Save my soul, save myself
FEAT. Andreas Klein
Elle n'avait qu'un regret, un seul petit regret: ne pas avoir craqué plus tôt. Jusque là, elle n'avait jamais pensé à Andreas sous cet angle, jamais elle ne l'avait regardé avec envie, jamais elle n'aurait cru soupirer de plaisir en sa présence. Mais maintenant que c'était en train de se passer, maintenant qu'elle se laissait aller avec lui, elle avait le regret de ne pas avoir pensé à lui plus tôt. Peut-être qu'elle ne serait pas ce qu'elle est si, par exemple, il était celui qui l'avait défleurée, qui avait pris soin d'elle dès le départ. Au lieu de ça, sa première fois fût pathétique et marquante d'un vide. Si rapide et si brutale qu'elle était devenue l'exemple à suivre, le mauvais exemple, la mauvaise habitude, le mauvais pli duquel il était difficile de se défaire. La douceur du jeune homme contrastait avec ce souvenir, la chaleur qu'il s'évertuait à mettre dans chacun de ses gestes était totalement à l'opposé de la froideur de sa première fois. C'était agréable, apaisant et excitant à la fois. Contrairement à d'habitude, elle ne réagissait pas vivement, mais avec parcimonie. Ses gémissements étaient moins nombreux mais d'autant plus longs, plus appuyés et profonds, signe d'un plaisir lent mais acquis sur le long terme. Ses relations précédentes se précisaient plus dans le plaisir soudain, dans leur courte durée et par des gémissements aussi rapides que courts. Andreas avait tout gagné. Aussi bien sa confiance que les clés de son être tout entier. Il avait compris comment elle fonctionnait, comment il fallait réagir avec elle pour qu'elle reste Adélaïde. Il faut savoir lui tenir tête, savoir lui faire comprendre qu'elle n'est pas la seule maitresse de la situation mais, qu'au contraire, tout se partage. Il lui avait fait comprendre, elle l'avait compris, bien assez pour avoir envie de le manifester de façon physique. C'est comme ça qu'elle lui demandait de lui faire confiance, qu'elle lui demandait les rênes au lieu de les prendre de force. Ses baisers sur la peau du brun se voulaient doux, tendres et chaleureux. Elle lui faisait comprendre par ce simple biais qu'elle se sentait bien, qu'elle ne ressentait pas ce besoin d'être brutale et pressée. Douce dans ses gestes, douce dans ses pensées, son corps était pourtant en ébullition quand elle prenait place au dessus de lui. Cette position extrêmement sexuelle était pourtant révélatrice d'une grande confiance aussi bien envers lui qu'envers elle-même. Confiance en lui dans le sens où elle lui présentait son intimité en face-à-face, où elle lui confiait sa partie la plus sensible, un geste tout de même peu anodin quand on y pense quelques secondes. Et confiance en elle-même parce qu'elle restait dominante dans cette position, qu'elle pouvait faire ce qu'elle veut de lui et qu'il serait probablement incapable de réagir assez vite pour l'en empêcher. Alors oui, elle se faisait confiance pour rester calme, contrôlée et partisane du plaisir partagé.
Alors lentement, elle s'emparait du plaisir d'Andreas en lui offrant ce que tout homme apprécie lors des préliminaires. Et il fallait avouer que la tension physique du jeune homme lui plaisait, prouvant largement l'effet qu'elle pouvait lui faire. Se sentir désirable et désirée, c'était une position agréable et fortement appréciée de la jeune femme. Jouant de ses doigts et de sa langue sur sa virilité, elle ne pouvait que sourire de satisfaction en sentant les mains d'Andreas se faire plus pressantes autour de ses cuisses. Mais ce fut à son tour d'être surprise par la soudaine fraicheur de sa langue contre elle, contre son intimité qui réagissait à cette caresse tendre, tout comme Adelaïde qui se mit à soupirer contre la peau du bas-ventre du jeune homme. Dieu que c'était bon! Son corps en frémissait de plaisir, tellement qu'elle avait bien du mal à continuer ce qu'elle avait entrepris. C'était électrisant et tellement excitant que cela se ressentait dans sa façon de réagir. Au fur et à mesure qu'Andy lui donnait du plaisir, elle se faisait elle-même plus pressante autour de son sexe, plus gourmande, plus rapide et déterminée à le faire craquer. C'était à double tranchant. Plus il lui faisait du bien, plus elle lui en donnait. Et plus elle lui en donnait, plus il s'activait. Un cercle vicieux mais qui se voulait tellement agréable et rempli de désir et de plaisir. Elle gémissait contre sa peau, elle ondulait de plaisir et baissait son bassin de plus en plus pour lui faciliter l'accès. De temps en temps, ses doigts s'ancrait dans la peau de sa cuisse sous un plaisir un peu trop intense. C'était tellement étrange de ressentir tant de plaisir sans avoir à ne faire qu'un. Elle avait tellement l'habitude d'être prise quasiment instantanément que ça lui faisait presque peur de ressentir tant de plaisir maintenant en sachant parfaitement ce qui risquait de lui arriver ensuite. Et s'il y arrivait? Et s'il arrivait à lui prouver, toujours avec tant de douceur, qu'il est possible de jouir sans aucune bestialité et peut-être même sans aucune pénétration autre que celle de ses doigts? Elle ne connaissait pas ça, alors oui, elle avait peur. Il lui arrivait de jouir en se touchant, mais évidemment, c'était toujours avec l'aide d'un sextoy et toujours quand elle se donnait du plaisir vigoureusement avec ce dernier. Jamais elle n'avait connu cette sensation de plaisir ultime simplement avec les préliminaires, avec douceur. Elle était aussi peureuse que curieuse vis-à-vis de ce sujet.
Du coup et sans surprise, quand Andy lui faisait arrêter leur jeu pour mieux revenir vers elle et au dessus d'elle, elle ne protestait pas, remettant son dos contre le lit et enfermant de nouveau son ami dans l'étreinte de ses jambes. Riant doucement en se pinçant la lèvre, elle le regardait avec une envie certaine, celle de le sentir en elle. « J'espère au moins que ça t'as plu, ça serait dommage sinon. » Evidemment qu'elle le provoquait. La réaction de son corps avait parlé pour lui, elle savait que ça lui avait plu. Comme ça plaisait à Adélaïde de sentir son sexe contre le sien, entamant une danse lascive qui ne faisait qu'augmenter son désir et son plaisir. Il n'était pas loin de la pénétrer, il pouvait le faire, les satisfaire, rendre les frottements plus intenses, le plaisir plus grand. Mais elle sentait bien que ce n'était pas son but tandis qu'ils s'échangeaient des baisers fiévreux et envieux tout en étant doux et subtiles à la fois. Une main dans sa nuque et une autre sur sa fesse gauche pour l'accompagner dans ses mouvements, elle soupirait profondément de plaisir et se mit à gémir quand la main du jeune homme dégringolait le long de son corps pour la pénétrer de nouveau avec ses doigts. Bon Dieu, quelle saloperie il faisait parfois! Se cambrant contre lui, elle avait de plus en plus de mal à ne pas exprimer son plaisir, de plus en plus de mal à maitriser le volume sonore de ses gémissements plus nombreux. Ouvrant outrageusement son cou sous son mordillement, elle portait l'une de ses propres mains à sa bouche, se mordillant les doigts comme pour y trouver une certaine maitrise. Maitrise vite envoler lorsqu'il reprenait son jeu de langue sur elle, l'associant à ses doigts taquins. L'humidité de son intimité appelait à la pénétration, à plus de sensations, et pourtant, elle adorait ce qu'il était en train de lui faire subir. Elle se perdait dans les limbes d'un plaisir inconnu mais tellement salvateur. Oui, il n'était pas le premier à s'aventurer de la sorte entre ses cuisses, mais il était bien le premier a lui donner envie de continuer ce petit manège jusqu'à l'orgasme. Elle ignorait si c'était parce qu'il savait y faire mieux que les autres, si c'était la relation fusionnelle qu'elle peut avoir avec lui ou simplement le fait que les préliminaires duraient depuis une éternité.
Quoi qu'il en soit, et peu importe le pourquoi, ses gémissements, sa façon de bouger, de se cambrer et de vouloir s'échapper vers le haut étaient les témoins d'un plaisir intense, au bord du précipice. Sa main dans les cheveux d'Andy, elle s'agrippait à ses derniers et se cambrait de plus en plus. Son autre main, elle, s'accrochait intensément au drap, elle se sentait partir vers l'orgasme. Quelques coups de langue en plus, quelques vas-et-viens bien placés, et elle finissait par pousser son cri ultime, la jouissance venait de la happer par surprise, pour son plus grand plaisir! Son corps frémissait encore d'un tel supplice, elle avait de la difficulté à desserrer ses doigts et a rouvrir ses cuisses qu'elle avait forcément refermées autour d'Andy sous l'impulsion du plaisir. Se reposant entièrement sur le matelas, elle en tremblait un peu, tirant légèrement sur le bras du jeune homme pour qu'il remonte afin de mieux retrouver ses lèvres dans de courts baisers. Elle était haletante, le souffle court et le cœur au bord des lèvres. Elle caressait la moindre parcelle de peau du jeune homme qu'elle pouvait atteindre que ce soit avec ses mains ou ses jambes. Elle ne disait rien, ses baisers beaucoup plus doux et tendres parlaient pour elle: elle était apaisée, elle était bien, sur un petit nuage. Mordillant tendrement sa lèvre après quelques minutes d'échange de baisers, elle souriait, simplement et murmurait quelques mots. « Je veux que tu prennes ton plaisir aussi Andy. » Oui, jusqu'au bout elle voulait que ça reste un échange, et non du plaisir à sens unique. Alors tendrement et sans forcer, elle présentait sa volonté impératrice à son intimité, faisant entrer l'extrémité en elle. Andreas pouvait choisir de continuer sur ce chemin ou pouvait reculer, à son bon vouloir. Peu importe sa décision, elle la respecterait et en attendant qu'il l'a prenne, elle rejoignait de nouveau ses lèvres, presque devenue accro à elles. Un point de repère, un point de contrôle, qu'il choisisse de prendre son plaisir ou de reculer, elle savait que de simplement l'embrasser serait un moyen de se maitriser... souhaitons-le en tout cas.
Alors lentement, elle s'emparait du plaisir d'Andreas en lui offrant ce que tout homme apprécie lors des préliminaires. Et il fallait avouer que la tension physique du jeune homme lui plaisait, prouvant largement l'effet qu'elle pouvait lui faire. Se sentir désirable et désirée, c'était une position agréable et fortement appréciée de la jeune femme. Jouant de ses doigts et de sa langue sur sa virilité, elle ne pouvait que sourire de satisfaction en sentant les mains d'Andreas se faire plus pressantes autour de ses cuisses. Mais ce fut à son tour d'être surprise par la soudaine fraicheur de sa langue contre elle, contre son intimité qui réagissait à cette caresse tendre, tout comme Adelaïde qui se mit à soupirer contre la peau du bas-ventre du jeune homme. Dieu que c'était bon! Son corps en frémissait de plaisir, tellement qu'elle avait bien du mal à continuer ce qu'elle avait entrepris. C'était électrisant et tellement excitant que cela se ressentait dans sa façon de réagir. Au fur et à mesure qu'Andy lui donnait du plaisir, elle se faisait elle-même plus pressante autour de son sexe, plus gourmande, plus rapide et déterminée à le faire craquer. C'était à double tranchant. Plus il lui faisait du bien, plus elle lui en donnait. Et plus elle lui en donnait, plus il s'activait. Un cercle vicieux mais qui se voulait tellement agréable et rempli de désir et de plaisir. Elle gémissait contre sa peau, elle ondulait de plaisir et baissait son bassin de plus en plus pour lui faciliter l'accès. De temps en temps, ses doigts s'ancrait dans la peau de sa cuisse sous un plaisir un peu trop intense. C'était tellement étrange de ressentir tant de plaisir sans avoir à ne faire qu'un. Elle avait tellement l'habitude d'être prise quasiment instantanément que ça lui faisait presque peur de ressentir tant de plaisir maintenant en sachant parfaitement ce qui risquait de lui arriver ensuite. Et s'il y arrivait? Et s'il arrivait à lui prouver, toujours avec tant de douceur, qu'il est possible de jouir sans aucune bestialité et peut-être même sans aucune pénétration autre que celle de ses doigts? Elle ne connaissait pas ça, alors oui, elle avait peur. Il lui arrivait de jouir en se touchant, mais évidemment, c'était toujours avec l'aide d'un sextoy et toujours quand elle se donnait du plaisir vigoureusement avec ce dernier. Jamais elle n'avait connu cette sensation de plaisir ultime simplement avec les préliminaires, avec douceur. Elle était aussi peureuse que curieuse vis-à-vis de ce sujet.
Du coup et sans surprise, quand Andy lui faisait arrêter leur jeu pour mieux revenir vers elle et au dessus d'elle, elle ne protestait pas, remettant son dos contre le lit et enfermant de nouveau son ami dans l'étreinte de ses jambes. Riant doucement en se pinçant la lèvre, elle le regardait avec une envie certaine, celle de le sentir en elle. « J'espère au moins que ça t'as plu, ça serait dommage sinon. » Evidemment qu'elle le provoquait. La réaction de son corps avait parlé pour lui, elle savait que ça lui avait plu. Comme ça plaisait à Adélaïde de sentir son sexe contre le sien, entamant une danse lascive qui ne faisait qu'augmenter son désir et son plaisir. Il n'était pas loin de la pénétrer, il pouvait le faire, les satisfaire, rendre les frottements plus intenses, le plaisir plus grand. Mais elle sentait bien que ce n'était pas son but tandis qu'ils s'échangeaient des baisers fiévreux et envieux tout en étant doux et subtiles à la fois. Une main dans sa nuque et une autre sur sa fesse gauche pour l'accompagner dans ses mouvements, elle soupirait profondément de plaisir et se mit à gémir quand la main du jeune homme dégringolait le long de son corps pour la pénétrer de nouveau avec ses doigts. Bon Dieu, quelle saloperie il faisait parfois! Se cambrant contre lui, elle avait de plus en plus de mal à ne pas exprimer son plaisir, de plus en plus de mal à maitriser le volume sonore de ses gémissements plus nombreux. Ouvrant outrageusement son cou sous son mordillement, elle portait l'une de ses propres mains à sa bouche, se mordillant les doigts comme pour y trouver une certaine maitrise. Maitrise vite envoler lorsqu'il reprenait son jeu de langue sur elle, l'associant à ses doigts taquins. L'humidité de son intimité appelait à la pénétration, à plus de sensations, et pourtant, elle adorait ce qu'il était en train de lui faire subir. Elle se perdait dans les limbes d'un plaisir inconnu mais tellement salvateur. Oui, il n'était pas le premier à s'aventurer de la sorte entre ses cuisses, mais il était bien le premier a lui donner envie de continuer ce petit manège jusqu'à l'orgasme. Elle ignorait si c'était parce qu'il savait y faire mieux que les autres, si c'était la relation fusionnelle qu'elle peut avoir avec lui ou simplement le fait que les préliminaires duraient depuis une éternité.
Quoi qu'il en soit, et peu importe le pourquoi, ses gémissements, sa façon de bouger, de se cambrer et de vouloir s'échapper vers le haut étaient les témoins d'un plaisir intense, au bord du précipice. Sa main dans les cheveux d'Andy, elle s'agrippait à ses derniers et se cambrait de plus en plus. Son autre main, elle, s'accrochait intensément au drap, elle se sentait partir vers l'orgasme. Quelques coups de langue en plus, quelques vas-et-viens bien placés, et elle finissait par pousser son cri ultime, la jouissance venait de la happer par surprise, pour son plus grand plaisir! Son corps frémissait encore d'un tel supplice, elle avait de la difficulté à desserrer ses doigts et a rouvrir ses cuisses qu'elle avait forcément refermées autour d'Andy sous l'impulsion du plaisir. Se reposant entièrement sur le matelas, elle en tremblait un peu, tirant légèrement sur le bras du jeune homme pour qu'il remonte afin de mieux retrouver ses lèvres dans de courts baisers. Elle était haletante, le souffle court et le cœur au bord des lèvres. Elle caressait la moindre parcelle de peau du jeune homme qu'elle pouvait atteindre que ce soit avec ses mains ou ses jambes. Elle ne disait rien, ses baisers beaucoup plus doux et tendres parlaient pour elle: elle était apaisée, elle était bien, sur un petit nuage. Mordillant tendrement sa lèvre après quelques minutes d'échange de baisers, elle souriait, simplement et murmurait quelques mots. « Je veux que tu prennes ton plaisir aussi Andy. » Oui, jusqu'au bout elle voulait que ça reste un échange, et non du plaisir à sens unique. Alors tendrement et sans forcer, elle présentait sa volonté impératrice à son intimité, faisant entrer l'extrémité en elle. Andreas pouvait choisir de continuer sur ce chemin ou pouvait reculer, à son bon vouloir. Peu importe sa décision, elle la respecterait et en attendant qu'il l'a prenne, elle rejoignait de nouveau ses lèvres, presque devenue accro à elles. Un point de repère, un point de contrôle, qu'il choisisse de prendre son plaisir ou de reculer, elle savait que de simplement l'embrasser serait un moyen de se maitriser... souhaitons-le en tout cas.
codage par Junnie sur apple-spring
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