outfit ❧ Tu fais la moue au moment où il te feinte. Tu pensais vraiment qu’il allait te confier quelque chose. Et dès que t’es avec Caleb, tu deviens complètement naïf. À tel point que tu te trouves complètement abruti. Ça t’énerve un peu, mais ça te fait rire aussi, parce que c’est la base de votre relation, après tout. « T’es con. » tu lui lances en lui donnant un gros coup dans l’épaule. T’aimerais vraiment savoir, tu voudrais qu’il puisse se confier à toi, mais ce n’est clairement pas son genre. Est-ce que le jour où il allait avoir une meuf, il serait exactement pareil ? Ou plus tendre ? Tu n’en sais rien, mais Caleb reste parfois un vrai mystère. C’était peut-être aussi pour ça que tu étais parfois attiré par lui. Après avoir bien rigolé, t’essaies de creuser encore un peu, même si tes questions ont l’air de le surprendre un peu. « Ouais ça compte. Mais ça, on sait déjà que t’en es le champion. » parce que pour dire des conneries, il était au rendez-vous à chaque fois. « T’en dis beaucoup trop à la minute. » tu lui sors sans le regarder. Un petit tacle en plus, ça ne fait jamais de mal. Et puis, ce n’est jamais bien méchant, entre vous, de toute façon. Même si votre début de relation avait été compliqué, parce qu’il fallait réussir à le cerner, le Caleb. Mais une fois que c’était fait, il devenait particulièrement attachant. C’était ce qui était le plus énervant, dans toute cette situation. Et ce qui t’amenait aussi à te questionner la plupart du temps. Était-il aussi attaché à toi ? Ou à votre amitié ? Tu n’en savais rien. Tu espérais juste que le cadeau que tu lui avais offert lui prouvait un peu les choses, même s’il n’était pas du genre à se prendre la tête.
Puis tu lui lances ce pari, ce petit défi qui te fait bien marrer. Tu trouvais que c’était plutôt équitable, même si tu regrettais un peu, au moment de voir l’officialiser. Caleb était plus grand, plus massif, il ne pouvait faire qu’une bouchée de toi au moment où vous seriez face à face sur le ring. Est-ce qu’il s’y connaissait, en boxe, au moins ? Tu haussais les épaules à sa question. Tu cherchais un exemple de ce que tu pourrais demander, sans rien trouver – sauf quelques trucs un peu obscènes. Et tu savais qu’il n’accepterait rien de tout ça, dans tous les cas. « Comme ce que tu veux. » tu lui répondais. « J’garde mes idées pour moi-même. » tu souriais, pour sous-entendre des choses, ça t’amusait un peu. Tu ne pouvais pas te détacher de lui, de toute façon. « Un mois c’est beaucoup trop ! » tu protestais en fronçant les sourcils. « Sois un minimum équitable. » parce que si tu lui demandais quelque chose, ce ne serait rien qui serait aussi contraignant. Mais évidemment, la discussion se redirigeait vers la fameuse Mary-Jane. Il ne pouvait pas s’en passer, visiblement. « Du moment que t’es heureux. » tu lançais en levant les yeux au ciel. Loin de toi l’idée de lui donner ton avis sur la consommation. Tu avais assez expérimenté dans ta vie.
Sauf qu’au moment de vous mettre sur le jeu, l’événement des médicaments te contrarie. Et tu le sens braqué, immédiatement. Ça t’énerve. Et en le voyant s’énerver, ça ne te calme absolument pas. Loin de là. Tu devrais peut-être prendre les choses plus sereinement, mais t’as envie de savoir. « Pourquoi tu veux jamais rien dire ? Sérieux ? » tu lances, froidement. « Il où le problème ? Hein ? On est potes, merde. J’ai jamais eu honte de te dire quoi que ce soit, moi… » alors qu’à l’inverse, t’avais l’impression que Caleb ne voulait jamais rentrer dans le fond des sujets. Peut-être juste qu’il s’en fichait, mais tu n’aimais pas forcément ça. « Tu sais quoi, laisses tomber, j’ai plus envie de jouer. » tu relançais le jeu, avant de te lever, sans rien lui dire de plus. En réalité, tu allais juste aux toilettes. Sur le chemin, tu te demandais où il pouvait cacher ses médicaments, mais c’était presque impossible de les trouver. Tu l'avais vu ranger la boite dans un des tiroirs de la cuisine, alors tu te mettais à fouiller, curieux, jusqu'à trouver une boite, encore entrouverte. Et visiblement, Caleb t'as surpris, mais tu ne t'ai pas vraiment caché pour chercher non plus.
Puis tu lui lances ce pari, ce petit défi qui te fait bien marrer. Tu trouvais que c’était plutôt équitable, même si tu regrettais un peu, au moment de voir l’officialiser. Caleb était plus grand, plus massif, il ne pouvait faire qu’une bouchée de toi au moment où vous seriez face à face sur le ring. Est-ce qu’il s’y connaissait, en boxe, au moins ? Tu haussais les épaules à sa question. Tu cherchais un exemple de ce que tu pourrais demander, sans rien trouver – sauf quelques trucs un peu obscènes. Et tu savais qu’il n’accepterait rien de tout ça, dans tous les cas. « Comme ce que tu veux. » tu lui répondais. « J’garde mes idées pour moi-même. » tu souriais, pour sous-entendre des choses, ça t’amusait un peu. Tu ne pouvais pas te détacher de lui, de toute façon. « Un mois c’est beaucoup trop ! » tu protestais en fronçant les sourcils. « Sois un minimum équitable. » parce que si tu lui demandais quelque chose, ce ne serait rien qui serait aussi contraignant. Mais évidemment, la discussion se redirigeait vers la fameuse Mary-Jane. Il ne pouvait pas s’en passer, visiblement. « Du moment que t’es heureux. » tu lançais en levant les yeux au ciel. Loin de toi l’idée de lui donner ton avis sur la consommation. Tu avais assez expérimenté dans ta vie.
Sauf qu’au moment de vous mettre sur le jeu, l’événement des médicaments te contrarie. Et tu le sens braqué, immédiatement. Ça t’énerve. Et en le voyant s’énerver, ça ne te calme absolument pas. Loin de là. Tu devrais peut-être prendre les choses plus sereinement, mais t’as envie de savoir. « Pourquoi tu veux jamais rien dire ? Sérieux ? » tu lances, froidement. « Il où le problème ? Hein ? On est potes, merde. J’ai jamais eu honte de te dire quoi que ce soit, moi… » alors qu’à l’inverse, t’avais l’impression que Caleb ne voulait jamais rentrer dans le fond des sujets. Peut-être juste qu’il s’en fichait, mais tu n’aimais pas forcément ça. « Tu sais quoi, laisses tomber, j’ai plus envie de jouer. » tu relançais le jeu, avant de te lever, sans rien lui dire de plus. En réalité, tu allais juste aux toilettes. Sur le chemin, tu te demandais où il pouvait cacher ses médicaments, mais c’était presque impossible de les trouver. Tu l'avais vu ranger la boite dans un des tiroirs de la cuisine, alors tu te mettais à fouiller, curieux, jusqu'à trouver une boite, encore entrouverte. Et visiblement, Caleb t'as surpris, mais tu ne t'ai pas vraiment caché pour chercher non plus.