Maggie était partie depuis un mois, un long mois. J'avais vue défilé les minutes à la lenteur d'un escargot. Croyez-moi, c'est une torture. Elle me manque. Oh oui elle me manque. Une photo d'elle planquée dans ma poche à chaque instant n'a pas su faire disparaître le vide en moi. Notre dispute, ou du moins le silence que son faux pas à créé m'est insupportable. J'en peux plus. Je veux la voir. Je veux casser ce froid. Je veux la tenir dans mes bras. Je veux l'embrasser. Oh oui je veux sentir ses lèvres contre mes lèvres.
Cette attente est bien trop longue et je n'ai pas envie de me lamenter sur comment j'irais la voir, savoir si elle a assez réfléchie, si elle veut faire un bout de chemin. J'en ai marre de me torturer l'esprit depuis un mois. Sortir mon portable pour l'appeler mais ne pas le faire. Plus de doute. Il faut que je fonce. Je ne veux pas la perdre. C'est définitif, je ne veux pas la laisser partir tout ça parce qu'elle a un peu trop bu et c'est marié à un gars. Bon ok c'est chelou mais, je sais pas, peut-être qu'elle ne sentira l'obligation de faire des bêtises en étant avec moi. Non, Noah, vraiment, arrête de penser, tu t'embrouilles, merde, tu t’en fous qu'elle soit accroc au crac, qu'elle ai déjà des gamins, qu'elle soit alcoolique ou je ne sais quoi encore, c'est elle que tu aimes et c'est bien suffisant.
Ce matin là, le jour de son retour, que j'avais attendu avec tant d'impatience, qui ne m'a pas fait fermer l'oeil de la nuit, je me suis levé, sourire aux lèvres. Rien ne pouvais gâcher cette journée magnifique qui s'offrait à moi. Je ne veux pas envisager une défaite, juste une belle victoire avec la fille de mes rêves à la clé. J'avais saisis mon portable et avait appelé une location de limousine avec chauffeur, je ne voulais rien faire à l'arrache, je voulais que ce soit les plus belles retrouvailles qui puissent exister. Et puis, j'étais Jake Renfield, rien ne pouvait me contredire. C'est dans des situations comme ça que tu es content d'avoir un nom et de l'argent à gogo. Je n'étais pas un fervent adorateur de l'argent, ni cupide à souhait, j'étais un pauvre gamin de la société actuelle.
Une fois la limousine commandée, je courra sous la douche pour me frotter et me faire briller dans les moindres recoins. Je devais être parfait ! Une fois ma douche faite, j'accrochai une serviette autour de ma taille et me dirigea vers mon dressing pour choisir le bon costard. Enfaîte, j'hésitais à venir un petit décontracte mais sexy ou classe et canon. Mais je m'arrêta après mainte et mainte réflexions à un costard deux pièces bleu marine et une chemise blanche. Je posa le tout sur mon lit et retourna me sécher dans la salle de bain et enfiler mon boxer fétiche. Je me planta devant l'immense miroir et me tritura les cheveux pour leur donner une bonne position avant qu'ils sèche et de devoir mettre une tonne de gel. Une fois le tour joué j'enfilai ma chemise, que je ne boutonna pas avant de descendre en bas pendre de la cire pour chaussure et mes chaussures. Je pris ma paire noire à bout légèrement pointu, en mode homme d'affaire et remonta vite fait dans ma chambre. Je ferma ma chemise et enfila mon pantalon, je mis la dernière dans celui-ci et commença à cirer mes chaussures avant de mettre mes chaussures. Je jeta un dernier coup d'oeil dans le miroir voir si tout était parfait, enfila ma veste et déboutonna quelque boutons en hauts pour faire plus décontracte. Je me brossa vite fait les dents, en espérant pas m'en mettre de partout, j'avais totalement oublié de le faire mais mon haleine était super importante. Je m’aspergea de parfum Chanel et attrapa mon portable pour descendre en trombe en bas et sortir deux coupes et une très bonne bouteille de champagne dans la cave. J’eus à peine le temps de sortir le tout que la limo arriva au portail, j'ouvris celui-ci et sortis un sceau à champagne et y mit la bouteille avant de la recouvrir de glaçon pour la garder au frais. J'entra dans la limo, remerciant le chauffeur et lui donnant une liasse de billet. «Bonjour, euh, je ne sais pas comment ça va se passer mais si je tape à votre vitre ce sera pour dire qu'il faut prolonger le parcours avant d'arriver à destination. » Je lui souris et installa le tout à l'intérieur de la limo avant de partir pour l'aéroport où Maggie devrait arriver sous peu. J'angoissais carrément mais il fallait que je prenne une allure sûr et plutôt sexy.
Une fois arrivé à destination, je me donna quelques petites claques avant de sortir de la limousine et m'appuyer contre elle et attendant que son avion.
Cette attente est bien trop longue et je n'ai pas envie de me lamenter sur comment j'irais la voir, savoir si elle a assez réfléchie, si elle veut faire un bout de chemin. J'en ai marre de me torturer l'esprit depuis un mois. Sortir mon portable pour l'appeler mais ne pas le faire. Plus de doute. Il faut que je fonce. Je ne veux pas la perdre. C'est définitif, je ne veux pas la laisser partir tout ça parce qu'elle a un peu trop bu et c'est marié à un gars. Bon ok c'est chelou mais, je sais pas, peut-être qu'elle ne sentira l'obligation de faire des bêtises en étant avec moi. Non, Noah, vraiment, arrête de penser, tu t'embrouilles, merde, tu t’en fous qu'elle soit accroc au crac, qu'elle ai déjà des gamins, qu'elle soit alcoolique ou je ne sais quoi encore, c'est elle que tu aimes et c'est bien suffisant.
Ce matin là, le jour de son retour, que j'avais attendu avec tant d'impatience, qui ne m'a pas fait fermer l'oeil de la nuit, je me suis levé, sourire aux lèvres. Rien ne pouvais gâcher cette journée magnifique qui s'offrait à moi. Je ne veux pas envisager une défaite, juste une belle victoire avec la fille de mes rêves à la clé. J'avais saisis mon portable et avait appelé une location de limousine avec chauffeur, je ne voulais rien faire à l'arrache, je voulais que ce soit les plus belles retrouvailles qui puissent exister. Et puis, j'étais Jake Renfield, rien ne pouvait me contredire. C'est dans des situations comme ça que tu es content d'avoir un nom et de l'argent à gogo. Je n'étais pas un fervent adorateur de l'argent, ni cupide à souhait, j'étais un pauvre gamin de la société actuelle.
Une fois la limousine commandée, je courra sous la douche pour me frotter et me faire briller dans les moindres recoins. Je devais être parfait ! Une fois ma douche faite, j'accrochai une serviette autour de ma taille et me dirigea vers mon dressing pour choisir le bon costard. Enfaîte, j'hésitais à venir un petit décontracte mais sexy ou classe et canon. Mais je m'arrêta après mainte et mainte réflexions à un costard deux pièces bleu marine et une chemise blanche. Je posa le tout sur mon lit et retourna me sécher dans la salle de bain et enfiler mon boxer fétiche. Je me planta devant l'immense miroir et me tritura les cheveux pour leur donner une bonne position avant qu'ils sèche et de devoir mettre une tonne de gel. Une fois le tour joué j'enfilai ma chemise, que je ne boutonna pas avant de descendre en bas pendre de la cire pour chaussure et mes chaussures. Je pris ma paire noire à bout légèrement pointu, en mode homme d'affaire et remonta vite fait dans ma chambre. Je ferma ma chemise et enfila mon pantalon, je mis la dernière dans celui-ci et commença à cirer mes chaussures avant de mettre mes chaussures. Je jeta un dernier coup d'oeil dans le miroir voir si tout était parfait, enfila ma veste et déboutonna quelque boutons en hauts pour faire plus décontracte. Je me brossa vite fait les dents, en espérant pas m'en mettre de partout, j'avais totalement oublié de le faire mais mon haleine était super importante. Je m’aspergea de parfum Chanel et attrapa mon portable pour descendre en trombe en bas et sortir deux coupes et une très bonne bouteille de champagne dans la cave. J’eus à peine le temps de sortir le tout que la limo arriva au portail, j'ouvris celui-ci et sortis un sceau à champagne et y mit la bouteille avant de la recouvrir de glaçon pour la garder au frais. J'entra dans la limo, remerciant le chauffeur et lui donnant une liasse de billet. «Bonjour, euh, je ne sais pas comment ça va se passer mais si je tape à votre vitre ce sera pour dire qu'il faut prolonger le parcours avant d'arriver à destination. » Je lui souris et installa le tout à l'intérieur de la limo avant de partir pour l'aéroport où Maggie devrait arriver sous peu. J'angoissais carrément mais il fallait que je prenne une allure sûr et plutôt sexy.
Une fois arrivé à destination, je me donna quelques petites claques avant de sortir de la limousine et m'appuyer contre elle et attendant que son avion.