Mon malaise se dissipa rapidement quand l'un des deux jeunes hommes me répondit. Il me dit joyeusement : Mais non t’en fais pas voyons ! Ne gâche pas ton si joli visage avec une pareille moue ! Viens plutôt boire un verre avec nous, par contre je te préviens ce que j’ai des munitions je me venge de ton attaque ! Juste avant de me faire un énorme sourire, mais la situation me fit éclater de rire. Je devais me détendre un peu. L'année qui venait de s'écouler avait été des plus stressantes et parfois, le stress revenait, pour une raison que j'ignorais. Je lui fit un énorme sourire.
Avant même que j'ai le temps de répondre à son invitation, il fut dérangé par un jeune homme qui voulait savoir quelle heure il était. Cela tombait à point, car je voulais moi-même savoir qu'elle heure il était, pour savoir si nous pouvions profiter encore longtemps de la fête et Devon sembla lire dans mes pensées. Il est bientôt dix-huit heures, ne t’inquiète pas mon pote tu peux encore profiter longtemps de la fête ! lui dit-il.
Il tourna ensuite la tête vers le feu qui avait été presque complètement déserté par les fêtards. Je crois qu'il vu la même chose que moi, une glacière avec quelques bières laissés à elles-mêmes. Mais quel crime! pensais-je. Je ne sais pas vous les amis, mais moi je commence à prendre l’eau, je suis comme le Ricard, il faut me remplir d’alcool sinon je finis noyé ! Donc n’hésitait pas à me suivre si vous êtes comme moi ! affirma le jeune homme. Sa remarque me fit rire. Je regardais l'autre jeune homme en le questionnant du regard pour savoir s'il allait nous accompagner, mais avant même de recevoir une réponse de sa part, je me dirigeai en direction du jeune homme que je ne connaissais même pas le prénom et je me promis de lui demander.
Je tendis la main vers lui avec l'un de mes sourires les plus ravageurs.
Avant même que j'ai le temps de répondre à son invitation, il fut dérangé par un jeune homme qui voulait savoir quelle heure il était. Cela tombait à point, car je voulais moi-même savoir qu'elle heure il était, pour savoir si nous pouvions profiter encore longtemps de la fête et Devon sembla lire dans mes pensées. Il est bientôt dix-huit heures, ne t’inquiète pas mon pote tu peux encore profiter longtemps de la fête ! lui dit-il.
Il tourna ensuite la tête vers le feu qui avait été presque complètement déserté par les fêtards. Je crois qu'il vu la même chose que moi, une glacière avec quelques bières laissés à elles-mêmes. Mais quel crime! pensais-je. Je ne sais pas vous les amis, mais moi je commence à prendre l’eau, je suis comme le Ricard, il faut me remplir d’alcool sinon je finis noyé ! Donc n’hésitait pas à me suivre si vous êtes comme moi ! affirma le jeune homme. Sa remarque me fit rire. Je regardais l'autre jeune homme en le questionnant du regard pour savoir s'il allait nous accompagner, mais avant même de recevoir une réponse de sa part, je me dirigeai en direction du jeune homme que je ne connaissais même pas le prénom et je me promis de lui demander.
Je suis d'accord pour l'alcool, mais avec toute cette pluie, ça te dirai d'aller se réfugier à l'intérieur? Et on peut toujours ressortir par la suite si Dame Nature se calme. Ah! Et au fait, je ne me suis pas encore présenté. Je me nomme Emma, ravie de faire ta connaissance.
Je tendis la main vers lui avec l'un de mes sourires les plus ravageurs.