she moves in her own way
luxure & indécence :
Grace était si belle lorsqu’elle succombait. Grace était si belle lorsqu’il la faisait chanter de ses mains et de ses lèvres. Elle était l’un des tableaux les plus érotiques qui lui ait été donné de voir et de peindre. Elle s’extasiait dans la langueur, elle inspirait la lascivité, même immobile. Lysander savait qu’il suscitait l’impatience, que la lenteur appelait à l’ardeur. Lui-même se retenait d’abandonner cette délicatesse pour laisser place à une approche différente. Mais toujours sur la même mélodie, il comptait lui offrir une expérience des plus uniques. Ô le jeune homme était adapte de chaque pratique, de chaque aspect du sexe entre deux êtres. Il pouvait être les deux faces d’une même personne, les deux façons d’appréhender un corps tel que le sien. Maintes fois il s’était brutalement laissé au plaisir brut de la chair – sans prendre le temps, sans faire attention à l’autre. Cette attitude était si caractéristique de sa personnalité, de sa duplicité d’âme. Egoïste, il prenait souvent sans réellement donner en retour. Seulement, avec Grace, il ne s’était jamais montré aussi attentionné, aussi confiant en sa tâche. Il apaisait sa fébrilité en poursuivant son exploration jusqu’à ce que la jeune femme ne décide d’elle-même de passer à la vitesse supérieure. Elle s’égara dans sa jungle capillaire avant de lui ordonner, par un baiser, d’entamer un nouveau morceau. Il se sentait si complet à ses côtés, à la fois artiste et humain. C’était en cédant aux pulsions les plus humaines qu’il s’estimait le plus virtuose. Là où personne ne pouvait mentir, là où personne ne pouvait décevoir. Ses mains prirent brièvement appui sur la moquette de chaque côté de son corps tandis que la jeune femme s’amusait avec son souffle, sa bouche, hôte accueillante et brûlante. A présent nue, elle l’attira contre elle afin de l’inviter à la posséder davantage. Son échine brûlait, le bas de son ventre nourrissait cette sensation lourde du besoin d’assouvir ce désir. Il la sentait, humide contre lui, prête contre lui et son bassin exerça une légère pression. Lys ne réfléchissait plus, il oubliait la prudence, la raison. Il n’y avait que cette musique qui se jouait dans cette pièce et Grace qui dictait un nouveau rythme.
Docile, il s’exécuta tandis que sa virilité vint entrer en sa muse. Ce fut soudain, nullement violent mais empressé. Prenant appui sur son avant-bras, il entama une danse lente mais affirmée. C’était fou, c’était intenable. Elle lui avait demandé de changer de tempo et cette lenteur n’était que l’illusion de ce qu’il avait envie. Il avait remarqué son sourire taquin, son envie de jouer et d’être surprise. Un dernier baiser s’échoua sur ses lèvres pulpeuses avant qu’il ne recule. Ses deux mains parcoururent sa poitrine, son nombril, ses hanches pour créer le frisson. Aussitôt, il la retourna pour qu’elle se retrouve le ventre contre le velouté chatouilleur de la moquette. De son bras, il suréleva légèrement ses fesses avant de retrouver cette chaleur suave. Cette nouvelle position lui arracha un grondement de satisfaction. Elle était belle, à sa merci. Dos à lui, elle offrait une nouvelle perspective. Cette dernière fut la responsable d’un rythme plus soutenu. Son bassin allait et venait plus rapidement mais surtout ne manquait aucune occasion de profiter de chaque sensation. Les os de ses hanches cognaient avec ferveur contre la rondeur de son fessier mais jusqu’ici aucune bestialité n’avait encore pris possession d’eux. Sa main libre vint ajouter contre son intimité une nouvelle portée à la mélodie. Un canon de ses doigts et de sa virilité qui n’était destiné qu’à Grace. « Grace... » Il aurait pu trouver mille mots pour la décrire en cet instant mais il ne souhaitait pas risquer de gâcher le moment. Les boucles de Lysander lui tombaient en cascade devant les yeux, n’entravant pas pour autant cette vue vertigineuse dont il profitait, la bouche entrouverte et le cœur au bord des lèvres.
Docile, il s’exécuta tandis que sa virilité vint entrer en sa muse. Ce fut soudain, nullement violent mais empressé. Prenant appui sur son avant-bras, il entama une danse lente mais affirmée. C’était fou, c’était intenable. Elle lui avait demandé de changer de tempo et cette lenteur n’était que l’illusion de ce qu’il avait envie. Il avait remarqué son sourire taquin, son envie de jouer et d’être surprise. Un dernier baiser s’échoua sur ses lèvres pulpeuses avant qu’il ne recule. Ses deux mains parcoururent sa poitrine, son nombril, ses hanches pour créer le frisson. Aussitôt, il la retourna pour qu’elle se retrouve le ventre contre le velouté chatouilleur de la moquette. De son bras, il suréleva légèrement ses fesses avant de retrouver cette chaleur suave. Cette nouvelle position lui arracha un grondement de satisfaction. Elle était belle, à sa merci. Dos à lui, elle offrait une nouvelle perspective. Cette dernière fut la responsable d’un rythme plus soutenu. Son bassin allait et venait plus rapidement mais surtout ne manquait aucune occasion de profiter de chaque sensation. Les os de ses hanches cognaient avec ferveur contre la rondeur de son fessier mais jusqu’ici aucune bestialité n’avait encore pris possession d’eux. Sa main libre vint ajouter contre son intimité une nouvelle portée à la mélodie. Un canon de ses doigts et de sa virilité qui n’était destiné qu’à Grace. « Grace... » Il aurait pu trouver mille mots pour la décrire en cet instant mais il ne souhaitait pas risquer de gâcher le moment. Les boucles de Lysander lui tombaient en cascade devant les yeux, n’entravant pas pour autant cette vue vertigineuse dont il profitait, la bouche entrouverte et le cœur au bord des lèvres.