discord
FRATERNITIES, NOW
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

FRATERNITIES, NOWConnexion
Historique  
  • AccueilAccueil  
  • MembresMembres  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Le Deal du moment :
    Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
    Voir le deal
    600 €

    J'crois que je me suis fais mal, c'est grave ? feat. Alexander H. Moon

    Ven 20 Fév 2015 - 1:39
    more_horiz
    Invité
    Anonymous
    Invité
    PROFIL



    Natsya J. Hayes & Alexander H. Moon

    « I need a doctor [..]to bring me back to life  »  


    Parfois faire du sport a aussi ses inconvénients. Disons que cela fait aussi partie des aléas de ce cursus là. Cependant, je ne suis pas du genre à me plaindre pour si peu. En effet, il s'agissait d'un jour où je n'avais pas réellement eu de bol et où je n'avais pas suffisamment vérifié ma condition physique. Courir était de toute façon un besoin vital pour moi alors même si j'étais au courant que je n'étais réellement au top  de ma forme, j'avais quand même voulu faire quelques courses. Sans m'échauffer, à froid, résultat, une foulure ou je ne sais quel autre bricole du jargon médicale. Tout ce que je pouvais dire était que cela me faisait atrocement mal. C'est donc sur le dos d'un étudiant attentionné que je me rendais à l'infirmerie, moi et ma jambe handicapée. Alors qu'il me laissait devant la porte, je le remerciais d'avoir traversé tout le complexe médical avec mon poids sur le dos, je frappais trois coups significatifs, m'attendant à une infirmière incompétente qui allait me passer un doliprane alors que je souffrais le martyr. C'est au contraire sur un homme, plutôt jeune que je tombais. Surprise, je lui riais au nez, rien de bien méchant, je riais simplement de ma propre bêtise et de ma tendance à avoir énormément de préjugés. Je rejoignais avec difficulté un siège devant son bureau et commençait à lui déblatérer mes mésaventures de tantôt.

    « Comme vous pouvez le voir, je crois que je me suis fais mal et pas qu'un peu. C'est déjà un exploit que je puisse vous regarder dans les yeux alors que j'ai l'impression que quelqu'un frappe ma jambe à coup de marteaux, dîtes c'est grave docteur? On va pas m’amputer la jambe pas vrai? »

    Je m'exaspérais moi-même, j'étais incapable de garder mon sérieux même dans ce genre de situation. Ce n'est pas pour rien que l'on m'apparentait souvent à une enfant, je parlais sans vraiment filtrer ce qui sortait de ma bouche. Pas étonnant que certains se soient fâchés après que je leurs ais fais part de mon ressentis sur eux.

    « J'crois qu'on est partis pour se voir souvent. J'suis pas maladroite hein... Non, d'habitude j'fais pas ces erreurs de débutant, j'ai vraiment une endurance de tonnerre mais faut croire que cette fois, quelqu'un m'a jeté une malédiction. Qu'est-ce que je suis censée faire ? Je pourrais recourir demain, n'est-ce pas? »

     
    fiche par century sex.


    Re: J'crois que je me suis fais mal, c'est grave ? feat. Alexander H. Moon

    Sam 21 Fév 2015 - 10:32
    more_horiz
    Aaron S. Tyler
    Aaron S. Tyler
    person
    PROFIL
    Messages : 291
    Date d'inscription : 07/01/2015
    Identité HRP : Natasha/[K] ( [K]#9488 )
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : Shiloh Fernandez, eunoeo
    Nationalité/origines : Américain

    - Natsya & Alex -


    J'étais en train de taper un rapport pour l'hôpital concernant l'un des joueurs de l'équipe de football que j'avais été obligé d'envoyer faire des radios lorsqu'on toqua à la porte. Avant de lever les yeux pour aller ouvrir, je terminais néanmoins ma phrase, puis enregistrais le document soigneusement. Oh, à moins d'une apocalypse zombie, ça n'allait tuer personne d'attendre quelques secondes de plus dans le couloir, si ? Une fois mon job bouclé, je fermais donc mon ordinateur et me levais pour m'approcher de l'entrée, découvrant par la même occasion une énergumène étonnant qui éclata de rire dès que ses yeux se posèrent sur moi. Bon. Je voyais de tout, ici... ça ne serait qu'un cas de plus à ajouter dans mon livre d’anecdotes. « La grande forme ? » J'esquissais un sourire de circonstances, puis fis entrer la demoiselle qui boitilla en direction du siège devant mon bureau. J'aurais pu la laisser faire, mais en voyant sa dégaine, on allait éviter d'attendre qu'elle soit assise pour lui proposer de s'installer directement sur la table d'auscultation. « Comme vous pouvez le voir, je crois que je me suis fais mal et pas qu'un peu. C'est déjà un exploit que je puisse vous regarder dans les yeux alors que j'ai l'impression que quelqu'un frappe ma jambe à coup de marteaux, dîtes c'est grave docteur? On va pas m’amputer la jambe pas vrai? J'crois qu'on est partis pour se voir souvent. J'suis pas maladroite hein... Non, d'habitude j'fais pas ces erreurs de débutant, j'ai vraiment une endurance de tonnerre mais faut croire que cette fois, quelqu'un m'a jeté une malédiction. Qu'est-ce que je suis censée faire ? Je pourrais recourir demain, n'est-ce pas? » Je l'avais écoutée avec toute mon attention, plutôt amusé par ce moulin à paroles qui était néanmoins d'une pâleur significative. La plupart des sportifs avaient tendance à forcer sur leurs blessures avant d'oser enfin venir se faire soigner, alors nous verrons bien pour son cas. « Pour commencer, essaye déjà de respirer un bon coup, d'accord ? Je vais regarder ça... mais si t'as pu marcher jusqu'ici, rassure-toi pour ta jambe, tu devrais pouvoir la garder Enfin... pour le moment. Tu t'es échauffée avant de courir ? » Oui, je tutoyais tous les étudiants et j'avais tendance à leur faire peur pour voir leurs réactions, c'était comme ça et pas autrement, ici. Doucement, je m'approchais donc de ma patiente et commençais à lui palper le mollet pour tenter d'identifier la cause de sa douleur. Je levais les yeux sur elle. « Hm... qu'est-ce qu'on va faire de ça... ? » J'affichais un air très sérieux, puis partis chercher quelques trucs que je rapportais ensuite sur un plateau, ainsi qu'un verre d'eau. « Tiens, prends ça, c'est pour éviter que la nécrose se propage trop vite. » Je lui tendis une pilule ainsi que le verre, sans sourciller. Si nous étions amenés a nous voir souvent, elle apprendrait très vite à ne pas écouter les conneries que je racontais pour éviter de paniquer inutilement.
    extensionauto_awesomeac_unitvolunteer_activism


    When I grow up, I will be strong enough to carry all
    the heavy things you have to haul around with you
    when you're grown up
    - Mathilda

    Re: J'crois que je me suis fais mal, c'est grave ? feat. Alexander H. Moon

    Dim 22 Fév 2015 - 14:01
    more_horiz
    Invité
    Anonymous
    Invité
    PROFIL



    Natsya J. Hayes & Alexander H. Moon

    « I need a doctor [..]to bring me back to life  »  


    Comme tous les médecins que j'avais croisé au cours de ma vie, même si je devais avouer que ma présence dans ces cabinets se faisaient rare, me disaient de respirer calmement dans le but de me calmer. Je devais très certainement apparaître comme une névrosée totalement stressée mais c'était tout l'inverse. Disons qu'à partir du moment où j'avais la certitude que je pouvais courir à nouveau et le plus vite possible, je m'apaisais instantanément. Bien sûr, j'avais souvent tendance à déblatérer mes soucis d'une traite et à ne plus pouvoir m'arrêter de parler, c'est ce qui effrayer les gens en général et j'imaginais bien que ce médecin ne devait pas déroger à la règle. Ce médecin était cynique et ironique, parce que je n'allais pas perdre ma jambe hein. Je riais donc à sa remarque comme je l'avais fait avant d'entrer dans cette salle d'infirmerie et répondait sur le même ton.

    «Puisque je m'entraîne plusieurs fois par jour, que je suis une sportive affirmée et que j'ai l'habitude de m'entraîner, il en va de soit que j'ai oublié de m'échauffer comme une débutante. »

    Je levais les mains en guise de trêve, remuant légèrement la tête avant de finalement avouer que j'avais peut être lésiné un peu sur mes échauffements. «J'avoue que je les ais peut être pas fais correctement mais je les ais fais quand même. » C'est à ce moment là qu'il venait identifier la douleur, comme je l'avais dis tantôt j'étais une sportive, ce n'est pas une égratignure qui allait me tuer seulement là, je ressentais une vive douleur au niveau de ma jambe et précisément au niveau de mon mollet. C'est lorsqu'il palpa légèrement celui-ci que mon expression jusque là très gaie se rembrunissait, je fronçais les sourcils en fermant son toucher ne faisant que plus ravivait cette douleur que j'imaginais musculaire.  Il se parlait à lui-même ensuite comme le faisait la plupart des médecins que je rencontrais et qui semblait avoir une tendance quelque peu schizophrène. «J'sais pas, fais ton boulot peut être,tu soignes, et moi je cours à nouveau. »

    Le ton que j'avais utilisé pouvait être assez froid voir assez insolent, je m'arrangeais toujours pour que ce genre d'affirmations passe tout doucement. En effet, j'avais accompagné cette phrase d'un de mes sourires habituelles quant au tutoiement, je l'avais simplement fait pas mimétisme, un mimétisme que ma fierté devait avoir développé toute seule. Il faut croire que si l'on me tutoie, je tutoierais les gens aussi. Il me tendait ensuite un verre d'eau et une pilule que j'avalais d'une traite qu'il accompagnait d'une phrase censé  me faire peur gardant cette expression impassible du personnage. Mais malheureusement j'avais déjà cerné le personnage, je retournais donc dans un fou-rire avant de lui tapoter l'épaule, pas gêné pour un sou d'établir un contact avec un membre du corps professoral.

    «Un petit rigolo le petit Dr.House là. C'est quoi ça ? »

    Curieuse comme je l'étais ne pouvant pas réellement tenir en place, je manipulais les différents outils que j'avais à portée de main. Je quittais la table d'auscultation et commençais à barbouiller un peu les joujoux médicaux avec lesquels ce médecin devait particulièrement s'amuser toute la journée. Je continuais à regarder un peu autour de moi à chercher une once de vie dans cette petite infirmerie et je m'adressais à ce médecin scolaire.«Tu penses pas réellement que ma jambe va guérir avec une contrefaçon du doliprane? J'suis venue te  parce que je voulais recourir et que cette situation est plutôt inconfortable si tu vois ce que je veux dire, qu'est-ce que j'suis censée faire, j'ai des entraînements importants qui arrive. Oh ? Tu aimes l'art ? »

    Je trouvais un tableau particulièrement jolie que je m'évertuais à zieuter intensément bien que je n'y comprenne pas grand chose. Peut être n'était-ce pas l'un de ses tableaux à lui et que l'on l'avait mis là pour décorer un peu cette salle maladive. Et je dois avouer que ce tableau réussissait quelques peu à amener un peu de couleur dans cette petite salle. «C'est pas triste ici tous les jours? Sans musique, avec des étudiants qui trouve une excuse ça et là pour glandouiller. Ça doit être chiant hein... Il doit s'en passer des belles ici aussi... »

     
    fiche par century sex.


    privacy_tip Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum