J'avais donné rendez-vous à Zoé au Starbucks. C'était "notre endroit" en quelque sorte ici on avait la paix. Pas de paparazzis, pas de journalistes qui nous couraient après. Que dire de Zoé? Elle me rappelle étrangement Gwen, mon ex qui est encore ma femme vu que le divorce n'a pas été prononcée, elle me saoule encore pour avoir toujours plus d'argent. Certaines personnes sont pauvres, elles n'ont que de l'argent. Ca résume un peu la situation de Gwen. Au début elle était fun, joueuse, attendrissante, drôle, mystérieuse, taquine... Je retrouve tout cela chez Zoé et ça me fait un bien de ouf d'être à ses côtés. Je me sens enfin... revivre. C'est con, non? Pourtant Zoé et moi on est que amis, elle me parle à chaque fois d'un mec, d'une trentaine d'années, si ça ne tenait qu'à moi j'irais lui mettre mon poing dans la gueule pour qu'il s'éloigne de Zoé, elle mérite tellement mieux, merde! J'ai beau lui dire d'arrêter, qu'elle est sur la mauvaise pente... Au fond je ne sais pas si elle m'écoute vraiment ou pas. Une partie de moi espère fortement qu'elle m'écoute, ça voudrait dire que mes mots ont un impact important sur elle et donc que je lui suis essentiel, ou du moins un peu.
Je m'étais assis à une table, au 2ème étage, c'était pas trop remplit à ma grande surprise, il devait être 10h du mat et j'attendais jusqu'à que je reconnaisse sa voix. Elle a dû demandé à un employé où j'étais en disant mon nom ou en me décrivant, j'en sais rien.
- Hey! Regardez qui va là!
Un large sourire apparut sur mon visage, putain ça faisait du bien de sourire. De sourire réellement je veux dire, sans que cela ne soit forcé ou sans être sous l'effet de certaines substances illégales. Je me levais immédiatement pour la prendre dans mes bras et lui faire un câlin. Purement amical je veux dire hein, je suis pas le genre de mec à sauter sur les nanas comme si elles étaient de pauvres proies sans défenses, non, non, je respecte bien trop les femmes pour les prendre pour un simple morceau de viande. Je lui déposais un bref baiser sur son front, avant de me reculer et lui tirer de façon gentleman la chaise pour qu'elle puisse s'y asseoir.
- Après vous très chère.
Disais-je d'une voix assez boubourge, lui faisant un clin d'oeil par la suite pour lui faire comprendre que je la taquinais ainsi. Une fois assise, je m'installai en face d'elle et je la regardais dans le blanc des yeux.
- T'es toute en beauté dis-moi, tu as fais autant d'effort pour le sublime skateur que je suis?
Plaisantais-je ouvertement, en riant de bon coeur à ma propre connerie. Oulalalah, j'avais un grain non? Qu'importe, j'étais bien, alors bon. C'était l'essentiel après tout.
Je m'étais assis à une table, au 2ème étage, c'était pas trop remplit à ma grande surprise, il devait être 10h du mat et j'attendais jusqu'à que je reconnaisse sa voix. Elle a dû demandé à un employé où j'étais en disant mon nom ou en me décrivant, j'en sais rien.
- Hey! Regardez qui va là!
Un large sourire apparut sur mon visage, putain ça faisait du bien de sourire. De sourire réellement je veux dire, sans que cela ne soit forcé ou sans être sous l'effet de certaines substances illégales. Je me levais immédiatement pour la prendre dans mes bras et lui faire un câlin. Purement amical je veux dire hein, je suis pas le genre de mec à sauter sur les nanas comme si elles étaient de pauvres proies sans défenses, non, non, je respecte bien trop les femmes pour les prendre pour un simple morceau de viande. Je lui déposais un bref baiser sur son front, avant de me reculer et lui tirer de façon gentleman la chaise pour qu'elle puisse s'y asseoir.
- Après vous très chère.
Disais-je d'une voix assez boubourge, lui faisant un clin d'oeil par la suite pour lui faire comprendre que je la taquinais ainsi. Une fois assise, je m'installai en face d'elle et je la regardais dans le blanc des yeux.
- T'es toute en beauté dis-moi, tu as fais autant d'effort pour le sublime skateur que je suis?
Plaisantais-je ouvertement, en riant de bon coeur à ma propre connerie. Oulalalah, j'avais un grain non? Qu'importe, j'étais bien, alors bon. C'était l'essentiel après tout.