@Finnegan Porter
Le crépitement du feu qui danse sous les étoiles de la nuit s'estompe doucement dans l'écho lointain de la sirène. Mon cœur se calme, apaisé par le ronronnement régulier du moteur qui nous éloigne du brasier que nous venons tout juste de dompter. La fumée s'est infiltrée dans mes vêtements, s'agrippant à ma peau comme une empreinte indélébile. Les flammes dansaient avec férocité, mais ce soir, comme tant d'autres nuits, la brigade du feu a triomphé. Le regard perdu dans le paysage nocturne qui défile devant moi, je suis sorti de ma rêverie par un collègue: "Ça va mon pote? Dans ses yeux cette communion avec le danger, et ce sens du devoir. Je souris en ébouriffant mes cheveux qui étaient un peu aplatis par ma cagoule, sous mon casque. "Ouais mon frère. C’était fatiguant je suis usé!! " Mes compagnons d'armes, mes frères et sœurs de feu. On veille toujours les uns sur les autres. Une équipe soudée par la confiance et l'entraide, une famille forgée dans le brasier de l'adversité. Les flammes nous unissent, et dans leur danse destructrice, elles révèlent notre humanité et notre courage.
Et là, sur le chemin, j'aperçois la façade familière de l'Eclipse, le bar de mon ami Finnegan Porter. L'endroit où je trouve refuge après ces journées de lutte acharnée, où je peux enfin souffler et laisser tomber mon armure de pompier. On arrive à la caserne. Je me débarbouille. Mes mains sont encore couvertes de suie, et l'odeur de la fumée me suit comme une ombre. Une bouffée de l’air frais du soir caresse mon visage, contrastant avec la chaleur étouffante du foyer que je viens de quitter.
Je prends la route, gare ma moto devant et entre dans le bar. L'atmosphère est chaleureuse, imprégnée du parfum subtil des liqueurs. Les visages se tournent vers moi, des sourires complices échangés entre les quelques habitués. Finnegan est derrière le comptoir, en train de servir un verre à un client fidèle. Son regard bleu acier croise le mien. "Finn! Mon sauveur! J’ai vraiment besoin d’un verre!"
Mes yeux se posant sur les étagères remplies de bouteilles aux liquides ambrés et dorés. "Tu me mets une grande pinte s’il te plaît? Je prends place sur un des tabourets libres. "Comment ça va toi? T’avais rencard hier non?" Je demande à mon ami Finn. J’espérais en savoir plus sur comment ça s’était passé.
Le crépitement du feu qui danse sous les étoiles de la nuit s'estompe doucement dans l'écho lointain de la sirène. Mon cœur se calme, apaisé par le ronronnement régulier du moteur qui nous éloigne du brasier que nous venons tout juste de dompter. La fumée s'est infiltrée dans mes vêtements, s'agrippant à ma peau comme une empreinte indélébile. Les flammes dansaient avec férocité, mais ce soir, comme tant d'autres nuits, la brigade du feu a triomphé. Le regard perdu dans le paysage nocturne qui défile devant moi, je suis sorti de ma rêverie par un collègue: "Ça va mon pote? Dans ses yeux cette communion avec le danger, et ce sens du devoir. Je souris en ébouriffant mes cheveux qui étaient un peu aplatis par ma cagoule, sous mon casque. "Ouais mon frère. C’était fatiguant je suis usé!! " Mes compagnons d'armes, mes frères et sœurs de feu. On veille toujours les uns sur les autres. Une équipe soudée par la confiance et l'entraide, une famille forgée dans le brasier de l'adversité. Les flammes nous unissent, et dans leur danse destructrice, elles révèlent notre humanité et notre courage.
Et là, sur le chemin, j'aperçois la façade familière de l'Eclipse, le bar de mon ami Finnegan Porter. L'endroit où je trouve refuge après ces journées de lutte acharnée, où je peux enfin souffler et laisser tomber mon armure de pompier. On arrive à la caserne. Je me débarbouille. Mes mains sont encore couvertes de suie, et l'odeur de la fumée me suit comme une ombre. Une bouffée de l’air frais du soir caresse mon visage, contrastant avec la chaleur étouffante du foyer que je viens de quitter.
Je prends la route, gare ma moto devant et entre dans le bar. L'atmosphère est chaleureuse, imprégnée du parfum subtil des liqueurs. Les visages se tournent vers moi, des sourires complices échangés entre les quelques habitués. Finnegan est derrière le comptoir, en train de servir un verre à un client fidèle. Son regard bleu acier croise le mien. "Finn! Mon sauveur! J’ai vraiment besoin d’un verre!"
Mes yeux se posant sur les étagères remplies de bouteilles aux liquides ambrés et dorés. "Tu me mets une grande pinte s’il te plaît? Je prends place sur un des tabourets libres. "Comment ça va toi? T’avais rencard hier non?" Je demande à mon ami Finn. J’espérais en savoir plus sur comment ça s’était passé.
just like fire
There's a reason I said I'd be happy alone. It wasn't 'cause I thought I'd be happy alone. It was because I thought if I loved someone and then it fell apart, I might not make it. It's easier to be alone.