Strangers in paradise.
Alice Collins & Tristan Renner
▬ ‘‘Ce n’est pas la peine de venir aujourd’hui, je pense m’occuper moi-même du jardin pour faire quelques ajustements. Profitez de vos vacances pour vous reposer. Au revoir.’’
Tutututut…
Tristan regarde l’ensemble du jardin qui s’étend sur de nombreux mètres carrés. Il possède une grande maison que l’on appelle la « Villa des Roses » en l’hommage aux nombreuses variétés qui trônent autour de cette immense bâtisse. C’est aussi pour cette raison que Tristan a acheté cette villa après le divorce, elle respirait une certaine quiétude.
Mais un si beau jardin mérite aussi un bon entretien pour le rester ainsi : magnifique. Parfois, il prenait son après-midi pour s’en occuper. Il n’est pas autant dans son travail qu’on le pense, il est bien obligé de décrocher sinon les personnes de l’inspection du travail se poseront des questions.
Le doyen enfile sa salopette par-dessus un tee-shirt blanc plutôt banal et entame ses travaux. Au début, il ne pensait pas fatiguer. Après tout, ce ne sont que des travaux de désherbages, de plantations d’arbustes et bien d’autres entretiens.
Mais il faut bien l’avouer : le soleil californien est un véritable tortionnaire en cette période. Tristan a finit par abandonner le tee-shirt sur la brouette et laisser la salopette tomber sur ses cuisses. Le soleil frappe sur sa peau comme un steak qui grille sur une plaque chauffée.
Il ne sent rien. Il travaille à son labeur sans rechigner. Il apprécie la fraicheur de l’eau quand il boit enfin. Mais il croit apercevoir un visage au loin alors qu’il dépose la bouteille sous la brouette. Il n’arrive pas vraiment à savoir si c’est un rôdeur ou un simple curieux. Tristan décide de prendre la direction d’un petit chemin sur le côté pour arriver à la hauteur de ce petit mur de pierre.
Il avait envisagé de l’augmenter mais n’a jamais trouvé le temps, comme par hasard. Une silhouette prend forme au fur et à mesure qu’il s’approche.
▬ ‘‘Je peux vous aider ?’’ dit-il en reconnaissant ce visage plus que familier.
Hasard ou Folie ?
Cette fille. Pardon. Cette femme a décidé de le suivre au delà de l'université, il se refuse à la juger hâtivement. Il espère que le hasard ait mené cette demoiselle devant les murs de son domaine.
Tutututut…
Tristan regarde l’ensemble du jardin qui s’étend sur de nombreux mètres carrés. Il possède une grande maison que l’on appelle la « Villa des Roses » en l’hommage aux nombreuses variétés qui trônent autour de cette immense bâtisse. C’est aussi pour cette raison que Tristan a acheté cette villa après le divorce, elle respirait une certaine quiétude.
Mais un si beau jardin mérite aussi un bon entretien pour le rester ainsi : magnifique. Parfois, il prenait son après-midi pour s’en occuper. Il n’est pas autant dans son travail qu’on le pense, il est bien obligé de décrocher sinon les personnes de l’inspection du travail se poseront des questions.
Le doyen enfile sa salopette par-dessus un tee-shirt blanc plutôt banal et entame ses travaux. Au début, il ne pensait pas fatiguer. Après tout, ce ne sont que des travaux de désherbages, de plantations d’arbustes et bien d’autres entretiens.
Mais il faut bien l’avouer : le soleil californien est un véritable tortionnaire en cette période. Tristan a finit par abandonner le tee-shirt sur la brouette et laisser la salopette tomber sur ses cuisses. Le soleil frappe sur sa peau comme un steak qui grille sur une plaque chauffée.
Il ne sent rien. Il travaille à son labeur sans rechigner. Il apprécie la fraicheur de l’eau quand il boit enfin. Mais il croit apercevoir un visage au loin alors qu’il dépose la bouteille sous la brouette. Il n’arrive pas vraiment à savoir si c’est un rôdeur ou un simple curieux. Tristan décide de prendre la direction d’un petit chemin sur le côté pour arriver à la hauteur de ce petit mur de pierre.
Il avait envisagé de l’augmenter mais n’a jamais trouvé le temps, comme par hasard. Une silhouette prend forme au fur et à mesure qu’il s’approche.
▬ ‘‘Je peux vous aider ?’’ dit-il en reconnaissant ce visage plus que familier.
Hasard ou Folie ?
Cette fille. Pardon. Cette femme a décidé de le suivre au delà de l'université, il se refuse à la juger hâtivement. Il espère que le hasard ait mené cette demoiselle devant les murs de son domaine.
AVENGEDINCHAINS