—Joshua & Madison—Very good trip
Deux jours avec Madison. Moi ? Nerveux ? Pas du tout... Okay, comme un jeune premier à vrai dire. Elle m'a connu dévasté par une rupture, puis complètement ivre à ne plus me rappeler de la soirée dans son ensemble... et pour finir par échanger des sms un peu... cochons et à la fois plein de confiance avec elle et je sais pas. C'est tellement étrange tout ça que je ne sais pas vraiment comment agir. Et puis je ne sais pas mais, elle est une amie proche d'Alice.. Très proche vu leur échange de langue et j'me dis que si jamais je fais le con, je risque d'avoir des soucis avec le brune et entre nous, c'est la dernière chose qui me fait envie. Un bref soupir se pose sur mes lèvres alors que je me regarde dans le miroir de la salle de bain. Ma tenue est assez basique en y pensant, mais comme le dit si bien Andy, maintenant, je dois faire attention. Je sais que je peux rencontrer des fans dans la rue, ou des paparazzi.... (Truc de ouf cela dit, comme s'ils n'avaient pas quelqu'un de plus important à traquer) et bref. Il faut que je pense à mon image maintenant. Rester chic et décontracté, c'est le mot d'ordre pour coller à ma personnalité et j'écoute mon Manager de cousin parce que faut l'avouer, il a la classe. Mais c'est pas une chose que j'irai lui dire en face à face, juste parce que je n'ai pas envie de voir ses chevilles exploser. Je pense à sa bonne santé. Un dernier regard vers le miroir, puis une touche de parfum et je pars enfin. Aujourd'hui et demain, je n'ai aucun compte à rendre, rien. Si je peux croiser des fans et discuter avec eux, je serai heureux, en attendant, j'ai envie d'agir comme un type normal. Rapidement, je me retrouve à l'aéroport et reste du côté des arrivants avant de tenir entre mes mains la petite pancarte que j'avais fait avec : Hello Miss Fawcett dessus. Je dois aussi parler de la rose rouge qui l'attend dans une des mains ? Oui bon, ça fait romantique, j'ai juste envie de faire les choses bien à vrai dire. Enfin elle arrive et je souris lorsqu'elle pose son regard sur moi. Detroit, nous voilà.