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    Re: CHARLY & ALICE ◊ forget to remember

    Ven 29 Mai 2015 - 16:16
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    Mana'arii Baldwin
    Mana'arii Baldwin
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    Messages : 3244
    Date d'inscription : 21/04/2014
    Identité HRP : Razowski
    Disponibilité RP : Disponible
    Avatar (+ crédits) : The Great Woolston
    Nationalité/origines : Américain. Il est né à Honolulu mais il a passé toute son enfance et son adolescence sur Maui, une île de l'archipel d'Hawaï
    Orientation & situation : Feu Ardent (a) endlesslove (s)
    Métier/occupation : Il est en deuxième année d'histoire. Il voudrait se spécialiser dans l'étude des peuples d'Océanie.
    Alice Collins était comme la plupart des filles que Charly avait toujours eu pour habitude de côtoyer, à une ou deux exceptions prêtes. Ce qui la différenciait, ce qui était tout à son honneur, c’était sa façon de laisser les étiquettes de côtés de sorte qu’elle soit sur le même piédestal que son ami aristocrate. Jouer les bellâtres ce soir n’était donc pas chose facile pour l’Allemand qui néanmoins s’accommodait parfaitement de la situation. La jeune femme parlait avec assurance et confiance, peu impressionnée par les discours de Charly qui visaient toujours à vous en mettre plein la vue. Non. Ce soir, le Von Bodman était un garçon comme les autres, un garçon banal ou presque qui avait eu la chance de rencontrer une Alpha pétillante pour pimenter sa soirée. Pourtant, il restait persuadé que cette rencontre de ce soir s’ancrerait autant dans la mémoire de sa partenaire que dans la sienne.
    Charly avait souri après les dires d’Alice qui félicitait presque sincèrement sa façon de danser. C’est vrai qu’il était plus ou moins doué pour bouger son corps en rythme, avec élégance ou non. Pendant son enfance, il avait pourtant dû prendre maintes séances de danse qui avaient pour unique objectif la perfection absolue. C’était un art qui avait toujours fait partie de son éducation et que tout bon aristocrate se devait de respecter. Mais cette partie de l’histoire, Alice ne la connaîtrait probablement jamais, comme tous ceux qui côtoyaient quotidiennement le jeune homme.
    « Ca c’est parce que tu n’as jamais été dans ce genre d’établissements à mes côtés. » rétorque le Delta avec un brin de malice et de fierté. « Il suffit juste de connaître les bonnes adresses » continue-t-il tout en restant persuadé que son amie n’avait jamais mis un seul pied à l’intérieur d’un restaurant cinq étoiles. Mais cela ne le dérangeait pas, il aurait tout le temps de confirmer ses dires lors d’une toute autre soirée, dans une toute autre ambiance. Ce soir, ils vivaient des heures où plus rien ne comptait, des heures que certains trouveraient sombres, malsaines, sales. Un seul mot d’ordre : l’oubli. L’oubli d’un amour douloureux pour une, l’oubli d’une routine tyrannique pour l’autre. Cette nuit, ils avaient tous les deux une bonne excuse pour se laisser aller, ils avaient tous les deux une bonne excuse d’ouvrir une parenthèse afin de goûter à l’illégalité. Charly aurait pu prétendre avoir de l’expérience avec ces substances illicites et d’une certaine façon il en avait depuis son entrée au lycée de Berlin, lorsque l’adolescent exemplaire qu’il était a finalement laissé échapper sa sagesse pour adopter prétention, arrogance, impolitesse, manipulation…. Avec ces produits, il ne valait mieux pas discourir inutilement sur leurs effets, chacun sachant suffisamment les risques qu’ils couraient en les consommant ne serait-ce qu’au niveau de la loi. Pour Alice, c’était une première, c’était un grand moment. Charly eu une pensée pour RJ sans qui tout cela ne serait jamais arrivée et alors il sourit. Il sourit car d’une certaine façon, il admirait Alice qui avait eu le courage de s’embarquer dans une aventure telle que celle-ci avec un garçon qu’elle connaissait uniquement grâce à une réputation qui lui collait à la peau, grâce à des rumeurs, de mensonges, des vérités qui lui couraient après. « Je suis fier de toi Collins, tu auras finalement été jusqu’au bout. Je n’aurais pourtant pas parié sur ton courage. » Il sourit à nouveau, ce geste étant à l’honneur en cette soirée à la fois plaisante et pleine de surprises. Charly s’installa sur l’escalier de secours d’un bâtiment que se trouvait plus en profondeur dans la ruelle. Il jeta un coup d’œil aux différents graffitis effacés par le temps mais qui témoignaient de la marginalité de ce lieu. Une pochette à la main, il sortit de celle-ci des herbes précieuses par leur prix et par leurs effets. Avec soin, il roula ensuite un premier joint qu’il finit par tendre à Alice accompagné d’un briquet. « Je vous laisse l’honneur de commencer très chère ! » Les bras croisés sur son torse, l’Allemand jeta un regard joueur à sa compagne de ce soir alors qu’il avait toujours un soupçon de doute quant au courage d’Alice à se jeter à l’eau. « Pour répondre à ta précédente remarque, dévoiler nos péripéties de ce soir est très tentant mais je t’apprécie trop pour ruiner ta réputation d’Alpha, pourtant je t’assure que j’en ai les moyens. » Charly ne mâchait pas ses mots, il n’exagérait rien. Ruiner la vie des gens, ruiner tout court, c’était un mot, une attitude que son père lui avait enseigné depuis son plus jeune âge. Et comme s’il était programmé pour agir de la sorte, il s’exécutait à ternir l’image des plus faibles, de ses ennemis. Usant de son charme, de sa force et de son statut de fils de, secondé par son rôle de chef de confrérie, aidé par une richesse qui lui ouvrait n’importe quelle porte. « J’espère quand même que de ton côté tu raconteras quelle merveilleuse soirée tu as passé au bras de Charly Von Bodman » blagua-t-il avant de baisser son regard vers le joint que tenais Alice entre ses doigts. « Gute Reise meine liebe Freundin*. » conclu-t-il sans quitter Alice des yeux.

    Bon voyage ma chère amie*
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      Ka Pua Maila I Ka Mauna

      There is pleasure in the pathless woods, there is rapture on the lonely shore, there is society where none intrudes. By the deep sea and the music in its roar. I love not man the less, but Nature more.©️endlesslove

    Re: CHARLY & ALICE ◊ forget to remember

    Lun 1 Juin 2015 - 16:14
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    Alice Collins
    Alice Collins
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    Gameplay : RP à la 1ère ou 3eme personne, nombre de lignes variable...
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    Nationalité/origines : Américaine.
    Avertissements contenu : Dépression postpartum.
    Orientation & situation : Maman célibataire.
    Métier/occupation : Professeur de danse dans une école prestigieuse.
    Études & fraternité/sororité : A étudié la danse et le théâtre. Ancienne Alpha Beta.
    Résidence : Appartement dans le Northeast avec son fils Tom et Riley, sa meilleure amie.
    La réputation de ce Charly n’est pas tant fondée sur un tas d’affabulations, finalement. Que dit-on de lui ? Qu’il est très, très sûr de lui, arrogant même, qu’il vante les zéros de son compte en banque à qui veut et surtout qui ne veut pas l’entendre, puis évidemment, que la compagnie des femmes lui va comme un gant. Me voici depuis une petite heure en sa présence et cela m’est désormais aisé de confirmer tous ces discours que j’ai pu entendre à son sujet. Charly Von Bodman est un Delta assuré, le Delta idéal, même. Ce genre de gars parfois exécrables mais ô combien attirants – qui pourrait le nier ? Moi, en tout cas, je peine à ôter mes prunelles de lui. Cela ne contrarie aucunement ma dignité d’Alpha, bien au contraire. S’il y des Delta dans son genre sur lesquels je peux laisser traîner mon regard, alors je ne me prive pas. Cela le contente sûrement, grand bien lui fasse ! Tout ce qui compte pour moi, c’est mon plaisir, et ça, qu’il le comprenne ou non avec sa conscience d’homme fier, c’est son problème …

    Quoi qu’il en soit, mon assurance se révèle d’avantage quand il m’avoue avoir douté sur mon potentiel de dévergondage. Un sourire sur le coin des lèvres, je fais un petit pas vers lui et ancre mes prunelles dans les siennes, avec insistance. « Tu me connais décidément si peu, Von Bodman. » Et je m’amuse, autant que lui sûrement, à utiliser ce nom que l’on entend un peu trop souvent à l’université. Là-bas, il est sur son piédestal. Très bien. Ici avec moi, ce sera un peu différent, car Alice Collins a beau adorer les hommes, elle déteste pour autant leur concéder tout le succès. Faut pas déconner, quand même.

    Il n’a pas besoin de connaître les raisons de mes propos, mais intérieurement je roule des yeux. Si je ne fume jamais ni ne consomme une quelconque forme de drogue, ce n’est pas par peur, c’est seulement une question de priorité. Entre avoir l’air d’une débauchée ou d’un légume à chaque soirée et garder un esprit – et un corps – relativement sain, mon choix de danseuse est vite fait. Mon goût certes convaincu par la vodka et autres boissons de fêtes ne sera jamais surpassé par une quelconque addiction destructrice. Alors, la voici la raison qui ne me donne jamais l’envie de consommer ça. Mais ce soir, encore une fois, ce sera différent. Ce soir, oui, j’ai envie de déborder, j’ai envie de faire n’importe quoi sans penser aux conséquences, et Charly sera là pour s’en souvenir … ou pas, mais de ça, j’en ferai un souci plus tard.

    Nous sommes donc assis sur une marche et je regarde avec un intérêt non dissimulé ce qu’il fabrique avec ses mains. Bien sûr je sais comment ça marche, je ne suis pas née de la dernière pluie, mais malgré tout, je n’ai pas envie qu’il me mette un explosif aux lèvres … sait-on jamais. Il est bien beau ce Charly, et j’ai beau aussi accorder ma confiance relativement facilement, il m’a malgré tout entraînée dans une ruelle sombre comme on y emmènerait une fille pour abuser d’elle, hein. Bon OK j’exagère sûrement un peu, mais l’idée de comparaison me plaisait. Il finit par me tendre le bâtonnet, accompagnant ce geste de paroles galantes, puis amusantes. « Oui, je sais, tu viens d’une famille riche et puissante. Mais quand même, ne dépense pas des millions pour m’afficher dans la ville avec un joint aux lèvres … ça ne mérite pas tant. » Je souris légèrement. « D’autant plus que les gens doivent penser que c’est mon genre, de faire ça. Franchement… qu’ils pensent ce qu’ils veulent. Tant qu’ils parlent de moi, je suis une fille comblée. » Parole d’Alice !

    J’amène ensuite le cylindre incandescent à mes lèvres et tire doucement dessus, aux aguêts sur le goût et les sensations. Il me semble que c’est véritablement la première fois de ma vie que je fais ça et ça ne me déplaît pas, oh bien au contraire. J’ai déjà tiré sur quelques cigarettes en soirée, soit, mais cela n’aura bientôt plus rien à voir avec cette expérience-là, en tout cas c’est ce que j’espère. À la remarque de mon compagnon, je souris, le regard rivé encore sur le joint. « Si en plus tu te mets à parler allemand … Encore si c’était une langue sexy, j’dirais pas non … » Un peu rieuse, je relève ma tête pour expirer une petite quantité de fumée devant moi avant de filer le bâtonnet à Charly, de sorte qu’il s’amuse un peu lui aussi. Là, mes yeux remontent sur lui. « Et oui … Je vais probablement raconter ça à quelques personnes curieuses. Il se trouve que j’adore rendre les autres filles jalouses. » Manière plus ou moins subtile de lui faire comprendre qu’il a vraiment du succès. Et là, contre lui, une question presque trop spontanée me vient à l’esprit. « Comment ça se fait qu’on ne se connait pas mieux toi et moi ? J’veux dire, t’es populaire, je suis populaire. T’es sexy, je suis sexy … Tu sembles avoir peur de rien, moi non plus. C’est pas un super bon pairing ça ? Allez, avoue. » Que je rajoute, maligne, en lui donnant un léger coup de coude. Croyez-moi, ce n’est pas tant l’alcool qui me fait dire ça, je le pense vraiment. Lui et moi, il devrait se passer quelque chose, c’est … de la pure logique.
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    CHARLY & ALICE ◊ forget to remember - Page 2 04b70b68dce47dea7bafc7533182d3637d9f0fe0
    Avec une insupportable vanité, elle s'était imaginé pouvoir sonder le cœur de tout le monde. Les évènements avaient montré qu'elle s'était complètement trompée. Austen
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