I adore you and it is stronger than me: I protect you
« Ça suffit ce comportement de faible. » Je le regardai d’un sale œil ce type, comment il pouvait se regarder dans un miroir en tenant de tel propos sur ses propres patients ? Je pouvais concevoir qu’on ne devait pas se laisser aller à nos émotions quand on perdait un patient, je voulais bien et je le comprenais, mais rester droit et souriant face à la mort d’un enfant, cela m’étais inconcevable. Je n’étais sans doute pas fait pour ce travail. Ce n’était pas un rêve de gosse, tout au contraire je me voyais maître du ballon ovale en compagnie de mes meilleurs potes. Le sport avait toujours fait partie de ma vie, je ne pouvais pas rester à ne rien faire , j’étais du style à faire toutes sortes de sport puis le cancer de ma mère était arrivé avec les faiblesses de cette dernière. J’ai souvent été accusé de délaisser mes potes, mais que ne comprenaient-ils pas dans le faîte que ma mère allait mourir ? Ils avaient tous des problèmes avec la leurs , mais moi elle était la seule à avoir toujours était là malgré tous ses voyages qu’elle faisait pour son métier de mannequin. Je m’en fichais des paroles de mes frères, cette famille que j’avais choisi pendant mes années lycée, j’étais conscient que j’allais sans doute tomber de haut en faisant ça, mais tout au contraire cette famille ne m’avait pas laissé tomber malgré que moi je les avais mis de côté pour soutenir et tenir la main de ma mère dès qu’elle se sentait faiblir contre sa maladie. Pour connaître les vrais raisons de mon engagement envers ce métier, il faut me connaître depuis toujours ou alors être une personne en qui j’ai aveuglement confiance , malheureusement ma confiance je ne la confie pas ainsi et j’en prends soin. Je n’avais pas quitté l’endroit où j’étais , je restais la planté face à ce type qui avait à peine deux ans d’études de plus que moi et ma main se serrait de plus ne plus fort sur elle-même, j’étais toujours à deux doigts de péter un câble avec ce mec, combien de fois il a eu de la chance que je pense à elle : ma mère pour ne pas se prendre mon poing. Un chanceux ce mec, mais il faudrait qu’il se méfie ,car la roue tourne fort souvent. Je soufflais et le laissait planter là comme un bouffon. J’avais qu’une envie m’en aller pour respirer et m’éloigner de ce fichu mec qui me mettait hors de moi assez facilement. Heureusement pour moi, ma journée de travail était à présent terminée alors je sortis de l’hôpital, me posant un tas de question sur ce que j’allais bien pouvoir faire ce soir.
J’avais traînassé toutes la fin de journée dans mon lit devant la télé en compagnie de mon chien. Je n’arrivais pas à émerger correctement de cette petite sieste qui m’avait été plus fatale que bénéfique à en croire la tête que j’avais face au miroir de la salle de bain. Je me sentais assez mal, pourtant je n’avais pas envie de rester chez moi à broyer du noir, j’avais beau jouer au fort actuellement je perdais largement mes moyens face à cette mort que j’avais dû affronter la vielle. Je n’arrivais plus à effacer le visage de la grande sœur meurtrie par le fait d’avoir perdu sa petite sœur, je me revoyais moi-même quand j’avais dû vivre la fin de vie de ma mère, j’étais pourtant plus vieux qu’elle et sans doute plus solide, mais chaque mort est différente et surtout vécu différemment par les personnes. Une bonne douche et j’étais enfin reparti, du moins je m’en donnais l’air, j’étais plutôt bonne acteur en réalité. Je marchais paisiblement dans le quartier le plus chaud de Los Angeles et pourtant ce dernier était mon préféré. Je ne parvenais pas à faire autrement qu’à adorer ce quartier, il y avait tout pour s’amuser et surtout pour tous les goûts. J’adorais me lâcher dans les clubs et ne penser à rien d’autre qu’à faire la fête. Ma soirée et ma nuit étaient supposé être dans le même élan que l’amusement, mais en voyant cette brune sortir d’une boîte chaude avec un mec que j’avais déjà vu auparavant venait de changer tous mes plans en à peine quelques secondes. Maudite surprotection. Je n’allais pas être le seul à penser cela dans quelques minutes. J’avançais vers la jeune femme qui se laisser faire et qui allait finir pratiquement nue sur la voie publique. Je soufflais sentant mon énervement se montrait de plus en plus virulent. « Lâche là, mec sinon je te refais le portrait comme je l’ai fait y trois semaines. » Je le regardai avec mon air de mauvais garçon ne laissant aucun des deux réagir à mes paroles avant de rajouter plus méchamment. « CASSE-TOI ! »
J’avais traînassé toutes la fin de journée dans mon lit devant la télé en compagnie de mon chien. Je n’arrivais pas à émerger correctement de cette petite sieste qui m’avait été plus fatale que bénéfique à en croire la tête que j’avais face au miroir de la salle de bain. Je me sentais assez mal, pourtant je n’avais pas envie de rester chez moi à broyer du noir, j’avais beau jouer au fort actuellement je perdais largement mes moyens face à cette mort que j’avais dû affronter la vielle. Je n’arrivais plus à effacer le visage de la grande sœur meurtrie par le fait d’avoir perdu sa petite sœur, je me revoyais moi-même quand j’avais dû vivre la fin de vie de ma mère, j’étais pourtant plus vieux qu’elle et sans doute plus solide, mais chaque mort est différente et surtout vécu différemment par les personnes. Une bonne douche et j’étais enfin reparti, du moins je m’en donnais l’air, j’étais plutôt bonne acteur en réalité. Je marchais paisiblement dans le quartier le plus chaud de Los Angeles et pourtant ce dernier était mon préféré. Je ne parvenais pas à faire autrement qu’à adorer ce quartier, il y avait tout pour s’amuser et surtout pour tous les goûts. J’adorais me lâcher dans les clubs et ne penser à rien d’autre qu’à faire la fête. Ma soirée et ma nuit étaient supposé être dans le même élan que l’amusement, mais en voyant cette brune sortir d’une boîte chaude avec un mec que j’avais déjà vu auparavant venait de changer tous mes plans en à peine quelques secondes. Maudite surprotection. Je n’allais pas être le seul à penser cela dans quelques minutes. J’avançais vers la jeune femme qui se laisser faire et qui allait finir pratiquement nue sur la voie publique. Je soufflais sentant mon énervement se montrait de plus en plus virulent. « Lâche là, mec sinon je te refais le portrait comme je l’ai fait y trois semaines. » Je le regardai avec mon air de mauvais garçon ne laissant aucun des deux réagir à mes paroles avant de rajouter plus méchamment. « CASSE-TOI ! »
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