Le grand jour était arrivé ! Vous vous demandez comment je me retrouve aujourd’hui, ma valise prête et enregistrée à l’aéroport, assit sur les bancs à attendre un avion alors qu’il y a quelques jours, j’étais à la fête foraine, passant une soirée terrible. J’ai eu ce qu’on appelle une soirée de poisse totale, mais bon, j’étais là pour m’amuser à la base. Et pour manger avec Caleb. Au final, je n’ai eu aucun des deux. Du coup, dans un dernier élan de rage, j’avais donné tout le reste de mes billets à une tombola, dans l’espoir de remporter quelque chose, quand même.
Incroyable ! Au moins, ça avait refait ma soirée. J’avais posé directement ma semaine de congé, et m’était renseigné sur la ville, faisant une petite liste de choses que je voulais absolument voir. La base de la préparation des vacances quoi ! Puis franchement, avec le retour de Finn là, j’avais besoin de prendre un peu l’air. M’éloigner, encore. Putain, il va me tuer, mais là… j’en ai besoin.
Vol annulé.
Putain, c’est une blague ? Je relis plusieurs fois le mail, mais… j’suis déjà à l’aéroport putain ! Il peut pas me faire ça. Je me dépêche d’aller voir un guichet, pour essayer de trouver une solution, et après plusieurs minutes, on me met sur un autre vol… dans huit heures. Bordel, c’est chiant mais bon… c’est mieux que de rentrer chez moi. Je m’arme de patience, charge mon téléphone, et passe le temps assit par terre, à l’aéroport, regardant les autres passagers avoir leur avoir.. Bordel.
Assit dans l’avion, enfin ! Le temps de voyage est long, mais je veux absolument penser au positif. On ne gagne pas tous les jours un voyage ! Alors je vais positiver. Dans plusieurs heures, c’est les vacances ! Je prend un verre, pour commencer, puis je pose mon masque de nuit pour pouvoir manger un bout. Merci la compagnie ! ….. Erreur. Après une heure, je me retrouve dans les toilettes de l’avion, à vomir mes tripes. J’ai mal au ventre, j’ai mal au… Putain, j’suis malade. Rien ne va. J’ai l’impression que les heures passent, et que le voyage dure mille ans.
Par miracle, j’arrive sur place, et c’est blanc comme un cul que je prend le taxi qui doit m’amener à l’hôtel de Mykonos, afin que je prenne ma chambre, et que je dorme ! J’attends que ça… Une fois sur place, je me rend à l’accueil, et me présente. Tout est bien ficelé, j’apprécie. On me donne ma carte de chambre, en ajoutant une petite phrase :
- Mais vous êtes seul ?
- Oui… Pourquoi ?
- Et bien je pensais que vous viendrez en même temps que votre… enfin, ce n’est rien, félicitations quand même !
- … merci
Je comprend pas trop, et je pars en direction de ma chambre. Est-ce que le voyage est prévu pour deux ? J’en sais rien, j’avoue que j’ai pas cherché à savoir. J’entre dans la chambre, qui pour le coup, est magnifique. Un immense espace, avec un lit immense, couvert de… pétales de roses ? Et pourquoi il y a des serviettes en forme de coeur là ? Hm. Bref, je virerai ça après. D’abord, ce que je mérite, c’est un BAIN ! Puis la baignoire est immense, on pourrait clairement s’y baigner à deux. Je fais couler l’eau chaude, pose la valise dans un coin de la pièce, et me fout dans l’eau, que je complète avec des sels… Le rêve ! Je ferme les yeux, et me détend, enfin, après ce voyage de l’enfer.
« Un voyage, tout frais payé, direction la Grèce »
Incroyable ! Au moins, ça avait refait ma soirée. J’avais posé directement ma semaine de congé, et m’était renseigné sur la ville, faisant une petite liste de choses que je voulais absolument voir. La base de la préparation des vacances quoi ! Puis franchement, avec le retour de Finn là, j’avais besoin de prendre un peu l’air. M’éloigner, encore. Putain, il va me tuer, mais là… j’en ai besoin.
Vol annulé.
Putain, c’est une blague ? Je relis plusieurs fois le mail, mais… j’suis déjà à l’aéroport putain ! Il peut pas me faire ça. Je me dépêche d’aller voir un guichet, pour essayer de trouver une solution, et après plusieurs minutes, on me met sur un autre vol… dans huit heures. Bordel, c’est chiant mais bon… c’est mieux que de rentrer chez moi. Je m’arme de patience, charge mon téléphone, et passe le temps assit par terre, à l’aéroport, regardant les autres passagers avoir leur avoir.. Bordel.
Assit dans l’avion, enfin ! Le temps de voyage est long, mais je veux absolument penser au positif. On ne gagne pas tous les jours un voyage ! Alors je vais positiver. Dans plusieurs heures, c’est les vacances ! Je prend un verre, pour commencer, puis je pose mon masque de nuit pour pouvoir manger un bout. Merci la compagnie ! ….. Erreur. Après une heure, je me retrouve dans les toilettes de l’avion, à vomir mes tripes. J’ai mal au ventre, j’ai mal au… Putain, j’suis malade. Rien ne va. J’ai l’impression que les heures passent, et que le voyage dure mille ans.
Par miracle, j’arrive sur place, et c’est blanc comme un cul que je prend le taxi qui doit m’amener à l’hôtel de Mykonos, afin que je prenne ma chambre, et que je dorme ! J’attends que ça… Une fois sur place, je me rend à l’accueil, et me présente. Tout est bien ficelé, j’apprécie. On me donne ma carte de chambre, en ajoutant une petite phrase :
- Mais vous êtes seul ?
- Oui… Pourquoi ?
- Et bien je pensais que vous viendrez en même temps que votre… enfin, ce n’est rien, félicitations quand même !
- … merci
Je comprend pas trop, et je pars en direction de ma chambre. Est-ce que le voyage est prévu pour deux ? J’en sais rien, j’avoue que j’ai pas cherché à savoir. J’entre dans la chambre, qui pour le coup, est magnifique. Un immense espace, avec un lit immense, couvert de… pétales de roses ? Et pourquoi il y a des serviettes en forme de coeur là ? Hm. Bref, je virerai ça après. D’abord, ce que je mérite, c’est un BAIN ! Puis la baignoire est immense, on pourrait clairement s’y baigner à deux. Je fais couler l’eau chaude, pose la valise dans un coin de la pièce, et me fout dans l’eau, que je complète avec des sels… Le rêve ! Je ferme les yeux, et me détend, enfin, après ce voyage de l’enfer.
Cet océan de passion qui déferle dans mes veines, qui cause ma déraison, ma déroute, ma déveine. Doucement j'y plongerai, sans qu'une main me retienne. Lentement je m'y noierai, sans qu'un remord ne me vienne.