Une journée de travail achevée, voilà que t’arrives enfin chez toi, prêt à te détendre. L’appart était vide quand t’es arrivé, signe qu’Ezra n’est pas encore rentré. Du moins, s’il compte le faire ? T’en es pas sûr, mais il te préviendra sans doute. Le chien te fait la fête, mais t’as pas trop le temps de jouer avec, tu rêves d’une bonne douche. Alors t’attends pas plus longtemps et tu pars dans la salle de bain. T’as l’impression de laisser partir toute ta frustration de la journée quand les jets d’eau se mettent à couler sur ta peau. T’écoutes ta musique, danse tranquillement, sans te préoccuper du monde autour. C’est le genre de moment que t’adores, ceux où t’as l’impression d’être en phase avec toi-même, où tu te sens vraiment heureux - même si, sans mentir, la douche deux fois plus grande de chez tes parents te manque parfois. Mais évidemment, l’univers ne semble jamais être avec toi. T’entends que ça toque, de façon agressive, puis ça sonne et ça toque encore.
“Putain...” tu grognes.
Peut-être que c’est le voisin ? Peut-être qu’il va lâcher l’affaire ? Mais non. Ca continue de toquer, encore et encore. Tu prends une longue inspiration, essaies de te calmer, te replonges dans ta musique...
TOC TOC TOC
“Putain, mais c’est qui c’connard ?!” tu hurles en éteignant le jet d’eau. Tu chopes la première serviette que tu trouves, la noues autour de ta taille et fonces vers l’entrée, manquant de te ramasser sur le sol avec tes pieds mouillées. T’ouvres la porte de façon féroce et tombe sur Caleb. Il a beau avoir une belle gueule, t’aimerais sérieusement l’encastrer dans le mur à l’instant. Ton expression passe de la colère, à l’incompréhension.
“J’peux savoir ce que tu fais là ?” tu demandes, vraiment curieux.
T’es habitué à ce qu’il vienne parfois à l’improviste, sinon c’est Ezra qui te prévient, mais pour toquer autant de fois, c’est que ça doit être important. Tu le regardes de la tête aux pieds. Parce qu’en plus de ça, il s’est bien habillé ce con. Et tu te doutes que c’est pas pour te proposer un date qu’il est venu presque enfoncer la porte de ton appartement, sinon il aurait essayé de te draguer depuis longtemps.
Disons que le courant avait toujours eu du mal à passer entre vous, sans que tu ne saches pourquoi. Jusqu’à ce que tu dises que si tu réagissais comme ça, c’était peut-être parce que ce type t’avait tapé dans l’œil, et que t’étais frustré de savoir que tu l’aurais jamais. Résultat, maintenant, tu faisais toujours semblant de ne pas avoir envie de le voir, alors que passer du temps avec lui était plutôt quelque chose que t’appréciais, au final.
“Putain...” tu grognes.
Peut-être que c’est le voisin ? Peut-être qu’il va lâcher l’affaire ? Mais non. Ca continue de toquer, encore et encore. Tu prends une longue inspiration, essaies de te calmer, te replonges dans ta musique...
TOC TOC TOC
“Putain, mais c’est qui c’connard ?!” tu hurles en éteignant le jet d’eau. Tu chopes la première serviette que tu trouves, la noues autour de ta taille et fonces vers l’entrée, manquant de te ramasser sur le sol avec tes pieds mouillées. T’ouvres la porte de façon féroce et tombe sur Caleb. Il a beau avoir une belle gueule, t’aimerais sérieusement l’encastrer dans le mur à l’instant. Ton expression passe de la colère, à l’incompréhension.
“J’peux savoir ce que tu fais là ?” tu demandes, vraiment curieux.
T’es habitué à ce qu’il vienne parfois à l’improviste, sinon c’est Ezra qui te prévient, mais pour toquer autant de fois, c’est que ça doit être important. Tu le regardes de la tête aux pieds. Parce qu’en plus de ça, il s’est bien habillé ce con. Et tu te doutes que c’est pas pour te proposer un date qu’il est venu presque enfoncer la porte de ton appartement, sinon il aurait essayé de te draguer depuis longtemps.
Disons que le courant avait toujours eu du mal à passer entre vous, sans que tu ne saches pourquoi. Jusqu’à ce que tu dises que si tu réagissais comme ça, c’était peut-être parce que ce type t’avait tapé dans l’œil, et que t’étais frustré de savoir que tu l’aurais jamais. Résultat, maintenant, tu faisais toujours semblant de ne pas avoir envie de le voir, alors que passer du temps avec lui était plutôt quelque chose que t’appréciais, au final.