Re: SEIZIÈME INTRIGUE • Les retrouvailles

Oscar Luccheti aime ce message

Il doit admettre qu'il est content de le voir, même s'il n'avait pas osé lui proposer de l'accompagner. Pudeur ou simple manquement, ce besoin irrationnel de ne pas lui appartenir entièrement pour se garder une porte de sortie. Stupide peur de l'engagement parce que ça implique des confidences auxquelles, aujourd'hui, il ne se sent pas particulièrement prêt. Et pourtant, le retrouver ici, c'est une véritable bénédiction. Sans doute pour cette raison qu'il ne s'offusque pas plus que ça lorsque @Abel P. Fox pose son visage sur son épaule et glisse sa main dans son dos. Une accolade pour beaucoup mais plus, pour eux. Ode se fait violence pour ne surtout pas répondre comme à l'accoutumée... sauvage et impulsif et accueille cette proximité avec délice. Il ferme les yeux, souriant doucement. Il glisse sa main dans le dos d'Abel et répond tranquillement : Je suis content de te voir, moi aussi. parce qu'il lui a promis d'essayer, c'est vrai. Me montrer plus expressif, plus démonstratif, mais ça lui coûte, il doit bien l'admettre. Quand Abel se détache, il ouvre les yeux, sans cesser de sourire. Il apprécie chaque instant en sa compagnie sans pour autant réussir à vraiment comprendre pourquoi. A sa question, il s'apprête à répondre lorsque son regard croise celui de @Oscar Luccheti
Le temps se fige...
Un court instant, le feu qui lui monte aux joues. Il perd le nord, perd consistance. Abel le remarque sans doute, Ode s'est déconnecté. Et lorsqu'il détourne les yeux pour se concentrer sur son interlocuteur, il a tout oublié de la question qui vient de lui être posée. Je... oui, enfin... non. qu'il bégaie en passant une main dans ses cheveux, mal à l'aise. Merde, voilà précisément ce à quoi il pensait par confessions dont il se passerait bien. Tu... tu veux boire quelque chose ? qu'il demande alors qu'ils ont déjà tous deux un verre à la main. Il serre la mâchoire, serre les dents, perdu. Un simple contact visuel qui a tout fait basculer.

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against all odds

So take a look at me now, there's just an empty space and there's nothin' left here to remind me, just the memory of your face.

Oscar Luccheti et Talya S. Adams aiment ce message

Ancien·ne étudiant·e
Delta Thêta

« - Ouais moi aussi je l'aime bien la plupart du temps... »

Léger sourire devant les deux femmes. Bien sûr qu'elles s'entendraient bien toutes les deux, les connaissant... qui sait, peut-être qu'elles se reverront après ça ? En tout cas, j'avais annoncé mon divorce, et pour le coup ça faisait un moment que je n'avais pas donné cette information.

« - Forcement, j'avais envie de te conquérir après mais j'ai pas eu l'occasion de revenir... »

Bien sûr que je plaisante, mais elle le sait. On est comme ça, taquin tous les deux. Et avec Eden dans l'équation, c'était encore pire.

« - Moi non plus je ne sais pas comment j'ai fais, mais bon. C'est fait, et c'est passé. Ne parlons plus d'elle »

Parlons plutôt d'Oscar et Talya qui font leur entrer, parés d'un sourire. Sourire que je leur rend, avec un petit signe de tête, avant de répondre à ma soeur, comme par automatisme.

« - Tu n'aimes pas, c'est différent. Mais je veux bien la même chose oui, un double même, tant qu'à faire..  »

Il me faut au moins ça, là.

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Non je ne crois pas à ce que tu me dis. Tu cours à l'échec tel que je l'ai prédis. Tu n'as jamais été capable de t'assumer, renonce à tes chimères et viens me retrouver.

J'aimerai tellement briser ta défiance, te prouver que je mérite ta confiance. Mais tu ne m'as jamais donné l'occasion de révéler ma passion.

KoalaVolant

Oscar Luccheti et Ode Little aiment ce message

Ancien étudiant·e

@Ode Little répondit à son câlin et cela le fit sourire. Il savait son amant peu expressif et même s'il était doué de tendresse quand il le voulait bien, les moments étaient tout de même rares. Ils avaient depuis longtemps dépassés le stade de vivre caché, Abel assumait parfaitement qui il était, Ode aussi. Il déniait à quiconque le droit de le juger. Il profita donc de cette douce et fugace accolade provoquée en fermant les yeux. L'américain lui glissa en plus qu'il était content de le voir, ce qui acheva de dissiper la brume.

Lorsqu'il se détacha enfin de lui, il remarqua son trouble. Son regard avait croisé quelque chose, ou quelqu'un et Ode sembla décontenancé. Le métis tourna la tête mais ne put saisir la raison de la réaction de son compagnon du soir. Abel fronça alors les sourcils, parcourant quelques secondes l'assemblée de son regard couleur nuit avant de le reporter sur Ode qui bégayait, ayant visiblement perdu le fil de leur début de conversation. Il lui proposa un verre et le chercheur leva le sien pour lui signifier qu'il était pourvu.

"On dirait que tu as vu un fantôme…" murmura t-il sur un ton qui se voulait léger. Mais Abel avait un pressentiment et cela serra son coeur sans qu'il ne comprenne pourquoi. Il poussa un léger soupir comme pour chasser cette idée sans fondement.

"Hum… Puisqu'on est là tous les deux, on peut aller faire un tour ? Ça... Ça te dit ? " dit-il avec un sourire un peu trop fragile à son goût qu'il tenta de masquer en repoussant de façon machinale sa mèche qui reprit bien vite son emplacement habituel. Il se frotta l'arrête du nez et but une gorgée.

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MIXED AND PROUD

"We're only gettin' older, baby
And I've been thinkin' about it lately
Does it ever drive you crazy
Just how fast the night changes? "

Talya S. Adams et Adriel Cole Snow aiment ce message

hj; désolé de l'attente et du rp nul les chats, je suis un peu rouillé ce soir

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Phi Epsilon · Ancien·ne étudiant·e
@Talya S. Adams, @Adriel Cole Snow, @Ode Little

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Difficile de rester optimiste dans ce lieu détenteur de tant de souvenirs. J'ai tant appris dans ces corridors. Tant aimé, tant subi. Mais le plus grand regret que j'aurai sera toujours de ne jamais avoir achevé ces études auxquelles j'avais pourtant fini par m'accrocher, pour une fois. Certaines injustices sont trop cruelles pour qu'on s'attarde dessus.

Non.

Ce soir, les pensées seront agréables. Il le faut. Ma vie est agréable, désormais. J'ai un métier qui me plait. J'ai un copain, ou tout du moins, l'illusion d'un copain. Et surtout, j'ai ma Talyus!

« Oui ... Ça vrai! Tant de cosas ont changé ... Eppure la bâtiment n'a pas changé. »

Tu me demandes si je reconnais des gens,
Mes iris se perdent sur l'horizon

Je ne vois que des visages, dépourvus de traits
Masses blanches, pages vierges
Visages inconnus qui se perdent dans la foulée.

Je ne reconnais personne. L'agression y a bien veillé ...

Sauf ...

Deux regards, qui m'ancrent dans le décor.

Adriele.

J'ai l'impression que je pourrais t'oublier cent fois sans jamais réellement pouvoir me défaire du souvenir de toi. Une vague de chaleur s'éveille en moi. Mes joues virent au rouge lorsque je réalise que tu m'as vu. Sourire gêné. Salut discret de la main. Ce n'est pas que tu me mets mal à l'aise. Pas exactement. C'est juste que je ne sais toujours pas comment me comporter quand tu es là. Avec du recul, je constate qu'il y a beaucoup de choses que j'aurais aimé faire différemment. Quel dommage qu'il ne soit pas possible de faire marche arrière, ne serait-ce qu'un instant.

C'est cependant Talyus qui semble la plus embarrassée de te voir ici, Adriele. Pourquoi? Que lui as-tu fait pour tant l'effrayer? Je ...

Oh.

Eden?

« Ma ... Qu'est ce que tou fais? Hé! C'est pas jouste, tou m'avais dit que tou adorais l'idée...! » C'est pas de ma faute si le vert nous va bien à tous les deux! Mon regard suit celui de Talya, se perdant sur la blonde aux côtés de ... Adriele, justement.

« Aspetta oun instant s'il ta plait ... Eden c'est bien la ragazza à côté dou brun barbuto près dou bar? » J'avais déjà vu des photos, en plus. Tu m'avais montré des photos, Talyus. Mais je suis perdu, momentanément: comment ça se fait que ton Eden connaisse mon Adriele ...??

« Ja pensa qu'elle t'a voue, oui ... Tou comptes ta cacher derrière moi toute la soirée ou tou vas aller loui parler? » Autant savoir maintenant si je vais faire office de bouclier humain jusqu'au lendemain ou pas.

Mon regard croise alors celui de @Ode Little. Un malaise s'installe lorsque je réalise qu'il semble me connaître. Malaise qui s'accroit lorsque je réalise que moi, je ne le connais pas.

Qui es-tu, mystérieux inconnu?

« Tou ... Tou veux qu'on aille cercare qualcosa à bere? » Je finis par demander à Talyus. À en juger par sa performance de plus tôt, un petit verre risque de lui faire du bien. Pour ma part, cela me permettra de me changer les idées.

Mais le regard de cet inconnu continue de me hanter.

Ode.

Qui est-il?

Pourquoi me regarde-t-il comme s'il avait vu un fantôme?

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2013

2018

2023

Les sens légèrement engourdis par le whiskey, le détective ne peut s'empêcher d'avoir un léger moment de perplexité lorsqu'il voit Eve siroter un cosmopolitan. Un élan de nostalgie s'éprend de lui alors qu'il se rappelle de ces innombrables soirées passées à des expositions ou à des vernissages, où la jeune femme buvait, de manière presque identique, exactement le même breuvage.

« Oh bah ... Oui, je. ... Non, enfin ... Il y en a bien assez pour tout le monde ... » Des mots bredouillés avec gêne et embarras, incapable de mieux articuler le fond de sa pensée. Je serais prêt à ne rien manger de la soirée si cela te permettrait de manger ce que tu veux. Un altruisme à tout épreuve, gaspillé malgré lui sur des inconnus qui ignorent tout de ses efforts, au lieu de se voir dépensés sur celle qui, autrefois tout du moins, en aurait profité avec allégresse et reconnaissance. La question de la blonde le prend par surprise, le Californien se retrouvant cependant à répondre sans réellement réfléchir: « Euh, je ... Je ne suis pas réellement censé en parler ici mais je n'ai rien entendu de plus que la dernière fois. Je vais tenter de me renseigner Lundi cela dit ... » Il ne sait pas réellement par quoi enchainer, véritablement perdu dans le fil de la conversation. La seule chose qu'il sait, c'est qu'il ne désire pas que la conversation s'achève aussi abruptement. Bien au contraire.

« Je ... Tu as bonne mine. » Un aveu timide et discret, le brun regrettant déjà ses propos, incapable de se retenir de complimenter celle à qui il avait tout refusé, tant d'années plus tôt, malgré lui. La langue déliée par l'alcool et ses pensées s'emmêlant, le brun se retrouve dans l'incapacité totale de faire le tri entre les mots qu'il désire prononcer et ceux qu'il désire taire à tout jamais. Le désir l'emporte facilement sur la raison, dans la faiblesse de l'ébriété, même une ébriété des plus subtiles et légères.

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All the things you do
And the way you move
Send me straight to heaven.

Picorer pour ne pas picoler, cela semblait clairement être le credo adopté par Evangeline ce soir. Elle alternait entre une gorgée de son cocktail et quelques bouchées du buffet de mignardises salés qui se présentait devant elle. Elle tentait de se calmer en mangeant, ce qui n'avait jamais été très efficace, alors elle prenait le temps de mâcher longuement, bien plus que nécessaire juste pour rester occupée. Eve ne peut s'empêcher de sourire en l'entendant bafouiller, elle n'avait pas perdu le coup de main pour lui faire perdre tous ses moyens visiblement et elle n'était pas sûr de ce qu'elle ressentait à cette idée.

Toujours aucune nouvelle de sa voiture et maintenant qu'elle y pensait, c'était probablement pour le mieux, ce faux de Jan van eyck dans son coffre ne serait probablement pas du meilleur effet si Adam tombait dessus, car il ne manquerait pas d'inspecter la voiture avant de lui rendre. « Je comprends. C'est gentil, merci. » La jeune femme espère secrètement que d'ici à Lundi il aura oublié de se renseigner, mais elle le connait aussi trop bien pour savoir que lorsqu'il s'engageait dans quelque chose, il le faisait toujours. Du moins c'était le cas lorsqu'ils se connaissaient, est-ce que les choses avaient changées depuis ?

S'il y a bien une chose à laquelle elle ne s'attendait pas, c'était ce compliment d'Adam. Pas après leur dernière rencontre « Merci, répond-elle, j'aimerais pouvoir te retourner le compliment mais honnêtement, tu as une mine affreuse.» Elle regrette aussitôt ses propos, de peur qu'il ne les interprète mal. Malgré les années et la souffrance, elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter en le voyant aussi fatigué. « Enfin, je t'ai connu plus en forme quoi... » ajoute-t-elle avec un sourire timide.

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Gamma Psi · Ancien·ne étudiant·e
@Oscar Luccheti, @Adriel Cole Snow, @Eden H. Snow

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Pendant que je me cachais d’Eden et celui à qui elle tenait le bras, derrière mon cavalier du jour, Oscar, était en train d’assembler les pièces du puzzle. « J’adorais l’idée avant de réaliser qu’elle serait sûrement là aussi!!… et affirmatif, c’est bien elle à côté du barbu là-bas. » Qui c’était d’ailleurs? Il avait fait un signe de la tête dans notre direction. Si son visage m’était familier… je ne le connaissais pas personnellement, mais c’était peut-être le cas d’Oscar. « Tu le connais? » Il en avait l’air en tout cas. Il semblait proche de la blonde. Un peu trop même. Une idée horrible me traversa l’esprit. Et si c’était avec lui qu’elle allait se marier? « Je me cache pas du tout !!! Je trouve que le dos de ton costume est beau… les coutures sont hyper intéressantes! » On reste longtemps bien trop longtemps à mon goût avant que le bel italien propose que nous allions boire un verre. Merveilleuse idée. J’espérais juste qu’ils aient des trucs assez forts pour oublier tout ce que je venais de voir. Sinon il allait falloir vider le bar entier dans mon estomac. J’attrape le sicilien par le bras et nous nous dirigeons vers le barman. « Bonjour! Le truc le plus fort que vous avez, en double, merci! » Pas forcément pour Oscar. J’étais vraiment dans le besoin de ne pas penser là. Mon regard brun plongea dans les jolis iris émeraudes. Il semblait… différent. Et soudain je me sentis mal de ne penser qu’à moi et comment moi je me sentais alors que pour Oscar être ici devait avoir une saveur bien particulière. « Est-ce que tu vas bien chaton? J’y avais pas pensé mais… ça doit pas être facile pour toi d’être ici… »

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I’VE LOVED AND I’VE LOST

« Je comprends. C'est gentil, merci. »

Une simple tendresse, innocente, qui suffit pour désamorcer les innombrables défenses érigées pour protéger ... Qui, exactement? Eve, ou lui? La réponse se brouille davantage de jour en jour.

L'espace d'un instant, tout semble retrouver sens. Adam sourit timidement, discrètement, à l'attention d'Eve. Un regard complice est partagé entre les deux étrangers qui autrefois étaient promis l'un à l'autre. L'équilibre universel est retrouvé.

Eve et Adam.
Adam et Eve.

... Mais seulement l'espace d'un instant.

Un compliment est offert sous le coup de la faiblesse, un aveu bien trop révélateur des pensées du détective, trahissant l'affection inépuisable qu'il continue de cultiver à l'égard de son ancienne compagne. L'on pourrait aisément penser que la réplique de la jeune femme serait cause pour le braquer, mais ce serait mal les connaître: contrairement à leur dernier entretien, cet échange empeste la familiarité qu'ils partageaient dans ce qui semble désormais être une autre vie. Adam sourit de nouveau. Toujours d'une discrétion des plus timides, mais qui n'en reste pas moins réchauffante pour autant.

« Tu peux le dire: je ressemble à un épouvantail. » Les insomnies et les crises de panique ne s'effacent pas, avec le temps. Les cauchemars non plus. Celui de l'autre soir brûle encore dans ses pensées, embrasant tout espoir subconscient qu'il aurait pu avoir de tenter de renouer le contact plus décisivement avec Eve. Il y a tant de choses qu'il aimerait pouvoir lui dire, sans jamais pouvoir en trouver les mots. Finalement, le brun se met à l'évidence: mieux vaut ne rien dire. Les choses sont plus simples ainsi. Feignant reconnaître une connaissance au fond de la salle, le détective reporte une dernière fois son attention sur son interlocutrice. Le désir brûlant de passer le restant de sa soirée à ses côtés est difficile à taire, mais sa résilience légendaire finit par avoir gain de cause.

« Je suis désolé, mais je viens de voir un ancien ami que je n'ai pas vu depuis plus de dix ans ... » Son coeur s'alourdit sur ces paroles, conscient que le laps de temps durant lequel leurs chemins à eux ne s'étaient pas croisés approche cruellement de cette durée. Il a conscience de l'hypocrisie qu'Eve doit lire dans ses paroles (pourtant à tort, car il n'y a là qu'une tentative futile et désespérée de fuir à la réalité de ses sentiments). Malheureusement, si Adam est un bon détective, il est un bien piètre menteur. « Je te souhaite une excellente soirée, au cas où l'on ne se recroise pas. » Et il compte bien s'assurer que cela ne serait pas le cas.

Prenant congès de la belle, le brun se dirige discrètement vers la cible identifiée plus tôt, se fondant dans la foule avant d'en émerger de l'autre côté et de se diriger vers le parking. Sortant nerveusement son paquet de la poche de sa veste, ses doigts peinant à attraper la clope sur laquelle son apaisement dépend, il finit par pincer la cigarette embrasée entre ses lèvres, fumant avec amertume pour apaiser les tourments de son âme.

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All the things you do
And the way you move
Send me straight to heaven.