Rien ne va, en ce moment.
J’sors d’un repas avec ma soeur, avec qui j’ai déjeuné… C’est d’ailleurs grâce à elle que j’en ai apprit plus sur l’évasion des animaux du zoo… Sombre histoire, le directeur doit s’arracher les cheveux entre la presse et le bien être des animaux. Quoi que… On sait tous qu’il se préoccupe plus de la presse. Je connais bien le directeur, pour avoir bossé avec lui pendant un temps. Du temps où j’étais à la tête de l’entreprise Snow.
Hop, premier coup. Le deuxième parvient quand elle me parle des derniers préparatifs de son mariage, qui me fait avoir deux relents. Le premier en me disant qu’elle allait effectivement marier cette Emma… Hm, j’espère toujours qu’elle ne le ferra pas, mais bon, c’est son choix hein. Et le deuxième relents arrive en pensant à ma propre situation. C’est la merde, oui. Je me frotte le visage en pensant à Oscar, et à toute la merde qui nous entoure.
Histoire d’enfoncer encore plus le couteau, je décide à rester trainer au zoo pour le reste de la journée, me perdant dans des pensées pas très fun. Le moment de faire le bilan de ma vie, et me rendre compte d’à quel point je suis inutile, ici. À New York aussi, remarque. En vrai, j’ai pas d’utilité, nulle part. L’utilité d’un blog fish, mêlé au charisme d’une huitre. Le bilan de ma vie est terrible…
J’me retrouve là, face à un enclos, faisant le pied de grue face aux manchots. Ces animaux ont toujours eu quelque chose d’apaisant chez moi… Aucune idée de pourquoi, mais ça m’hypnotise un peu. Il y a de quoi s’asseoir partout autour, et bien que je sois seul une bonne partie du temps, une ombre vient s’immiscer. Un homme, qui semble visiter aussi. Je l’ignore, et regarde les manchots, buvant la bière achetée en stand.
Oui, ce n’est pas ma première. Ce n’est pas non plus la dernière. Bon, ça va, laissez moi me détendre un peu. Gardez les langues de vipère loin de moi, s’il vous plait. Sauf que plus le temps passe, plus je sens qu’on me regarde. Toujours le même mec. Et mon caractère de cochon fait que je fronce les sourcils, sans patience.
- Hey. Un problème ?
Pas de bonjour, juste… mec, qu’est-ce qu’il y a ? J’crois pas avoir quelque chose sur la gueule, donc pourquoi tu me regardes comme ça, hein ?
J’sors d’un repas avec ma soeur, avec qui j’ai déjeuné… C’est d’ailleurs grâce à elle que j’en ai apprit plus sur l’évasion des animaux du zoo… Sombre histoire, le directeur doit s’arracher les cheveux entre la presse et le bien être des animaux. Quoi que… On sait tous qu’il se préoccupe plus de la presse. Je connais bien le directeur, pour avoir bossé avec lui pendant un temps. Du temps où j’étais à la tête de l’entreprise Snow.
Hop, premier coup. Le deuxième parvient quand elle me parle des derniers préparatifs de son mariage, qui me fait avoir deux relents. Le premier en me disant qu’elle allait effectivement marier cette Emma… Hm, j’espère toujours qu’elle ne le ferra pas, mais bon, c’est son choix hein. Et le deuxième relents arrive en pensant à ma propre situation. C’est la merde, oui. Je me frotte le visage en pensant à Oscar, et à toute la merde qui nous entoure.
Histoire d’enfoncer encore plus le couteau, je décide à rester trainer au zoo pour le reste de la journée, me perdant dans des pensées pas très fun. Le moment de faire le bilan de ma vie, et me rendre compte d’à quel point je suis inutile, ici. À New York aussi, remarque. En vrai, j’ai pas d’utilité, nulle part. L’utilité d’un blog fish, mêlé au charisme d’une huitre. Le bilan de ma vie est terrible…
J’me retrouve là, face à un enclos, faisant le pied de grue face aux manchots. Ces animaux ont toujours eu quelque chose d’apaisant chez moi… Aucune idée de pourquoi, mais ça m’hypnotise un peu. Il y a de quoi s’asseoir partout autour, et bien que je sois seul une bonne partie du temps, une ombre vient s’immiscer. Un homme, qui semble visiter aussi. Je l’ignore, et regarde les manchots, buvant la bière achetée en stand.
Oui, ce n’est pas ma première. Ce n’est pas non plus la dernière. Bon, ça va, laissez moi me détendre un peu. Gardez les langues de vipère loin de moi, s’il vous plait. Sauf que plus le temps passe, plus je sens qu’on me regarde. Toujours le même mec. Et mon caractère de cochon fait que je fronce les sourcils, sans patience.
- Hey. Un problème ?
Pas de bonjour, juste… mec, qu’est-ce qu’il y a ? J’crois pas avoir quelque chose sur la gueule, donc pourquoi tu me regardes comme ça, hein ?
Non je ne crois pas à ce que tu me dis. Tu cours à l'échec tel que je l'ai prédis. Tu n'as jamais été capable de t'assumer, renonce à tes chimères et viens me retrouver.
J'aimerai tellement briser ta défiance, te prouver que je mérite ta confiance. Mais tu ne m'as jamais donné l'occasion de révéler ma passion.