Se perdre.
Se perdre sur la page, se perdre au coeur des mots.
Entre les lignes, tomber, et voyager dans cet océan de blanc immaculé, la page neuve et fraiche, à la texture rauque et au parfum prononcé.
Tout savoir sur les Mayas
Un livre, ramassé au hasard, comme la semaine dernière, comme la semaine prochaine. Parfois fiction, souvent non-fiction. La quête d'informations, une expédition sans fin, sans ligne d'arrivée. Une soif de connaissances qui ne s'éteint jamais.
C'est le troisième livre feuilleté de la journée. Celui d'avant? Un livre de recettes japonaise. Celui le précédent, le dernier roman d'un de ces auteurs populaires de nos jours dont j'ai déjà oublié le nom. Je garde le meilleur pour la fin: un album mettant en avant les « 100 sites à visiter avec sa mort ». Je profite, peut être avec trop d'enthousiasme, de la liberté qui m'est offerte dans ce sanctuaire.
C'est un luxe que de pouvoir lire autant qu'on le désire sans avoir besoin d'acheter quoi que ce soit. C'est un des avantages d'avoir une amitié aussi agréable avec le libraire. Un avantage dont je n'abuse cependant jamais: chaque visite se solde systématiquement par un achat. Mais j'apprécie le voyage qu'il m'est autorisé de faire pour arriver à mon choix final.
La journée est calme. Seul le froissement des feuilles perturbe la quiétude. Et je profite, doucement, de ces belles illustrations sur les temples Mayas, qui font rêver et qui me donnent envie de voyager, à mon tour.
Se perdre sur la page, se perdre au coeur des mots.
Entre les lignes, tomber, et voyager dans cet océan de blanc immaculé, la page neuve et fraiche, à la texture rauque et au parfum prononcé.
Tout savoir sur les Mayas
Un livre, ramassé au hasard, comme la semaine dernière, comme la semaine prochaine. Parfois fiction, souvent non-fiction. La quête d'informations, une expédition sans fin, sans ligne d'arrivée. Une soif de connaissances qui ne s'éteint jamais.
C'est le troisième livre feuilleté de la journée. Celui d'avant? Un livre de recettes japonaise. Celui le précédent, le dernier roman d'un de ces auteurs populaires de nos jours dont j'ai déjà oublié le nom. Je garde le meilleur pour la fin: un album mettant en avant les « 100 sites à visiter avec sa mort ». Je profite, peut être avec trop d'enthousiasme, de la liberté qui m'est offerte dans ce sanctuaire.
C'est un luxe que de pouvoir lire autant qu'on le désire sans avoir besoin d'acheter quoi que ce soit. C'est un des avantages d'avoir une amitié aussi agréable avec le libraire. Un avantage dont je n'abuse cependant jamais: chaque visite se solde systématiquement par un achat. Mais j'apprécie le voyage qu'il m'est autorisé de faire pour arriver à mon choix final.
La journée est calme. Seul le froissement des feuilles perturbe la quiétude. Et je profite, doucement, de ces belles illustrations sur les temples Mayas, qui font rêver et qui me donnent envie de voyager, à mon tour.
2013
2018
2023