notre objectif par nos mains qui se voulaient  étroitement liées. « Si peu d’indulgence envers vous-même… Sherlock dirait qu’il faut parfois s’armer de patience, mais quelque chose me dit que vous êtes du genre à être impulsive, à suivre votre cœur plutôt que la raison. Je me trompe ? » Telle était l’image que je me faisais d’elle, a tord ou à raison, après tout je ne la connaissais que depuis quelques minutes seulement. Et si au fond je ne m’intéressais guère à ses talents de détective en herbe, le grand Sherlock Holmes m’offrait l’opportunité d’en apprendre davantage sur cette mystérieuse demoiselle. Oui…indéniablement nous étions deux à devoir résoudre une énigme.
    « La curiosité d'une grande école déjà. » Alors que nous franchissions les derniers mètres qui nous séparaient encore du grand hall de l’université, j’en vins à m’intéresser à ses motivations, à ce qui nous valait cette petite visite guidée. « Et le dessin avant tout. Je sais que ça n'a aucune garantie à la sortie mais sincèrement je m'en fou. Je suis jeune, je veux juste faire ce qui me plait. »  Je ne pouvais m’empêcher de rire, forcé de constater combien  je ne m’étais pas trompé un peu plus tôt. Elle se laissait guider par ses émotions, ses envies et ce, peu importe ce que pouvait bien penser son entourage. Nous étions quelques peu semblables, y compris pour nos passions si j’en croyais celle qu’elle nourrissait à l’encontre du dessin. « La raison du cœur avant tout…je ne peux qu’approuver. Tu dessines depuis longtemps ? » Je taisais néanmoins mon habilité à faire taire le mien, n’écoutant mon cœur que trop rarement afin de ne plus avoir à recoller les morceaux.  Bien évidemment je n’en faisais qu’à ma tête, vivais au gré de mes envies. Pour autant je veillais toujours à le censurer lorsque je jugeai le risque trop important pour le laisser s’exprimer.   « Et toi qu'est-ce que tu fais ici? »  A son tour elle succombait à la curiosité, néanmoins l’heure n’était plus aux questions nous concernant, faisant ainsi notre entrée dans le hall où de nombreux étudiants et professeurs entamaient un chassé-croisé pour le moins bruyant. « Je pense savoir où l'on est mais par principe et pour le jeu, j'aimerais au moins te poser une question.»   Son sourire n’annonçait rien de bon, si ce n’est un trop plein de malice qui ne demandait qu’à s’exprimer. « On est où? »   Je roulais des yeux, un large sourire sur les lèvres tout en m’insultant d’une stupidité affligeante. Comment avais-je pu ne pas la voir venir ?  C’était remarquablement bien joué de sa part, néanmoins je refusais de lui offrir pleinement satisfaction, ne répondant qu’à moitié à sa question tout en plaçant sa main tout contre son cœur. « Sur Terre, parmi plus de 7 milliards d’êtres humains voguant vers leurs destins….Là où peut-être tu joueras le tien en écoutant ce que ton cœur te dira. »

    Re: Are you kidding me? | Jane

    Dim 7 Juin 2015 - 21:43
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    Date d'inscription : 06/01/2014
    Identité HRP : Aurore
    Gameplay : troisième personne du singulier - entre 400 et 1500 mots
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Nina Agdal (Cocaïne)
    Nationalité/origines : Argentino-Américaine (origines : Danoises et Argentines)
    Avertissements contenu : Maladies mentales sous traitement (bipolarité et nymphomanie), sexualité exacerbée, grossesse, fausse couche.
    Mention : Pauvreté.
    Orientation & situation : Bisexuelle en couple avec Aaron Campbell
    Métier/occupation : Directrice du Ritz-Carlton
    Études & fraternité/sororité : Etudes en dessin puis marketing à son arrivée à UCLA, membre des Alpha Bêta
    Résidence : Loft spacieux à l'intérieur même du Ritz-Carlton

    Are you kidding me?


    Crier, hurler, appeler à l'aide et au kidnappeur, sincèrement, elle aurait pu. Ne serait-ce que pour le jeu, ne serait-ce que pour le défi. Elle savait que de toute façon, ce jeune homme ne craindrait pas grand chose, elle était très mauvaise actrice quand il s'agissait de faire semblant pour une connerie. Par contre elle était douée pour le mensonge quand ça l'arrangeait mais ça, c'était une autre histoire. Et oui, forcément, il n'avait pas tort, la situation actuelle était à même de seulement faire tourner les regards vers eux, mais sans plus. Elle s'abstenait donc d'émettre le moindre son suspect, se contentant seulement de sourire à la vérité qu'il venait d'énoncer. Un couple expressif... Elle avait presque envie de dire tant mieux, c'était probablement les plus intéressants et les plus déconneurs de tous mais ils n'étaient pas un couple, ils en avaient seulement l'apparence et ils n'étaient pas spécialement bruyants non plus, pour le moment en tout cas. Quoi qu'il en soit, la jeune femme appréciait grandement sa répartie, il n'était pas du genre à se laisser abattre, à se laisser marcher sur les pieds et forcément, ça lui plaisait. Ils étaient un peu de la même trempe tous les deux et dans un sens ça l'aidait à se détendre et à apprécier le moment. Elle serait tombée sur un petit lèche-cul monotone, sans saveur et pro-école au point de lui faire visiter même les toilettes, c'était moins sûr qu'elle aurait apprécié la visite et que cela lui aurait donné envie de rester. Lui par contre savait lui faire apprécier les choses les plus chiantes. Il lui faisait une petite visite guidée un peu spéciale, il avait de l'humour, un peu de considération pour ce qu'elle était, c'était plaisant, il fallait l'avouer. « Si j'ai le temps de savoir si tu es célibataire ou pas, tu as aussi le temps de savoir si je suis du genre impulsive. » Que non, elle ne lui dirait pas maintenant, de toute manière il allait le savoir bien assez tôt, ne serait-ce que dans ses paroles et ses actes.

    En venait alors le cours moment des questions plus personnelles, ces questions dont les réponses allaient construire l'image que la personne en face allait avoir d'elle. Ce qu'elle faisait ici, quelles étaient ses motivations pour prétendre à une place dans cette école. Adélaïde, avait alors répondu avec un franc-parler habituel. Ce qui la motivait c'était le dessin, et accessoirement la danse qu'elle pourrait aussi pratiquer ici sans pour autant l'étudier. Si jusque-là cette passion s'était exprimée sans aucune aide, elle avait soif de connaissances et de pratiques qui peuvent entourer l'univers du dessin. Alors forcément, peu importe si elle se retrouvait serveuse à la fin de ses études ou si elle serait contrainte d'en faire d'autres pour trouver un travail satisfaisant, c'est ce qu'elle voulait faire, c'est ce qu'elle allait donc faire, le plus simplement du monde. « J'ai arrêté de compter il y a longtemps. » Disait-elle en riant, comme si elle était âgée d'une centaine d'années et puis après tout, comme tous les mômes, elle avait commencé à dessiner tôt. « Non, sérieusement, si mes souvenirs sont bons, je me suis vraiment mise dans le dessin quand j'avais neuf-dix ans à peu près. Ça va faire quinze ans à peu de chose près du coup. » Arrivés dans le hall, elle n'eut pas le droit d'avoir de réponse à sa question qu'elle lui avait naturellement renvoyée.

    Elle n'oubliait pas pour autant mais pour le moment, c'était l'heure du jeu en posant LA question à laquelle le jeune homme n'avait probablement pas pensé en inventant ce jeu. Un sourire aux lèvres, elle attendait sa réponse qui ne se faisait pas attendre. Salaud... lui aussi savait bien jouer avec les mots, ça n'en rendrait la visite que plus drôle. « Et mon cœur me dit que je ne porterais pas ce fichu t-shirt parce qu'il me hurle que nous sommes dans le hall et que j'ai forcément raison. » Par ce brouhaha, par les nombreux étudiants qu'elle devinait aisément, par le claquement de certaines portes de casiers. Sans même attendre sa réponse, elle exerçait une légère pression sur la main de son compagnon de visite et s'exclamait alors. « Prochain lieu, je te suis. » Évidemment, puisqu'elle n'avait pas trop le choix de toute façon. Quelques regards se tournaient vers eux, certains amusés, d'autres intrigués et si Adélaïde ne les sentaient pas, elle pouvait tout de même les deviner ne serait-ce que par sa logique humaine qui acceptait volontiers la curiosité d'autrui. « Tout le monde nous regarde parce que t'es sexy ou parce que c'est étonnant de te voir avec une fille en tant que gay? » demandait-elle simplement entre deux rires. Une question WTF qui lui permettait aussi d'apprendre à le connaitre un peu mieux et peut-être même de deviner avec qui elle se trouvait. Bien évidemment, elle ne pourrait pas deviner par cette question qu'il s'agissait du Maël de son passé, mais elle connaissait quelques personnes dans cette université et forcément, elle en connaissait un peu le fonctionnement et savoir s'il était gay, sexy, connu, inconnu lui permettrait de le mettre un peu dans les cases comme Delta ou Phi ou même pourquoi pas un simple étudiant après tout. « Cela dit, je note que tu n'as pas répondu quand je t'ai demandé ce que tu faisais là toi aussi... t'es peut-être un imposteur. » Ouais, vous savez, le genre de personnes extérieures à l'université qui se font passer pour des étudiants juste pour "le style." Après tout, on entrait dans les bâtiments comme dans un moulin et la réputation de l'établissement pouvait donner envie à des petits malins de se faire passer pour qui ils ne sont pas.


    Spoiler :
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    Re: Are you kidding me? | Jane

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