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    Reconstitution [Alice]

    Sam 1 Aoû 2015 - 0:33
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    Invité
    Anonymous
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    Il était venu pour comprendre les anciens crimes non résolus. Il était venu pour étudier. Juste le plaisir de savoir, l’espace d’une soirée, ce que les prédateurs voyaient de la foule des plages de Los Angeles.

    Le soleil, la mer, le vent, le sable ont flatté la peau sous ses pieds. Le soleil, le vent, le sable ont caressé son corps à travers les vêtements. Le soleil, le vent ont étreint le visage.

    Il n’a pas pu s’en détacher facilement.

    Et les éléments l’ont gardé jusque dans la nuit.

    Seul, sans la foule, il ressemble à un fantôme pensif sur la plage. La chemise est blanche, en chaîne de soie et à trame de coton qui rendent les coutures visibles. Les lunettes de soleil devenues inutiles pendent, repliées, à l’encolure de son col. Une branche de lunette entre la chemise et la peau. Le pantalon est découpé dans un mélange beige de lin et de coton. Il marche en chaussures de toile, beiges elles aussi. Il regarde la fin du soleil qui se perd dans la mer.

    22h.

    Il ne reste de la foule que des traces effacées par les vagues. Des bouts de pas, des empreintes de jeux, des stigmates d’objets ramassés.  Il ne reste du soleil que des pépites de chaleur coincées entre les grains de sable. Et de la modernité, il ne reste que la lumière artificielle, projetée près des abris des sauveteurs absents.

    Les jambes se lassent. Les muscles baillent. Il a marché longtemps. Sa voiture est bien plus au nord. Que faire ? Rebrousser chemin ou appeler un taxi ? Un taxi quand on a une voiture… Le comble…

    La fatigue ne laisse pas la réflexion tranquille. La fatigue, c’est une amoureuse qui vous brouille les yeux et l’esprit. Ethan s’assied sur l’escalier de bois qui mène à un de ces abris de sauveteurs. Il se masse la nuque. La peau est chaude. Il n’a pas mal. Pas de coup de soleil. Son regard tombe sur le sable. La lumière artificielle est forte. Dure. Les dénivellations du sable ressortent d’autant plus. Son ombre à lui est courte, car il se trouve près de la source de la lumière. Une autre ombre près de la sienne. Plus fine.

    Il n’avait pas vu l’autre personne. Pas entendu s’il ou elle s’est approchée. Il sursaute.


    - Oh. Bonjour. Ou bonsoir plutôt.

    Il lève son visage vers la personne à qui appartient cette autre ombre. La lumière se jette dans ses yeux. La luminosité mord ses nerfs optiques. Il ne voit plus distinctement. Il plisse légèrement les paupières. Une main veut se lever devant son visage mais elle n’en a pas le temps. Ses pupilles se contractent rapidement sous l’agression des lampes. Le monde redevient précis. La main retombe sur le bois de l’escalier. Une femme apparait sur le fond de ses rétines.

    Re: Reconstitution [Alice]

    Dim 2 Aoû 2015 - 23:10
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    Alice Collins
    Alice Collins
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    Messages : 6456
    Date d'inscription : 23/05/2013
    Identité HRP : Eugénie.
    Gameplay : RP à la 1ère ou 3eme personne, nombre de lignes variable...
    Disponibilité RP : Disponibilité Limitée
    Avatar (+ crédits) : Emily Didonato (c) lempika
    Nationalité/origines : Américaine.
    Avertissements contenu : Dépression postpartum.
    Orientation & situation : Maman célibataire.
    Métier/occupation : Professeur de danse dans une école prestigieuse.
    Études & fraternité/sororité : A étudié la danse et le théâtre. Ancienne Alpha Beta.
    Résidence : Appartement dans le Northeast avec son fils Tom et Riley, sa meilleure amie.
    Elle n’est pas solitude.
    Ni quiétude.
    Et encore moins amertume.

    D’ordinaire, Alice est un brin de femme qui a tendance à prendre trop de place, partout où elle va, et partout où elle est. Une façon d’être incontrôlable qui plaît, qui emballe et qui fascine parfois… Qui intrigue, qui agace et qui épuise, pour les moins chanceux qui croisent son chemin. Ses frères et ses proches ont fini par abandonner l’idée de vouloir la faire changer, puisqu'après tout on ne le répétera jamais assez, que “cette fille est irrécupérable”. A force, ça rentre dans les esprits. A force, on s’y fait. A-t-on le choix ?

    Elle dévore la vie à pleines dents.
    Par peur d’en laisser quelques miettes sur le côté, et de le regretter un jour.

    Car les regrets sont trop amers. La jeune fille devenue femme l’a appris avec le temps, bien malgré elle.


    Elle n’est pas solitude, ni quiétude et encore moins amertume. Pourtant, ce soir, ce sont des sentiments qui la visitent et qu’elle cesse de combattre, elle l’humaine si entêtée, si gourmande. Du bord de l’océan s’échappe ce parfum si particulier, qui ne ressemble ni à l’iode ni au sel marin, comme l’on pourrait le dire partout. Elle qui préfère tant l’effervescence de la ville, elle oublie souvent combien cela peut être agréable de marcher sur le sable pieds nus, en temps nocturne, avec pour seuls compagnons la nature reine et les bruits lointains, de quelques klaxons pressés.

    Cela n’est jamais simple, mais elle est parvenue à se déconnecter. Sans pour autant s’adonner à une quelconque technique de méditation, Alice a réussi à oublier son quotidien. Se laissant uniquement bercer par la mélodie régulière du remous de l’océan, elle avance au bord de l’eau sans songer à ce qu’il y a derrière elle. Elle se laisse entraîner, seulement, en profitant de cet état d’apaisement presque extraordinaire dans lequel elle se trouve.

    Mais à quel point un coeur peut-il se déconnecter, lui ?

    Là-bas, sur la marche de cet abris en bois. Un homme vêtu de blanc et de beige, deux couleurs coton qui resserreront à jamais son cœur exalté. Son prénom lui vient à l’esprit. Elle relève ses prunelles sur ce visage, sur ce profil qui la paralyse. Sa voix revient hanter son esprit. Son sourire, elle le revoit…  

    Cela ne peut pas être lui. Cela ne peut pas être lui. Cela doit être lui.

    C’est plus fort qu’elle, ses pas l’emmènent face à la silhouette si follement ressemblante de celui qu’elle a aimé pendant des jours et des jours, pendant des nuits et des nuits, à en devenir presque dépendante. Alice, loin d’être sujette à l’éblouissement, fixe celui qu’elle voudrait appeler Edgar mais qui lui ôte un moment tous les mots de la bouche.

    - Oh. Bonjour. Ou bonsoir plutôt.

    Et le timbre de sa voix, comme si ce n'était pas suffisant.

    Il ne doit pas la voir pâlir, et tressaillir.
    Cela ne peut pas être la réalité ; il l’aurait reconnue au premier coup d’oeil, même flou.
    Folle déception. Frustration. … Fugue ?

    – Je… Vous…

    Que faire ? Que dire ? “Bonsoir” ? Déjà que la politesse n’est pas toujours sa plus grande priorité…

    – Vous lui ressemblez tellement… A Edgar…

    Elle ne le quitte pas des yeux, complètement chamboulée et perdue, ce qui n’échappera sans doute pas à cet inconnu.
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    Reconstitution [Alice] 04b70b68dce47dea7bafc7533182d3637d9f0fe0
    Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen

    Re: Reconstitution [Alice]

    Ven 7 Aoû 2015 - 15:10
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    Invité
    Anonymous
    Invité
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    Elle a ouvert la bouche, pour prononcer des mots. Mais les sons et les phonèmes sont restés manquants.

    La mécanique de la parole lui a échappé.


    – Je… Vous…

    La mécanique de la parole a déraillé.

    Elle a l’allure des jeunes princesses sans couronne et sans corset. Elle a la silhouette des femmes qui brillent aux soirées des stars de cinéma. Elle a le corps des naïades qui fleurissent sur les magazines de papier glacé. Ces femmes, qu’Ethan, en cavalier de sa mère, a si souvent croisées. Ces créatures qui toisent le monde et assaillent le destin.

    Elle aurait dû pouvoir parler. Il la regarde, cette bouche enrayée. Ces lèvres qui auraient dû articuler, sans gêne et sans effort.

    C’est beau, une femme qui a toutes les forces et qui ne peut en utiliser aucune. C’est une microfissure de l’évidence. Une perte de cohérence. Une fragilité d’absence rare comme une perle rouge. Qu’on n’ose pas toucher, de peur de la briser. A qui on n’ose pas parler, de peur de la ternir.


    – Vous lui ressemblez tellement… A Edgar…
    - Edgar…

    Ethan a à peine soufflé le prénom. Il ne sait pas s’il doit donner le sien. « Edgar » a la sonorité des siècles passés. La noblesse britannique et la concision des hommes qui n’aiment pas discuter. « Ethan » a la douceur des hommes modernes. Le chuintement américain et la concision des murmures soupesés. Peut-on apposer un prénom si différent derrière un prénom si chargé d’histoire ?

    Il ne donne pas son prénom. Pas tout de suite. Les fantômes ont besoin de temps pour disparaitre sans laisser de traces.

    Il lui tend la main. Il lui tend la main lentement, si lentement qu’un oiseau ne s’envolerait pas. Il lui tend la main, la paume ouverte tournée vers le haut, le bout des doigts légèrement recourbés, en coupe de chair longue et fine, tendre et passagère. Pour ne rien brusquer de la gangue de vulnérabilité qui entoure la femme. Pour la laisser délicate dans ses souvenirs et ses troubles. Parce qu’elle doit être belle en femme forte, mais qu’elle est sublime en femme fragile.


    - Voulez-vous vous assoir ?

    Il y a de la place près de lui, sur l’escalier qui mène à l’abri des sauveteurs. Il y a une place comme une aspiration d’air.

    Les commissures de ses lèvres à lui se relèvent un peu, les sillons qui entourent sa bouche soulignent le sourire. Et ses yeux perdent leur cristallisation pour se fléchir sous les cils bruns. La surprise passée, ne reste que l’envie de l’apaiser elle. Et d’oublier. Oublier qu’il n’est pas l’homme qui la marquée. Oublier qu’il n’est qu’une image sur laquelle les souvenirs se jettent. Oublier qu’il sera, de nouveau, l’homme que l’on ne désirait pas rencontrer.

    Mais qu’importe ?


    - Je vous le promets, je serai gentleman.

    Re: Reconstitution [Alice]

    Lun 7 Sep 2015 - 14:09
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    Alice Collins
    Alice Collins
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    Identité HRP : Eugénie.
    Gameplay : RP à la 1ère ou 3eme personne, nombre de lignes variable...
    Disponibilité RP : Disponibilité Limitée
    Avatar (+ crédits) : Emily Didonato (c) lempika
    Nationalité/origines : Américaine.
    Avertissements contenu : Dépression postpartum.
    Orientation & situation : Maman célibataire.
    Métier/occupation : Professeur de danse dans une école prestigieuse.
    Études & fraternité/sororité : A étudié la danse et le théâtre. Ancienne Alpha Beta.
    Résidence : Appartement dans le Northeast avec son fils Tom et Riley, sa meilleure amie.
    Elle a cru à une illusion, à un mirage. Un qu’elle n’aurait pu caresser que des yeux, ou effleurer que du bout des doigts… Pourtant elle entre dedans, pieds et poings liés, comme une enfant attirée par une madeleine charmeuse. Mais peut-on réellement se fondre dans un mirage ? N’est-ce pas censé être qu’une métaphore littéraire dénuée de consistance palpable  ? Alice est loin de ces interrogations abstraites ; elle semble avoir quitté le réel. Lorsque son regard croise celui de l’homme, tout son être n’est plus que confusion, trouble et émoi.


    Confusion…
    Cela ne peut pas être lui.

    Trouble…
    L’enveloppe corporelle, la texture de la peau, le regard, les tâches de rousseur, les mains fines et délicates… évoquent des souvenirs qui n’appartiennent qu’à lui.

    Émoi…
    Elle était sienne. Il était sien. Et c’était ça, leur valeur de l’infini.


    Voit-il combien sa seule présence a suffi à la perdre dans des méandres fumeux ? Elle qui ne se laisse d’ordinaire pas démonter de la sorte, oh non, jamais si facilement. Et surtout pas de cette façon-là.

    En fait… N’est-ce pas elle, qui préfère démonter les gens, pièce par pièce, pour jubiler ensuite et se sentir puissante ?


    Une main se lève, se tend et s’ouvre, face au ciel étoilé. Alice la regarde, et son cœur se met à vibrer, par tant de souvenirs bousculés. Figée, elle se retrouve happée par des vestiges qu’elle avait jusqu’alors réussis à oublier, mais qui jamais ne s’effaceront complètement. Tout ce que ses mains avaient été capables de faire et de dire, si précisément.


    Des effleurements, des murmures… Des chocs, des grondements, oh.



    Elle déglutit, et ses paupières se ferment, pendant une seconde entière, peut-être deux. Combinaison stérile. Il est toujours là, quand elle rouvre ses yeux. Et cette main n’a pas bougé d’un poil. Alors la jeune femme fronce légèrement les sourcils et retourne chercher son regard, si transperçant.


    Edgar s’accordait à la vie comme l’océan s’accorde aux caprices du vent. Il était si calme, la plupart du temps. Mais dès qu’un élément perturbateur venait le déstabiliser, il répondait par les grands mots et les grands gestes ; il était violence. Cet homme, cet étranger, n’est que douceur. Comme l’océan qui dort paisiblement sous le voile nocturne. Alice, à l’évidence, n’en est que plus bouleversée.


    Pourtant elle ne peut résister à l’appel. Sa main vient se loger dans celle de l’inconnu, avec une timidité si rare, presque choquante. Elle se laisse guider et se retrouve bientôt à côté de lui, sur cette marche de bois blanc. La parole aurait pu être sa première arme, ou défense, mais contre toute-attente, c’est le silence qui réussit à l’entourer. Quelques longues secondes pendant lesquelles elle tente de recouvrer ses esprit, et cela passe par une nouvelle observation des traits du visage de cet homme. Sans cérémonie elle tourne son visage vers lui et se délecte autant qu’elle s’effraie du portrait, si ressemblant, qui lui fait face.

    – Vous m’assurez que vous n’avez aucun lien de parenté avec un dénommé Edgar, alors ?

    Sa voix est douce, plutôt calme. Malgré cela, on sent le penchant de sa question. Quant à ses yeux, ils expriment son besoin d’être rassurée…  Frappée. Ramenée à la réalité.

    – Je ne suis pas folle. Juste…

    Reprise de conscience.

    Les paupières d’Alice s’abaissent à nouveau et elle se retourne vers l’océan, soudainement mal à l’aise.

    – Enfin, imaginez-vous face au sosie de votre premier amour… C’est… C’est affreux.

    Le mot du cœur, tremblant. Si sincère et astronomique à la fois.
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    Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen

    Re: Reconstitution [Alice]

    Lun 21 Sep 2015 - 18:03
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    Elle détaille.  Elle examine. Elle sonde. Le visage, tache de rousseur par tache de rousseur. Il ne sent pas quoi faire, à part se laisser faire. Il a l’impression de ressentir le regard de la femme sur sa peau. Comme si un enfant aveugle parcourait son visage de ses doigts légers.

    Elle lui demande une fin. Un terminus d’errance-souvenir. Sa voix est celle d’une jeune fille qui a trop rêvé. Il lui donne l’épilogue demandé, il lui ouvre la porte du passé, vers un présent tellement vide d’Edgar.


    - Je l’assure… Je ne connais aucun Edgar. Je m’appelle Ethan.

    Quelque chose se crispe en elle. Un certain mal-être. Une distorsion de l’être. L’aujourd’hui est parfois plus malaisé à confronter que l’hier. Elle se tourne vers la mer. Elle a peut-être raison. L’eau immense noie toutes les émotions.

    Elle lui parle de l’autre, au prénom anglais suranné. Disparu. Aimé. Effroyablement encore réel pour elle. A-t-on le droit de disparaître quand on tient tant de place dans le cœur d’une personne ?

    Ethan aurait pu ressembler à beaucoup d’hommes. Il a fallu que ce soit à un homme aimé.


    - Je suis désolé.

    Il murmure.

    Ce n’est pas la première fois qu’il présente des excuses pour son physique. Il n’a jamais été l’archétype du mannequin de papier glacé. Mais c’est la première fois qu’il présente ses excuses pour ressembler à un amour révolu.

    Et il a du mal à concevoir. S’il revoyait le sosie de la première femme qu’il a aimée, que lui dirait-il ? Serait-il si troublé ? Regretterait-il ? Voudrait-il savoir si elle a le même caractère ? Un ami qui lui ressemble à lui ? Serait-il peiné, serait-il désolé ?

    Il ne sait pas…

    Que dit-on à une femme que le passé rattrape ? Doit-il la pousser à parler, à s’épancher ? Doit-il la pousser à regarder demain, à oublier ?


    - Ça devait être un amour sincère pour vous donner tant d’émotion ?

    Il a choisi la première option. Les mots sont de bons catalyseurs. D’incroyables épurateurs du cœur. Ils drainent la peine en la faisant vibrer dans l’air. Qu’elle s’épanche donc, pense Ethan. Il n’a rien à faire de toute façon. Sa voiture ne démarrera pas sans lui, sa grille horaire de professeur ne changera pas demain.

    - Edgar est-il décédé ? La première femme que j’ai aimée est décédée.

    C’était il y a huit ans et s’il la revoyait… Tout compte fait, il serait plus choqué encore.

    Certaines questions, quand on les observe après les avoir prononcées, on se demande comment on a pu osé les prononcer… La mort pour la mort, ce n’était pas le meilleur sujet pour lui remonter le moral.


    - Excusez-moi, la question était indiscrète.

    Re: Reconstitution [Alice]

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